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Naomi

Chapitre 35

Hétéro
Anaïs Le repas avance, Anaïs s’occupe des enfants mais aussi de tout le monde, elle rempli les verres vides, enlève les miettes de pain, vérifie constamment que tout va bien. Elle vient entre moi et Julie pour nettoyer les miettes de pain, je laisse traîner mon bras, elle vient coller sa jambe dessus. Ma main se plaque sur son mollet et remonte lentement, elle me regarde en souriant. Ma main finit entre ses cuisses pour atterrir sur une vulve ruisselante. Je glisse un doigt entre ses lèvres, elle se tend un peu. Je sens une autre main venir rejoindre la mienne, c’est celle de Julie qui avance vers ses lèvres. Je lui laisse la place, elle lui enfonce trois doigts et commence des va et vient. Ma main glisse vers ses fesses pour les caresser, je la sens se raidir lentement, elle va jouir là, debout au milieu de tout le monde qui la regarde sachant très bien ce qui se passe. Elle sait être le centre de tout les regards, pose ce qu’elle a dans les mains, s’appui sur la table pour jouir secouée de spasmes de plaisir. –MMMMMMMMMMMMMMMMM Juste un murmure, elle revient à elle rapidement, tout le monde lui sourit, elle reprend ses activités très naturellement. Une dizaine de minutes plus tard, je vois qu’elle reste un petit moment entre Emma et Charlotte, elles lui font la même chose, elle jouit une nouvelle fois debout appuyée sur la table. Une fois revenue à elle, elle réuni toutes les assiettes et les couverts sur une table roulante et quitte la pièce pour aller chercher les desserts. Elle revient avec papa, il nous demande si tout c’est bien passé, il veut profiter un peu de ses arrière petits enfants, mais nous lui disons qu’ils aiment bien être tous ensemble, il décide de les prendre tous et appelle deux serveurs pour l’aider. Il les emmène dans l’arrière-cour du restaurant, ils pourront s’amuser tranquillement. Une fois seuls, nous décidons toutes d’enlever nos jupes que nous posons sur le dossier de nos chaises, même Charlie qui y ajoute son string et Jules qui enlève son short. Emma se lève. –Bon, on lui fait sa fête, je suis sûre qu’elle n’attend que ça, et je propose que même Jules et Charlie s’occupent d’elle.–Ok.–D’accord. L’approbation est générale, tout le monde veut goûter un peu de cette magnifique fille. Quand elle revient, elle réalise toute de suite ce qui va se passer et verrouille la porte. Charlotte et Jade s’occupent de Charlie, Manon et Laurence de Jules. Je ne vois pas ce qu’elles leur font, mais ils doivent bander comme des ânes. Anaïs nous remet des assiettes et des couverts en faisant le tour de la table, elle refait un tour pour nous donner nos desserts, elle termine par Jules. Manon fait glisser le zip de sa jupe qui tombe à terre, elle se laisse faire et nous montre de très belles fesses bien rondes et apparemment assez fermes et un pubis proéminent et lisse. Manon le fait glisser pour laisser apparaître un superbe petit sexe aux lèvres fines et au pubis lisse avec un clitoris qui pointe un peu sa tête rose. Jules lui caresse les fesses pendant que Manon glisse un doigt sur son clitoris bien gonflé et le fait tourner assez rapidement. Elle se redresse en fermant les yeux, Jules fait pivoter légèrement sa chaise pour être juste en face d’elle, Manon la fait tourner vers elle, elle lui déboutonne son corsage et l’ouvre, deux magnifiques seins apparaissent, hauts, fermes, les mamelons érigés avec de petites aréoles brunes. Jules se saisie de ses hanches et la fait descendre lentement sur lui. Manon la retient un peu, je devine qu’elle s’empale sur le sexe de mon chéri. Quand elle est bien assise sur lui, elle commence à monter et descendre sur son vit, mais elle n’est pas très à l’aise, on voit qu’elle a de la peine à faire ces mouvements. Jules se redresse toujours empalé dans son sexe et la couche sur le ventre sur la table. Il donne de grands coups de rein en utilisant toute la longueur de sa bite. Elle devait être très excitée car elle jouit assez vite secouée de spasmes de plaisir avec toujours ce murmure. –MMMMMMMMMMMMMMMMM Jules se retire, il n’a pas jouit, Manon se couche sur la table à côté d’Anaïs et il l’empale d’un seul coup. Anaïs reste encore dans la même position, elle récupère lentement, Charlie se lève, il vient derrière elle et lui enfonce d’un seul coup sa bite dans le sexe. Je vois qu’elle sourit, elle en veut encore, Charlie se déchaîne sur son antre, Anaïs donne des coups de rein en arrière pour accentuer la pénétration, mais cette fois, elle s’exprime. –Oh oui, vas-y, donne moi ton jus, je veux te sentir m’inonder mon puit d’amour.–Ok ma belle, je vais que satisfaire. Elle accélère le rythme, Anaïs semble beaucoup apprécier, son sourire en dit long. Je vois Jules se raidir en même temps que Manon qui jouit en le disant. –Oui, rempli moi mon amour, je veux ton jus, oui, oui, oiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. 
Elle se redresse un peu, juste pour apprécier encore plus son orgasme. Anaïs n’est pas en reste, je vois ses mains se crisper sur la nappe, elle est au bord de l’orgasme, Charlie doit le sentir car elle donne des coups de rein encore plus violents, elle se lâche. –Tiens, prend ça, c’est pour toi.–Oui, oui, je te sens jouir en moi, oh que c’est bon, oui, oh que c’est bon, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle aussi s’exprime, elle est tendue sur la table, Charlie se vide en elle, elle lève ses fesses le plus possible pour le sentir encore plus. Quand elle revient à elle, Charlie se dégage, elle va s’assoir sur sa chaise, je me lève pour venir faire mette Anaïs sur le dos et lui écarter les jambes. –Ce n’est pas fini ma belle, maintenant, on récupère le sperme que tu as reçu. Je me penche sur son sexe et aspire un peu, je récupère un peu de sperme, mais ce n’est pas le but final de mon action. Ma langue se déchaîne sur ses lèvres luisantes et appétissantes, elle est très réceptive, je la sens se raidir lentement, elle se donne, elle a encore envie de jouir. Mais je veux en laisser pour les autres, je me redresse remplacée par Charlotte. Anaïs jouit une première fois avec elle, Emma la remplace, suivie de Cécile qui la fait elle aussi jouir. Julie s’occupe elle aussi de ce superbe sexe offert, Anaïs ne bouge plus, elle reste sur le dos avec un merveilleux sourire de plaisir. Quand elle se redresse, c’est Laurence qui la remplace pour la faire jouir une nouvelle fois. Elle est remplacée par Jade et pour finir Manon qui l’amène encore au septième ciel. Quand nous avons fini, tout le monde s’assoie, Anaïs reste sur la table, les jambes ouvertes, elle récupère, elle semble complètement dans les vaps. Je prends un morceau de mangue et vais le tremper dans son vagin, je le croque. –Hum, délicieux, voyons avec la crème ? J’enfonce un peu le morceau restant dans son sexe, je le récupère avec ma langue, je vois qu’Anaïs réagit, son ventre donne de petits coups en avant. Jules m’imite suivit de tout le monde, elle jouit encore deux fois, mais cette fois-ci, elle abdique. –Merci à tous, ce fut merveilleux mais je n’en peux plus, il faut que je récupère, je dois encore travailler, s’il vous plait, je veux récupérer.–Ok chérie, on te laisse, on finit notre dessert.–Ah bon, mais je croyais que c’était elle le dessert.–Julie, tu en veux un peu trop, mange ta mangue. Tout le monde rit, Anaïs se détend, elle finit par se lever, mais Manon en profite pour lui caresser les fesses et déposer un baiser sur ses seins. –Fais le tour, on veut tous te remercier de nous avoir donné ton merveilleux corps.  Elle fait le tour de la table, tout le monde la caresse et lui embrasse les seins. Elle se rhabille lentement, comme à regret, nous l’imitons tous. Quand tout le monde est présentable, elle va déverrouiller la porte, personne n’a voulu venir, c’est une chance. Le repas a été superbe, nous allons rejoindre papa qui est avec les enfants qui l’ont adopté, ils s’agglutinent autour de lui, mais quand ils voient leurs mères, ils se précipitent dessus. Papa vient vers moi. –Ils sont adorables, il faut que tu me les amène plus souvent.–Ok papa chéri. Je l’enlace pour l’embrasser, il me serre contre lui, je sais qu’il aimerait que je vienne plus souvent le voir, mais ce n’est pas trop possible, les contraintes sont trop importantes. Nous payons le repas, nous avons mis les choses au point, papa ne voulait pas que l’on paye, mais nous lui avons dit que si nous ne payons pas, nous ne viendrons plus, il a compris mais nous fait tout de même un prix spécial. Je vais voir Abdoul dans la cuisine, c’est un homme très grand, très noir, un vrai casamançais. Quand il me voit, il vient vers moi, se penche et me prend dans ses bras pour me soulever, mes pieds sont à vingt centimètres du sol. –Alors jolie cousine, tu as aimé ?–Nous avons tous adoré, c’était divin.–Tu pars ?–Oui, je viens te dire au revoir. Il m’embrasse affectueusement sur les deux joues, je l’imite. Il me dépose à terre, c’est un garçon un peu timide, il ne se livre pas facilement, mais nous avons d’excellents rapports depuis qu’il travaille au restaurant. Je rejoins tout le monde et nous partons pour Lanta. –J’ai l’impression qu’Anaïs aurait bien aimé aller plus loin avec nous.–Moi aussi, mais je crois que nous avons atteint la limite, d’un autre côté, ces petits bonus sont très agréables, je me suis bien amusé.–Moi aussi. Tout le monde est d’accord dans la voiture, les enfants dorment, ils sont épuisés. Quand nous arrivons, nous les mettons directement dans leurs lits sans les déshabiller, on verra ça au réveil. Nous allons tous dans la piscine sauf Charlie et Cécile qui veulent rester avec les enfants. Julie est déchaînée, elle passe de l’un à l’autre, caresse d’un sein, d’une fesse, d’une bite qui se redresse de plus en plus. Elle finit par s’empaler dessus en ceinturant Jules avec ses jambes. Il la maintient à bonne hauteur avec ses bras, elle se fait l’amour toute seule en montant et descendant sur sa bite accrochée à son cou qu’elle embrasse de temps en temps. Elle finit par jouir en s’exprimant très fort. –Ah oui, je jouis sur ta bite mon amour, que c’est bon, que c’est bon, je joui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Pendant ce temps, Manon est tête-bêche avec Emma sur un transat comme Charlotte et Jade. Laurence est entre mes jambes, je suis allongée sur une marche de la piscine, elle a passé mes jambes sur ses épaules et me broute le minou avec ardeur. Je me laisse aller, j’adore me faire faire une minette, surtout que Laurence est une championne. J’explose dans un sublime orgasme, tendue comme un arc sous la bouche et les caresses de Laurence. Elle me libère les jambes, je vois Jules venir derrière elle, il bande toujours, elle se retourne pour tomber nez à nez avec lui, elle lui tend les bras et se colle à lui. Il s’introduit en elle délicatement et lui fait l’amour lentement, comme elle aime. Elle se donne à lui, je me redresse pour lui caresser les fesses et remonter mes mains sur ses seins. Elle me fait comprendre qu’elle aime, je continu jusqu’à ce que je la sente vibrer contre le corps de Jules qui lui aussi se raidi et jouit en elle. Nous sortons tous de la piscine, juste pour entendre Cécile jouir, ils surveillent bizarrement les enfants !! L’après-midi s’écoule lentement, les enfants se réveillent et viennent jouer dans le parc de la piscine.  La vie a reprit ses droits, nous sommes retournés au travail, Laurence grossi lentement, en janvier, on lui annonce que c’est un garçon, nous décidons tous de l’appeler Charles parce que ça commence par un C et pour Charlie. Le quinze mars deux mille dix sept, elle accouche, tout le monde est là, même les enfants qui veulent voir ce bébé. Claudia n’arrête pas de le caresser, je crois qu’elle est tombée amoureuse de son « frère ». Le temps passe, les enfants grandissent, comme je l’avais remarqué à la naissance de Charles, Claudia est aux petits soins pour son petit frère, elle l’adore et s’occupe beaucoup de lui. Mais le confinement est venu bouleverser un peu notre vie, nous sommes restés trois mois dans la maison, au début, je craignais que cette obligation de rester tout le temps ensemble ne crée des tensions dans le groupe, c’est Laurence qui a eu l’idée de le faire évoluer. Nous ne restions jamais tous ensemble et avec les même personnes. La nuit, nous ne dormions jamais avec les mêmes, une fois, je dormais avec Emma, Jade, Charlie et Cécile, une autre fois avec Cécile, Jules, Charlotte et Laurence, les groupes changeaient tous les jours, ça nous a permis de tenir, nous en sommes même sortis renforcés dans notre amour pour les autres.  En juin deux mille vingt, nous avons constaté une petite fuite dans la tuyauterie de la piscine, nous avons contacté le fabricant qui nous envoie un technicien le lendemain pour constater les dégâts et réparer le cas échéant. Je prends un jour de récup pour être présente avec Laurence, nous nous sommes habillées pour la venue du technicien. Je porte un tee-shirt assez ample sur un short me couvrant entièrement les fesses, je ne veux pas le provoquer. Laurence est habillée d’une robe mi cuisse boutonnée devant avec trois énormes boutons, j’ai pu constater qu’elle n’a rien dessous, notre contact l’a émancipé, elle se monte plus, elle ne s’habille plus quand elle est ici, je pense même qu’elle aime se promener nue. Les enfants sont à l’école, moyenne section pour les plus jeunes et grande section pour Claudia, nous les récupérons à dix-sept heures. Charles est aussi à l’école, il démarre la petite section, l’école des enfants l’a accepté juste après ses trois ans car ils ont compris qu’il ne supportait pas d’être séparé de ses frères et sœurs, il ne comprenait pas.  A notre grande surprise, nous voyons arriver une très jolie jeune femme de vingt-cinq ans maxi. Elle est en tenue de travail, combinaison intégrale mais tout de même assez moulante nous faisant deviner un corps parfait. Sa fermeture éclair n’est pas entièrement remontée et laisse apparaître la naissance de ses seins à priori libres. Elle va dans le local technique, elle constate la fissure d’une soudure. Il faut arrêter les pompes, vider un peu la piscine et tout démonter pour ressouder la pièce, elle n’a pas la pièce adéquate pour la remplacer dans son camion. Une fois les pompes arrêtées et la vidange entamée, il ne reste qu’à attendre une petite demi-heure pour pouvoir démonter les pièces. –Ça vous dit un café ?–Volontiers, nous avons un peu de temps devant nous.–Serré ?–Pas trop fort s’il vous plait.–Capriccio ou Volluto ?–Volluto s’il vous plait.–Et toi Laurence, Roma comme moi ?–Oui. Laurence et la fille s’assoient côte à côte à la table de la piscine, je vais préparer les trois cafés. Quand je reviens, je les vois rire, elle semble bien s’entendre. Je remarque aussi que Laurence ne serre pas ses cuisses, la fille a une vue plongeante sur son sexe que je trouve bien brillant. Le regard de Laurence sur la fille ne laisse aucun doute sur ses intentions.
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