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Naomi

Chapitre 18

Lesbienne
Femmes Elles mettent la table en quelques secondes, elles sont pressées. Nous mangeons quand même tranquillement, j’ai horreur de manger vite. Je vois qu’elles sont toutes excitées, elles rigolent pour un rien, c’est plus un rire nerveux qu’autre chose. Une fois tout rangé, nous nous retrouvons dans le salon. –Ok les filles, mais serait-il possible de participer ?–Bien sûr, on vous attend dans notre chambre. Nous allons chercher les godes ceintures, pendant que les filles montent dans leur chambre se préparer. Ce ne sont plus les mêmes, les autres ont fait leur temps. Nous en avons quatre dont trois avec double godes internes, et un avec un seul gode interne. Je ne sais pas si Carole est dépucelée du cul, mais elle devrait s’en sortir, nous avons aussi un petit gode que Béatrice nous a donné la dernière fois que nous sommes allées la voir. Quand nous arrivons dans leur chambre, Carole est déjà entre les jambes de Camille, elle la prépare. Elles ont étalé des grandes serviettes sur le lit, belle initiative. Carole choisi un gode pas trop gros pour l’extérieur et deux godes pour l’intérieur, elle ne prend pas le plus petit pour le cul, elle en met deux assez volumineux.  –Tu n’es plus vierge du cul ?–Non, je me suis plusieurs fois sodomisé avec les godes que j’ai, j’arrive à prendre un gros gode comme celui là.–Ok, fais toi plaisir.  Elle se penche en avant pour me présenter son cul, je lui badigeonne en introduisant deux doigts pour lubrifier l’intérieur. –Vas-y, assouplis-le-moi s’il te plait. Je fais des aller-retours dans son anus, je sens son sphincter s’assouplir un peu, quand mes doigts glissent librement je la libère, tout ça sous le regard intéressés des filles. Elle enfile la ceinture, glisse les godes dans son sexe et son anus et la serre bien. Elle se tourne vers Camille qui est allongée sur le lit les jambes ouvertes. Elle vient sur elle pour s’allonger dessus. Je vois le gode toucher le vagin de Camille, elles se regardent. –Vas-y mon amour, fais moi exploser ce fichu hymen. Carole appuie, le gode s’enfonce lentement, elle ne s’arrête pas jusqu’à ce que la ceinture touche le pubis de Camille. Celle-ci fait la grimace mais ne semble pas se tordre de douleur, elle pose ses mains sur les fesses de Carole et appuie encore plus. –Baise moi mon amour, baise moi. 
Elle commence des va et vient réguliers, le gode semble glisser sans résistance. Charlotte vient vers moi en me tendant un gode moyen. –Maman chérie, j’aimerais que ce soit toi qui me rendes femme, tu veux bien ?–Bien sûr mon amour, je me prépare, prépare toi. Je m’enduis l’anus de graisse, fixe le gode qu’elle m’a donné à l’extérieur et deux godes à l’intérieur de la ceinture. Manon fait la même chose, Cécile s’allonge sur Charlotte tête-bête, elle se préparent mutuellement. Nous montons ensemble sur le lit, Carole est toujours avec Camille. Nos deux filles s’allongent côte à côte en se tenant la main, elles veulent sentir ce que ressent l’autre, elles s’aiment, c’est sûr. Je viens sur le corps de ma fille, elle est en position, jambes bien ouvertes. Je me positionne et avance le gode vers son sexe. Le gland touche sa vulve, il écarte les lèvres lentement. Je progresse le plus lentement possible, je veux qu’elle m’arrête dès qu’elle ne se sent plus à l’aise. Mais rien n’y fait, je m’enfonce complètement en elle, j’ai à peine senti une petite résistance à un moment, mais rien de sérieux. Elle fait un peu la grimace, mais semble heureuse de ce qui lui arrive. Je regarde une seconde Cécile, c’est la même chose, elles se regardent, elles partagent ce moment inoubliable de leur vie.  –Fais moi jouir maman chérie, je sens que je peux. Je commence des va et vient, Manon fait la même chose à sa fille, nous bougeons en rythme, elle me sourit, je lui souris. –Nous allons leur donner leur premier orgasme avec une bite, même si elle est artificielle.  Nous continuons quand nous entendons Camille exprimer sa joie. –Ho oui, tu me fais jouir mon amour, oui, continu. Elle termine dans un râle de joie en serrant Carole très fort sur son corps. Je sens Charlotte se tendre lentement, je suis sûre qu’elle va jouir, Cécile en fait autant, elles se regardent toujours, j’imagine qu’elles veulent jouir ensemble, mais ça ne me paraît pas trop possible. Manon me regarde, elle semble heureuse de faire ce cadeau à sa fille, comme moi. Au moins, nous sommes sûres qu’elles ne risquent pas d’être dégoûtées. Je continu de lui faire l’amour lentement, je veux qu’elle sente l’orgasme monter doucement en elle, Manon fait pareil, nous ne nous sommes pourtant pas concertées.  Carole se redresse et vient se mettre sur Clémence dont je vois le sexe briller comme une étoile. Elle lui introduit le gode comme avec Camille, lentement et d’un seul coup. Elle réagit à peine, juste une petite grimace de quelques secondes. Je sens que Charlotte se tend de plus en plus, mais moi aussi je m’approche de l’orgasme, les deux godes font leur travail, je suis dans un état second, il faut qu’elle jouisse. C’est Cécile qui jouit la première, suivi de quelques secondes par Charlotte, leurs mains se serrent à en blanchir. Je m’écroule sur sa fille en jouissant, Manon me suit d’une seconde. Je sens le corps de ma fille trembler de plaisir secoué par mon propre corps en pleine extase. Quand nous émergeons, Charlotte passe sa main derrière ma tête pour venir plaquer sa bouche sur la mienne. Nous échangeons un baiser tendre et voluptueux. Nous restons à profiter des ondes de plaisir qui parcourent nos corps quand Carole et Clémence jouissent ensemble. Camille a sa bouche sur celle de sa sœur, elle les accompagne. Charlotte me regarde. –Merci maman chérie, tu as été merveilleuse de délicatesse, merci. Un quart d’heure plus tard, nous sommes toutes dans la piscine après une petite douche. Les filles sont heureuses, nous sommes heureuses, mais je réalise que tout ça va bientôt se terminer, encore quelques années et elles vont aller vivre leurs vies. Ça me rend un peu triste, mais c’est la vie, j’ai fait la même chose avec mes parents. La soirée est bien avancée, nous nettoyons les godes, nous en laissons quatre et une ceinture dans la chambre des filles et nous rejoignons notre chambre. Je m’allonge sur le lit, Manon s’allonge à côté de moi, elle m’enlace. –Voilà une journée bien remplie, nos filles sont maintenant des femmes, elles vont pouvoir connaître l’amour avec un homme.–Si on veut, et ce n’est pas évident. C’est Charlotte qui entre avec Cécile dans la chambre. –Nous pouvons dormir avec vous, je crois que les filles veulent aller plus loin, et nous, on veut dormir.–Bien sûr mes chéries, nous aussi on veut dormir.  Elles s’allongent à côté de nous, elles s’enlacent, la tête de Cécile se pose sur l’épaule de Charlotte, elles semblent si heureuses, si calmes, si sereines. Nous nous enlaçons avec Manon, elles s’endorment quelques minutes avant nous. Dimanche, quand je me réveille, Charlotte et Cécile ne sont plus dans le lit, je me love contre le corps chaud de Manon, elle se réveille. –Bonjour mon amour.–Bonjour mon amour. Nous nous embrassons, j’aime ces réveils doux du week-end, pas de stress, tout est plus lent, reposant. Nous nous levons, Charlotte et Cécile ne sont pas là. Je constate que le porte feuille des courses n’est pas là, elles sont allées faire les courses du petit déjeuner. Nous préparons tout avec Manon, les autres filles dorment toujours, je présume que la nuit a été longue et très agitée. Vingt minutes plus tard, Charlotte et Cécile reviennent avec tout ce qu’il faut pour le petit déjeuner. Nous déjeunons toutes les quatre, Charlotte et Cécile n’arrêtent pas de se toucher et se caresser. Une fois le petit déjeuner fini, nous allons nous allonger sur des transats au bord de la piscine. –Les filles, que vous arrive t il ? vous vous connaissez depuis vingt ans, vous êtes « jumelles », et d’un seul coup, vous n’arrêtez pas de vous câliner, vous embrasser, vous caresser, comme si les autres n’existaient pas.–Tout bonnement, c’est l’arrivée de Carole qui nous a fait découvrir à quel point nous pouvions nous aimer toutes les deux. Nous pensons vivre ensemble et nous en sommes heureuses.–Maintenant, on ne se quitte plus.–Ok les filles, vous allez laisser la chambre aux filles ?–Oui, nous sommes bien que toutes les deux, ça ne nous empêchera pas de leur rendre visite de temps en temps, mais il faudrait changer notre lit, il est un peu petit.–Ok, cent vingt, c’est bien quand on est seul, mais c’est un peu juste à deux, nous vous achèterons un cent soixante demain, ça vous va les filles ?–Rond ?–Bien sûr, l’oncle de Carole vous le fera. Elles ne répondent pas et se jettent sur moi pour me couvrir de baisers. –Et moi, je n’ai pas droit aux baisers ? Elles se jettent sur Manon pour lui faire la même chose. C’est le moment que choisissent les filles pour arriver. Elles viennent nous embrasser et s’installent pour petit-déjeuner. Elles semblent un peu fatiguées, la nuit à dû être dure. –Ça va les filles, en forme ?–Oui, d’autant que nous n’avons plus rien de vierge.–Vous vous êtes dépucelé du cul ?–Oui, Camille pour moi et moi pour Camille, nous avons adoré, vous verrez les filles, c’est génial.–Ça ne sera pas pour tout de suite, j’aimerai bien une vraie bite, juste pour une fois. –Vous savez les filles, une vraie bite, c’est incomparable, rien ne la remplace, vous la sentez vivre en vous, c’est génial.–On verra, peut-être. Nous plongeons toutes dans la piscine, au bout d’une demi-heure, nous en sortons avec Manon pour appeler Jules et Emma, nous voulons savoir où ils en sont. Tout se passe bien, leurs parents sont enterrés, mais ils pensent qu’ils vont rester encore une semaine là bas, il y a un problème de copropriété entre un de leur cousin et eux. Leur père à acheté des appartements avec lui et il ne veut pas leur payer leur part s’ils ne sont pas vendus. Tel que je connais mes amants, ça va mal se passer, Jules et Emma ne sont pas des tendres, le cousin a intérêt à compter ses abatis. La famille n’est pas très accueillante, mais ils vivent chez une tante, la demi-sœur de leur père beaucoup plus jeune que lui, qui les aime beaucoup et se fout de leur manière de vivre. C’est une rentière qui a hérité de son mari richissime tué dans un accident de la route. Elle a deux ans de moins que nous, elle est très belle d’après Emma qui me dit qu’elle en ferait bien son breakfast. Jules me dit même qu’il croit qu’elle est un peu jalouse de leur vie et qu’elle aimerait bien en faire autant. Je lui demande s’ils ont fait l’amour avec elle, il me dit qu’ils ne voudraient pas nous faire de la peine. Je lui dis que si elle est belle, ils peuvent y aller, elle doit ne demander que ça, Manon est entièrement d’accord avec moi. Je raccroche, mais je suis triste, ils me manquent, j’ai envie de la bouche d’Emma sur mon sexe et du sexe de Jules dans mon sexe. Manon est comme moi, elle compte les jours. Nous allons rejoindre les filles, elles nous demandent quand ils vont rentrer, je leur dis que ça se complique et que rien n’est décidé, elles semblent déçues, elles aiment leur père et leur tante et je pense qu’ils leur manque un peu.  La matinée s’écoule vite, nous nous sommes levées assez tard, un en-cas rapide vers quatorze heures nous maintient en vie, juste pour que nos corps puissent s’exprimer ensemble. Je remarque de Charlotte et Cécile restent entre elles, elles semblent vivre intensément leur amour, elles sont sœurs, mais elles s’aiment d’amour, rien ne remplace ça. Les trois autres vivent aussi leur amour, Carole est un peu la leader, elle les a hypnotisés, mais c’est pour la bonne cause, elle est simple, aimante, douce, et surtout, elle n’a peur de rien. En fin de journée, Camille, Clémence et Carole vont dans leur chambre, Charlotte et Cécile nous rejoignent. La nuit est paisible, nous travaillons le lendemain, il faut être en forme. La semaine se passe bien, c’est la dernière de fac pour les filles, elles sont en vacances à la fin. Carole est définitivement installée, c’est une fille dynamique, pleine d’humour, désintéressée, aimante, elle a dynamisé Camille et Clémence qui ne peuvent plus s’en passer. Le vendredi soir, tout le monde se retrouve autour de la piscine. –Les filles, vous êtes en vacances, mais dorénavant, c’est vous les maîtresses de maison. Nous, nous bossons encore, et il serait super que tout soit prêt quand nous rentrons du travail. Ça vous pose un problème ?–Pas du tout les mamans, vous serez choyées comme des reines, laissez nous faire. –Nous l’espérons, d’ailleurs, vous allez commencer tout de suite, je prendrais bien un whisky au bord de la piscine, qu’en dis tu Manon ?–J’en dis que moi aussi, avec deux glaçons les filles.–Très bien les mamans chéries. Trois filles vont dans le salon pour chercher les verres et la bouteille de Cardhu, le deux autres dans la cuisine chercher des glaçons. Elles nous servent et plongent dans la piscine pour se poupouiller.
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