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Naomi

Chapitre 32

Hétéro
Et de dix
Quand tout est débarrassé et rangé, nous décidons d’aller faire une sieste, Julie vient avec nous, Jade avec les filles. C’est l’occasion de faire l’amour, mais sans recherche de performance, doucement, tendrement. Julie vient m’enlacer, elle est particulièrement tendre avec moi, je pense qu’elle ressent quelque chose de particulier pour moi, et c’est réciproque. Vers seize heures tout le monde est dans l’eau, nous avons décidé d’habituer les enfants à l’eau, ils sont avec nous dans nos bras à batifoler dans l’eau, ils semblent adorer ça. Laurence commence à très bien nager, elle fait des tours de l’îlot en brasse et en crawl, c’est assez stupéfiant, mais c’est aussi une fille qui a fait beaucoup de sport petite, ça aide. En fin d’après-midi, Jade nous quitte, nous lui disons que la maison lui est ouverte, elle nous dit penser revenir assez souvent, elle aime l’atmosphère qui y règne. 
La semaine se passe normalement, Julie aide Laurence pour les enfants, elle rayonne de bonheur, c’est une vie qu’elle n’avait jamais rêvé de vivre, mais qui lui convient parfaitement. Jade vient deux fois dans la semaine, elle ne reste jamais dormir avec nous, elle veut rester disponible pour sa fille au cas où. Au bout de quinze jours, Julie décide d’aller chercher ses affaires à Brest, Jules l’accompagne, il doit voir le cousin pour une question de mur mitoyen d’une de leur maison avec un voisin pas très sympa. Ils ne reviennent qu’au bout de cinq jours. Jade vient de plus en plus souvent, elle passe même de temps en temps une nuit avec les filles. Nous sommes mi-juillet, il est maintenant évident que Jade va s’installer à la maison, elle fait partie intégrante du groupe. Nous décidons d’aller chercher ses affaires chez elle pour qu’elle puisse louer sa maison. C’est à cette occasion que je vois un courrier du tribunal d’instance sur la table basse du salon adressé à un certain Matthias Schröder.
–C’est une convocation au tribunal pour Matthias, mon ex. il est sous le coup d’une enquête, les comptes de sa société ne sont pas nickel et il en était le comptable. On parle de détournement de quelques centaines de milliers d’euros. A priori, ça a duré trois ans.–Ah bon, il s’est donc enfui de France.–Oui, et comme il est de nationalité allemande, il ne sera jamais extradé. Il coule des jours heureux avec son fric volé.–Et Claudia, elle est allemande ?–Et française, elle a la double nationalité, elle devra choisir à sa majorité, mais elle pourra garder les deux si elle veut.–Ok, dis donc, il a quelque chose à voir avec l’homme politique allemand ?–Non, aucun lien de famille avec le chancelier, il y a beaucoup de Schröder en Allemagne.–Allez, on rentre.
Nous entrons à la maison, je la sens heureuse, elle ne va plus être seule et elle va vivre avec des personnes qui l’aiment. Elle s’installe avec les filles qui l’accueillent à bras ouverts. Je pense qu’il va falloir arrêter d’accueillir des personnes, nous sommes déjà dix adultes et quatre enfant, bientôt cinq, nous avons eu confirmation de la grossesse de Laurence, elle est folle de joie. Evidemment, nous faisons tout pour qu’elle en fasse le moins possible, ça ne lui plait pas beaucoup, mais c’est comme ça. Sur la proposition de Julie, nous décidons d’aller passer deux semaines à Agde, dans le quartier naturiste. Les filles ne veulent pas venir, elles ne se voient pas avec des enfants dans ce milieu dépravé. Julie essaye de les convaincre du contraire, mais c’est peine perdue, nous décidons de n’y aller qu’à cinq. Ses connaissances nous trouvent un bungalow suffisamment grands pour nous cinq dans le camping. Nous y arrivons le dimanche trente et un juillet en fin de matinée, nous n’aimons pas rouler le samedi, surtout pendant les vacances, heureusement qu’Agde n’est qu’à deux heures de Toulouse. Nous ne faisons pas tâche dans le camping, nous sommes tous relativement bien bronzés. Nous devons faire des courses, nous allons au centre commercial d’Héliopolis, c’est une sensation extraordinaire de faire ses courses nu. Seuls les commerçants sont habillés, tout le monde est nu et se croise sans se toucher, ça change des hypermarchés. Nous n’achetons que le nécessaire pour midi, nous compléterons en fin d’après-midi pour ce soir. 
L’après-midi, nous décidons d’aller sur la plage pour voir ce que ça donne. Nous arrivons sur la plage, nous contournons le Paralia par la gauche pour aller à la « baie des cochons ». Je m’attendais à voir des couples baiser dans tous les sens, mais rien de tout ça, simplement trois où quatre attroupements disséminés sur la plage et un dans l’eau. Au centre de chaque attroupement des couples font l’amour à deux, mais aussi à trois quatre voire cinq avec une ou plusieurs femmes. D’autres mettent en scène des groupes d’hommes et de femmes, mais rien de très spectaculaire. Nous trouvons une place suffisamment grande pour y mettre nos serviettes. C’est là que je remarque que beaucoup de couples s’amusent entre eux. On voit des fellations plus ou moins discrètes, des cunnilingus, des femmes tête-bêche, beaucoup de personnes qui se font du bien sans attirer l’attention. Nous allons dans l’eau, Manon me caresse les fesses, je me laisse faire mais j’ai envie de plus, l’ambiance y est tout de même pour quelque chose. Quand nous avons de l’eau jusqu’au sexe, elle se colle à moi pour m’embrasser, Emma et Julie en font autant. Jules se colle derrière Emma, il bande, je vois sa bite se glisser entre ses fesses, elle donne un petit coup en arrière, il la plaque contre lui et commence à la besogner. Plusieurs personnes s’arrêtent autour de nous, elles restent à un bon mètre, beaucoup d’hommes se masturbent, certaines femmes aussi. Je fais pivoter Manon je me mets derrière elle pour me coller à son dos et passer mes mains sur ses seins. L’une d’elles descend sur son bas ventre pour se glisser entre ses lèvres. Mon doigt se lubrifie à la source et va lui titiller le clitoris, elle ne met pas longtemps à jouir en se raidissant. Emma redresse un peu la tête, ses yeux se révulsent, Julie s’est accroupie pour s’occuper de son clitoris. Elle jouit en poussant un son rauque.
–RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR.
Jules la maintient, elle vacille un peu. Julie se redresse pour l’enlacer et l’embrasser longuement, Jules se retourne, il bande toujours, il n’a pas jouit. Une femme s’accroupie devant lui en le regardant dans les yeux, il ne bouge pas, elle lui gobe la bite. Nous venons vers elle avec Manon, nous lui caressons les seins en les pinçant pas trop fort. Elle pompe Jules avec conscience, elle s’applique, elle veut le faire jouir et le boire. Je m’agenouille derrière elle pour l’enlacer et la caresser, je sens qu’elle réagit positivement, Manon se redresse pour embrasser Jules qui ne se prive pas de la caresser. Mon doigt tourne comme un fou sur son clitoris, je la sens se raidir lentement. Tout le monde autours se masturbe ou s’embrasse, certaines personnes s’énervent un peu car elles ne peuvent pas voir ce qui se passe du fait du nombre de personnes autour de nous. Je commence à craindre un emballement qui pourrait mal tourner, je ne suis pas habituée à ce genre de situation. Jules se raidi, je sens la femme jouir, mais elle se colle encore plus contre lui pour recevoir son sperme. Quand il se détend, elle se lève et tourne sur elle-même la bouche ouverte pour montrer le sperme qu’elle a récupéré. Elle s’arrête devant Jules, ferme la bouche et dégluti ostensiblement. Tout le monde applaudi, deux minutes plus tard, il ne reste qu’une petite dizaine de personnes autour de nous dont la femme. Elle nous regarde.
–Merci ma jolie, j’ai beaucoup aimé, et toi mec, j’aurais préféré l’avoir dans le con, serait ce possible ?–Je ne pense pas, c’est réservé à certaines femmes et tu n’en fais pas partie.
–Aurais je un espoir ?–Non, aucun, c’est une décision collégiale, et je connais déjà la réponse.–Dommage, bon séjour à tous, adieu.
Elle retourne sur la plage, nous allons nous baigner, l’eau est exceptionnellement bonne, vingt cinq degrés, nous saurons plus tard que c’est rarissime, l’eau d’Agde étant assez froide en général. Nous restons assez longtemps dans l’eau, un attroupement se forme à côté de nous, une femme se fait sodomiser dans l’eau, ça attire du monde. En deux minutes, nous ne voyons plus rien tellement il y a de monde autours. Nous sortons de l’eau et nous allongeons sur nos serviettes, il fait beau, bon, nous sommes nus au soleil sur une plage, c’est le paradis. Manon ne tient pas en place, elle vient sur moi pour m’embrasser, passe à Julie pour lui faire la même chose sans oublier Emma et Jules, elle finit sur moi tête bêche. Nous ne sommes pas au bord de l’eau, nous pouvons passer plus où moins inaperçues. Personne ne s’agglutine autours de nous, seuls nos voisins profitent du spectacle, nous ne mettons pas trop de temps à jouir, une fois détendues, nous nous allongeons côte à côte. Julie fait une fellation discrète à Jules, Emma s’occupe de son entre jambes, tout aussi discrètement, une jeune femme assise à côté de Manon, apparemment seule, nous regarde avec intérêt. Personne n’y prête attention, ils finissent par jouir et s’allongent comme nous. Au bout d’une heure, je commence à en avoir marre d’être allongée à ne rien faire, je vais dans l’eau. Personne ne me suis sauf la voisine de Manon. J’avance dans l’eau sans me retourner, je sais très bien qu’elle est derrière moi, quand j’ai de l’eau à la taille, je sens une main sur mes fesses, je me retourne.
–Elles sont tellement belles, c’est la première fois que je caresse des fesses de black, elles ont la réputation d’être très douces, je vois que c’est vrai.–Et tu aimerais prospecter un peu plus afin de voir si le reste de la peau est aussi douce.–Tu me l’enlève de la bouche.–En parlant de bouche.
Je l’enlace et pose mes lèvres sur les siennes, elle est surprise, a un mouvement de recul mais juste une fraction de seconde, elle se reprend et s’abandonne à mon baiser en ouvrant la bouche pour me laisser venir titiller sa langue. Ses mains me caressent, je la caresse, nos corps sont collés l’un à l’autre, j’adore ses fesses fermes et douces. Notre baiser s’éternise un peu, nos langues se plaisent beaucoup, elles se chamaillent tendrement, je sens qu’elle ne veut pas arrêter, mais j’y mets fin doucement. Je la regarde, elle a des yeux bleu clair presque transparent, une bouche bien dessinée, un petit nez droit et fin, des cils de biche, elle est ravissante. Mais surtout, elle a un corps de rêve superbement bronzé. Beau bonnet B haut et ferme, ventre plat, pubis lisse et bien bombé sur des lèvres fines, fesses hautes, douces et fermes, le tout sur des jambes infinies.
–Comment t’appelles tu ? –Coline–Moi, c’est Naomi, tu sais nager ?–Bien sûr.–Suis moi.
Je vais nager un peu, elle me suis sans problème, nous nageons côte à côte, elle me sourit, mais je ne veux pas être trop proche, je sens qu’elle a envie d’aller plus loin mais je ne suis pas seule à décider. Il faut qu’elle plaise à tout le monde ce qui ne devrait pas être trop difficile vu le canon qui nage à mes côtés. Nous sortons de l’eau, Jules, Emma, Julie et Manon sont assis et nous regardent avancer vers eux. Ils n’ont d’yeux que pour Coline et je vois que ce qu’ils voient leur plait. Je m’assoie sur ma serviette, Coline sur la sienne qui n’est qu’à quelques centimètres de celle de Manon. Elle me tourne le dos pour regarder Coline, je lui caresse une fesse, c’est trop tentant cette magnifique rondeur à portée de main. Coline s’allonge en ouvrant un peu ses jambes, elle regarde Manon dans les yeux, c’est clairement une invite parfaitement comprise. Manon va se mettre entre ses jambes pour poser sa bouche sur son sexe, Coline ferme les yeux, elle veut vivre cet instant de l’intérieur. Manon pose ses mains sur ses hanches, elle s’active sur ses lèvres intimes, je sais ce qu’elle sait faire et je pense que Coline va adorer. Je me mets sur la serviette de Manon, je veux voir cette magnifique fille jouir grâce à la langue de ma Manon chérie. J’en profite pour laisser ma main glisser sur ses fesses fermes et douces, je sais qu’elle adore ça pendant qu’elle s’occupe d’un sexe bien juteux. Je vois Coline commencer à se tortiller, son corps bouge de plus en plus, le plaisir monte dans ses tripes, elle va finir par exprimer son bonheur. Sa tête va de droite à gauche, ses yeux restent fermés, sa bouche bouge, elle a envie de crier son bonheur mais se retient, ses mamelons s’érigent, je ne résiste pas et remonte sur eux pour les gober et les titiller. Je les suce, les lèche, les mordille, je sens qu’elle réagit, son ventre se crispe, son corps se tend, elle soulève ses fesses pour exploser dans un extraordinaire orgasme, elle hurle son plaisir, tout le monde se retourne, étonné de n’avoir pratiquement rien vu.
–AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH.
Toutes les têtes sont tournées vers nous, je vois que la plupart des personnes présentes ne savaient pas ce qui se passait, elles sont étonnées et ont l’air déçues de ne rien avoir vu. Coline est complètement dans les vaps, elle reste les bras en croix, mes baisers sur sa peau la laisse indifférente, elle savoure son bonheur. Manon fait glisser son corps sur le sien, je m’écarte, leurs bouches se soudent dans un long baiser. Les mains de Coline glissent sur le corps de Manon, j’en ressens une gêne, je découvre que je peux être jalouse. Manon est un de mes amours, je ne vois pas d’un bon œil une étrangère la caresser, c’est la première fois que ça m’arrive. Mais je m’aperçois que je ne suis pas la seules, Emma me glisse à l’oreille.
–Putain, mais elle veut nous la piquer sous notre nez.–Non, je ne crois pas, mais ce n’est pas ça qui te fait réagir, tu es jalouse.–Tu plaisante, après ce que nous avons vécu ensemble, comment peux tu dire ça ?–Tout simplement parce que je suis comme toi, et je crois que si ça avait été toi avec Coline, j’aurais réagit de la même manière. –Tu as peut être raison, mais on ne va pas empêcher Manon de butiner une petite chatte de temps en temps, comme nous d’ailleurs.–Evidemment, nous avons toutes libre accès aux chattes offertes, mais il n’empêche que de voir des mains étrangères se promener sur ce corps que j’adore ne me laisse pas indifférente, j’ai un pincement au cœur, je sais que c’est de la jalousie. En plus, j’ai été la première à me faire caresser par elle, c’est bizarre cette réaction.–Non, elle est normale, c’est l’amour qui parle, tu nous aimes et tu aimerais bien nous avoir toujours avec toi, je suis comme toi, je ne suis pas très bien sans vous, j’ai besoin de votre présence. 
Nous nous enlaçons pour nous embrasser longuement, nous sommes seules au monde, plus rien ne compte que notre amour. Quand nos bouches se séparent, Manon est debout, elle veut récupérer sa serviette, nous libérons la place. Elle se jette entre nous deux pour nous rabattre sur son corps.
–Je suis si bien avec vous mes chéries, je n’aurais jamais cru vivre une si merveilleuse vie, je vous aime à la folie.–Mais tu vas voir de temps en temps si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs.–Oui, et je peux te dire qu’elle est très fraîche son herbe, mais elle quitte Agde dans une heure avec son copain et retourne en Angleterre, ils décollent de l’aéroport d’Agde. Ils sont tous les deux français et redoutent les conséquences du Brexit pour le boulot de son mec.–J’ai toujours dit qu’il fallait laisser l’Angleterre aux anglais, que vont-ils faire chez l’ennemi héréditaire ?–Toujours cet amour de l’Angleterre et des anglais.–Comme tu vois, n’oublie pas que ma grand-mère maternelle était écossaise et son mari irlandais de Dublin.–Tu m’en diras tant.–Bon, il se fait tard, j’ai envie d’une douche et de câlins avec mes amours, ok ?–Ok ma chérie, allons-y, tata, frangin, on y va !!
Nous rentrons au bungalow, mais la douche est minuscule, nous allons au sanitaires qui ne sont pas très loin. Les douches sont devant une glace, c’est marrant de prendre sa douche au milieu d’une multitude d’inconnus nus. Je vois une femme qui se lave le sexe en écartant bien les jambes le plus naturellement du monde sans connotation érotique. Nous retournons au bungalow pour aller faire les courses, les câlins attendront.
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