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Nana

Chapitre 12

Trash
— Encore !— Nana, c’est la troisième fois...— Oui MAIS... C’est mon anniversaire !— Nana... J’ai faim, pas toi ?— Oh pauvre loulou... Mais c’est toujours mon anniversaire, alors retour entre mes cuisses !— J’ai mal à la langue...— Mais quel Caliméro ! Rolala... Et si tu me remplissais la chatte alors ?
Elle me dit ça, couchée sur le lit en écartant ses lèvres avec deux doigts d’une main. Apparaît alors dans toute sa nudité matinale ce petit couffin de douceur à peine éclos suite à mes cunnilingus. Ça aurait été avec plaisir, mais je pense à l’heure qui file.
— Plus tard ma chérie... Les toasts doivent être froids en plus.— Mais pourquoi t’es chiant comme ça ce matin ? — Parce que tu l’es mon amour.— Et ça se croit malin en prime.
Elle lève ses jambes repliées et les écarte un peu plus avant d’attraper ses fesses et de les écarter. Sa rose humide et ses tentations s’offrent un peu plus à mes yeux, son œillet m’apparaît dans le même mouvement. Son index se couche alors dans la rosée de sa petite chatte avant de se poser sur son anus. Le bout malaxe son petit trou, étalant lentement de la cyprine dessus.
— Et mon cul ? Mon petit cul tout serré ? Tu l’as jamais refusé...— C’est parce que j’en suis incapable. Et si en plus de préparer ton cul, tu me suçais pour me préparer aussi ?— Pourquoi c’est moi qui fait tout !— Parce que je suis vieux... Et que c’est ton anniversaire.— Je te jure que si j’avais pas à ce point besoin d’avoir ta queue en moi, ça aurait été ceinture... Pendant au moins une semaine !— Des paroles, des paroles... Je sais que t’aurais pas tenu. Et moi non-plus d’ailleurs.
Je vois un nuage de bouderie traverser ses yeux avant qu’ils disparaissent entre mes cuisses. Elle gobe directement l’entièreté de ma queue molle dans sa bouche chaude et très saliveuse. Mon sexe prend forme au bout de quelques secondes, je pourrais déjà la sodomiser et Anaïs le sait. Depuis sa première fois par le cul, elle a développé un goût pour la pratique qui fait écho à celui de sa mère. Je ne pense pas que l’amour de la sodomie soit héréditaire, mais ça reste étonnant. Positivement étonnant, j’ai plus pratiqué la sodomie en quelques mois avec les dames Krasniqi que dans toute ma vie qui précède leur rencontre. Entièrement avalé par sa gorge profonde, je profite de la langue de Nana qui se doigte le cul avec sa cyprine. Elle finit par doucement remonter avant de libérer sa gourmandise et d’embrasser mon gland. Elle se redresse ensuite avant de s’accroupir au-dessus de mon sexe, guidant celui-ci pour le positionner face à son petit trou.

Je souris à l’idée de la séance de squats qu’elle va m’offrir, Anaïs ayant développé ces derniers jours la cocasse idée d’allier un peu plus le sexe et le sport.
Mais on sonne à la porte, ses fessiers et ma queue devront attendre.
— T’inquiète, je m’habille et je vais ouvrir. Tu ferais mieux de faire pareil, si c’est ta mère ou ta sœur et qu’elles te voient à poil, ça va soulever des questions...— Je suis sûre que ma mère se doute de quelque chose depuis le mois passé où on a été manger à la maison. Elle a toujours grillé Adèle pour ce genre de truc, je sais pas comment.
J’imagine que c’est plus ou moins lié à son passé, mais ce n’est ni le moment ni mon rôle d’expliquer à Anaïs que sa mère est une ancienne prostituée. J’enfile un short, un t-shirt et vais ouvrir.Entrent alors Mayeul et Abdel à qui je peux pardonner de me casser mon coup avec Anaïs. Nous n’avons pas le temps de finir les embrassades que ma furie de vampiresse traverse la pièce et saute dans les bras d’Abdel. Vêtue d’un de mes t-shirts, j’aperçois les ficelles blanches d’un de ses ministrings préférés. Elle embrasse goulûment Abdel qui lui rend la pareille, accrochée à lui comme un koala, avant de tendre sa tête vers Mayeul et de lui rouler aussi une pelle. Elle redescend dans un atterrissage sonore.
— Joyeux anniversaire ma grande !— Joyeux anniversaire Nana !— Merci les gars ! Tu m’avais pas dit qu’Abdel et Yeuyeu viendraient ! C’est ça ma surprise ?— Une partie seulement. J’espère que ça te plaît déjà.— Évidemment. Par contre les gars, je vous aime bien, mais mon chéri était sur le point de m’enculer. Faudrait qu’on m’explique pourquoi les vieux - font toujours chier la jeunesse...— Oh Madame, excusez-nous ! Et y a que Yeuyeu qui est vieux.— Va chier Abdel, veux-tu ? Et à c’que j’sache, on vous empêche pas de faire vot’ vie.— En fait, si Yeuyeu, mais je t’aime toujours. J’allais profiter du cul de ma chérie, mais là, je dois aller me doucher maintenant que vous êtes là.— Z’êtes pas encore prêts ?— Madame voulait son cunilingus matinal...— Et Madame en a eu trois ! Je viens avec toi sous la douche, tu pourras me prendre en même temps.— Nana, ma chérie, on va être en retard pour ta surprise...— Putain ! C’est quoi cette surprise si je peux même pas baiser tranquillement avec mon mec ?! J’en veux pas.— C’est dommage mon cœur, moi je sais ce que c’est et je veux en profiter. Je vais me doucher pendant que tu fais ton caprice...— Héhéhé, nous aussi on sait c’que c’est, hein Abdel ?— Ouais, et on sait que tu vas aimer.— Et... Vous avez déjà pris votre douche, non ?— Heu... Yeuyeu je sais jamais vraiment mais moi oui, pourquoi ?— Va bien, mais alors bien te faire enculer Abdel. Bien sûr qu’on s’est douchés !— Donc vous pouvez me prendre en double le temps que mon idiot de mec prenne la sienne ?— Un peu qu’on peut ! Faudra juste me donner un peu de vigueur, Tonton Yeuyeu se fait vieux tu sais...— Moi je bande déjà si tu veux ma belle...— Peut-être, mais un minimum de préparation quand même ! J’ai trop, trop faim et je veux Yeuyeu dans mon cul, c’est lui qui a la plus grosse.— Et toc !— Boah... J’ai la plus propre, ça me va.
Abdel et Mayeul s’installent dans le canapé et déboutonnent leur pantalon alors que le t-shirt dont Anaïs s’est débarrassé est balancé à travers le salon. Elle fait glisser son ministring sur ses cuisses mais lui réserve un sort différent. Elle entrelace autour de la queue de Mayeul les ficelles dans un ensemble de nœuds compliqués dont elle a le secret. Une fois arrivée au bout de ses arabesques, elle pose sur le bout de la queue de Mayeul le petit bout de tissu en microfibre qui normalement couvre à peine sa fente. C’est l’un de ses pêchés mignons qu’Anaïs aime lui offrir. Elle le masturbe alors doucement, mais ses yeux pétillants de malice se perdent contre le ventre d’Abdel qu’elle commence à sucer. Je croise le regard de nos deux amis avant de les abandonner, au vu de la malice qui y brille, je pense que nous nous sommes compris.
Je suis à peine arrivé sur la fin de ma douche que j’entends la porte s’ouvrir brusquement et je souris. Je souris un peu plus quand le bras fin d’Anaïs écarte violemment le rideau de douche. Elle me rejoint et commence à se frotter vigoureusement le corps, le regard noir. Je demande alors avec le ton le plus innocent du monde :
— Et ben alors, cette double pénétration ?— Que dalle ! Je les suçais bien gentiment et quand ils étaient prêts, ces deux cons ont remballé leur queue en me disant "Qu’il faudrait pas être en retard pour la surprise." !— Ah bon ? Ils sont vilains, non ?— Baise-moi au lieu de te foutre de moi. Juste BAISE. MOI.— Hun hun. Je viens de finir ma douche, faudrait pas que je transpire.— Connard.— Faudrait pas qu’on soit en retard.— Connards, avec un bon gros S et un bon gros doigt dans vos gueules.— Et puis...— QUOI ?!— Et puis je suis ton idiot de mec après tout.
Je sors de la douche et me sèche avant de m’habiller rapidement. T-shirt noir, shino noir, simple et élégant. Pour ce qui nous attend... Je rejoins Abdel et Yeuyeu et nous éclatons de rire. Un "Bande de cons !" noyé sous le jet de la douche nous parvient quand j’allume ma première cigarette de la journée. Nous discutons de l’organisation de la surprise de Nana quand l’arrivée de celle-ci coupe court au complot. Elle marche d’un pas énergique vers notre chambre sans nous adresser le moindre regard. Elle revient le corps encore un peu humide, ses cheveux virevoltant autour de sa taille, seulement vêtue d’une paire d’escarpins. Des talons aiguilles noirs à plateformes épaisses d’une douzaine de centimètres de hauteur qui remontent son cul arrogant et énervé. Elle a dans une main son portable, dans l’autre l’un de ses godes ventouse, celui de 25 centimètres.
— Nana, on va vraiment être en retard. Tu fous quoi là ?— Je vais offrir un peu d’amour à mes followers. Contrairement à vous, ils tueraient juste pour me toucher.— Nana...— Et bah mon vieux ! Elle t’en fait voir de toutes les couleurs la p’tite !
Elle va dans sa chambre qu’elle n’utilise que pour étudier et alimenter ses réseaux sociaux étant donné qu’elle dort dans la mienne (la nôtre, j’imagine). Elle prend bien soin de laisser la porte ouverte pour nous narguer et pose le gode ventouse par terre, devant à un miroir en pied acheté essentiellement pour son activité de sex influencer. Elle donne son dos à la glace et s’assied dessus, agenouillée, avant de jeter un regard par-dessus son épaule et de prendre quelques clichés du reflet de sa beauté. Je sors mon portable et me connecte à son Onlyfans. L’une des photos qu’elle vient de prendre apparaît dans son fil d’actualité, le visage masqué par des emojis. Elle est accompagnée du message suivant :"Trois mecs chez moi.Dont le mien.Le jour de mon anniversaire. Et pas un seul pour me baiser.
Quelqu’un pour me consoler ?#Promo50% #PourToutMesServices #JustePourVous"
— SAUF POUR VOUS BANDE DE CONS !
Abdel et Mayeul rigolent comme des baleines, ils sont les premiers à avoir liké. Le vieux tousse un bon coup et l’interpelle :
— Nana, ma jolie, ton homme a raison, on va vraiment être en retard...— M’en fous.
Elle a posé les mains par terre, légèrement penchée en avant, pour remuer son cul sur le gode. Je vois ses fesses rebondir entre les aiguilles de ses talons. Le plaisir déride un peu sa moue, ma petite princesse avait vraiment besoin qu’on lui remplisse la chatte.
— Et si je te dis qu’Abdel et moi, on t’a apporté l’un de tes cadeaux, tu t’en fous aussi ?— ... oui.— Deux de ses cadeaux Yeuyeu !— Ah oui c’est vrai, Abdel a raison !— Bon, je veux bien vous pardonner, non, penser à vous pardonner... C’est quoi mes cadeaux ?— Oh, ils sont dans le van d’Abdel... Dommage, non ? Et si tu t’habillais ?— OK les gars, vous avez gagné cette manche... Mais je sais pas trop quoi mettre. C’est quand même mon annif !— Alors tu mets ce que tu veux, surtout pour le haut, mais je te conseille quand même de porter tes cuissardes, les toutes fines là.— Les Rossi ? toutes noires avec des motifs abstraits ? Pourquoi ?— Ouais, celles-là ! Parc’que c’est à elles qu’on a pensé pour l’un de tes cadeaux.— Bon, je vous vois venir, mais je vous fais confiance...
Anaïs se relève d’un bond et disparaît de notre vue. Elle nous revient dans une architecture de dentelle, des cuissardes onéreuses mais magnifiques. Le motif s’expand sur sa peau comme le lierre sur un mur pour la marbrer de brumes et de désirs. Pour le haut, elle porte une fine et courte robe de soirée noire qui cache et dévoile juste ce qu’il faut de ses fesses pour rendre fou. Elle enfile son manteau, prend son sac à main et on peut enfin y aller. Nous montons tous dans le van d’Abdel, il est au volant de la bête alors que nous autres sommes à l’arrière sur le matelas. Confortable, même si n’importe quel matelas ferait cheap et ne laisserait place à aucune équivoque placé à l’arrière d’un van. Il a toutefois une valeur sentimentale pour chacun d’entre nous, même pour Nana qui y est retournée quelques fois pour gagner ses galons dans le dogging.
— Bon me la faites pas à l’envers les cocos ! Ils sont où mes cadeaux ?
Mayeul lui tend une boîte et un petit carnet de tickets.
— On voulait t’offrir directement des livres mais on avait plus d’idées Abdel et moi... Du coup on s’est dit que des tickets cadeaux, c’était une espèce de compromis.— On te gâte ma belle...— M’en parle pas Abdel.— Mais vous êtes A-DO-RA-BLES ! J’avais des envies bouquins mais j’étais un peu à sec. Merci mes mignons ! — Bah je t’en prie ma p’tite ! Et attends d’voir la suite !
Ses doigts fins saisissent le couvercle de la boîte et découvrent une fine pièce de lingerie. Elle la déplie et l’observe sous le faible éclairage du van. C’est un bustier veiné d’une dentelle noire comme celle de ses cuissardes. En-dehors de celle-ci, le tissu, d’un blanc effacé, est léger et transparent, ne cachant rien de sa peau tout en la protégeant symboliquement des désirs qu’elle suscite. Le haut couvre tout juste ses mamelons alors que le bas masque - ou non selon les mouvements - son nombril.
— Mais alors là, vous m’avez refaite ! C’est de qui ? — Yeuyeu et moi ma belle, on voulait rattraper le coup des tickets cadeaux...— Mais si j’étais déjà pas follement amoureuse, je me marierais avec vous !— Bonjour le ménage à trois... — Tais-toi vieux grincheux. Puis c’est toi que j’aime, va savoir pourquoi...— Parce que je vaux mieux que les deux autres réunis ?— Hey ! Être premier à la fac, ça fait pas tout à ce que je sache.— Et ça fait pas la bite à Yeuyeu non plus mon petit !— Bon arrêtez de faire les coqs deux secondes, le temps que j’essaye mon cadeau !
Nana s’agenouille sur le matelas en même temps qu’elle dévêtit sa robe. Elle ne portait aucun soutien-gorge, juste un petit string noir fort classique. Elle revêt le bustier et ses yeux, comme les nôtres, se perdent sur sa peau et sa dentelle.
— Si l’éclairage du van était pas aussi pourri, j’aurais montré ça direct à mes followers, crise cardiaque assurée !— Eh ben ma p’tite, j’t’ai connue plus modeste que ça !— Teu teu teu, on se tait et on accepte les remerciements.— Quels remerciements ?
Anaïs pose ses mains sur le matelas et avance à quatre pattes jusqu’à Mayeul, inconfortablement assis sur la roue arrière. Elle a le dos creusé, ce qui cambre son petit cul duquel je vois quelques gouttes de cyprine me faire des clins d’yeux. Le vieux Mayeul écarte les jambes dans un sourire goguenard, déjà satisfait. Je sais qu’il ne la couvre pas de cadeaux seulement pour la baiser ou parce que ça l’excite, il y a une espèce d’amour paternel qui teinte aussi le tout. Nana s’affaire à déboucler sa ceinture et déboutonner son pantalon sans le quitter des yeux, un petit sourire aux lèvres.
— Ces remerciements-là. Vous m’avez gâtée comme une princesse alors que j’aurais été très heureuse avec juste un gang bang.— Boah, ma jolie, des gang bangs, t’en as au moins un par mois, fallait bien qu’on fasse un peu plus. Et pis qu’on pense à aut’ chose qu’à nos couilles aussi. Et on a bien l’droit de t’faire plaisir, non ?— Justement. J’ai mes trois amants favoris chez moi le jour de mon anniversaire et pas un seul coup de bite. Non mais je suis carrément seule et délaissée en fait à ce stade, c’est de la maltraitance !
Elle a libéré la grosse queue de Mayeul qui bande déjà bien dur, plaquée contre sa grosse bedaine. Anaïs couvre les couilles velues de ses mains et les caresse alors que ses lèvres viennent cueillir le gland violacé. Elle le suçote amoureusement, pompant fort et longtemps alors que le bout de sa langue se prélasse contre l’urètre de Mayeul. Celui-ci est aux anges au vu de ses gémissements gutturaux, sa grosse main vient instinctivement se poser derrière la tête de la petite. Anaïs la retire aussitôt :
— Allonge-toi Yeuyeu, tu seras plus à l’aise et pour moi ça sera plus pratique !
Mayeul s’exécute, se débarrassant par la même occasion de son pantalon. Il est affalé sur le matelas, les jambes écartées, quand Anaïs vient reprendre sa fellation.
— Dis Yeuyeu, c’est moi ou ta bite est plus propre que d’habitude ?— Je savais que tu la voudrais ma chérie, alors j’ai fait un effort. Pis d’habitude z’avez aussi l’art de passer chez moi à l’improviste alors bon...— J’aime bien une queue bien propre mais un peu de laisser aller, ça me dérange pas de temps en temps...— Petite cochonne...— Grande cochonne aujourd’hui !— À la bonne heure ! Dis-moi ma jolie, tu voudrais pas me faire un p’tit plaisir ?— Quel petit plaisir ?— J’ai le petit trou qui me chatouille un peu et j’avais bien aimé que tu me bouffes l’oignon la dernière fois...— Moi aussi ! Lève les jambes...
Mayeul s’empresse de lever ses grosses cuisses et d’écarter ses fesses pour découvrir son anus. Un trou du cul de vieux tout ce qu’il y a de plus banal, poilu et écœurant. Avant de plonger, Anaïs crache sur la queue de Mayeul et commence à le masturber énergiquement. Elle enfouit ensuite son visage opalin entre les fesses grassouillettes du vieux et commence à lui lécher l’anus. Ses gémissements gutturaux se transforment en grognements de plaisir, il semble apprécier le traitement. De mon côté, cette place de spectateur ne me convient plus : je me place derrière ma chérie, sors ma queue et lui enfourche la chatte d’un coup sec. Elle gémit et se raidit avant de se détendre et de remuer son cul autour de mon sexe. Je pourrais rester immobile et profiter de ce spectacle aussi abject qu’excitant, mais je suis sur ma faim depuis ce matin. Alors je lui attrape les hanches et commence à la bourrer violemment.
Ma queue remplit et vide à un rythme soutenu sa petite chatte chaude et accueillante, mes doigts s’enfoncent dans sa peau et le tout fait son effet : ses couinements de chienne satisfaite finissent par remplir le van.
De toutes les façons, je dois bien admettre que ça m’est bien égal pour le coup vu que je ne pense qu’à mon plaisir. Je la tringle si fort qu’elle doit prendre appui avec ses mains pour ne pas s’étouffer dans le cul de la bête, qui doit être déçue du traitement :
— Hey p’tit con ! J’étais bien avant qu’t’arrives !— Et moi, j’avais les couilles trop pleines. Puis aux dernières nouvelles, c’est ma femme avant d’être la tienne.
Anaïs s’extirpe des bourrelets de Mayeul avant de s’exclamer :
— Il marque un point !— Ouais ouais, bande de petits merdeux... N’empêche que je commence à avoir froid à la bite avec vos conneries !
Il se redresse et s’agenouille, sa grosse queue humide se retrouvant face au visage de la belle. Elle ouvre docilement et joyeusement la bouche pour l’accueillir, l’approche même, mais le vieux prend les devants en même temps que sa queue-de-cheval : il tire dessus et enfonce son sexe dans la petite bouche d’Anaïs. Il y va sans préparation, le petit nez de ma vampiresse se retrouvant alors dans les poils pubiens de Mayeul. Il commence à lui baiser la gorge avec la même énergie que je mets à lui fourrer la chatte. La pauvre a la mâchoire distendue, le gros membre du vieux lui remplissant toute la bouche au point de lui faire d’adorables petites bajoues. Enfin, la pauvre...
Depuis le temps, je sais reconnaître ses cris, savoir quand elle prend du plaisir, quand elle souffre, quand elle n’est pas sûre...Et là, elle prend son pied. Si elle avait mal, je ne pense pas qu’elle prendrait le temps de se doigter la chatte et le cul. Petit jeu d’équilibriste pour jeune nymphomane, la partie avant de son corps n’étant que soutenue par le poing de Mayeul enroulé autour de sa queue-de-cheval, le tout dans un van en circulation.

La petite finit par abandonner son cul, j’en profite alors pour y enfoncer mon pouce. Elle voulait en réalité simplement attraper son portable pour se filmer... Envie d’immortaliser le tout, entretenir ses réseaux, tic de jeunesse... Sûrement un mélange de tout ça et de bien d’autres choses encore. Elle s’offre à l’objectif sous tous les angles possibles, tant que faire se peut au vu du traitement auquel nous la soumettons.
— Dis... Mayeul...— Quoi gamin...— C’est peut-être pas une bonne idée de la faire jouir avant la surprise...— Pas... Pas faux...— Anaïs... Interdiction de... De jouir...— HMFF !— Parle pas la bouche pleine petite !
Mayeul tire sur la queue-de-cheval du sex-toy pour libérer sa bite, qui reste rattachée à Anaïs par un filet de salive glaireux. C’est par pur instinct que celle-ci donne quelques léchouilles à ce monstre de chair avant de s’exclamer :
— Pourquoi ?! C’est mon anniversaire, merde !
Je lui assène alors ce qui est peut-être la plus grosse fessée que je lui ai mise depuis que nous couchons ensemble. Probablement la frustration accumulée depuis ce matin. Ça lui arrache un cri qui fait rebondir les yeux paniqués d’Abdel dans le rétroviseur. J’ai compris avec l’expérience qu’Anaïs sait très bien se faire comprendre lorsque ça va trop loin pour elle - ce qui est rarissime d’ailleurs pour une affamée de son genre - et qu’elle n’a jamais eu peur de me stopper dans mes ardeurs. Mais il est indéniable que cette fessée a fait son effet, je vois une larme descendre sur sa joue.
— Parce que c’est justement ton anniversaire. Tu n’imagines même pas le temps et les moyens qu’il nous a fallu pour cette surprise. Fais-nous confiance s’il te plaît...— D... d’accord... — OK pour le plaisir, juste, ne jouis pas...— Mais...— Mais ?— Mais si je peux prendre du plaisir mais pas jouir...— Oui ?— Je vous demanderais juste d’y aller à fond alors. Quitte à être frustrée, autant que ça soit pour de bon.
Elle souriait malgré les yeux rougis. Je me suis penché pour balayer ses cheveux et embrasser sa nuque. Elle était faite d’or.
— Tu as ton collier avec toi ?— Toujours dans mon sac, comme tu me l’as demandé !
J’attrape son sac à main et lui enfile un collier de soumise relié à une chaînette en métal. Je sens alors, et c’est ainsi depuis quelques semaines déjà, les muqueuses de son sexe se raidir au moment où le cuir du collier touche sa peau. Le fait d’utiliser cette laisse ne manque jamais de déclencher chez elle comme chez moi quelque chose de beaucoup plus bestial et profond. C’est sans réfléchir que je l’enroule autour de mon poing et que j’arrache sa queue-de-cheval à celui de Mayeul. J’ai alors ma chienne cambrée au possible bien en main, planté au fond de sa soyeuse petite chatte. Mayeul emprisonne sa tête entre les siennes et se remet à investir sa gorge étroite. Anaïs tremble dans tous les sens pour ne pas céder à l’orgasme, ce qui se ressent dans ses cris perçants, heureusement étouffés par mon ami. Celui qui endure la plainte de la chienne sans profiter d’elle, c’est Abdel, il ne manque d’ailleurs pas de nous le faire remarquer :
— Bon les gars, je vous aime bien mais là, vous faites trembler mon van dans tous les sens. Vous allez me le renverser avec vos conneries...— C’est pourtant pas la première fois qu’on se lâche dedans ! Au fait, c’est moi ou on avance plus ?— Bah non, embouteillages... C’est le centre-ville.— Tiens, une consolation !
Je lui tends la laisse, de son côté, il tend le bras pour l’attraper et tirer dessus sans précaution. Mayeul s’écarte maladroitement et se ramasse alors qu’Anaïs court après son souffle et la laisse. Le temps que le buste de la petite arrive à se faire un chemin entre les sièges de devant, Abdel avait déjà dégainé sa queue. Et quand bien même Anaïs n’aurait pas compris qu’il allait se servir de sa bouche comme d’un mouchoir, il la force à avaler sa queue d’un coup. Docile, insatiable et et habile, la vampiresse lui procure tant bien que mal une fellation de biais, ses lèvres glissant sur le membre du bienheureux, la langue venant lécher ce qu’elle peut. Suite à ce travail de contorsionniste, elle se retrouve la croupe à l’air, encore rougie par ma petite punition, encadrée par les talons de ses cuissardes. De là où je suis, j’arrive à distinguer les voitures qui nous dépassent, certaines ralentissent même. On sait pourquoi et ça se confirme : on nous gratifie de trois coups de klaxon.
Mayeul, redressé depuis, s’exclame :
— Qu’ils gueulent ces cons ! D’puis quand on peut plus baiser en paix dans c’pays ?! D’ailleurs, j’ai pas fini mon affaire...
Il se positionne derrière Anaïs et embroche sa chatte. Heureusement que je l’avais limée avant, sans préparation, sa queue aurait pu faire des dégâts. Il se met à la charger aussi vivement qu’il le peut, faisant couiner la belle de plus belle.
— Eh bah mon gars ! J’ai beau me faire sucer par ta copine régulièrement, j’arrive pas à m’habituer !— T’es pas le seul...— Et y a pas que vous les jeunes ! Le vieux Yeuyeu aussi s’y fait pas à cette merveille !— C’est décidé, dès qu’on est sortis de cet embouteillage de merde, je me gare et je vous rejoins.— Et la surprise alors ?— On est déjà en retard, non ? On se vide les couilles et on y va.
C’était sans appel et sûrement plus juste comme ça. Dans tous les cas, ça n’était pas pour me déplaire et encore moins à Anaïs qui haletait sur la queue d’Abdel, la léchant comme si sa vie en dépendait. Il lui reste toutefois encore un peu de raison pour se filmer en même temps. De mon côté, je retire le bustier de mon amour afin qu’elle soit plus à l’aise et pour le préserver de nos assauts. J’en profite ensuite pour m’agenouiller et pincer ses seins sans vergogne en me masturbant. Mayeul, prévoyant aussi, crache sur l’anus d’Anaïs et lui prépare le cul avec deux gros doigts, ce amène les gémissements de la poupée à un tout autre niveau d’obscénité.
Abdel finit par se libérer des embouteillages et trouve une place pour se garer. L’ironie étant que nous sommes dans la rue où nous avions rendez-vous, mais les chiens sont lâchés sur la chienne. Je reprends la laisse, tire dessus pour ramener ma chérie sur le théâtre des opérations et lui attache les deux bras dans le dos avec. Mayeul en profite pour se coucher et c’est tout naturellement qu’elle vient poser s’asseoir sur sa queue. Ses mains attrapent son petit cul gorgé d’amour et il reprend possession de son vagin qu’il distend à nouveau. On peut voir la queue dodue écarter fortement les lèvres de la petite Anaïs, le pic étant lorsque Mayeul s’enfonce jusqu’à la garde et qu’Anaïs est pleine à souhait de cette bite. Je laisse le cul à Abdel qui n’a pas encore pu profiter d’autre chose que de la bouche d’Anaïs et pars m’occuper de sa gorge.
J’ai un calibre plus modeste que celui de Mayeul et en prime les faveurs de Nana qui, en dépit du fait qu’elle est électrisée par le plaisir au point d’être à peine présente - mentalement parlant - me suce avec une ardeur teintée d’amour.
Elle part chercher la racine de ma queue et tente quelques fois de lécher mes couilles en même temps. Elle me pompe fortement jusqu’à ce qu’Abdel pénètre son cul, sa fellation se transformant alors en un acte d’adoration pour ma bite. Elle reste quasiment tout le temps en gorge profonde, agitant sa tête d’avant en arrière pour me faire profiter constamment de l’étroitesse de son cou.
Anaïs n’est plus qu’un morceau de viande et est heureuse de n’être que ça. Le corps rougi par les torsions, les fessées et les claques, elle se donne à 100% pour nous satisfaire, cherchant dans cet acte son propre plaisir tout en devant lutter pour ne pas le libérer. Nous avons continué comme ça pendant une quinzaine de minutes, échangeant les places de temps à autre, Abdel était sous elle et a joui le premier. Il lui a rempli la chatte dans un grognement de soulagement avant d’en sortir sa queue visqueuse et de se relever. Il s’est mis à côté de moi qui étais retourné dans sa petite bouche après lui avoir éclaté le cul, désormais investi par Mayeul. Je lui laisse la place pour qu’il se fasse nettoyer la queue. La petite langue rose d’Anaïs s’en charge avec soin mais il pousse le vice jusqu’à essuyer la salive de la belle avec sa queue-de-cheval avant de se refroquer. Pour couronner le tout, il joue juste après les rabat-joie :
— Les gars, j’ai fait laver le matelas y a deux trois jours en prévision d‘aujourd’hui, me le salopez pas s’il vous plaît.— Le mec qui vient de jouir qui vient casser l’ambiance. En plus il est fait pour ça ton matelas, non ?— Je sais ouais, mais quand même...
C’est donc avec application que je finis par jouir sur le visage de ma Nana, embellissant son visage d’ange de cinq copieux jets de sperme. Une partie de ma semence dégouline doucement de ses lèvres jusqu’à son menton, le reste obscurcit un peu sa vue. Mayeul, qu’on a connu endurant mais rarement à ce point, finit aussi par se vider les couilles dans le rectum d’Anaïs. Je la vois serrer les dents plus pour résister à l’assaut de son orgasme qui cogne que pour endurer la douleur. Gentleman, il lui détache les bras avant d’essuyer sa queue dans sa chevelure, sans passer par la case pipe contrairement à Abdel. Nous sommes tous les trois debout, Anaïs est recroquevillée en chien de fusil à nos pieds. Elle est souillée et au comble du bonheur.
— Il y a du sperme sur le matelas. On avait dit quoi Nana ?— Mais... Ça coule de ma chatte...— C’est pas mon problème. Bouche ta chatte avec ton string, interdiction de le porter. Et lèche-moi ce foutre. Abdel, check si y a pas des flics dehors.— Pourquoi ?— J’ai une idée et elle est pas difficile à comprendre gros débile. Juste fais ce que je te dis.
Abdel regarde alors consciencieusement à l’extérieur tandis qu’Anaïs roule son string en boule avant de l’utiliser comme bouchon de fortune pour son vagin. Elle s’applique ensuite à laper le foutre sur le matelas.
— Y a que des passants dehors, je vois pas de flics.— Tant mieux.
Je passe derrière Anaïs et ouvre les portes du coffre. La lumière s’engouffre dans le van et nous aveugle, sauf Nana qui tend sans le vouloir son cul à toute la rue. Un rapide coup d’œil et je remarque qu’elle s’est retournée et s’est crispée. Je me plonge quelques instants pour l’interroger du regard et voir si c’est trop pour elle. Elle ne dit rien, la poitrine encore haletante. J’attrape la laisse et tire dessus. Elle suit et n’hésite même pas avant de descendre du van. Elle se contente d’obéir. J’ai repéré la porte que je cherchais, je pourrais presser le pas mais la situation me fait rebander sévèrement. Et puis sinon, quel intérêt ? Encore un regard, pas de regret pour Nana, sauf si un sourire - même sur un visage cramoisi de honte - peut être interprété comme tel. Je continue ma route, il y a peu de passants mais le profil des réactions est intéressant.
Il y a les ceux qui regardent et détournent rapidement le regard, ceux qui fixent sans pouvoir résister, ceux qui se rapprochent ni vu ni connu...
Le tout en une vingtaine de mètres durant lesquels Anaïs a fixé ses pieds.
Je passe avec ma chienne la porte du lieu de rendez-vous, suivi par nos deux amis. Dès que Mayeul l’a refermée, Anaïs s’effondre dans la même position que tout à l’heure sauf que, cette fois-ci, son corps est parcouru de violents spasmes. Le sous-vêtement imbriqué dans sa chatte ne suffit même pas à retenir l’entièreté des jets de cyprine qui s’écrasent un peu plus loin sur carrelage.
— Je suis désolée... Je suis désolée... J’ai joui... Je suis désolée... J’en pouvais plus...— Ce n’est pas grave mon amour. C’est ton anniversaire après tout, pas vrai ?
Elle a 19 ans aujourd’hui.
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Les histoires narrées dans ces quelques lignes impliquent des sujets consentants et possèdent leur part de fantaisie. Oui au sexe, mais dans le respect de vos partenaires et de leurs limites.
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© X. Lamy
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