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Naomi

Chapitre 5

Hétéro
L’amour Une fois secs, nous allons dans nos chambres respectives. Je me jette sur le dos sur mon lit, ouvre les jambes et me masturbe violemment, je veux jouir tout de suite, je m’en veux de ne pas avoir laissé Jules me faire jouir avec son doigt, je suis sûre que ça aurait été un moment sublime, mais j’ai toujours ce fond d’aversion, ce rejet de sentir une main d’homme sur mon sexe. Pourtant tout à l’heure, son pouce a titillé mon clitoris, mais c’était au moment de l’orgasme, au moment où je ne me contrôle plus. Je réalise qu’il aurait pu faire n’importe quoi avec moi, il m’aime et respecte mes choix, j’en suis émue. Je jouis, je suis un peu déçue, ce n’est pas formidable. Je reste un petit moment allongée sur le dos, je pense à tout ce qui s’est passé depuis hier. Dans le fond, ce n’est pas si terrible de se faire caresser par un homme, au contraire, j’ai aimé. Je somnole un petit moment, je réalise que je suis en train de changer, vais-je l’accepter. Je suis dans mes rêveries quand je le vois s’encadre dans la porte.  –Il serait temps de penser à manger chérie.–Oui, j’arrive.–Je peux te demander quelque chose ?–Bien sûr.–Je peux t’appeler ma chérie ?–Tu me dis déjà chérie.–Oui, mais ma chérie, ce n’est pas pareil.–Ok, va pour ma chérie, je dois dire que j’aime bien qu’on m’appelle comme ça.–Je ne suis pas le seul ?–Non, et la première à m’avoir appelé ma chérie, c’est ta sœur il y a un peu plus de trois ans quand nous étions ensemble.–Allez ma chérie, à table, tout est prêt.–Et en plus tu es un homme d’intérieur.–Je cuisine bien, mais avec un père comme le tien, tu dois te démerder aussi.–Oui, et en plus, j’adore ça, je connais deux cents recettes par cœur, c’est le b. a.-ba du métier.–Tu veux être cuisinière ?–A une époque oui, mais plus maintenant, j’ai vu mon père le faire, c’est trop pour moi.–Je sais, mon oncle était chef dans un restaurant, on ne le voyait jamais, viens ma chérie, suis moi. Je le suis dans la salle à manger, il a mis une rose dans mon verre, je fonds, je viens vers lui pour poser mes lèvres sur les siennes, il m’enlace, me colle contre sa peau pour m’embrasser. Je sens son sexe sur mon pubis qui prend de l’ampleur. Il le réalise et me libère. –Tu vois l’effet que tu me fais ?
–Oui. Je ne lui dis pas que moi aussi, ma fontaine à cyprine s’est ouverte un peu, toujours ce rejet du mâle. Je m’assoie à ma place, il a préparé une salade de tomates et des brochettes d’agneau qu’il a fait cuire sur un gril, nous les avons mangés avec un mélange de cumin et de piment doux, c’était délicieux. Une fois le repas terminé, je l’aide à débarrasser, nous allons dans le salon pour prendre un café. Nous vivons comme un couple sans en être vraiment un. Je ne vois que de l’amour dans son regard, il me couve des yeux, j’en suis quand même un peu gênée, j’ai beau me traiter de salope de ne rien lui dire, mais je ne peux pas. Jules se lève, il vient vers moi, pose un baiser sur mon front. –Je sors, j’ai envie de me balader dans la ville, il fait chaud, mais ça m’est égal, j’ai l’habitude tu m’accompagne ?–Ok, comment veux-tu que je m’habille.–Pourquoi tu me pose cette question ?–Parce que je veux être comme tu le désire, te faire plaisir.–Une jupe pas trop longue et un corsage léger.–Sexy quoi !!–Oui, j’aime te regarder, et c’est comme ça que je te préfère.–Ok. Nous allons nous habiller, je mets une jupe très courte sans culotte et un corsage un peu transparent sans soutif. On voit mes aréoles derrière le tissu assez transparent, mais ce n’est pas excessif. Je vois que ça plait à Jules, j’en suis heureuse. Nous sortons, je lui prends le bras, je me colle à lui, j’avoue que j’aime bien. Une fois de plus, la place du capitole est noire de monde, les municipaux nettoient les dernières traces du marché. J’ai envie de voir le cloître des Jacobins et le palmier de l’église. Je passe devant mon ancien lycée, il est fermé, ce sont les vacances. Nous sommes bien dans la fraîcheur de l’église, je tiens le bras de Jules en me serrant contre lui. Je vois tout de même certains regards désapprobateurs, ma tenue n’est peut-être pas tout à fait conforme au lieu.  Une heure plus tard, nous nous retrouvons place de Capitole, nous nous installons au Florida, nous avons besoin de boire quelque chose de frai. Jules commande une bière, je commande une glace, c’est une de leurs spécialités. Vers seize heures, nous décidons d’aller à la FNAC, il veut voir s’il y a des nouveautés jazz et blues. Nous descendons au niveau disque. Il n’y a plus autant de choix dans le rayon blues, mais il trouve tout de même un Buddy Guy qu’il n’avait pas. Moi, je regarde s’il y a un nouveau Clapton, c’est l’artiste préféré de papa. Le vendeur du rayon me montre un disque qui vient de sortir, il m’assure que mon père ne peut pas l’avoir s’il n’est pas venu hier. Je le prends pour lui offrir. Quand nous reprenons l’escalator pour remonter au rez-de-chaussée, je remarque deux mecs derrière moi, les yeux rivés sur mes fesses bien visibles, je mouille. Arrivés à la caisse, Jules tient absolument à payer le disque de papa pour compenser un peu le repas.  Nous retournons à l’appartement après être passés au Casino acheter de quoi manger ce soir. J’ai remarqué que le frigo de l’appartement est toujours pratiquement vide à part du beurre et des confitures entamées. Emma et Jules achètent tout au dernier moment, c’est une manie chez eux, ils ne mangent que des produits extra frais. Une fois dans l’appartement, je me déshabille avant même de ranger les courses. J’ai trouvé de l’Italia, j’ai décidé de faire des cailles à la vigneronne, Jules ne connaît pas, c’est l’occasion. J’épluche et épépine les grains de raisin avec lui, c’est long. –J’espère que c’est bon, c’est chiant à faire.–Oui, mais ça vaut le coup, je te l’assure. Nous mettons les raisins dans une casserole, remplissons à niveau de porto et laissons trois heures de macération. Nous mangerons vers vingt-deux heures, mais ce n’est pas grave, nous sommes en vacances. Une fois tout préparé, nous nous installons dans le salon, je m’assoie sur le divan, lui sur un fauteuil. Là, plus de manières, je ne serre pas mes jambes, il peut voir mon sexe humide. Je dois dire que je suis constamment dans un état d’excitation assez élevé. Je suis sûre que mon sexe brille comme une étoile et qu’il le voit, mais je m’en fous. Je veux me laisser aller et si Jules veut aller un peu plus loin avec moi, je pense que je le laisserai faire. Nous buvons un apéritif, je vois son regard sur mon sexe. Je regarde le sien, il est à peine tendu entre ses cuisses. Je le regarde en souriant. –Tu le trouves comment ?–De quoi tu parles ?–De mon sexe ouvert devant toi bien sûr.–Magnifique et bien brillant, j’adore ses lèvres fines et luisantes.–Tu sais pourquoi elles luisent.–Oui, bien sûr, tu es excitée.–Oui, je suis excitée et tu sais pourquoi ?–A toi de me le dire.–Parce que tu m’excite, de te voir à poil me chamboule les sens. En entendant ça, je vois qu’il réagit, son sexe se redresse lentement pour pointer vers le ciel, je le regarde dans les yeux. –Enfin !! tu montres que je t’excite !!–En fait, je faisais un effort surhumain pour ne pas bander.–Viens à côté de moi, j’ai envie de m’occuper de lui.–Ok, mais à condition que je m’occupe du tien.–D’accord, viens là, j’ai envie de te caresser. Il vient s’assoir à côté de moi, il me prend dans ses bras, son sexe se colle contre ma hanche. Je m’en saisis et commence à le masturber. Il m’écarte doucement les cuisses, je les ouvre au maximum, je veux lui laisser la place. Sa main me caresse le pubis, un doigt se glisse entre mes lèvres, il vient titiller un peu mon clitoris pour retourner entre mes lèvres. Il ne s’enfonce pas dans mon vagin, il sait que je suis toujours vierge, mais je crois que ça ne va pas durer longtemps. Il est très délicat, je commence à me détendre complètement, je continu de le masturber, mais je me concentre un peu plus sur mon sexe que je sens couler de plus en plus. Il devait être très excité car il jouit assez vite. Il est rouge, honte ou plaisir ? Je suis de plus en plus excitée, je coule comme une fontaine, son doigt évite soigneusement mon clitoris. Il le porte à sa bouche et le suce. –J’adore, je peux aller à la source ?–Oui, vas-y, j’ai envie de jouir. Je m’allonge sur le divan en laissant mes jambes ouvertes. Il pose sa bouche sur mon pubis, le lèche, je donne de petits coups de rein. Je voudrais qu’il aille plus vite, mon corps est tendu, il veut exulter dans un énorme orgasme, mais je sens qu’il a de l’expérience avec les femmes, il me fait languir. Je sais que je jouirai encore plus fort, mais je suis tendue, j’ai envie de jouir. Sa langue glisse sur mon pubis en descendant lentement vers mes lèvres. Elle les atteint enfin, mais évite mon clitoris, décidément, c’est un démon. Mon corps vibre, j’attends sa libération tout en souhaitant qu’elle n’arrive pas, j’aime trop cette attente. Je replie les jambes, libérant l’accès à mon anus, il se jette dessus en le léchant, j’en ressens un énorme frisson, j’aime. Sa langue appuie sur ma rondelle, mais je suis vierge par-là aussi, il ne peut y pénétrer. Mes muscles se tendent de plus en plus, je commence à avoir mal. –Je n’en peux plus, s’il te plait, libère moi, fais moi jouir. Sa langue remonte sur mon sexe, elle glisse entre mes lèvres pour venir titiller mon clitoris. Mon corps est pulvérisé par une explosion atomique, je suis dispersée dans l’atmosphère façon puzzle. C’est l’orgasme le plus puissant de ma vie, jamais mon corps n’a été autant anéanti de plaisir, c’est le trou noir. Je reviens à moi pour voir le visage de Jules décomposé au-dessus de moi. –Ça va ma chérie ?–Oui, ne t’en fais pas, tu m’as simplement fait perdre connaissance, j’ai joui trop fort.–J’en suis heureux.–Viens, t’allonger sur moi, embrasse-moi, je veux sentir ton corps sur le mien, viens chéri.–Chéri ?–Oui mon chéri, viens sur moi, mais juste pour m’embrasser. Je sens son corps se coucher sur le mien, ses lèvres se posent sur les miennes, je me donne complètement à ce baiser. Pour une fois, j’éprouve un immense plaisir à échanger un baiser avec Jules. Je le serre contre mon corps, je sens sa peau sur la mienne, son sexe sur mon pubis qui gonfle lentement pour finir en érection, mon sexe recommence à couler grave. Je sens que ça risque de se finir par son sexe dans le mien, je commence à m’y faire quand la sonnerie de la cuisine sonne, il est temps de finir le repas. Nous nous séparons à regret, je vois dans ses yeux un peu de tristesse. –Ne t’en fais pas mon chéri, on reprendra nos ébats très bientôt, viens plutôt m’aider, ça ne va  être un peu long. Il se lève le sexe dressé vers le ciel et me suit dans la cuisine.
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