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Nathalie, auto-entrepreneuse : beauté à domicile

Chapitre 11

la découverte de Laure

Zoophilie
L’été tire à sa fin et les journées commencent à diminuer en ce début septembre. J’ai proposé à ma sœur Laure de venir une semaine chez moi à Nancy. Je me devais de lui rendre l’invitation car elle m’avait accueillie pour une semaine de vacances chez elle à Perpignan au mois de juin.Et quelles vacances ! Ces retrouvailles familiales s’étaient transformées en orgie quand j’avais découvert que ma grande sœur avait une relation avec son fils Maxime ! Nous n’avons alors cessé d’enchainer les trios les plus pervers pendant toute cette semaine.Pendant les deux mois d’été, nous avons eu des échanges de SMS ou des conversations au téléphone tout à fait banales, comme avant entre deux sœurs complices. Comme si tout cela n’était qu’un rêve ou une parenthèse. Au point que je me demandais comment je devrais réagir avec elle quand elle arrivera ? La traiter classiquement comme ma sœur ou replonger dans cette délicieuse relation incestueuse qui nous avait tant excitées.La sonnerie de la porte interrompt soudainement mes réflexions ! C’est elle ! je me dirige vers la porte pour ouvrir, la boule au ventre comme lors d’un rendez-vous galant pour lequel on aimerait absolument conclure. J’ouvre la porte, elle se tient là sur le palier, un sac et une valise accrochés à ses bras, une jolie robe blanche fleurie décolletée en V, le visage rayonnant.
-         Haaa ma Nana, comme je suis heureuse de te revoir ! 
J’avance mon visage, un peu hésitante ne sachant pas que choisir entre le chaste baiser sur la joue et le plus sensuel baiser sur la bouche. Laure tranche pour moi en déposant un rapide baiser sur ma bouche effleurant mes lèvres à me faire frissonner.
-         Tu es superbe Lolo, tu as fait bon voyage ? Entre donc.
Elle rentre dans mon appartement et je ferme la porte derrière elle. Elle lâche alors sac et valise et me plaque contre le mur en m’embrassant langoureusement. Non ! elle n’a pas oublié nos étreintes, non, elle n’a pas renié notre relation, oui, comme moi, depuis deux mois, elle est dévorée par le désir et l’envie de pêcher de nouveau ! Nous avons vite retiré tous nos vêtements qui ont formé dans le couloir de l’appartement une piste digne du petit poucet pour fêter nos retrouvailles dans ma chambre où j’ai retrouvé avec plaisir la fougue et la sensualité de ma sœur dans une explosion de jouissance mutuelle.Nues, enlacées l’une dans l’autre nous émergeons tardivement en fin de journée et je me lève péniblement pour préparer le repas. Je lui ai concocté un dîner gastronomique et je compte bien lui montrer aussi mes talents culinaires. Nous dinons en sous-vêtements autour de la petite table de la cuisine. Ma terrine de foie gras et mon émincé de saint jacques sont des réussites et nous arrosons ce superbe repas par du bon vin : un petit vin blanc vendanges tardive assez doux qui se boit tellement facilement mais nos éclats de rire tendent à montrer qu’il monte aussi rapidement à la tête.Bien sûr nos discussions nous ramènent sur le sexe. Je fais des compliments sur Maxime à sa mère, louant son endurance et sa fougue. Laure est flattée. 
-         Je n’aurais jamais cru que tu sois dévergondée au point de te taper ton fils et ta sœur ! Lui dis-je un brin admirative.-         Tu vois, la grande sœur qui s’est mariée à 22 ans est finalement plus salope que la petite sœur qui sortait tous les soirs et qui changeait de petit copain tous les mois. Dit-elle avec un clin d’œil en redressant fièrement son buste.-         Ha mais Lolo, tu ne sais pas de quoi je suis capable !-         Vantardise ! Je suis plus salope que toi et puis c’est tout ! -         Ha bon ? Tu as déjà baisé avec un chien toi ?Après un blanc de quelques secondes, Laure me dévisage interloquée.
 -         Un chien ! grand dieu non ! Tu ne vas pas me dire que tu as fait un truc comme ça ?  Zut j’en ai trop dit, je suis coincée maintenant. -         Oui un chien, tu ne peux pas imaginer la sensation que c’est de se faire prendre par un chien en rut.  Laure me dévisage encore plus bizarrement. Cette révélation l’a un peu dégrisée et elle se sent assez gênée. Elle tente alors une diversion. -         Bon, je commence à être fatiguée moi, on a un peu trop bu. Je vais aller me coucher. 
Elle se lève et va à la salle de bain pendant que je finis de ranger la vaisselle. Nous nous retrouvons ensuite dans ma chambre dans le grand lit deux places. Nous nous souhaitons bonne nuit en déposant un doux baiser sur nos lèvres. J’ai l’impression que je l’ai choquée. Je m’en veux de lui avoir parlé de ça ! Soudain, Laure se tourne vers moi et me dit 
-         Heu pour l’histoire du chien, tu étais sérieuse ?-         Oui Lolo, je suis désolée si je t’ai choquée.-         Non Nana, c’est moi qui suis désolée. Tu ne m’as pas jugée quand tu as découvert pour moi et Maxime alors je n’ai pas à le faire pour ça. -         Merci Lolo, j’étais tellement désappointée d’avoir brisé quelque chose par ces confidences.-         Non rassure-toi j’ai été sous le coup de la surprise, je ne m’attendais pas à ça, c’est normal.
Elle approche alors ses lèvres des miennes pour m’embrasser plus tendrement. Quand nos lèvres se séparent, nous nous souhaitons de nouveau « bonne nuit ». Au bout de quelques minutes, Laure brise à nouveau le silence.
-         Et … tu pourrais me montrer ce que tu fais avec un chien ?-         Tu, tu voudrais voir ça ? C’est possible et si ça te fait envie, tu pourrais même essayer.-         Hooo non, non, enfin je ne pense pas mais ça m’intéresse de voir … par curiosité.-         Ok, pas de problèmes, je verrai demain si on peut passer chez une amie qui a un chien. On en reparle demain.
Je l’embrasse de nouveau apaisée et assez excitée de partager ça avec ma sœur. Je lui murmure un « je t’aime Lolo » avant de lui souhaiter une douce nuit.Le lendemain matin je m’empresse d’envoyer un SMS à Valérie.[SMS]< Salut Valérie, Je peux passer chez toi cette après-midi, je te présenterai ma sœur ainée. Elle serait intéressée par Paco ! > Nath chérie, je suis désolée mais je suis chez mes parents ce week-end. Paco est à la maison, tu as les clés, vous pouvez passer si vous voulez. Ne débranche pas la vidéo surveillance ma coquine ! Trépignant d’impatience toute la matinée je n’arrive pas à me concentrer sur la moindre tâche. On expédie le déjeuner en une demi-heure avant de prendre la voiture pour aller chez Valérie. Pendant le trajet je raconte comment j’en étais arrivée à baiser avec ce chien ainsi que ma relation avec Valérie. Elle a écouté mon témoignage sans sourciller, posant juste quelques questions pour préciser les choses mais elle semble très excitée par mon récit. Les tétons durcis qui pointent sous le fin tissu de sa robe légère en sont la preuve indéniable. Je gare la voiture devant le portail, nous sommes accueillies par les jappements de Paco. 
-         Mais oui ! Bon chien ! c’est Nath ! Il est content de voir sa tata adorée ? 
Paco remue la queue et sautille autour de nous. Il renifle un peu Laure par curiosité sentant sans doute son excitation qui s’exhale d’elle mais il se frotte aussi beaucoup à moi, sachant que si je viens il va avoir droit à satisfaire sa libido animale.J’ouvre la porte d’entrée et on entre tous les 3 dans le salon désert. Je tourne la tête vers la caméra de surveillance dont la petite LED rouge est allumée. Je fais un petit clin d’œil dans sa direction saluant Valérie en l’imaginant visionner en différé ce qui va se passer dans cette pièce.Je prends la main de Laure qui est un peu gênée de se retrouver dans ce lieu inconnu avec ce chien dont elle sait l’usage pervers que j’en fais. 
-         Lolo, ça va, tu es toujours partante pour ce que je vais te montrer ?-         Oui Nana, J’en ai envie, je veux partager tout avec toi ! Me répond-t-elle en ravalant sa salive.
Je commence à caresser le chien sur le dos et les flancs et j’encourage Laure à faire de même pour qu’il s’habitue à elle. Il est très câlin et joueur et il adore ça.Puis comme le premier jour où j’étais venue ici je m’assieds sur le canapé en cuir beige. La position est cependant beaucoup plus provocatrice que quand il m’avait surprise : je retrousse ma robe sur mes hanches et j’écarte grand les cuisses, les fesses posées en bordure du canapé. Bien sûr, je n’avais pas mis de culotte ! Laure me regarde debout éberluée.Paco, bien sûr a compris l’appel ! Il s’avance direct entre mes cuisses et passe sa grande langue sur ma vulve ouverte. Une décharge électrique me parcourt le corps. Sa langue glisse sur toute ma fente de l’entrée de mon vagin jusqu’à mon clito. 
-         Hummmm ! C’est bien Paco, bon chien, encore ! dis-je en gémissant et en caressant la tête de Paco.
J’entrouvre les yeux pour voir Laure, toujours immobile comme hypnotisée par ce qu’elle voit !
-         Viens à côté de moi Lolo, tu verras comme c’est bon ! 
Elle hésite quelques secondes. Je devine son conflit intérieur. Je me redresse un peu pendant que Paco s’affaire toujours et je lui tends la main. Elle pose sa main dans la mienne et s’assied à mes côtés en me regardant bouche bée. Je lui retrousse sa robe et je descends son string en dentelle noire sur ses chevilles. En lui souriant, j’écarte doucement ses cuisses. Elle n’oppose pas de résistance. Paco est intrigué par cette nouvelle source odorante qui vient de se mettre à mes côtés. Il retire son museau de mon entrejambe et s’avance entre les cuisses de Laure. Deux, trois mouvements de sa truffe pour humer ses effluves féminines et il balance un grand coup de langue sur la chatte de ma sœur. Laure a un petit mouvement de recul et sert ma main mais elle se détend et laisse le chien procéder en fermant les yeux. Sa langue passe entre ses grandes lèvres entrouvertes découvrant la couleur rose humide de sa chatte. La main de Laure se décrispe dans la mienne et elle enfonce sa tête dans le dossier en souriant un peu.
-         Ça va Lolo ? Dis-je en murmurant.-         Oui, c’est bon ! C’est troublant mais ça fait du bien !
Je sors de mon sac un petit pot de miel et j’en dépose un noisette sur mes doigts pour l’étaler sur la vulve de Laure et autour de son clito. Immédiatement au contact du goût sucré, Paco redouble d’effort et insiste sur les parties enduites. Le clito de Laure se gonfle et elle gémit tout doucement. Je regarde Paco dont le bout rouge de son sexe commence à pointer hors du fourreau. Je me glisse à ses côtés et je commence à le branler pour faire davantage sortir son pénis. Il donne des petits coups de reins dans le vide et sa bite est totalement décalottée. Je fouille dans mon sac pour sortir mon paquet de lingettes pour bébé et j’entreprends le nettoyage de sa bite. Le goût sucré ayant disparu, Paco cesse de lécher Laure qui reprend son souffle et observe mon manège. 
-         Tu fais quoi Nana ?-         Tu vois, je lui nettoie la bite. Je préfère quand même assurer un minimum d’hygiène !-         Et … tu vas faire quoi ?-         Ça ! répondis-je en joignant la parole à l’acte.
Je laisse tomber la lingette et je me glisse sous le poitrail du chien. Je guide la mince tige rose de son sexe dans la bouche pour le sucer. Je n’ai pas vu mais Valérie me racontera plus tard l’expression un peu dégoutée de Laure quand j’ai fait ça ! Je ne m’attarde pas sur la fellation à ce stade car je sais que pour les chiens ce n’est pas ce qu’il y a de plus excitant. Ce qu’il veut, ce qu’il aime c’est grimper une femelle ! Je me redresse alors pour me mette à quatre-pattes, retroussant ma robe posant mes épaules sur le sol pour creuser un maximum mes reins. C’est Valérie qui m’a bien montré comment avoir la bonne position, en fonction de la taille du chien, pour qu’il soit bien en face de ma chatte ouverte.Je tourne ma tête vers Laure
-         Tu vas voir comme c’est puissant ! Viens mon Paco, viens !
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