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Natalia chez son kiné

Chapitre 3

Lesbienne
Plusieurs mois s’étaient écoulés depuis ma visite chez le kiné, et je n’avais pas osé y remettre les pieds. Une partie de moi avait adoré cette expérience, mais une autre était honteuse, n’assumant pas du tout ce qui s’était passé.En outre, ne ressentant plus du tout de douleurs dans le bas du dos, je n’avais pas eu de raison d’y retourner.Cet après-midi-là je buvais un café dans un salon de thé parisien avec une de mes meilleures amies, Alice, et nous parlions de tout et de rien…  En fait pas tout à fait : nous parlions surtout de mon célibat qui commençait à s’éterniser. La timidité dont je souffre, et dont j’ai déjà parlé, me bloque complètement dans mes relations avec les hommes. Sans parler des hommes qui n’ont pas d’autre idée en tête qu’un coup d’un soir, comme on dit, si l’un d’entre eux me plait, même un tout petit peu, je me mets à rougir, à chercher mes mots, voire à dire des choses complètements idiotes pour essayer de donner le change. Et ça se termine toujours en catastrophe. Je vois les hommes me regarder, me désirer, mais lorsque je leur parle, ils se marrent et ils s’en vont. Et dans le pire des cas, ils s’amusent à me faire rougir, jusqu’à ce que ce soit moi qui m’en aille.Bref, nous parlions de mes déboires avec les hommes et du fait que je n’avais pas eu de relation sexuelle avec un homme depuis presque deux ans. Sans compter, bien évidemment, mon aventure chez le kiné que je n’avais pas osé raconter à Alice...Nous en étions là de notre conversation, lorsque je vis Robio (le fameux kiné) rentrer dans le salon de thé. Je suspendis mon geste et me mis instantanément à rougir, ce qui n’échappa pas à Alice. Elle regarda l’inconnu et me regarda de nouveau. Cela dû attirer l’attention de Robio qui me vit et m’adressa un large signe. Immédiatement il se dirigea vers notre table.
— Bonjour Mlle Béati. Je suis ravi de vous revoir.— Bonjour, bafouillais-je— Je suis vraiment désolé pour l’autre jour… Pour votre information, j’ai viré Sylvain dès le lendemain de notre aventure. Son comportement à votre égard a vraiment manqué de professionnalisme. Votre Coccyx va mieux ?
Je devins immédiatement pivoine, ce qu’Alice remarqua immédiatement.
— Oui, oui… merci.— N’hésitez pas à revenir, maintenant que Sylvain n’est plus là. J’imagine que vous avez tout raconté à votre amie ? quelle histoire…
Je me fis la remarque qu’il évitait soigneusement de mentionner qu’il n’était pas complètement innocent et qu’il n’était pas prêt de me revoir dans son cabinet. J’en étais là de mes pensées lorsqu’Alice posa la question à laquelle je ne voulais pas répondre…
— Non, Natalia ne m’a rien raconté. Que s’est-il passé ?— C’est vrai demanda Robio ?  Elle ne vous a pas raconté comment mon assistant lui a donné du plaisir pour faciliter une manipulation un peu désagréable ?— Non, je ne lui ai pas raconté ! m’entendis-je répondre.— Non elle ne m’a pas raconté ! s’exclama Alice. Qu’est-ce que c’est que cette histoire Natalia ?— Eh bien, repris Robio, c’était il y a 3 ou 4 mois. J’avais pris un stagiaire et…
Je n’en croyais pas mes oreilles. Robio, le plus naturellement du monde, se mit à raconter ce qui s’était passé dans son cabinet ce jour-là. Je fis plusieurs tentatives pour arrêter son récit, mais dès les premiers mots la honte me tétanisa et je ne parvins qu’à bafouiller quelques sons qui ne détournèrent pas du tout l’attention d’Alice. Il raconta tout, et ne s’arrêta même pas lorsqu’un serveur vint débarrasser notre table. Je vis le serveur me regarder d’une drôle de façon… mon visage rouge de honte m’avait de nouveau trahi et il avait sans doute deviné que Robio parlait de moi. Ou alors c’était mon imagination… Alice buvait son récit et me jetait par moment un regard complice, amusé, voire même coquin.
Je découvris que la femme qui nous avait rejoints à la fin de la ‘séance’ de kiné et qui m’avait prise en photo nue, était son assistante. Je remarquai aussi qu’il minimisait son rôle. Mais surtout, je ne savais plus où me mettre. Comme à son habitude, il raconta tout très simplement, comme s’il avait parlé de ses vacances à un vieil ami.
— Alors là, je ne peux pas y croire dit Alice lorsque Robio eut fini. Natalia, c’est bien toi qui était là-bas ?— Non… enfin oui mais…— Oui, oui, c’est bien elle. Regardez la photo qu’a faite ma secrétaire. D’ailleurs, je me demandais si vous vouliez la récupérer Mlle  Béati ?
Habitions-nous sur la même planète ? Ma meilleure amie et mon kiné parlaient de ma sexualité devant moi, comme si je n’étais pas là. J’avais l’impression de perdre le contrôle de la situation de la même façon que ce qui s’était passé dans son cabinet. Les évènements se déroulaient devant moi et j’étais impuissante à les changer.Je le vis donc tout naturellement sortir son portable, chercher les photos promises et tendre son smartphone à Alice, dont la moue perplexe se transforma immédiatement en sourire de complicité avec Robio.
— C’est donc ça qui t’excite ? me demanda-t-elle. Pourquoi ne m’en as-tu jamais parlé ?— Mais l… commencais-je— Je suppose qu’elle est trop timide précisa Robio. Mais je crois aussi que ce qui l’excite, c’est de perdre le contrôle de la situation. Sa timidité est sans doute une forme de prétexte, de mécanisme de défense.— Mais vous…— C’est incroyable reprit Alice, m’empêchant d’en placer une. Moi qui te prenait pour une coincée.— Ho que non. Mlle Béati est au contraire très extravertie. Il faut juste trouver comment l’exciter. Et ça ne doit pas passer par le langage, car sinon elle perd ses moyens.— Mais arrêtez de parler de moi comme si je n’étais pas là ! Parvins-je à placer. Ou du moins je le crus car Alice reprit aussitôt :— Et comment faut-il s’y prendre ?— Et bien je pense que d’abord il faut un prétexte. Dans mon cabinet, il s’agissait d’un soin. Ici il en faudrait un autre… réfléchissons…— J’ai une idée enchaina Alice… que je croyais jusqu’alors être mon amie. Nous avons les photos !— Et… Ho, je vois excellente idée. Vous pensez que la menacer de les montrer pourrais-être un bon début ? Ça pourrait marcher.— Natalia, me dit Alice en me fixant dans les yeux avec un regard coquin que je ne lui connaissais pas. Je veux que tu enlèves ton soutien-gorge.
Je devins rouge de honte. Et en même temps… Je dois avouer que d’entendre de nouveau mon histoire m’avait un peu excitée. Mais de là à enlever mon soutien-gorge, sachant parfaitement que mon chemisier transparent ne cacherait plus rien à ma poitrine… Et puis d’ailleurs, pourquoi l’aurais-je fait ? Le problème, comme d’habitude, c’est que je voulais leur faire une réponse bien sentie, mais que rien ne parvenait à sortir de ma bouche.
— Il faut le prétexte ! lui répondit Robio.— Natalia, reprit Alice, je veux que tu enlèves ton soutien-gorge, sinon je diffuse cette photo.— Tu n’oserais pas, je…— Tu veux vérifier ?
Et je vis, sur le téléphone, une photo de moi, nue sur la table d’examen, avec un masque sur la tête et les jambes écartées. Je devins instantanément pivoine foncée… mais je ne bougeais pas.
— OK me dit Alice. Alors je vais le faire.
Elle se glissa derrière moi et dégrafa mon soutien-gorge. Deux ou trois personnes regardèrent distraitement dans notre direction, dont le serveur qui semblait se demander si nous voulions quelque chose.
— Aide-moi, sinon je te promets que je diffuse cette photo !— Attends ! Parvins-je à articuler. Je vais m’en charger.
Je me levais et me dirigeais vers les toilettes. Je me disais que l’opération serait plus discrète qu’en plein milieu du salon de thé. Mais j’avais sous-estimé la transparence de mon chemisier et je me rendis immédiatement compte, en revenant, que plusieurs yeux se braquaient vers moi. Ou plus exactement en direction de ma poitrine. Je baissais la tête, mortifiée.
— Vous voyez ! s’exclama Robio— Incroyable. Moi qui me demandais si elle était frigide.— Je suis certain au contraire que tout cela l’excite énormément.— Vous pensez ? Natalia, viens t’assoir à côté de moi, sur la banquette, je voudrais vérifier quelque chose.
Baissant toujours la tête pour éviter les regards des autres hommes du restaurant, je m’assis à côté d’Alice. Elle posa immédiatement sa main sur mon genou et entreprit de remonter ma jupe. Elle me demanda de me soulever et remonta le dessous de ma jupe de façon à ce que mes fesses se retrouvent sur la banquette. Dans un accès de pudeur, je tirai sur ma jupe mais je ne parvins qu’’à redescendre le dessus sur mes genoux, sans rien changer à la situation de mes fesses. Et elle profita de ce mouvement pour glisser sa main sous moi et caresser ma culotte.
— Elle mouille !— Vous voyez ! J’en étais sûr. Ce n’était pas un hasard l’autre fois.— Sa culotte est trempée ! — Et ses seins sont en train de gonfler. Je pense que nous allons nous amuser ce soir.
La main d’Alice était en train de caresser ma culotte, provoquant en moi une explosion de plaisirs. Je commençais à haleter et à me demander s’ils n’avaient pas raison tous les deux.Elle passa ses doigts sous un des élastiques de ma clotte et commença à fouiller mon intimité.
— Elle est épilée. Tant mieux, je préfère annonça Alice tout naturellement.
Ses doigts se promenaient entre mes lèves, caressaient mon clitoris. J’étais trempée de désir et je sentais mon plaisir monter de plus en plus haut. Là, sur la banquette du salon de thé, en public, ma meilleure amie était en train de me masturber. La situation était de nouveau en train de m’achapper…Elle fit plusieurs aller-retour, en maintenant deux de ses doigts à l’entrée de mon sexe ce qui me rendait folle. Mon corps tout entier voulait qu’elle s’enfonce en moi. Elle devait le sentir car elle ne le faisait pas. Elle tirait doucement sur les lèvres, tournait autour de mon clitoris le massait avec beaucoup de douceur, faisant monter tout doucement mon plaisir. Je me cambrais de plus en plus et tentait de cacher ma respiration qui s’accélérait. Je serrais le bord de la table de toutes mes forces avec mes deux mains.
— Je suis désolé mais nous fermons dans dix minutes.
Le serveur me fit sursauter. Prise dans mon plaisir je ne l’avais pas entendu arriver. Il me regardait bizarrement et je sentais son regard glisser régulièrement vers ma poitrine. Il ne pouvait pas voir la main d’Alice qui continuait à me caresser, mais son expression montrait clairement qu’il se doutait de quelque chose.
— Attendez ! le rappela Alice. Je viens d’avoir une idée glissa-t-elle à Robio. Elle se plaint souvent de ne plus avoir de relations avec des hommes, nous allons y remédier.— Je sens que je vais m’amuser ! répéta Robio— Natalia, je vais te trouver des hommes pour jouir. Ok ?— Non… Oui… m’entendis-je répondre, comme si la voix venait de quelqu’un d’autre que moi.
Je ne saurais jamais si c’est ma timidité qui m’empêcha de m’opposer au désir d’Alice et de Robio, ou si ce sont ses caresses qui me faisaient complètement tourner la tête. Toujours est-il que je n’avais pas bien saisi ce à quoi de venais de dire oui…
— Oui madame ? demanda le serveur qui venait de revenir.— Et bien… comme vous voyez, mon amie est canon et elle voudrait devenir une professionnelle du sexe. Je me disais, comme l’heure de fermeture approche, qu’elle pourrait faire une sorte de baptême en proposant ses services à la table des quatre messieurs qui sont là-bas…— Madame, ce n’est pas du tout le style de notre établissement !— Bien sûr, bien sûr, mais ce serait pour rendre service. De plus, l’argent collecté vous serait intégralement reversé. Et vous pourriez aussi profiter de ses services gratuitement. De combien de temps avez-vous besoin après la fermeture pour tout ranger ?— Une heure environ, mais…— Donc si nous donnons une heure à ces messieurs, et s’ils sont d’accord, cela ne gênera personne ?— En effet… Je vis le regard du serveur changer. Il passa de l’incompréhension au désir. Lentement l’idée faisait son chemin dans sa tête.— Non, je ne… commençais-je à protester. Mais Alice, comprenant que j’allais refuser, choisit ce moment pour enfoncer ses doigts dans mon intimité. Immédiatement j’explosais de plaisir et ne parvint pas à retenir un orgasme… qui malgré mes efforts n’échappa pas au serveur.— Comme vous voyez, elle est prête ! Dit Alice.
Je compris au sourire du serveur que je n’avais plus aucune aide à attendre de sa part.
— Elle veut devenir professionnelle ? Une jolie femme comme elle ? Et bien… tant mieux pour nous je suppose. Venez avec moi dit-il en me prenant par le bras.
Il regardait maintenant ostensiblement mes seins. Mes aréoles brunes et dressées par le plaisir que m’avait donné Alice se devinaient très bien à travers mon chemisier.
— Elle est vraiment splendide. Et vous dites qu’elle sera à moi ensuite ?— Oui, pendant une heure aussi.— OK, ça me va. Suivez-moi.
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