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Nathalie, auto-entrepreneuse : beauté à domicile

Chapitre 7

Le retour de Valérie

Lesbienne
Je suis restée bien morose après ma mission de dog-sitter d’une semaine chez mon ami Valérie. Cette semaine avait été si intense en découvertes et en sensations que le retour à ma vie normal semblait bien terne. J’avais en effet dépassé tous les tabous avec son chien Paco et j’avais trouvé, sous le lit de sa maîtresse, un petit coffre avec une collection de gods et de plugs impressionnante. A tel point que, par inadvertance, j’ai embarqué un plug en forme de poire métallique argentée avec une « pierre » brillante rouge sur la tête. Je me suis dit que finalement, sur le nombre, elle ne verra sans doute pas son absence et j’ai passé tout le dimanche avec ce plug dans mon anus en souvenir de ces quelques jours de débauche.Le lundi matin j’ai la surprise de recevoir ce SMS[SMS]< Salut Nath, je suis bien rentrée, merci pour le ménage et pour t’être occupée de Paco, il est bien en forme et tout joyeux. Tu peux passer en fin d’après-midi pour que je te règle et je voudrai aussi te parler que quelque chose. Je suis intriguée par cette dernière phrase. Je passe en revue tout ce que j’ai fait dans la maison pendant cette semaine, réfléchissant à des indices que j’aurais pu laisser mais à part le plug emporté … L’attitude du chien a peut-être changée ? Non, elle dit qu’il est en forme. Je suis dans l’expectative la plus totale.C’est sur ces réflexions que j’arrive chez Valérie ce vendredi vers 17h. J’ai mis une robe à volants noire et un petit pull moulant sans manche. J’ouvre la porte du jardin qui grince accueillie par Paco qui vient me voir en remuant la queue. Pourvu qu’il ne se montre pas trop insistant ! Je le caresse rapidement, évitant qu’il ne fourre son museau sous ma jupe.
-         Non Paco, pas maintenant ! Vilain chien, lui dis-je en murmurant.
J’arrive à la porte et je sonne.Valérie vient m’ouvrir souriante 
-         Ha Nath ! Viens, entre ! Non Paco, toi tu restes dehors.
Le chien reste alors assis dans l’allée malgré des yeux de cocker triste attendrissants.Je remarque qu’elle est très sexy aujourd’hui Valérie : elle porte une robe d’été noire parsemée de fleurs assez courte avec un décolleté en V qui laisse entrevoir sa belle poitrine laiteuse. Elle me précède dans le salon 
-         Tu veux un verre ? -         Oui volontiers
Je m’assieds sur le canapé en cuir. Elle nous sert un verre de vin blanc doux très frais et vient s’asseoir sur le canapé à côté de moi.
-         Je t’ai mis l’argent que nous avions convenu dans cette enveloppe, me dit-elle en me la tendant. Je te remercie, la maison est nickel et Paco n’a pas souffert de mon absence grâce à toi et d’ailleurs je dois te dire  … 
Aie ! je me pince les lèvres ! Y a un problème, elle a remarqué quelque chose … J’ai une bouffée de chaleur qui m’envahit. 
-         … que tu m’as impressionnée !-         Ha bon ? De, de quoi ? répondis-je en bredouillant.-         Je ne sais pas si tu as remarqué mais il y a des caméras de vidéo-surveillance dans la maison et … quand tu coupes l’alarme, elles ne s’arrêtent pas de filmer pour autant …
C’est comme si je venais de recevoir un piano sur la tête. Je reste bouche bée. Quelle imprudente j’ai été ! Qu’est-ce qu’elle a bien pu voir dans ces vidéos ! Je ne le sais que très bien.
-         … tu as un sacré tempérament Nath ! Je ne t’imaginais pas comme ça, j’ai pu voir des choses très excitantes, dit-elle avec un grand sourire gourmand. 
J’avais la sensation de disparaitre dans le fauteuil.
-         Je , je suis désolée, j’ai cédé à la tentation, je n’aurais pas dû …-         Tu rigoles ou quoi ! Paco n’a jamais été aussi heureux à un retour de voyage d’affaire ! Il m’a fait une de ces fêtes ! Non je t’en suis au contraire très reconnaissante, il faut sacrément oser pour aller jusque-là.
Elle se rapproche de moi et me prend la main. Sa main gauche serre ma main droite et sa main droite caresse ma main et mon avant-bras tendrement.
-         Il t’a donné du plaisir mon chien ? Dis-moi ?
Je baisse les yeux 
-         Oui, je te l’avoue, c’était très intense et tellement bestial.
Elle continue à me caresser l’avant-bras
-         Ça fait deux ans que je l’ai pris comme amant et qu’il me donne du plaisir, il a de l’entrainement maintenant. Si tu veux je te montrerai tous les trucs qu’il faut savoir même si j’ai vu que tu te débrouilles déjà plutôt pas mal. Dit-elle avec un clin d’œil.
Soulagée de sa compréhension et excitée à l’idée de pouvoir continuer mes relations avec Paco, je suis prise d’un élan de tendresse. Je pose ma main gauche sur l’épaule de Valérie, j’approche mes lèvres pour déposer sur les siennes un baiser. Mes yeux sont embués de larmes tellement le stress avait été intense.
-         Ne pleure pas Nath ! Tu vas voir comme on va prendre du plaisir tous les trois maintenant.
Ses lèvres se rapproche des miennes et se soudent l’une à l’autre dans un langoureux mouvement. Nos langues se croisent et nos bras s’enlacent rapprochant nos poitrines l’une contre l’autre.Les yeux fermés je sens sa langue envahir ma bouche et la chaleur de ses seins contre les miens au point que je pourrais ressentir ses battements de cœur. Ses mains s’aventurent sur mes fesses et glissent sur mes cuisses nues. La sensation de sa main sur ma peau nue me fait frissonner. Ma main remonte le long de son flanc pour aller caresser sa poitrine. Mes doigts déboutonnent sa robe pour dégager davantage ses seins nus. Je caresse ses magnifiques seins en poire avec des tétons saillants et de grandes aréoles brunes. Ne résistant pas, je décolle mes lèvres interrompant notre baiser et je glisse vers un téton dressé pour le lécher et l’aspirer entre mes lèvres. Valérie pose sa tête en arrière sur le dossier du canapé et passe ses mains dans ma chevelure.
-         Ouiii Nath, lèche-moi les seins, sens comme je suis excitée par toi !
Je prends ses seins dans mes mains pour les soulever légèrement et les parcourir de ma langue. Valérie ronronne de plaisir. Puis, dévorée par l’envie, elle agrippe mon pull et le retire par le haut. Elle dégrafe mon soutien-gorge en me fixant dans les yeux avec gourmandise et plonge à son tour dans mes seins, léchant et aspirant mes tétons saillants. Je n’ai pas beaucoup d’expériences bi mais j’apprécie beaucoup les caresses féminines et le contact de la langue et des lèvres de Valérie sur ma poitrine m’électrise. Toutes les deux, seins dénudés, nous nous enlaçons et nous caressons longuement sur ce canapé où le temps semble être suspendu. Nos mains finissent par s’égarer entre nos gambes. Sous la robe de Valérie je chemine le long des ses cuisses vers son tanga dont j’écarte avec habilité l’élastique pour passer le long de sa vulve humide d’excitation. Ses grandes lèvres s’écartent très facilement et j’accède à l’entrée de son vagin irradiant de chaleur dans lequel j’enfonce un doigt résolu. 
-         Hummmmmmm ! gémit-elle en pinçant sa lèvre inférieure avec des dents. 
Je pousse mon avantage en faisant de petits va et vient en elle, lui arrachant à chaque fois des petits gémissements. Sa main qui se pose sur mon bras se crispe à plusieurs reprises. Elle met fin au « supplice » en se jetant sur moi pour m’embrasser, me forçant à m’allonger sur le canapé sous elle. Sa bouche glisse le long de mon coup, serpente entre mes seins, s’aventure sur mon ventre avant qu’elle ne retrousse ma jupe et retire d’un coup sec ma culotte trempée. Avec un regard lubrique, elle plonge son visage entre mes deux cuisses que j’écarte pour la laisser œuvrer à sa guise. Son souffle chaud glisse sur mon pubis. Avec son pouce et son index elle écarte mes lèvres et pointe sa langue tout le long de ma fente. Je pose mes mains sur ses cheveux blonds bouclés pour l’encourager à continuer.
-         Va-y Valérie, oui comme ça, hummmmmm j’adore.
Sa langue remonte à la commissure de mes lèvres intimes pour lécher mon clito turgescent. Mes cuisses tremblent de manière incontrôlable, elle pose ses lèvres et suçote mon petit bouton d’amour. Elle introduit maintenant un doigt dans mon vagin pour pousser vers l’avant de l’intérieur mon clito un peu plus profondément entre ses lèvres.
-         Hoooooooo tu vas me faire jouir !
Je sens la jouissance monter en moi comme des coups de décharges électriques. Je suis parcourue de spasmes délicieux. Valérie, heureuse de son effet émerge d’entre mes cuisses comme un soleil rayonnant à l’aube et me dit simplement 
-         Viens !
Elle me tend la main et m’entraine à sa suite à l’étage vers sa chambre. Nous arrivons à côté du lit, elle m’enlace et m’embrasse fougueusement et nous tombons en rebondissant sur le matelas les lèvres toujours soudées et les seins frottant les uns contre les autres. Puis elle se redresse et se lève avec un sourire entendu pour aller farfouiller quelque chose dans un carton signé du logo en forme de sourire d’un site de vente en ligne bien connu. Elle en sort un gros godmiché noir raccordé à des lanières.  Elle ajuste la ceinture autour de sa taille et deux lanières autour de ses cuisses et la voila affublée, comme un homme, d’un phallus en érection impressionnant. Toujours allongée sur le lit, je la regarde s’équiper frissonnant prospectivement en imaginant ce qu’elle va me faire. Je me rends compte aussi qu’elle a bien préparé son coup la coquine car elle n’avait pas ce genre d’instrument dans la collection de gods que j’avais découvert chez elle ! Elle m’a tendu un piège lubrique et elle a commandé cet instrument juste pour l’occasion avant de me faire venir ! 
-         Tu vas être ma petite salope Nath, je vais te prendre comme un homme ou plutôt préférais-tu que je te prenne comme Paco t’a prise ! Me dit-elle avec une voix presque plus grave depuis qu’elle a enfilé cet attribut masculin. 
Alors qu’elle met un peu de lubrifiant sur sa prothèse en latex, elle me fait signe de me mettre à quatre-pattes. Je m’exécute, la croupe au bord du lit, les genoux pliés en angle droit, les coudes posés sur les draps froissés, la tête posée dessus. Je la sens qui s’approche derrière moi. En tournant un peu la tête, je la vois dans le miroir de la coiffeuse contre le mur d’en face. Elle pose le gland de plastique sur ma vulve ouverte, le frottant un peu pour étaler le lubrifiant et elle rentre progressivement mais résolument en moi.
-         Hoooooooooooo ! m’exclamais-je en gémissant et en redressant brusquement ma tête. Je sens cet objet cheminer en moi jusqu’au fond de mon vagin. 
Ses hanches arrivent en contact de mes fesses, elle l’a entièrement rentré. Elle attrape ma chevelure rousse et se penche pour me murmurer à l’oreille 
-         Tu aimes te faire prendre en levrette petite salope.-         Hummmmm oui Valérie, j’adore ça ! 
Elle commence alors des mouvements de va et vient d’abord lents et amples puis de plus en plus rapides. Elle ne maitrise pas encore la rythmique de la pénétration masculine mais sa fougue me fait rapidement de l’effet ! Je m’agrippe aux draps cambrant mon bassin de manière à lui laisser le plus de latitude dans ses mouvements. Elle suce son pouce pour l’humecter de salive et le plonge dans la raie de mes fesses ouverte pour forcer l’ouverture de mon anus. Celui-ci se contracte pour rentre prisonnier son doigt trop téméraire. J’étouffe mes cris de jouissance dans les draps avant que Valérie ne s’effondre sur moi épuisée par l’effort.Par la fenêtre la lumière du soleil commence à décliner ... Il est déjà presque 20h. 
-         Zut, le couvre-feu ! Tu restes dormir à la maison ? Me demande-t-elle totalement disposée à respecter la loi sanitaire.-         Oui. Lui répondis-je dans un murmure en l’embrassant.
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