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Naomi

Chapitre 9

Hétéro
Quel homme Emma se détend doucement, elle m’attire sur elle pour m’embrasser, nous restons un petit moment bouche à bouche. Quand je me laisse aller sur son côté, elle attire Jules sur elle, leurs bouches se soudent elles aussi. Je vois perler des gouttes sur le bord de ses yeux, elle se retiens de pleurer. Quand Jules se laisse lui aussi glisser le long de son corps, je me colle à elle. –Tu vas pleurer ?–Je suis sur le point, mais je me retiens.–Pourquoi ?–Tu ne te rends pas compte, je viens de me faire déflorer par mon frère et j’ai joui, il m’a fait aussi jouir avec sa langue et en plus, nous échangeons un baiser d’amour, tu ne trouves pas que ça fait beaucoup ?–Tu as raison ma chérie, vas-y, laisse toi aller, pleure, ça va te faire du bien. Elle éclate en sanglot, je le serre contre moi en la couvrant de baisers, Jules la caresse et lui embrasse les fesses. Il les écarte pour lui lécher l’anus d’un grand coup de langue, elle a un violent frisson. –Oui chéri, oui, continu, j’aime. Il donne encore plusieurs coups de langue, elle commence à se tortiller dans tous les sens.  –Oui, oui, glisse moi un doigt s’il te plait, je veux savoir.  Il se lèche un doigt et l’enfonce doucement dans son anus, elle tend ses fesses vers lui. –Oui, c’est super, j’aime, je suis sûr que tu pourrais me dépuceler par là aussi, en même temps que Naomi.–Tu as raison ma chérie, on va faire ça ensemble, je regarderais son sexe te défoncer la rondelle, tu regarderas son sexe me déflorer la rondelle.–Oui amour, oui, mais pas tout de suite, je suis épuisée. –Ok, reposons nous un peu. 
Nous mettons Jules entre nous deux, je me laisse aller, moi aussi je suis fatiguée, je vois qu’il ferme les yeux ainsi qu’Emma. Morphée réussi à nous prendre tous les trois dans ses bras pour un sommeil réparateur. Je me réveille vers huit heure du matin, je suis seule dans le lit, j’ai du mal à m’extraire de cet immense lit, mais j’y arrive. Je les retrouve dans la cuisine, Jules est nu, mais Emma est en corsage et mini-jupe plissée. Ils préparent le petit déjeuner, je suis étonnée par la tenue d’Emma.  –Tu es déjà habillée ?–C’est mieux quand tu sors pour faire les courses, le pain et les croissants ne sont pas arrivés tout seuls. –Oui, mais maintenant, c’est inutile, je veux voir ton magnifique cul, laisse-moi faire. Je m’approche derrière elle, passe mes mains sous sa jupe pour lui caresser les fesses, juste pour le plaisir. Je défais le bouton de sa ceinture, la jupe tombe au sol, le corsage suit très rapidement, c’est Jules qui l’a déboutonné. Il lui caresse les seins pendant que j’en fais autant avec ses fesses elle se laisse faire avec un plaisir évident. Jules s’agenouille devant elle et l’attire à lui, il pose ses lèvres sur son sexe, ses mains sur ses fesses les écarte, je m’accroupie pour poser ma langue sur sa rondelle.  –Oh oui mes chéries, oui, vous allez me faire jouir, oh oui, c’est bon, oui, encore, encore. Je lui enfonce mon majeur dans le fion, elle donne un petit coup de rein en arrière.  –Ah putain que c’est bon n’avoir quelque chose dans le cul.  Nous ne continuons pas longtemps, elle jouit entre nos mains en moins d’une minute.  –Oh oui mes chéris, quel bonheur, merci, merci, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Jules la maintient contre lui, ma langue s’excite sur son anus, je sens qu’elle aime beaucoup. Je la sens se détendre, j’arrête à regret de lui lécher l’anus. Nous allons petit déjeuner, l’atmosphère est détendue, maintenant, nous savons ce qui nous attend. Mais j’ai soudain le cœur qui se serre, je suis émue de les voir devant moi, je suis sur le point d’éclater en sanglots. Je leur prends une main à chacun. –Je dois dire que je ne sais pas très bien où j’en suis, mes chéris, mais je veux vous préciser que maintenant, vous faites tous les deux partie de ma vie. Je veux rester avec vous, vous aimer, vous chérir, et faire votre bonheur comme vous ferez le mien. Je vous aime mes chéris, je vous aime.  Je m’écroule, je suis secouée de sanglots, je ne peux pas me retenir, Jules se lève et vient me prendre dans ses bras, il me porte précédé par Emma. –Dans ma chambre, allonge la sur mon lit. Je me blotti contre son corps nu, mais je ne peux m’empêcher de pleurer, mon cœur est submergé d’émotions, je veux les sentir tous les deux contre moi, je tends la main vers Emma. Elle la prend pour l’embrasser. –Je suis là mon amour, je suis là, détends toi s’il te plait, tu vas me faire pleurer. Ces paroles accentuent mes larmes, je ne peux rien y faire. Jules me dépose sur le lit, il s’allonge à ma gauche, Emma à ma droite. Elle m’enlace, je ne me calme pas, c’est impossible, elle finit par m’imiter et fondre en larmes.  –Calme toi ma chérie, calme toi, tu me fais pleurer, je t’aime, je t’aime.–Moi aussi je t’aime. Jules est complètement paumé entre nous deux, nous finissons par joindre nos bouches pour échanger un baiser secouées par nos spasmes. Nous finissons par nous calmer un peu, je sens le corps d’Emma sur moi, je commence à le caresser, quand mes mains arrivent sur ses fesses, ma fontaine s’ouvre en grand, je sens mon jus d’amour humidifier mon sexe. Je la fais basculer pour me mettre tête-bêche, elle m’agrippe les fesses pour me bouffer le minou. J’en fais autant, nos bouches nous amènent lentement à l’orgasme, Jules n’intervient pas, il nous laisse nous aimer comme avant, il sait que c’est un besoin chez nous. Quand nos corps se sont de nouveau détendus, nous nous jetons sur lui, il se laisse faire avec un plaisir évident. Emma se jette sur sa bouche, il ne me reste plus que son sexe, je le caresse pour le faire gonfler, j’adore le voir se redresser lentement. Quand il est bien raide, je ne sais plus quoi faire, Emma se redresse et me regarde. –Mais tu attends quoi, bouffe le !! Je regarde cette magnifique bite bien raide, dans le fond, pourquoi pas, beaucoup de femme le font et elles n’en sont pas morte. Je me penche dessus pour donner un coup de langue sur le gland décalotté, Jules à un petit mouvement du bassin, il aime apparemment. Je pose mes lèvres sur son gland, je m’avance, mes lèvres l’enveloppent et descendent le long de la hampe. J’arrive à le prendre en entier, mes lèvres touchent ses couilles, j’en ressens une satisfaction immense. Je monte et descend sur ce morceau de chair dure. Je ne pensais pas en tirer un tel plaisir. Je sais que ça va se terminer par son éjaculation, je décide d’aller jusqu’au bout, je me souviens avoir voulu aller à la source, j’y suis. Je continu de monter et descendre sur ce vit orgueilleux, je le sens vivre dans ma bouche. Au bout d’un moment je le sens un peu palpiter, je sais qu’il va m’envoyer des jets de sperme dans la bouche, je m’y prépare. –Attention chérie, je vais jouir, attention. Je ne bouge pas et accentue mes va et vient, il comprend que je veux aller jusqu’au bout, il pose une main sur ma tête pour me caresser les cheveux. –Pour toi mon amour, juste pour toi. Je reçois un énorme jet de sperme dans la bouche, j’ai du mal à déglutir, mais j’y arrive juste avant de recevoir le second un peu moins volumineux. J’avale mais cette fois en dégustant, j’aime le goût de son sperme, je reçois un dernier jet, c’est le dessert, je le garde un moment en bouche avant de l’avaler. Je libère son sexe qui commence à se ramollir, je le lèche, je n’ai pas envie de l’abandonner comme ça, j’aime ce morceau de chair qui sait me donner tant de plaisir. La tête d’Emma vient rejoindre la mienne, elle regarde le sexe de son frère complètement ramolli. –Tu as aimé boire son sperme ?–J’ai adoré, mais je pense que si on attend un peu, tu vas pouvoir en faire autant, il sera capable d’éjaculer de nouveau.–Oh la les filles, j’aimerais être considéré comme un homme, pas comme un objet.–En ce moment tu es notre sex-toy, tu devras t’en contenter !!–Oui cheffes, bien cheffes !! Nos bouches se soudent quelques instant, une fois séparées, nous remontons sur le corps de Jules en déposant des baisers un peu partout. J’arrive la première sur sa bouche, un long baiser s’en suit, il me caresse les fesses, mais il n’est pas le seul sur ma peau. Quand je le libère, c’est la bouche d’Emma qui se pose sur la sienne. Jules lui caresse les fesses, j’en fais autant, nos mains se touchent sur la peau d’Emma, elle semble beaucoup apprécier comme moi. Elle lève la tête, me regarde avec un grand sourire. –A moi maintenant.  Elle redescend vers le sexe de Jules, il est encore flasque, mais sa langue le fait se redresser lentement en le léchant, quand il est devenu raide, elle me regarde en souriant, elle donne un coup de langue sur son gland, comme moi. –Hum, c’est bon de lécher ce morceau de chair, j’aime, mais j’ai faim, à table. Elle l’engloutie d’un seul coup dans sa bouche, elle fait des va et vient sur son sexe, je vois Jules se tendre lentement, il va finir par lui remplir la bouche avec son sperme et je sais qu’elle va tout avaler avec plaisir. Sa tête monte et descend sur ce magnifique sexe bandé comme un arc, il ne faut pas beaucoup de temps pour que son corps commence à se tendre. Je vois que Jules jouit, il se raidi, je regarde Emma, elle avale le premier jet avec un peu de difficulté mais reste sur son sexe pour recevoir les autres qui arrivent vite. Après avoir tout avalé, elle redresse la tête et me regarde. –Délicieux, c’est vraiment délicieux, maintenant, on ne le laisse pas se perdre, d’où qu’il vienne.–Ok ma chérie, on récupère son sperme quel que soit l’endroit où il se trouve.–Ok, mais plus tard, j’ai besoin de repos les filles. Nous nous levons et le laissons seul au milieu de cet immense lit. Nous allons prendre une douche, je la savonne, elle me savonne, une fois rincées elle s’assoie adossée à une paroi les jambes ouvertes et me regarde. Je comprends ce qu’elle veut, je m’assoie en face d’elle en écartant les jambes, nos plantes de pied se touchent. Nous commençons à nous masturber en nous regardant dans les yeux. Le jeu consiste à jouir sans quitter l’autre des yeux, en synchronisant nos orgasmes, nous le faisions souvent quand nous vivions ensemble, c’était un de nos moments favori. –Comme avant ma chérie.–Comme avant. Je la regarde, elle me regarde, nos yeux sont rivés les uns aux autres. Je sens l’orgasme monter en moi, je vois à ses yeux qu’elle aussi ne va pas tarder à jouir. Mes plantes de pieds s’irisent, je sens qu’elle aussi, mon ventre se noue, mon cœur s’emballe, mon cerveau disjoncte, j’explose dans un merveilleux orgasme, accompagnée par les soupirs de joie d’Emma qui jouit en même temps que moi. Nous nous caressons jusqu’à ce que les ondes de plaisir qui parcourent nos corps disparaissent. Quand nous revenons à nous, c’est pour voir Jules debout devant la douche qui nous regarde. –Magnifiques les filles, vous êtes magnifiques quand vous jouissez, j’aime vous voir jouir, vous êtes si belles. Venez m’embrasser, j’en ai besoin. Nous nous levons pour l’embrasser chacune notre tour, il en profite pour laisser ses mains se promener sur nos corps. –Maintenant, il ne reste plus que le fondement.–Parfaitement, le fondement.
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