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Natha et mon équipe de basket

Chapitre 2

Mathieu se révèle

Erotique
Mathieu se révèle (Christophe à la narration)
J’étais donc assis en face de notre lit, nu, cette cage enserrant ma petite bite. Je ressentais déjà cette excitation due au spectacle de Mathieu tétant les sein de ma femme. Il ne tarda pas, en effet, à passer sa main dans la culotte de Natha. Je devinais aisément qu’il avait déjà au moins un doigt dans sa chatte que je savais être trempée. Natha avait écarté ses jambes, s’était un peu cambrée, et gémissait doucement de plaisir. Mathieu avait une érection assez impressionnante au regard de ce que je pouvais moi même proposer de virilité à ma femme. Il venait de se mettre à genoux entre les jambes de Natha et entreprit de lui retirer sa culotte. Natha, ne se fit pas prier pour accompagner le geste de Mathieu et, dès qu’elle fut entièrement nue, elle écarta à nouveau les jambes pour s’offrir totalement à ce jeune mâle.Mathieu prit la culotte, se leva et vint la poser sur ma petite bite encagée. Il me chuchota à l’oreille :
    - Tiens coach, petit cocu, garde-la bien pendant que je baise ta femme. Elle est à moi à partir de maintenant, je vais la féconder, la prendre dans toute les positions, tu vas voir, elle va jouir comme jamais... Ah et, je vais dire aux potes de venir sans te demander ta permission bien sûr,    mais avant je vais la baiser tout seul. Je pense qu’elle va adorer savoir que je suis le neveu de Franck et que bientôt, mon oncle et moi, on la baisera ensemble...
Je restais bouche bée, interdit. J’étais « en cage » mais rien ne m’empêchait de me lever et de mettre un terme à tout ça. De calmer vertement Mathieu et dire aux gars de rentrer chez eux. Mais mon côté cocu, soumis prenait le dessus. Cette excitation que j’avais du mal à expliquer était très présente. L’excitation de voir ma femme nue, offerte, envieuse de sexe et de jouissance. L’excitation de voir ce jeune mâle que j’avais connu tout gamin, prendre possession du corps de ma femme. L’excitation de l’entendre me parler comme au cocus soumis que j’étais, comme s’il savait exactement comment me parler et comment prendre possession de ma femme. Une sorte de domination innée de sa part. Ou plutôt, me dis-je à cet instant, une « formation », une « préparation » savamment orchestrée entre lui et Franck, son oncle qui connaissait parfaitement ces aspects chez ma femme et moi.
L’idée selon laquelle ces deux là avaient tout manigancé, tout calculé me parut soudain une évidence et, plutôt que de m’inspirer une quelconque inquiétude, elle finit de me submerger sous la forme de cette excitation soumise, sous la forme d’une sécrétion sans érection que je devinais au bout de ma petite bite.
Mathieu était reparti sur le lit, en me regardant d’un petit air satisfait et ironique. Maintenant à genoux à côté de Natha, il reprit son air de petit garçon et demanda à ma femme si elle voulait bien le sucer, que personne ne lui avait encore jamais fait...Natha ne s’était pas fait prier, elle avait saisi la verge bien dure de Mathieu imprimant une masturbation lente. Le regardant dans les yeux, elle lui avait dit, naïvement :
    - C’est vrai, mon petit chéri, personne n’a encore dégusté cette jolie bite ?    - Non madame, personne, ma copine ne veut pas.
Disant cela, il s’était tourné vers moi alors que Natha avalait goulument sa bite et avait articulé, sans son, « EMMA » en levant le pouce… une nouvelle bouffée de chaleur, mêlée à de l’excitation dans ma petite bite se fit sentir. Ce petit salaud faisait bien allusion à notre fille ! Etait-il possible qu’il soit en train de se faire sucer par Natha, alors qu’il baisait, ou avait déjà baisé notre fille ? Ce petit salaud était décidément un petit pervers qui me signifiait, à chaque geste, chaque initiative de sa part, qu’il prenait le pouvoir sur ma femme, moi, et ma fille.Il me confirmait dans mon statut de cocu soumis. Comme s’il lisait en moi et savait à quel point il visait juste dans mon évolution vers ce statut de soumis public dorénavant, de lopette même peut-être.Je n’avais pas le temps de me perdre dans mes pensées que Mathieu prenait déjà une nouvelle initiative :
    - Hummm c’est trop bon    Nathalie… mais j’ai très envie de vous baiser  Nathalie.
Natha cessa immédiatement de le sucer, s’allongea sur le dos et écarta ses jambes. Mathieu lui demanda si elle voulait bien se mettre en levrette, en argumentant que c’était une position qu’il adorait… Natha s’exécuta, se mit à quatre pattes, le cul tourné vers moi. Elle s’était appuyée sur ses coudes et avait fait en sorte de se cambrer, offrant ainsi sa croupe trempée au jeune mâle. Je me suis alors levé de ma chaise et me suis mis sur la côté du lit pour ne pas perdre une miette du moment où Mathieu guida sa bite vers la chatte de ma femme et la pénétra, lentement, provoquant un couinement de plaisir de Natha. Il la saisit alors par les hanches et s’enfonça profondément en elle, puis commença un va et vient dans cette chatte accueillante. Je voyais les seins généreux de Natha se balancer au rythme des coups de boutoir de Mathieu. Je prenais des photos sans m’arrêter et sentais que ma petite bite suintait dans ma cage.
Mathieu, tout en pilonnant méticuleusement Natha qui jouissait déjà sans retenue, se mit à lui parler, l’air de rien, mais un ton un peu plus dominateur dans la voix :
    - Hummmm , mon oncle m’avait dit que c’était un vrai bonheur de te baiser Nathalie, que tu avais une chatte super accueillante, chaude et gourmande, des hanches qui invitent à s’y accrocher pour te pénétrer très profondément et bien d’autres choses encore. Il ne mentait pas, tu es délicieuse à baiser.
Natha avait comme marqué un temps d’arrêt dans sa jouissance lorsque Mathieu avait parlé de son oncle mais lui, avait encore mieux agrippé ses hanches et la pénétrait de manière bien plus virile maintenant, bien plus dominante. Je m’étais rendu compte, au même moment, que je n’avais pas pensé que Natha n’était pas au courant que Franck était l’oncle de Mathieu. Ce petit salaud avait décidément une science d’une perversion absolument… délicieuse ! Il enchaîna d’ailleurs :
    - Ah oui pardon, mon oncle, c’est Franck, ton amant qui vient te baiser à l’école. Il me raconte comment il te baise parfois entre deux portes, vite fait, ou dans la salle des profs. Il me dit que tu adores ça, le risque de te faire voir mais surtout que tu adores faire cocu le coach… Tu as bien de    la chance d’avoir ton cocu qui aime à ce point que tu te fasses baiser et qui aime à ce point être cocu. Hummm tu es vraiment bonne Natha, je vais pas tarder à jouir.
Et il s’enfonça encore en elle, accéléra le mouvement, le ralentit en baiseur expérimenté pour retarder l’éjaculation. Je savais que Natha jouissait, ça se voyait, ça s’entendait, et cette jouissance, prenait le pas sur l’analyse que son cerveau n’avait pas envie de faire de tout ce que venait de lui dire Mathieu.
    - Allonge toi sur le dos maintenant – lui ordonna-t-il – je veux te finir en te regardant dans les yeux.
Natha s’allongea, obéissant comme une petite fille qui veut  faire plaisir et avait écarté les jambes. Mathieu la pénétra violemment, la faisant hurler telle une louve. Natha avait mis ses jambes autour des fesses de Mathieu et l’attirait vers elle pour qu’il s’enfonce toujours plus en elle. Il arrêta son mouvement un instant et me dit.
    - Cocu, approche, ta salope de femme va retirer ta cage et va sucer ta petite bite pendant que je la finis.
Quelques secondes après, ma petite bite libérée était parcourue par la langue de Natha pendant que Mathieu, avec un râle très mâle, se déversait en elle dans un orgasme que je devinais fait de longs jets de foutre abondant au fond de la chatte de ma femme. Natha avait eu un orgasme en même temps et délaissant ma bite, elle s’était affalée sur le lit haletante. Mathieu finit de vider sa semence dans ma femme puis se retira.
    - Cocu, tu vas lécher la chatte de ta salope maintenant, bien la nettoyer en avalant tout mon foutre qu’elle soit de nouveau vierge pour accueillir les bites des potes.
J’ai obéi, en cocu soumis excité de cette situation humiliante, j’ai léché la chatte de ma femme qui dégoulinait du sperme de Mathieu. Elle me tenait la tête et l’appuyait contre sa chatte, ajoutant à ma soumission dans une complicité muette avec Mathieu. Lui avait saisi son portable et prenait la scène en photos. Il s’était ensuite assis sur la chaise où j’étais  juste avant et tout en masturbant lentement sa bite s’était adressé à nous :
— Je vais dire aux gars de venir maintenant.
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