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Naomi

Chapitre 22

Hétéro
Refusion
Nous finissons le repas tranquillement, elles débarrassent, rangent tout et vont prendre une douche dans leur chambre, pendant que nous en prenons une dans la notre. Une fois secs, nous allons dans leur chambre, Cécile est à quatre pattes sur le lit, Charlotte lui lèche la raie des fesses, elle la prépare. 
Charlie vient lui enduire l’anus de graisse anale, Charlotte lui gobe la bite pas encore en pleine forme, elle ne la libère que quand elle se dresse fièrement vers le ciel. Charlie monte sur le lit et prend Cécile par les hanches. Charlotte l’accompagne pour diriger sa bite entre ses fesses. Nous sommes autour du lit pour assister à l’événement. Je vois le gland de Charlie lui écarter les fesses et venir appuyer sur sa rondelle. Il ne s’arrête pas, mais pousse de manière à lui ouvrir le sphincter le plus doucement possible. Je vois sa rondelle s’ouvrir, elle ne ressent à priori pas de douleur vive. Son visage se crispe un peu, Charlie le sens et s’arrête.
–Vas-y chérie, vas-y comme ça, j’ai un peu mal, mais je supporte assez bien, continu.
Il reprend sa progression jusqu’à ce que la rondelle se referme sur son gland entièrement absorbé par son anus. Sa bite s’enfonce entièrement jusqu’à ce que son pubis touche les fesses de Cécile. Il reste un moment immobile et ressort. Je suis étonnée, mais ça n’a pas l’air de surprendre Cécile.
–Merci chérie, merci, je ne suis plus vierge du cul.
Je vois Charlotte se mettre en position, Charlie lui enduit l’anus de graisse et recommence sa manœuvre sur elle guidé par Cécile. Le même scénario pour le dépucelage anal de ma fille. Elle semble elle aussi bien accepter cette belle bite dans son cul. Il fois qu’il s’est enfonce entièrement, il se retire comme avec Cécile, je m’en étonne.
–Pourquoi n’essayes tu pas de les faire jouir ?–Ça, ça se fera à plusieurs, elles veulent jouir du cul en même temps que de leur sexe, elle veulent une double pénétration.–Je vais donc être sollicité.–Oui mon papa chéri, j’aimerai tant essayer avec toi.–Ok mes chéries, mais pas aujourd’hui, il me faut un peu plus de temps.–Ok, demain ce serait bien.–Ok mes chéries on ferra ça demain, je dois mettre une nuit là dessus.
Nous quittons la chambre pour aller nous coucher, les filles ont l’air heureuses de la réponse de leur père. Nous aussi nous aimons la réponse de Jules, ça veut dire  que nous pourront bénéficier de la belle bite de Charlie, je ne pense pas qu’elles auraient accepté sans le concours de leur père pour elles. Je prend Manon dans mes bras pour échanger un long baiser, nous finissons tête-bêche sur nos sexes ruisselants. Jules et Emma sont enlacés, mais dorment déjà, ils sont encore fatigués.
Le lendemain, c’est Emma qui se lève la première, je la suis de très près. Nous enfilons un tee-shirt, une jupe plissée ultra courte et micro-string pour aller faire les courses. Une fois dehors, nous constatons qu’il y a un peu de vent. 

–Chouette, on va montrer nos culs.–Oui, ça fera des heureux.
Nous allons à la boulangerie, ma jupe passe son temps à l’horizontal, je sens mon sexe couler d’excitation. Je vois qu’Emma est à peu près dans le même état que moi.
–Putain je mouille comme une folle, il va falloir que tu éteigne l’incendie. –Et toi le mien, mon string est inondé.–Le mien aussi.
Nous entrons dans la boulangerie, une jeune femme entre derrière moi. Il y a pas mal de monde, on doit attendre. Tout à coup, je sens un souffle sur mon cou en même temps qu’une main se pose sur mes fesses.
–Elles sont trop tentantes, merci de me les avoir montrés et de les laisser nues, je peux continuer l’exploration ?
Je ne dis rien, je donne un petit coup de rein en arrière, elle comprend et commence une douce caresse sur mes fesses. Une autre main se pose dessus et écarte la ficelle du string, deux doigts humides se glissent entre mes fesses, ils viennent titiller ma rondelle. Je pointe un peu mes fesses en arrière, les deux doigts s’enfonce sur au moins deux phalanges, ils font des aller-retour rapides. L’autre main passe devant et me caresse le pubis à la limite du string.
–Oui, un mignon pubis lisse, j’adore, voyons voir ce qu’il y a en dessous de ce string minuscule.
Sa main se glisse sous le string, deux doigts écartent mes lèvres liquéfiées.
–Mais c’est une vraie rivière qui coule entre tes jambes. 
Un doigt s’enfonce complètement entre mes lèvres et fait des va et vient, une fois bien lubrifié il remonte sur mon clitoris pour tourner dessus en appuyant bien. Je ne fais rien pour l’arrêter laissant monter en moi le plaisir qui, je le sais, va faire exploser  mon corps. Je vois dans la glace ma jupe remontée sur mes fesses et une femme derrière qui regarde dans la glace, elle doit voir tout ce que l’on fait, ça m’excite encore plus. Je me laisse aller, je sens mon ventre se crisper, mes muscles se tendre. L’autre main libère mon anus et vient se glisser sous mon tee-shirt pour me caresser les seins, elle les pince pas trop fort, comme j’aime. Elle me plaque contre elle, je sens ses seins sur mon dos, ses tétons durcis pointent sur mes omoplates, son bas ventre touche mes fesses, tout son corps s’uni au mien pour vivre mon orgasme en même temps que moi.  –Tu vas jouir, je le sens, je le sais, j’ai envie de le sentir contre mon corps, vas-y, jouis, prends ton pied, laisse toi aller.  Je suis tétanisée par un violent orgasme, je me mords les lèvres pour ne pas crier ma joie, j’essaye de contrôler les spasmes de plaisir qui secouent mon corps. L’inconnue m’enlace avec son bras pour me maintenir debout. Je ferme les yeux et laisse aller ma tête en arrière, elle dépose un baiser sur mon cou.  –Voilà, j’aime sentir un corps jouir contre le mien, tu dois te sentir mieux maintenant ? Je fais un signe de tête pour acquiescer. Je ne sais pas si quelqu’un d’autre s’est rendu compte de ce qui s’est passé, mais je m’en fous, je suis bien, j’aime ce genre de situation, je suis exhibitionniste, mais je peux l’exprimer que rarement. Je regarde la glace, la femme qui nous a vu me sourit, elle ne semble pas choquée. Arrive notre tour, la femme me libère et rabat ma jupe sans oublier une dernière caresse sur mes fesses et mon pubis. Nous achetons tout ce qu’il faut, une fois dehors, je demande à Emma d’attendre. Le vent soulève toujours nos jupes. La femme sort en me souriant, elle est très jolie en short minimaliste et corsage tendu par deux magnifiques seins pointant dessous en dressant un chapiteau.
–Tu as aimé ce que je t’ai fait ?–Oui, que fais tu là, maintenant ?–Je rentre chez moi, mon mari et ma fille m’attendent pour le petit déjeuner, j’espère simplement qu’on aura d’autres occasions.–Moi aussi, au revoir.–A une autre fois j’espère.
Nous arrivons à la maison, j’ai raconté ce qui s’était passé à Emma, elle regrette simplement que la femme ne se soit pas occupée d’elle en même temps. Tout le monde est debout, la table du parc est dressée, il ne reste plus qu’à petit déjeuner. Mon histoire les fait bien rire, Manon me dit que la prochaine fois elle vient avec moi et rentre la dernière. Les filles sont assez excitées, elles pensent à ce qui va se passer tout à l’heure avec Charlie et leur père. Une fois tout rangé et le lave-vaisselle lancé nous montons dans leur chambre. Il y a un petit moment d’hésitation, personne ne sait quoi faire, je décide de m’en mêler.
–Laquelle des deux veut commencer ?–Moi, nous en avons déjà discuté.–Ok Cécile, reste là, on s’occupe des bites, Charlotte, prépare Charlie, Manon, occupe toi de Jules et toi Emma prépare Cécile, graisse lui bien le cul.
Une fois les bites en forme, je fais allonger Charlie sur le lit. Cécile s’allonge sur elle, elle se laisse glisser sur son sexe, je vois à son visage qu’elle est au comble du bonheur. Jules se couche sur sa fille en se tenant sur ses bras. Je viens me saisir de son sexe pour l’amener entre ses fesses.
–Vas-y mon papa, fais moi jouir avec mon cul, je t’attends, viens, je t’aime mon papa chéri.
Jules pousse un peu les fesses de Cécile s’écartent et son gland arrive sur sa rondelle. Il pousse encore, le gland disparaît dans l’anus de Cécile, la hampe de Jules glisse jusqu’à ce que son pubis touche les fesses de sa fille. 
–Oui, oui, je vous sens en moi, allez-y, bouger, faites moi l’amour.
Jules commence des va et vient, je vois sa rondelle distendue, mais le sexe de Jules glisse normalement, Cécile commence à réagir, elle ondule du bassin, Charlie ne peut pas trop bouger, mais c’est suffisant. Cécile est au bord de l’orgasme, elle se donne à fond, elle avance ses fesses à la rencontre de son père.
–Oui mes chéris, je vais jouir avec vos sexes, allez-y, remplissez moi, je veux sentir votre sperme m’inonder partout, vas-y mon papa, jouis en moi.
Je vois que Jules a un peu de réticence, mais il aime trop sa fille pour ne pas lui faire plaisir. Il se raidi un peu, je vois qu’il jouit en elle, elle explose dans un sublime orgasme.
–Oh oui, je vous aime, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Son corps est secoué de spasmes, elle se laisse aller à son orgasme, les yeux fermés, le corps tendu par le plaisir. Quand ils sont tous redevenus normaux, Jules se redresse, il embrasse tendrement les fesses de sa fille, il les caresse, je vois qu’il est ému. Cécile se laisse aller sur le côté, Charlie se redresse, elle va prendre une douche suivi par Jules. Ils se lavent mutuellement, Charlie fait glisser ses mains sur le corps de Jules, je ne m’attendais pas à ça. Lui-même caresse Charlie, il passe ses mains sur ses seins, ses fesses et même son sexe. Ils reviennent en riant en voyant nos regards complètement ahuris. Manon va enlacer Jules, elle le regarde.
–Tu nous aimes toujours j’espère ?–Arrête tes conneries, c’était juste une petite reconnaissance, il va bien falloir intégrer Charlie complètement.–Si je comprends bien, toi aussi tu aimerais sentir un vrai sexe dans ton fondement.–Pourquoi pas.–Bon, il faut s’occuper de Charlotte.–Un instant les filles, je ne récupère plus comme il y a vingt ans, encore un petit instant, allons nous baigner en attendant. 
Charlotte est allongée sur le lit avec Cécile, elles s’enlacent et se couvrent de baisers, je vois qu’elles sont heureuses de ce qui vient de se passer et de ce qui va se passer, nous les laissons entre elles. Nous restons dans la piscine une bonne heure, c’est l’occasion de se caresser, se câliner, s’embrasser, mais toujours en douceur, juste de la sensualité. Nous retournons dans la chambre des filles, elle sont tête-bêche, nous arrivons juste au moment où elles jouissent. Je suis émue de voir tant d’amour entre deux êtres qui se connaissent depuis vingt ans. Nous attendons qu’elles reviennent à elles, Cécile se lève pour venir préparer Charlie, j’enduis bien la raie des fesses de ma fille en glissant de la graisse dans son anus. Manon s’occupe de Jules, les deux bites sont bien dressées, Charlie vient s’allonger sur le lit, Charlotte l’arrête.
–Non Charlie, toi, je te veux dans mon cul, je veux papa dans mon sexe, ok papa ?–Ok ma chérie, je ne peux plus rien te refuser maintenant.
Il s’allonge sur le dos, Charlotte vient se coucher sur lui, je vois qu’elle se donne au maximum, elle prend un immense plaisir à le faire. Elle se laisse descendre sur le sexe de son père, je vois son visage s’illuminer, elle s’empale complètement en serrant son père dans ses bras. Elle pose sa tête sur son épaule.
–Merci mon papa chéri, je suis si bien colée sur ta peau.
Charlie se positionne derrière elle, Emma guide sa bite entre les fesses de Charlotte, le gland les écarte pour arriver sur sa rondelle. Elle donne un petit coup de rein en arrière, Charlie se saisie de ses hanches et donne un grand coup de rein, il s’enfonce d’un seul coup jusqu’à toucher ses fesses avec son pubis.
–Oui ma salope, oui, tu me l’a mis d’un seul coup comme je t’ai demandé, vas-y, encule moi comme une chienne, je veux te sentir me défoncer la couenne.
Je suis sidérée de l’entendre s’exprimer comme ça, c’est une fille d’un langage très châtié d’habitude, il faut croire que le sexe te libère complètement. Charlie se déchaîne dans son cul, elle a un rythme d’enfer, je vois Charlotte s’épanouir de plus en plus, elle adore ce qu’on lui fait. Cécile ajoute de la graisse anale, le sexe de Charlie glisse de plus en plus librement, elle est complètement dilatée. Elle approche sa bouche de celle de son père, j’ai peur qu’il ne se détourne, mais il ne bouge pas et reçoit les lèvres de sa fille sur sa bouche. A voir leurs mouvements, il ne fait aucun doute qu’ils échangent un baiser. Jules passe sa main derrière sa tête pour la plaquer encore plus contre ses lèvres. Il a complètement abdiqué, il se donne à sa fille comme elle se donne à lui, je présume que ça ne va pas s’arrêter là. Charlotte quitte la bouche de son père, elle se tend, ses muscles se durcissent, elle me regarde, son regard est complètement halluciné, je pense qu’elle va jouir comme rarement elle a jouit dans sa jeune vie.
–Oh oui mon papa, oui, je vais jouir avec vous mes amours, oui, donnez moi votre jus de vie, je veux que vous me remplissiez, je veux vous sentir, oui, venez avec moi, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle jouit tendue comme un arc, je vois que Jules se vide en elle en même temps que Charlie qui ne bouge plus enfoncé au maximum dans le fondement de ma fille. Quand ils reviennent à eux, Charlie se dégage, Charlotte se laisse aller sur le côté de Jules, Cécile se précipite sur lui pour poser ses lèvres sur les siennes. Elle aussi veux embrasser son père, il se laisse faire, je le soupçonne même d’y prendre un certain plaisir. Comme pour Charlotte, il passe sa main derrière sa tête pour bien la plaquer sur ses lèvres. Son autre main glisse sur son dos et ses fesses. Elle en frisonne de plaisir. Quand leurs bouches se séparent, Charlotte vient vers moi pour m’enlacer, elle pose sa tête sur mon épaules.
–Je vous aime, je suis si heureuse avec vous, nous aimerions bien rester avec vous dans la maison ?–Vous voulez rester ici après vos études ?–Oui si vous le voulez vous aussi, juste nous trois.–Et les filles ?–Elles ont une autre solution.–Et c’est quoi cette autre solution ? –Camille et Clémence vont s’installer avec Carole dans l’appartement que sa mère possède à Toulouse.–Nous aurions bien aimé être au courant, comment le sais tu ?–Camille m’a téléphoné, elles vous le diront en fin de semaine quand elles rentrerons d’Agde.–Ok.
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