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Natasha & Franck

Chapitre 10

Travesti / Trans
     L’après midi avançait gentiment. Nous devions reprendre la route. Alors qu’Helen préparait sa valise, Anna appelait sa mère à Salamanca. Elle habitait toujours la maison familiale. Il y avait plusieurs chambres et nous pouvions y dormir cette nuit. Nous n’aurions que trois heures et demie à parcourir pour arriver à Porto le lendemain. Il était presque vingt heures quand nous arrivions à Salamanca. Dolorès était en train de cuisiner. Et visiblement, elle avait mit les petits plats dans les grands. Elle habitait Plaza de Bretón, à égale distance de la cathédrale et de la Plaza Mayor. Une fois nos valises déchargées, elle nous passait les clés pour garer le véhicule dans son garage.
   ─ Helen, emmène tes amis découvrir la vieille ville jusqu’à ce que j’ai fini de cuisiner. Ce sera près dans une heure… mais vous pourrez toujours y retourner après.    ─ D’accord Tía !
     Helen nous entraînait d’abord vers la cathédrale. Je me demandais si c’était la religiosité des philippins qui s’exprimait dans ce choix. En fait, non. C’était simplement parce qu’Helen se doutait que nous resterions à boire quelques verres sur la Plaza Mayor, nous continuerions la visite plus tard. Helen nous montrait l’astronaute sculpté sur une des façades de l’édifice. Personne ne savait pourquoi cet astronaute se trouvait là. Bien que profondément athée, je devais reconnaitre que l’architecture était impressionnante. En fait, deux cathédrales étaient encastrées, ce qui donnait un aspect particulier à ce bâtiment. Tout le quartier était un plaisir pour les yeux et donnait l’impression d’être transporté dans l’histoire. Face à la cathédrale se dressait l’université, un peu plus loin la casa de las conchas, la casa de los muertes. Nous approchions de la plaza Mayor. Comment décrire l’impression que nous faisait cette place ? Un carré inégal d’environ quatre vingt mètres, grouillant de vie, cerné de façades baroques, des galeries sur tout le pourtour avec des commerces, beaucoup de bars où la population se donnait rendez-vous. Les façades étaient illuminées par une multitude de lumières et offraient un cadre grandiose. Nous en avions tous des frissons. Helen avait eu raison de finir sa visite par cette place qui était comme un cœur qui battait au sein de la ville. Nous restions muets d’émerveillement devant ce spectacle.
     Alors que nous buvions quelques bières, une idée me trottait dans la tête. Je demandais à Helen de me suivre à l’intérieur. Natasha a certainement pensé un moment que je voulais l’embarquer dans les toilettes. Mais il n’en était rien. J’avais besoin de ses talents de traductrice. Je lui faisais demander au patron s’il était possible de venir avec nos instruments et donner un petit concert improvisé après avoir mangé. La seule chose que nous demandions, c’était de pouvoir se brancher. Le patron, d’abord dubitatif, acquiesçait quand Helen lui expliquait qu’elle nous avait rencontré lors de notre concert la veille. J’informais les filles de la situation. Les bières furent vite finies et nous nous dépêchions d’aller manger. Nous n’avions pourtant pas très faim, mais Dolorès avait passé du temps à cuisiner et nous ne pouvions pas la laisser tomber. Elle ne nous retint cependant pas mais nous fit promettre d’être plus affamés, soit à notre retour, soit le lendemain. Les heures de repas tardifs nous convenaient finalement très bien.

     Pendant que nous installions les instruments, quelques personnes commençaient à se rassembler. Je demandais à Helen de prendre nos téléphones et de filmer. Quelques courtes séquences de l’installation puis ensuite tout ce qu’elle pourrait du concert. Si, ensuite, j’arrivais à envoyer tout ça à Sabine pour qu’elle diffuse le concert sur le site, cela pouvait nous faire un peu de pub pour les prochaines dates.      Helen eu la géniale idée de filmer l’installation tout en nous interviewant. Elle nous demandait, pour commencer, de nous présenter, puis de parler du groupe, de la tournée. Elle passait quelques instants avec chacun des membres. Cela donnait un rythme très rapide à ces entretiens. Sabine pourrait certainement faire un montage intéressant. Natasha et Kristina étaient prêtes. Pendant que je continuais de m’occuper de ma batterie, Alexandra installait maintenant son clavier. Le bruit circulait déjà qu’un concert totalement improvisé allait avoir lieu. Certains se demandaient s’il s’agissait d’un groupe connu. Natasha commençait à s’adresser au public qui continuait de se regrouper. Helen traduisait au fur et à mesure. L’heure était bien avancée, mais les espagnols étaient naturellement décalés. La foule était compacte autour de nous et la place, sans être totalement bondée, était bien pleine.     Nous avions d’abord décidé de ne pas jouer la totalité des chansons. Mais à chaque fois que nous faisions mine de nous arrêter, les spectateurs des premiers rangs nous en réclamaient davantage. Nous nous accordions tout de même une petite pause. Une des serveuses nous apportait des boissons et quelques assiettes. Dans le public qui attendait la reprise, certains nous interpelaient pour nous remercier de leur faire passer une excellente soirée. Certains, plus hardis, venaient plus ou moins ouvertement discuter avec nous. Helen ne savait plus trop où donner de la tête.
     Puis vint le moment du lourdingue de service. C’était visiblement un touriste, car il ne semblait pas s’exprimer en espagnol. J’avais du mal à comprendre quelle langue il essayait de parler. Il me semblait qu’il tentait de balbutier une langue proche du "charabia liquide". Natasha aussi, sur qui il avait jeté son dévolu, n’entravait pas grand-chose, si ce n’est qu’il la trouvait à son goût. Après avoir essayé de s’en débarrasser gentiment, elle finissait par perdre patiente. Quand d’autres personnes lui posaient des questions, soit il les interrompait soit il devenait agressif. Elle finit par venir vers moi et me roulait une pelle amoureuse qu’elle n’avait d’ailleurs pas besoin de simuler. L’homme restait interdit et, dépité, il se décidait à changer de cible. Mais Alexandra et Kristina avaient anticipé la manœuvre et s’étaient déjà enlacées. D’un geste de la main, il montrait son écœurement et cherchait un troisième choix. Le visage d’Helen exprimait tout son désarroi. Elle n’avait plus personne vers qui se tourner et se dérober. In extremis, la serveuse qui nous amenait d’autres boissons et pouvait se trouver dans le collimateur de l’importun, se colla contre elle. Comprenant où elle voulait en venir, Helen ne se faisait pas prier quand la serveuse approchait ses lèvres des siennes. Le touriste renonça et s’en allait tout en ruminant quelques paroles qu’on devinait être des insultes ou pour le moins la preuve de son mécontentement. Je faisais mine de le regarder partir, puis comme s’il revenait, je revenais rapidement vers Natasha pour l’embrasser, tout en faisant signes aux filles de continuer leurs accolades. Les gens autour de nous riaient de bon cœur de la déconvenue du triste sire. Ils nous demandaient si nous allions recommencer. Je leur avouais qu’il ne nous restait que trois chansons à jouer. Quelques uns trouvaient que c’était fort peu. Je me tournais vers les filles et leur demandais si elles étaient prêtes à jouer de nouveaux titres. Enfin, la question était plutôt de savoir quelles chansons allions-nous jouer. Alexandra proposait de jouer un autre titre d’Iron Maiden. Rapidement, nous tombions d’accord sur « Run to the hills ». Kristina proposa ensuite d’improviser quelque chose qui pourrait être un jour notre première chanson originale. Nous avions déjà improvisé de la sorte lors des balances pour nos précédents concerts. Ensuite, nous pouvions enchainer sur les trois derniers titres de notre répertoire.
     Nous reprenions nos instruments. Je remarquais que Victoria, notre serveuse, trouvais tous les prétextes possibles pour revenir auprès d’Helen. Mais j’avais besoin d’elle pour m’adresser au public :

   ─ Mesdames et messieurs, merci pour votre accueil. Nous avons découvert votre ville ce soir et c’était un plaisir de jouer ici. Un plaisir de visiter la ville. Certes c’était un peu court, mais nous reviendrons. Vous avez été fantastiques. Merci ! Nous allons vous demander votre indulgence, car la chanson que nous allons jouer maintenant, c’est la première fois que nous la jouons. Je viens d’intégrer le groupe et nous avons manqué de temps pour apprendre plus de chansons. Ensuite nous allons improviser quelque chose. Là encore je vous demande de l’indulgence. Puis, nous finirons par les trois dernières chansons que nous jouons à la fin de nos concerts. Merci à vous tous !
Helen traduisait et le public redoublait d’applaudissements. Natasha s’approcha du micro:
   ─ Je voudrais que vous applaudissiez particulièrement Franck. Sans lui, nous ne serions pas ici ce soir. Il a tout plaqué pour nous suivre, pour que nous puissions continuer notre rêve.

Natasha venait m’embrasser, puis Kristina et Alexandra, toutes très chaleureusement.
   ─ Vous comprenez pourquoi c’était facile de tout plaquer ! »

     Les rires et les cris joyeux du public se firent encore plus forts. L’ambiance était à l’euphorie. Une jeune femme s’approchait pour faire une photo. Pour donner le change, je frappais dans tous les sens, un peu à la manière d’Animal, le batteur fou du Muppet Show. Natasha éclatait de rire puis s’approchait et me poussait à faire un vrai solo de batterie pour ensuite enchaîner avec la chanson de Maiden.
     Le concert improvisé était maintenant terminé. Mais la place ne désemplissait pas. Les gens restaient boire et continuaient à discuter, entre eux, avec nous. Alexandra et Kristina jetaient un œil sur les vidéos qu’avait pu prendre Helen. Natasha était partie aux toilettes. Helen et Victoria continuaient de discuter toutes les deux. Je démontais ma batterie. Le problème avec cet instrument, c’était la manutention nécessaire avant et après les concerts, contrairement à un joueur de triangle, par exemple. Ceci dit, il n’y avait pas beaucoup de joueur de triangle dans les groupes de rock. Je remarquais que Natasha discutait avec le patron du bar. Elle me faisait signe de venir avec Helen. Le boss souhaitait nous payer, certes c’était moins que la somme gagnée un soir de concert habituel, mais il voulait nous remercier pour lui avoir permis d’augmenter considérablement la recette de la soirée. Nous hésitions à accepter car nous l’avions fait pour le plaisir, mais il insistait.
     Le matériel était maintenant rangé dans le véhicule. La foule était un peu moins dense mais beaucoup de personnes restaient pour consommer. Cependant, le concert étant fini, l’habitude de changer de bar reprenait ses droits. Alors que nous buvions une dernière bière, il me semblait, parmi les gens qui traînaient sur la place, reconnaître le don Juan que nous avions éconduit lors de la pause. Il faisait mine de déambuler d’un pas erratique mais, je remarquais qu’il jetait régulièrement des coups d’œil furtifs dans notre direction. Je me demandais ce qu’il pouvait bien attendre. Nous suivre ? Nous ne risquions pas grand-chose en partant tous les cinq dans le véhicule. De toute manière, s’il voulait suivre le véhicule, il serait aisé de le remarquer et donc de le semer. Je tentais de l’observer à la dérobée afin de comprendre. J’expliquais la situation aux filles en leur demandant de ne pas se tourner. Plus je le regardais faire et plus j’avais la conviction que ce n’était pas nous qu’il regardait, pas directement. Non, il suivait Victoria des yeux. Il attendait certainement qu’elle ait fini son service, soit pour tenter à nouveau de la draguer lourdement, soit pour la suivre. Et si ce type était capable de raisonner ainsi, il n’était peut-être pas aussi éméché qu’il voulait le faire croire. Je demandais à Helen de me suivre. Il fallait que j’avertisse Victoria et son patron :

   ─ Vous pourriez conduire Victoria chez elle ? Elle n’habite pas très loin… Avec vous, elle ne risquerait rien. Je vais la laisser finir maintenant, je me débrouillerai…   ─ Pas de soucis. Mais venez avec moi, j’ai une petite idée… 

     Il me suivait en terrasse et je lui demandais de faire des photos souvenir pour son bar. Les filles prenaient la pose, cote à cote. Je les rejoignais et demandait à Helen et Victoria de venir aussi. L’homme serait certainement tenté de s’approcher pour reluquer le cul des filles et sans le savoir se trouver dans le champ de la photo. Si les jours suivants il était encore dans les parages, Victoria devrait faire attention, mais le patron aurait un visage à montrer. Le temps de prendre trois ou quatre photos et le pseudo ivrogne n’était plus qu’à quelques mètres. Le boss me faisait signe, le stratagème avait fonctionné.
     Une fois dans le véhicule, Helen proposait à Victoria de venir boire un dernier verre chez elle, enfin chez sa tante. Ou même un avant dernier. Elle aurait du finir au moins une heure plus tard et elle avait donc du temps devant elle. Elle acceptait volontiers l’invitation. Dolores avait attendu le retour de sa nièce et juste avant d’aller se coucher, elle nous avait sorti sa réserve de bouteilles. Elle avait même envisagé avec sérieux qu’il ne soit pas raisonnable de reprendre la route plus tard et avait donné draps et couverture pour que Victoria dorme sur le canapé. Mais il ne faisait aucun doute que si Victoria restait, elle ne dormirait ni seule, ni sur le canapé.
     Elle commença par nous remercier d’avoir assurer sa sécurité ce soir et Helen la remerciait de ne pas l’avoir laissée seule lorsque l’inconnu avait fait mine de s’approcher d’elle. Elles se rapprochaient l’une de l’autre. Il serait plus juste de dire qu’elles se serraient de plus en plus l’une contre l’autre. Victoria avait déjà posé sa main sur la cuisse d’Helen et lui souriait à chaque fois que leur regard se croisait. Autant dire, presque tout le temps. Cependant, Helen semblait embarrassée. Peut-être était ce le fait que cela se passe chez sa tante?

   ─ Il faut que je vous avoue quelque chose, avant d’aller plus loin. Je ne voudrais pas que… Heu … Bien, je me lance. Je ne suis pas … la personne que vous pensez…

     Je souriais, de plus en plus. J’avais même de plus en plus de mal à me retenir de rire. Natasha également. Cependant, elle me donnait des grands coups de coude dans les côtes. Je comprenais que cela pouvait être embarrassant pour Helen. Aussi, je m’empressais de m’excuser auprès d’elle et lui expliquait que c’était quasiment les mots que Natasha avait employés lors de notre rencontre. Natasha se leva, fit glisser la fermeture éclair de son pantalon et sortit son sexe doucement de son string. Le geste de Natasha n’avait rien d’exhibitionniste, c’était simplement sa manière de montrer qu’elles étaient bien faites pareille et qu’elle ne devait pas avoir honte de ce qu’elle était. Kristina se leva, sourit et imita Natasha. Alexandra se leva également, elle souriait, haussait les épaules et levait les mains, les paumes tournées vers le plafond. Elle soulevait sa robe sous laquelle elle ne portait pas de sous-vêtement. Helen put faire le même constat. Elle était abasourdie. Abasourdie mais soulagée. Elle était loin d’imaginer que la révélation de son identité serait finalement une formalité. Il restait à voir la réaction de Victoria. Elle aussi était abasourdie. Abasourdie mais souriante. Helen se leva à son tour, dégrafait les boutons de son short et dégageait son sexe minuscule qu’elle camouflait entre ses cuisses. Victoria approcha sa main :

   ─ Je peux ?   ─ Bien sûr, tu peux. Helen marqua une pause. Vous pouvez tous ! Je suis tellement soulagée. Je ne savais pas comment vous en parler. Victoria… si… je voudrais… te demander une faveur. Si tout le monde est d’accord, j’aimerai… faire l’amour avec vous… tous. Au moins commencer par être dans la même pièce…    ─ Pour nous, ce n’est pas un problème. Répondit Kristina… Nous avons l’habitude, nous sommes un groupe, pas uniquement sur le plan musical. C’est à Victoria que revient la décision.   ─ Ce n’est pas comme ça que j’avais envisagé cette relation, commença t’elle en souriant, mais j’avoue être moi aussi très excitée par cette expérience.

     Helen prit la main de Victoria puis celle de Kristina et nous entraînait dans une des chambres. Il arrivait que sa tante se lève la nuit et elle préférait ne pas s’exhiber. A peine avait elle pénétré dans la chambre que Victoria embrassait Helen à pleine bouche. Qui des deux fit tomber l’autre ? Elles se précipitaient tant pour s’enlacer qu’il était difficile de départager. Une fois sur le lit, Victoria lui arrachait son short, se ruait pour lécher et sucer la verge molle de sa partenaire. Helen, allongée sur le dos se cambrait à chaque coup de langue tant l’attente de cet instant avait été une torture. Elle se massait les seins, la tête penchée en arrière. Elle réclama un sexe dans sa bouche afin de masquer les cris qu’elle commençait à émettre. Alexandra qui avait l’accès libre à sa bite se fit un plaisir de satisfaire son souhait. Ne s’étant pas dévêtue, elle enfouit la tête d’Helen sous sa robe. C’était une variante du bandeau sur les yeux. Privée de la vue, elle devenait ainsi plus réceptive aux caresses qui lui étaient prodiguées. Natasha enjambait Helen et lui massait les seins et les épaules. Elle s’était assise sur son abdomen, rejetant sa verge en arrière. Victoria, parfois, abandonnait la petite queue d’Helen pou titiller celle de Natasha. Kristina passait derrière Alexandra et la pénétrait sauvagement, tant elle était excitée par le spectacle qu’elle avait sous les yeux. Chaque coup de rein projetait Alexandra plus profondément dans la gorge d’Helen. Pour ma part, je restais assis par terre, au pied du lit. Au dessus de moi la chatte de Victoria, intégralement épilée, n’avait qu’une envie : se faire bouffer ! Je plaquais mes mains sur ses fesses et attirais inexorablement ses lèvres de ma bouche. Ma langue s’immisçait dans cette fente déjà très humide mais Victoria frottais son clitoris sur mon visage. Le message avait le mérite d’être clair. Ma langue s’occupait donc de son bourgeon tandis que mes doigts glissaient dans ses orifices.
     Quand Helen, à force de sollicitations buccales, se mit à bander, Victoria introduisit la verge érigée dans son vagin. Elle me faisait face et m’invitait à prendre possession de l’anus de sa partenaire. Je saisissais les chevilles d’Helen et lui maintenais les jambes en l’air, formant le grand V de Victoria. Je me frayais un chemin dans cet étroit conduit qui ne semblait pas avoir été fréquemment visité. Et pourtant, je ne sentais pas de résistance particulière, ni de protestation vocale. Certes, elle avait la bouche pleine… et on ne parle pas la bouche pleine ! Natasha sentant le dos de la torride espagnole contre le sien fit volte face et abandonnait les seins d’Helen aux mains toutes aussi expertes d’Alexandra. Natasha se rapprochait et collait ses seins contre le dos de Victoria. Ce contact les électrisaient toutes les deux. Elle lui demanda de la sodomiser. C’était de toute façon prévu ! Victoria, toute comme Karen auparavant, était une fervente adepte de la double pénétration. Au vu de la taille moyenne de la verge d’Helen, il me semblait envisageable de tenter une triple, mais pour l’instant, je me concentrais sur le cul qui me serrait comme un fourreau. Mon gland dépassait le sphincter interne. J’avais la sensation d’un anneau qui me serrait juste sous la couronne du gland et un premier à la base de la hampe. Mon dieu ! Cette sensation était divine. Moi qui étais non-croyant, j’en perdrais mon latin, si j’en avais eu ! Helen était littéralement en train de me traire et je n’allais pas tarder à lui envoyer une bonne dose de lait concentré. Mais j’étais devancé de quelques secondes par Alexandra. Ces contractions anales entraînaient Kristina dans la jouissance. La brésilienne donnait un dernier coup de rein qui écrasait la rousse contre le visage d’Helen. C’est à ce moment que je déchargeais à mon tour. Moi aussi, je donnais un grand coup de rein. A mon avis, lors de cette éjaculation, j’avais du battre un record de vitesse de propulsion. Helen qui était remplie aux deux extrémités eu un orgasme anal. Tous ses muscles se contractèrent, elle voulait me garder en elle, mais je ne l’entendais pas ainsi. Avant qu’elle n’éjacule à son tour, je m’empressais de la rejoindre dans le vagin de Victoria. Je sentais la verge de Natasha coulisser et qui écrasait un peu plus celle d’Helen contre la mienne. Heureusement, Victoria était plus qu’excitée et elle sécrétait abondamment, me permettant d’aller et venir confortablement contre l’autre queue. Rapidement, elle fut secouée par un orgasme. Les contractions désordonnées des muscles vaginaux et anaux, dans une réaction en chaîne, déclenchaient les trois éjaculations. Victoria, subissant les saccades chaotiques de ses trois partenaires était fauchée par un second orgasme. Elle était prise de convulsions et prenait un pied très sonore. Kristina s’approcha et l’embrassait. Sa langue, aussi longue et souple que celle du bassiste de Kiss, fit merveille (C’était la seule fille que je connaissais qui était capable de titiller la gorge de ses partenaires avec le bout de sa langue – la première fois était toujours surprenante). Les cris de Victoria furent rapidement maîtrisés.
     Helen, dont j’avais quitté les profondeurs un peu trop rapidement à son goût, réclamait d’autres pénétrations. Kristina laissa Victoria respirer et s’allongeait. Helen vint s’empaler sur elle et, s’allongeant à son tour sur son corps, demandait à Victoria de venir s’assoir sur son visage. Elle lui boufferait l’entrejambe et espérait ainsi boire le fruit des trois éjaculations, mélangé aux sécrétions de cyprine. Alexandra, tout comme moi auparavant, lui saisit les chevilles et glissait sa verge dans son cul déjà bien occupé. Helen émettait un râle long mais heureusement peu bruyant. Natasha se penchait pour gober et aspirer ses seins. Je me mis en position derrière elle et la pilonnais allègrement.      Ce soir là, il devait y avoir un parfum d’excitation tel, que chaque coup de rein était tout sauf tendre. Peut-être plus tard, quand les bourses seraient vidées et les énergies calmées. Alexandra et Kristina se concentrèrent et se mirent d’accord pour venir l’une après l’autre et offrir ainsi comme une très longue éjaculation. Il fallut quand même un long moment de ramonage avant que les deux miss se missent à jouir. Ce n’était pas Helen qui allait s’en plaindre ! Victoria, elle, continuait à lui déverser dans la bouche tout le foutre qu’elle avait reçu et toutes les sécrétions que produisent les coups de langues répétés et précis. Helen fut la première à jouir. C’était un orgasme purement anal, sans érection et un peu de sperme qui coulait sans gicler, fruit de la stimulation de sa prostate par les deux verges en elle. Le liquide se répandait sur son ventre. Natasha, en quelques coups de langue le fit disparaitre, avant de revenir s’occuper de ses seins. Victoria commençait à resserrer ses cuisses autour de la tête d’Helen, signe qu’elle n’allait pas tarder à jouir et que, accessoirement, Helen allait être sourde quelques temps. Comme prévu Kristina et Alexandra éjaculaient l’une après l’autre. Helen prenait son pied encore une fois par le cul. Cette fois ci, c’était la rousse qui nettoyait la petite quantité de sperme qui coulait sur le ventre. Elle tétait même la petite queue pour en extraire tout ce qu’elle pouvait. Mais Helen était insatiable. Elle en redemandait, la gourmande! Natasha serrait les fesses et m’exhortait à la suivre. Elle s’introduisait facilement dans le cul dilaté et plein de foutre.

     Victoria haletait et lorsqu’elle jouissait, les yeux fermés et la mâchoire serrée, elle écrasait la tête d’Helen entre le matelas, son bassin et ses cuisses. Ses mains se refermaient sur les seins qu’avait libérés Natasha. Dans sa jouissance, elle éjecta quelques gouttes d’urine dans la bouche de sa talentueuse et acharnée lécheuse. Elle s’affalait sur elle, la tête sur le ventre de la belle asiatique qui continuait de donner des coups de langues sur les lèvres détrempées de l’espagnole. Lorsque celle-ci reprit peu à peu ses esprits, Natasha était sur le point de jouir. Victoria s’arrachait à la langue qui lui avait fait sa toilette de fond en combles et vint attendre que Natasha se retire. Kristina en avait profité pour glisser sa queue dans la bouche d’Helen. Et comme Kristina, de toute la soirée, n’avait eu la visite d’aucune verge dans son cul, Alexandra s’appliquait à réparer cet oubli. Natasha éjaculait et se retirait promptement, laissant la place à Victoria qui fourrait sa langue contre l’anus plein de foutre d’Helen. A son tour de la nettoyer de toute trace de sperme.
     Dans le coin opposé de la pièce, un fauteuil allait être la scène de la dernière éjaculation de la soirée. Je m’y asseyais, Natasha toujours empalée sur ma bite. Nonchalamment adossé au fauteuil, je laissais ma belle mener la danse. Bras en arrière, elle prenait appui sur les accoudoirs. Les jambes repliées, les pieds posés de chaque coté de mes cuisses, elle s’activait sur mon pieu avec frénésie. Dans le miroir fendu qui était posé contre le mur en face, je regardais sa verge flasque qui, tel un métronome, battait la mesure au rythme des va et viens de Natasha. Cette vision m’excitait au plus haut point. Je lui en faisais part et elle s’ingéniait à varier ses mouvements pour que sa verge au repos décrive d’autres lignes et tressaute dans tous les sens. Ses couilles venaient battre contre les miennes à chaque fois qu’elle s’empalait jusqu’à la garde. Je passais mes bras sous les siens pour caresser ses seins. Sa magnifique poitrine était entièrement naturelle, sans une once de silicone. C’était un véritable bonheur de la prendre en main ou de passer sa langue sur cette peau douce, d’en mordiller les tétons. Lorsque je sentais arriver les premiers soubresauts de mon éjaculation j’attrapais Natasha par les épaules pour m’enfoncer encore un peu plus en elle. Si Helen et Victoria aimaient nettoyer à grands coups de langue le sperme qui s’écoulait d’elles, Natasha, elle, tenait toujours à le garder en elle. Je la tenais dans mes bras, l’embrassant sur la nuque, passant une main dans ses cheveux. Elle se blottissait contre moi, appuyant sa tête contre ma joue:

   ─ Je t’aime.   ─ Je sais!
     De son coté, Kristina prenait son pied dans la bouche d’Helen. Alexandra s’activait toujours entre ses fesses. Elles aussi avaient de belles poitrines. Je les observais. Les seins d’un blanc laiteux d’Alexandra se balançaient au rythme des va et viens. Ils venaient contre le dos de Kristina. Le contraste de leurs peaux suffisait à m’envouter. D’ailleurs, Natasha sentait très bien que je ne débandais pas. Elle aussi était émoustillée. Elle prit ma main et la posa sur son sexe.

   ─ Caresse-moi. Doucement, sans me faire bander complètement, sans chercher à me faire venir. Oui, comme ça, hummm, oui…

     Victoria, qui avait fini de lécher le cul d’Helen, caressait, elle aussi, tendrement la verge de sa chérie, tout en suçant et léchant les seins de Kristina. Avoir un quatre-ving- quinze E à portée ne pouvait laisser quiconque indifférent, encore moins une des personnes ici présentes. Natasha et moi, discutions de la possibilité de laisser Helen quelques jours avec son amante. Après tout, au Portugal, nous n’aurions pas besoin d’elle pour traduire, puisque Kristina dont la langue natale était le brésilien, pouvait s’en charger. D’autre part, beaucoup de portugais parlant français, nous n’aurions aucuns soucis de ce coté là. Cela permettait de laisser un peu de temps à Victoria et Helen de se connaitre un peu plus intimement. Parce que ce soir, cela avait été l’orgie. Nous étions loin, la veille, d’imaginer l’appétit sexuel d’Helen.
     Alexandra donnait de grands coups de reins. Victoria la pria de ne pas éjaculer trop profondément. Elle lui nettoyait le sperme qu’elle avait sur sa verge puis écartait les fesses charnues de Kristina. La serveuse lui bouffait littéralement le cul, glissant sa langue dans le petit anneau encore dilaté. Elle se régalait et Kristina, excitée par les attouchements envoyait de longs jets dans la bouche d’Helen. Bien sûr, Victoria, la bouche encore chargée du foutre d’Alexandra, récoltait des dernières gouttes à la source puis se baissa sur Helen et lui roulait une pelle où elles s’échangeaient les semences. Quand elles eurent tout avalé, Helen se redressait, toute souriante :

   ─ Merci ! Merci d’avoir fait de moi la salope de la soirée. Il y a longtemps que je rêvais d’une soirée comme ça.   ─ Salope, salope… Non, tu es juste très gourmande. Mais Victoria, mérite le titre presque autant que toi. Vous faites un joli couple!
     Elles se regardaient, souriant toutes les deux, comme deux gamines qui vennaient de faire une bêtise et qui se promettaient d’en faire bien d’autres. Elles avaient des étoiles dans les yeux. Après cette débauche d’énergie, tout le monde partit se coucher. Deux par deux, mais pas en rang comme à l’école.
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