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Naomi

Chapitre 15

Hétéro
Les filles Nous avons fait l’amour plusieurs fois par jour jusqu’à ce que nous n’ayons plus nos règles. Effectivement, nous sommes tombées enceintes en même temps, nous avions nos règles à quelques jours d’intervalle, elles ont disparue dans le même mois. Une fois les grossesses définitivement diagnostiquées, nous ne pouvions plus rien faire. Emma et Jules s’occupaient de tout, nous étions deux petites reines choyées par nos amours. Ils nous faisaient l’amour plusieurs fois par jours, en nous disant que plus on jouissait, plus les bébés seraient beaux. Sans compter que nous faisions l’amour entre nous deux dès que nous en avions la possibilité. Ça a duré huit mois, jusqu’à ce que Manon accouche de Cécile le treize juin mille neuf cent quatre-vingt-quatorze, deux jours avant moi de Charlotte.  Sans nous en parler, Emma et Jules ont vendu l’appartement pour acheter une grande maison de plein pied à quelques kilomètres de Toulouse. C’est une ancienne ferme avec l’ajout de la grange mitoyenne transformée en immense pièce de séjour avec trois immenses baies vitrées. L’ancienne habitation de la ferme est sur deux niveaux, il y a quatre chambres et deux salles de bain à l’étage plus deux toilettes indépendantes. Ils ont aménagé au rez-de-chaussée une grande chambre avec le lit d’Emma et salle de bain dans l’ancienne salle à manger. Sans oublier deux chambres juste à côté pour les enfants, une pièce transformée en bureau et une salle de bain. Au total, il y a sept chambres, quatre salles de bain, quatre toilettes, une grande cuisine et cet immense salon de seize mètres sur sept, l’équivalant d’un bel appartement à Toulouse. Ils ont prévu pour une grande famille, à croire qu’ils ont lu dans l’avenir. Nous avons eu la surprise en sortant de la maternité, ils ont fait ça pendant nos grossesses. Le tout est entouré d’un grand parc que nous allons aménager, avec quelques arbres dont un grand chêne à trente mètres des baies vitrées du salon, je compte bien avoir une piscine un peu plus tard. L’ancienne étable au fond du parc est transformée en garage atelier, il faut dire qu’il y a quatre voitures.  Les filles sont devenues la coqueluche d’Emma qui ne les quittait pas, elle est la marraine des deux, pas de jalouse. La vie a continué, six mois plus tard nous décidons avec Manon de faire un autre enfant en même temps comme les premières. Nous tombons enceinte une nouvelle fois de conserve, cette fois c’est moi qui accouche la première le dix septembre mille neuf cent quatre-vingt-quinze pour mettre au monde Camille deux jour avant Manon pour Clémence. Que des filles, Jules reste le seul mâle de la maison, il adore, bien qu’il aurait bien aimé avoir un petit trois-quarts pour l’accompagner aux matchs. Cinq ans plus tard, nous avons construit une piscine en forme d’haricot avec le grand chêne au milieu. Nous avons fait faire un grand îlot au milieu pour pouvoir y installer des transats autours du chêne et profiter de son ombre quand il fait trop chaud.  Maintenant nos filles sont grandes, elles se sont considérées comme jumelles deux par deux. Elles sont toutes en fac, deuxième année d’INSA pour Charlotte et Cécile, première de maths pour Clémence et Camille. Elles ont toutes très bien vécu la situation, pour elles, notre manière de vivre n’a rien de choquant. Que leur père ait deux femmes et partage un même lit avec leur tante fait partie de leurs vies. En plus, elles ont une adoration pour Emma qui les chouchoute et leur passe tout. Nous avons vu grandir les filles pour devenir de magnifiques femmes avec toutes les quatre des corps de rêve et des seins et des fesses d’enfer. D’autant que nous vivons toujours nus dans la maison, s’il fait froid dehors, elle est bien chauffée à l’intérieur. Elles sont deux par deux les copies conformes de leurs mères, juste un peu plus claires pour mes filles. Elles ont une affection particulière pour leur père, mais c’est normal entre filles et père. Ce sont toutes des filles très tactiles, elles touchent facilement, mais sans connotations sexuelles. J’ai souvent senti une main se promener sur mon corps, même quelque fois sur mes fesses. Cécile et Charlotte ont vingt ans, Camille et Clémence presque dix-neuf. Elles ont maintenant chacune leur chambre à l’étage, mais depuis un peu plus d’un an, nous avons remarqué que les quatre filles sont souvent ensemble dans une même chambre et que les sons qui en sortent sont assez significatifs. Je crois qu’il se passe quelque chose entre elles, mais nous ne pouvons décemment pas leur interdire quoi que ce soit. Nous sommes le lendemain de l’anniversaire de Cécile et un jour avant celui de Charlotte, nous fêtons toujours leurs anniversaires le jour entre, comme pour les cadettes, c’est plus simple. Cette année, ça tombe juste un week-end, j’ai acheté un énorme gâteau au chocolat, les filles en raffolent. Vers midi, nous sommes tous dans le salon, Jules débouche deux bouteilles de champagne, nous ne mettons pas très longtemps à les vider, il est vrai que nous sommes huit adultes, juste deux petites flûtes chacun, le gâteau est englouti en quelques minutes. Cécile et Charlotte se lèvent, elles s’enlacent en levant leur verre. –A nos vingt ans, mais, chers parents, comme cadeau d’anniversaire, nous aimerions avoir un grand lit comme le votre dans une de nos chambres, nous aimerions dormir toutes les quatre ensemble. Je pense qu’il est inutile de vous expliquer pourquoi, nous savons que vous savez, nous voulons vivre notre vie et ne plus jouer les hypocrites. Nous nous regardons, Emma sourit. –Il est évident que nous ne pouvons pas leur refuser, mais dans quelle chambre, elles ne sont pas aussi grandes que la notre.–Parce que j’ai tombé une cloison quand nous avons fait les travaux d’aménagement.–Papa a raison, il faut supprimer une cloison entre deux chambres, et celle d’une salle de bain, comme ça nous aurons notre salle de bain intégrée comme la votre, qu’en dis tu papa chéri ?–J’en dis que je vais devoir sortir le matos pour satisfaire mes adorables emmerdeuses, mais ce sera avec plaisir. Il va me falloir quelques jours et vous savez très bien que je ne pourrais le faire que les week-ends.–Nous sommes décidées à t’aider si tu le désire.–Ok, on attaque le week-end prochain. Elles se jettent sur leur père pour l’embrasser, il est submergé, elles le font tomber au sol et le recouvrent de leurs corps nus. J’ai peur qu’il n’ait une réaction, mais il se relève calme et serein, son sexe pend entre ses cuisses, ce sont ses filles, pas des femmes. 
–Bon les filles, je suis votre père, un peu de respect pour mes vieux os s’il vous plait.–A quarante quatre ans, tu ne vas pas nous faire croire que tu es vieux, en tout cas, tu assure à en croire les bruits qui sortent de votre chambre. Les filles éclatent de rire, elles se précipitent dans la piscine, je vois ces quatre magnifiques corps courir devant nous, mon cœur bat la chamade, je suis heureuse de les savoir si bien dans leur peau. Elles batifolent dans l’eau, mais je remarque quand même que des mains glissent sur des fesses, des seins, des pubis. Elles ne peuvent s’empêcher de se toucher, elles en ont besoin. Je les rejoins avec Manon, au moment où le téléphone fixe sonne, je me retourne, Jules va répondre en nous faisant signe d’aller nous baigner. Nous entrons dans l’eau, nous ne nous gênons pas pour nous câliner nous aussi, elles connaissent notre relation. Dix minutes plus tard, Jules et Emma arrivent habillés avec des sacs de voyage, ils se dirigent vers nous. –Un coup de fil du notaire, nos parents ont eu un accident de voiture, ils sont à l’hôpital de Brest, ils veulent nous voir, nous ne savons pas quand nous serons de retour. –C’est grave ?–Aucune idée, le notaire ne nous a rien dit. Ils nous embrassent toutes les six et se dirigent vers le garage, ils prennent la Corvette et s’en vont. Je les sens inquiets, je crois qu’ils ne nous ont pas tout dit. Nous ne les accompagnons pas car leurs parents ont refusé de nous rencontrer, ils n’acceptent pas la situation, ils ont reniés leurs deux enfants. Mais leurs enfants sont restés leurs enfants, ils doivent y aller. Je me demande tout de même pourquoi c’est le notaire qui a appelé, c’est assez inquiétant. Je sors de l’eau pour m’allonger sur un transat sous le chêne, Manon m’imite en collant son transat contre le mien. Une de ses mains commence à se promener sur mon ventre et mes seins. Les filles sortent de l’eau elles aussi, je vois l’eau ruisseler sur leurs magnifiques corps, j’en ressens un frisson de plaisir dans mon bas ventre. Cécile et Charlotte viennent s’agenouiller à côté de mon transat, Camille et Clémence à côté de celui de Manon. Elles se regardent, lèvent une main et la pose sur nos corps. Manon retire sa main, les mains sur mon corps glissent sur la totalité de la peau accessible. Des genoux à la tête en passant par mon pubis, mes seins sur lesquels elles s’attardent, pour aller se glisser entre mes cuisses que j’ouvre un peu par réflexe.  –Laissez vous faire nos mamans chéries, nous voulons juste vous caresser, et peut être plus si affinité. Je regarde Manon, elle me sourit et ferme les yeux, j’en fait autant. Les mains parcourent mon corps, je commence à réagir, mon ventre bouge, mes jambes s’ouvrent un peu plus. Les mains me font mettre sur le ventre, elles explorent mon dos et surtout mes fesses. –Qu’elles sont douces et fermes, un vrai régal. –N’insistez pas les filles, les miennes sont elles aussi douces et fermes, vous n’avez qu’à venir comparer. Les mains me quittent pour être remplacées par deux autres qui ne s’occupent que de mes fesses. Au bout d’une minute, elles me quittent. –Désolée maman chérie, mais celles de Naomi sont plus douces, toute sa peau est plus douce, mais je dois te dire que j’adore aussi ta peau et surtout tes fesses.–Merci ma chérie. Les mains me font remettre sur le dos, elles m’écartent les jambes, un doigt vient titiller mon clitoris, je me laisse faire, je sais qu’elles veulent nous faire jouir, je l’attends sereinement, dans mon subconscient, je savais que ça allait arriver. Deux doigts s’enfoncent dans mon vagin, ils entrent bien au fond. –Que c’est doux un sexe de femme ouvert.–Pourquoi dis tu cela ?–Parce que nous sommes toujours vierges, nous ne pouvons pas faire ça.–Ça viendra, ne vous en faites pas. Les doigts se retirent, je sens le transat bouger. –Ensemble Cécile.–Ok Camille. Je sens une bouche se poser sur mon sexe, une langue se glisse entre mes lèvres pour explorer tous les recoins accessibles. Une autre bouche se pose sur mes seins, elle les titille, les aspire, les mordille. Elle les abandonne pour remonter sur mon cou et mon menton. Elle finit sur ma bouche que j’entrouvre pour laisser entrer sa langue. Elle rencontre la mienne pour danser la samba. Machinalement, j’enlace ce corps que je sais être celui de ma fille Charlotte, je plaque ses seins contre les miens. Le baiser est doux et langoureux, ma fille y met tout l’amour qu’elle peut me porter, je fais de même. Mais la langue de Cécile est aussi très efficace, mon corps commence à m’envoyer des signes d’orgasme imminent, je me laisse aller et suis submergé par un tsunami qui m’emporte au paradis. Mon corps est secoué de spasmes de plaisir entretenu par la diabolique langue de Cécile qui batifole entre mes lèvres et mon clitoris gonflé comme une baudruche. Quand mes fesses rejoignent le transat, Charlotte me libère, je sens le corps de Cécile remonter le long du mien, j’ouvre les yeux et tourne la tête, je vois Camille en faire autant sur Manon. Je sens des petits seins bien fermes s’écraser contre les miens, un pubis frotter contre le mien et des lèvres se poser sur les miennes. Un tendre baiser au goût de ma cyprine s’ensuit. J’enlace ce magnifique corps gracile, c’est la première fois que je le caresse, mes mains glissent sur sa peau, elle est douce et bien lisse. Cécile se lève, je vois Charlotte se positionner entre mes cuisses ouvertes. –A moi de te faire jouir ma petite maman chérie. Sa bouche se pose sur mon sexe, Clémence en fait autant à Manon. Nous jouissons ensemble, les filles ont une technique maîtrisée, à croire qu’elles font ça depuis très longtemps. Charlotte est allongée sur moi, mes mains caressent son corps, c’est la première fois qu’elles glissent sur sa peau pour en retirer du plaisir, je suis au bord des larmes. J’arrive à me maîtriser malgré la langue de ma fille qui danse dans ma bouche.  Quand tout le monde est calmé, nous retournons dans la piscine, cette fois, plus de frontière, les filles viennent nous caresser, nous embrasser sans oublier de le faire entre elles. Nous sortons de la piscine, nous allons prendre une douche, pour la première fois les filles viennent dans notre douche. Nous nous serrons les unes contre les autres, caresses, baisers, tout y passe, y compris plusieurs orgasmes donnés par nos filles. Nous nous retrouvons assises dans le salon, nous sommes repues, nous ne pensons qu’à parler. –Bon les filles, j’ai bien analysé votre manière de faire l’amour, ça fait combien de temps que vous vous donnez du plaisir ensemble ?–Ça fait deux ans que nous nous aimons avec Charlotte, c’est arrivé dans la piscine, je m’étais fait un peu mal à une cuisse en tombant sur les marches. Je me suis allongée sur un transat, Charlotte est venue voir si c’était grave, elle touchait ma cuisse, ses mains remontaient vers le haut de mes cuisses, j’ai réagi. Elle a fini par poser ses lèvres sur mon sexe qui ruisselait de ma cyprine et brillait comme une étoile.–Et avec Camille et Clémence ?–Elle nous ont vu nous aimer un soir et sont rentrées dans ma chambre, nous avons fini par dormir toutes les quatre ensembles. Depuis, nous nous aimons tous les jours, mais ça, je crois que vous le saviez.–Oui, ça fait une petite année que j’ai remarqué que vous étiez souvent ensemble. Maintenant, il va falloir vous installer, avec ce qui se passe avec les parents de Jules et Emma, il va falloir trouver une solution.–Je connais une entreprise que serait capable de le faire en très peu de temps, nous travaillons avec eux dans ma boîte.–Et bien Manon, tu n’as qu’à leur téléphoner lundi quand tu iras travailler.–Ok, je m’en occupe. Nous terminons la journée tranquillement, au moment d’aller se coucher, personne ne veut se séparer. –Les filles, ça vous dirait d’essayer notre lit cette nuit ? Elles me sautent dessus en me couvrant de baisers, nous sommes soulevées et portées sur le lit. Manon est allongée à côté de moi, nous sommes recouvertes par deux corps chacune. La nuit n’est qu’une succession d’orgasmes, nous y passons toutes, nous ne nous endormons que vers trois heures du matin.
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