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Natalia chez son kiné

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je m’appelle Natalia, et ce matin-là j’avais pris rendez-vous chez Mr Robio, mon kiné, pour une douleur violente dans le bas du dos. J’étais tombé assez violemment en ski deux ans auparavant, et j’avais depuis ce jour une douleur chronique au niveau du coccyx. Cette douleur revenait de temps en temps et j’avais trouvé un super kiné qui, en deux trois manipulations, me soulageait considérablement.Bien sûr ces manipulations n’étaient pas toujours très agréables, car il était parfois nécessaire de manipuler le coccyx en passant par le rectum. Mais ce kiné était très doux et très doué, ce qui fait que je passais volontiers outre ce petit désagrément afin de soulager ma douleur.Lorsqu’il arriva, comme à l’accoutumé, dans la salle d’attente pour m’appeler, je me levai et me dirigeai, légèrement penchée par la douleur, vers son bureau, impatiente qu’il me soulage.Je fus surprise de voir qu’une troisième personne était déjà assise dans la pièce, légèrement en retrait. Il était jeune, plus jeune que Mr Robio qui frôlait la cinquantaine, et était plutôt charmant. Je n’aurais pas été pliée en deux, je crois même pouvoir dire qu’il m’aurait plu. Cependant, non seulement la situation ne s’y prêtait pas, mais en plus ma timidité naturelle m’aurait comme d’habitude bloquée. A 31 ans, malgré un physique que les hommes trouvaient très plaisant, j’étais encore célibataire car j’étais incapable d’être naturelle devant un homme. A peine m’adressaient-ils la parole que je bafouillais quelques mots incompréhensibles, ce qui me valaient au mieux un hochement de tête et un « à la prochaine » un peu blasé, et dans le pire des cas une drague bourrin, commençant toujours par une discussion pendant laquelle mon prince charmant ne parlait que de lui et se finissant par une proposition directe de venir dormir chez lui.Bref, j’étais timide, et aucun homme n’avait eu la patience de s’intéresser à moi pour autre chose que mon physique et je désespérais de trouver quelqu’un qui prendrait le temps de voir au-delà de mes bafouillages.
— Asseyez-vous Mlle Béati, je vous en prie !
Ces paroles de Mr Robio me sortirent de ma rêverie. Comme prise en faute, je cessais de regarder le jeune homme derrière lui et me mit instantanément à rougir. Ce qui ne leur échappa pas, j’en suis certaine. C’est la plaie de ma vie : n’arrivant pas à exprimer ce que je ressens par la parole, je l’exprime par le corps et, notamment, dès que je suis gênée, je rougis.
— Je dois commencer par vous présenter Sylvain Cerret. Il est étudiant en dernière année et sera Kiné dans quelques mois. Il fait un stage dans mon cabinet. Sa présence n’est évidemment pas obligatoire. Acceptez-vous qu’il participe à notre séance ?
Tout en moi disait « non ! ». Repensant aux différentes manipulations que m’avaient faites Mr Robio, je n’avais aucune envie qu’une tierce personne y participe. Mais comme d’habitude ma timidité pris le dessus et je ne parvins pas à le contredire. Je bafouillais un vague « oui », tout en rougissant et en regardant mes pieds.
— Très bien, merci pour lui. Sylvain, Mlle Béati souffre d’un troma au niveau du coccyx et du bassin datant d’une mauvaise chute à ski il y a deux ans. C’était en … attendez j’ai dû le noter sur le dossier… en février 2016. C’est bien ça Mlle Béati.— Oui, je…— J’ai plusieurs fois manipulé son bassin et son coccyx et la situation s’est améliorée, même si des crises surviennent toujours épisodiquement. J’imagine que vous êtes là aujourd’hui à nouveau pour ce problème ?— Oui, il…— Bien. Nous allons passer dans la salle d’examen.
La salle d’examen était située derrière le bureau. Propre, blanche et lumineuse, elle communiquait avec celui-ci par une porte que Mr Robio referma doucement.
— Allongez-vous sur le ventre, en sous-vêtements s’il vous plait.
Pendant que je m‘exécutais, Mr Robio s’adressa à son jeune élève.

— Je vais toucher son dos pour faire un diagnostic, mais je ne vais rien te dire. Je souhaiterais que tu fasses ensuite aussi un diagnostic, et que tu me dises ce que tu ferais dans ce cas.
Sans attendre de réponse, il se dirigea vers moi et commença à me palper le bas du dos. Il me fit faire quelques mouvements avec la jambe en me demandant si j’avais mal. Lorsqu’il eut finit, il fit signe à Sylvain qui, à son tour, m’examina de façon presque identique.
— Conclusion ? demanda Mr Robios
Le sylvain en question commença alors un long discours auquel je ne compris rien du tout, si ce n’est, dans la conclusion, les mots que je redoutais tant. Mr Robio s’adressa alors à moi :
— Ce que viens de dire Sylvain, et je suis tout à fait d’accord, c’est que votre coccyx doit être remis en place de nouveau. Il va donc procéder à une manipulation interne via votre rectum. Nous en avons déjà fait quelques-unes. Repliez vos jambes sous votre ventre et asseyez-vous sur vos talons pour l’instant s’il vous plait.
Je m’exécutais. J’avais envie de demander à Mr Robio de faire sortir Sylvain de la pièce, mais je n’osais pas. En même temps, l’idée qu’il assiste à la scène me terrifiait.
— Sylvain va procéder à la manipulation. Nous n’avons pas souvent l’occasion de de la pratiquer. Sauf si cela vous dérange ?— Non, non bredouillais-je…
Quelle conne. Encore une fois ma timidité me mettait dans une situation plus qu’inconfortable. Je venais d’autoriser ce gamin de moins de 25 ans à me mettre deux doigts dans l’anus. Et le plus naturellement du monde en plus. J’étais écarlate de honte. Je croisai à ce moment le regard du dénommé Sylvain, et je fus certain qu’il l’avait remarqué. De toute façon j’avais tout le temps l’impression de rougir et que tout le monde ne voyait que ça.
— Bien, remontez le bassin s’il vous plait en gardant le front sur vos avant-bras. Voilà, jambes fléchies comme si vous étiez à quatre pattes. Vous ne devez pas fatiguer. Ça va comme ça ?... bien. Sylvain, baissez la culotte légèrement… Non pas tant que ça. Ce n’est pas la peine de dévoiler autant son sexe, c’est gênant pour les patientes. Nous n’avons besoin que d’avoir un accès à l’anus. Bien… remontez là encore… bien.
J’étais pétrifiée. Entendre les détails sur ce qu’ils voyaient de mon anatomie était encore plus gênant que toutes les manipulations que j’avais eues jusqu’à aujourd’hui. Je ne sais pas si Mr Robios se rendait compte de ce qu’il disait ? Il avait l’air de donner un cours, comme si de rien n’était.
— Voilà nous y sommes. Mlle Béati, pouvez-vous écarter les jambes s’il vous plait ? Voilà, encore un peu s’il vous plait. Parfait.
J’étais donc à quatre pattes, la culotte baissée (légèrement apparemment) avec deux hommes debout derrière moi, étudiant mon cul avec application. Vous dire que j’étais gênée est tellement en dessous de la réalité…
— Tu vas prendre un peu d’huile là-bas et en mettre sur ton gant et sur son anus. Tu vas ensuite brièvement et légèrement masser son anus afin de le détendre et de rendre la pénétration de tes deux doigts moins douloureuses. Compris ?— Absolument. Nous avons déjà pratiqué plusieurs fois cette manipulation à l’école.— C’est une chose de le faire à l’école, c’en est une autre de le faire dans un cabinet sur une vraie patiente. C’est pour ça que…
Mr Robio fut interrompu par la sonnerie du téléphone, dans son bureau.
— Commence ce que je viens de dire, mais attends-moi pour la manipulation, je reviens.
Mr Robio quitta la salle d’examen, et le dénommé Sylvain se dirigea vers le distributeur d’huile. Il appuya dessus avec le coude tandis qu’il récoltait le lubrifiant sur le gant de sa main droite. Puis il repassa derrière moi.Pendant quelques secondes, il ne se passa rien. Puis je sentis nettement ma culotte se baisser de nouveau.
— Désolé, mais je ne suis pas à l’aise… se contenta-t-il de dire.
Sauf que, même si je ne pouvais pas la voir dans ma position, je sentais nettement qu’il avait descendu ma culotte jusqu’aux genoux. Vue ma position, il avait une vue imprenable sur mon cul, mais aussi sur mon sexe.Puis je sentis ses doigts. Il appliqua l’huile avec précaution, et commença à faire des petits ronds sur mon anus avec son index et son majeur. J’étais pétrifiée par la gêne, et en même temps je commençais à sentir quelque chose de nouveau monter en moi. Quelque chose qui ressemblait à du plaisir et qui me faisait plus peur encore.
— Détendez-vous s’il vous plait, je ne voudrais pas vous faire mal.
Ces quelques mots me sortirent de mes pensées. Je n’allais quand même pas avoir du plaisir avec un inconnu ! Au moment où j’allais lui dire d’attendre Mr Robios, je sentis qu’il enlevait ses doigts. Rassurée, je commençais à me dire que le pire était passé.
— Ça commence à être pas mal, je pense. Attendez.
Attendez quoi ??? Je me demandais ce qu’il voulait dire, lorsque je sentis qu’il posait ses deux mains sur mes fesses, ses pouces entre mes cuisses à quelques millimètres de mon sexe, et qu’il les écartait.
— J’ai une idée pour vous détendre en attendant Mr Robios, ne bougez pas.
Il retourna sur la table située devant moi et se saisit de la bouteille d’huile. Il dévissa le bouchon, repassa derrière moi et commença à en vider sur mon sexe. Sa main gauche, située entre mes jambes, retenait l’huile pour qu’elle ne coule pas sur la table. Lorsqu’il eut fait couler un filet, il reposa la bouteille et remonta sa main gauche, en partant de mon pubis, caressant mes lèvres et finissant sa course sur mon anus.J’étais pétrifiée par la honte, et maintenant aussi par un plaisir qui explosait dans mon ventre. C’était une première pour moi. J’avais déjà eu du plaisir, avec des hommes, bien sûr, mais jamais comme ça.C’est le moment que choisit Mr Robios pour revenir dans la salle d’examen.
— Désolé, me revoici. Bon où en étions-nous déjà ?
Il passa derrière moi et à son tour admira mon cul.
— Qu’as-tu fait Sylvain ? J’avais demandé de mettre un peu de lubrifiant sur son anus. Tu en as mis partout ! Regarde, il y en a même sur son sexe. Attends…
Il se saisit de quelques feuilles essuie-tout et entrepris d’ôter l’huile sur mon sexe.
— Voilà, pas besoin d’en mettre partout…
Les feuilles d’essuie-tout passèrent d’abord sur mes cuisses, mes fesses, mais arrivèrent rapidement sur mon sexe. Mr Robios semblait s’appliquer et je le sentis m’essuyer le pubis, les lèvres, puis bientôt entre les lèvres, sur le clitoris.
— Voilà, voilà. Bon… mais… vous mouillez Mlle Béati ? Il y a une légère rosée entre vos lèvres qui revient tout le temps.
Cette remarque, faite avec tellement de naïveté, finit de me clouer à la table d’examen. J’étais écarlate et je ne pouvais plus bouger. Comment me sortir de cette situation ? J’étais en train de mouiller devant deux hommes que je ne connaissais pas et qui semblaient observer la chose avec professionnalisme.
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