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Nathalie la bourgeoise

Chapitre 1

Trash
" Putain de M… ! !! Il fallait que cela arrive maintenant "
Dans quelle situation, moi Nathalie, je m’étais encore fourrée ? Là, sur une route de campagne à deux heures du mat’ avec cette bagnole qui faisait des siennes. Encore heureux qui ne pleuve pas sinon la coupe serait pleine. Car vu le temps clément en partant, je n’ai pas pensé à enfiler un manteau sur mon petit tailleur rouge.
Ceci dit, il ne fait pas froid et dans mon ensemble, j’ai fait sensation à cette soirée de mariage, je me suis même fait ouvertement draguer par un oncle du marié, sous les yeux ébahis de mon amie Isabelle. Il faut dire que malgré mon grand âge (vous êtes bien curieux tout d’un coup … bon ok, j’ai 38 ans mais bien conservée), j’ai toujours su garder mon corps de trente ans grâce à mes séances de fitness et stretching que je fais toutes les semaines avec Isabelle. Avouez que pour mon 1,68 m, afficher 62 kg à la pesée, c’est pas mal. Quoique, si j’avais une taille vraiment mannequin, je ne serais pas là en train d’être comprimée par une guêpière dont les baleines me rentrent dans les côtes.
Mais j’avais vraiment envie de mettre ce tailleur mais comme la veste se ferme avec des pressions, j’avais trouvé cette solution pour comprimer mon petit – ventre (ben oui, j’ai deux trois kilos de trop que je n’arrive pas à perdre). Aussi, je me suis allongée sur mon lit pour enfiler la guêpière en dentelle que mon mari m’avait offert quelques années auparavant et faire disparaître mon petit bedon.
Quand j’y suis enfin arrivée, je me suis relevée et j’ai pu constater que j’avais retrouvé un ventre plat comme à mes 18 ans, sauf que la guêpière en me comprimant la taille, faisait ressortir mon 85 B et mes seins avaient peine à tenir dans leurs bonnets. L’ennui qui se présenta alors fut qu’il m’était impossible de mettre des collants sur ma guêpière, aussi j’optai pour des bas noirs car de toutes façons, la jupe à volants du tailleur descendait jusqu’aux genoux, donc pas de risque de dévoiler le haut des bas.
J’enfilai ensuite le mini string assorti en dentelle et la jupe. Terminant d’endosser la veste et chaussant des escarpins noirs à hauts talons (j’adore car cela affine mes jambes et fait ressortir mes fesses), je pus constater dans mon miroir une jolie femme dans un tailleur rouge seyant, très classe, sexy sans être vulgaire, ses longs cheveux blonds bouclés cascadant sur ses épaules et au milieu, un joli visage et des grands yeux bleus.
En retard sur mon timing comme d’hab’, je me suis vite dépêchée de me maquiller, de prendre les clés de ma Cabriolet 307 et me rendre à cette soirée de mariage, seule car mon cher mari, Paul est très souvent à l’étranger pour des missions de longues durée (3 à 4 semaines parfois ) en tant que Executive Chairman pour une grosse société pétrolière. Cela n’est pas toujours agréable d’être souvent seule mais je lui dois en étant à ce poste, une vie sans soucis financiers et au moins la routine ne s’installe pas entre nous. Quant à nos deux enfants( 1 fille de 18 ans et 1 garçon de 16 ans) , ils sont aux études dans un collège londonien selon les désirs de mon mari.
Point de vue occupations de mes soirées, je donne des cours de langues, anglais et néerlandais, les lundi et jeudi en cours du soir, à des personnes à la recherche d’un emploi. Dans ma classe, se trouvent une vingtaine d’hommes et de femmes d’âges différents, entre 20 et 45 ans et de différentes races. Ce n’est certes pas pour gagner de l’argent mais plus pour occuper mes soirées solitaires.
Point de vue sexe, me direz-vous ? J’ai fini par m’en habituer et si le trop plein de libido se fait ressentir, je ne dédaigne pas une bonne partie de masturbation avec quelques godemichés achetés par correspondance. Hé oui, quand je me sens seule, ce qui arrive souvent, je m’allonge sur mon grand lit et entourée de ma panoplie de godes, je me fais du bien en m’enfonçant des vibros dans la chatte et même dans le cul en me caressant le bouton longuement.
Aussi c’est seule que je conduisais nerveusement mon petit bolide pour me rendre à ce mariage. Je ne vais pas vous embêter à vous raconter la cérémonie, le cocktail ou la soirée, quoique les danses que j’ai faites dans les bras de cet oncle du marié, m’ont laissée un petite souvenir humide au fond de ma culotte, tellement il me tenait serrée contre lui, pressant sans vergogne son sexe bandé contre mon ventre.
Il avait même pu se rendre compte en laissant glisser ses mains sur mes hanches, ce que je portais sous mon tailleur et voulut savoir de quelle couleur était ma guêpière allant même jusqu’à lorgner dans mon décolleté. Il me félicita pour le choix de ma lingerie et me proposa « galamment « de se retirer discrètement pour lui permettre d’en voir davantage.
Jugeant la tournure des événements, je préférai prendre congé de lui car il était déjà passé une heure du matin et j’avais encore de la route à faire. Il me proposa de me raccompagner, offre que je déclinai car je savais que si j’acceptais, j’aurais difficile de m’en défaire. N’ayant jamais trompé mon mari, je tenais à lui rester fidèle, même si je n’en espérais pas autant de lui pour avoir quelques fois humé des odeurs de parfums féminins sur ces chemises. Je ne lui en ai jamais parlé, préférant rester dans l’ignorance plutôt que de me faire du tort.
Mais voilà, j’aurais du peut-être accepter d’être accompagnée car je ne serais pas là à contempler mon pneu crevé sur le bord d’une route de campagne déserte à cette heure et quand bien même, il passe très peu de personne ici en journée car j’ai l’impression d’être la seule personne à connaître cette route. Je peste contre moi-même car je suis totalement incapable de changer une roue.

Qu’à cela ne tienne, je fouille dans mon sac, je vais appeler un dépanneur, quoiqu’à cette heure, je me fais que peu d’illusion pour trouver quelqu’un de charitable.

Et c’est à ce moment-là que j’ai laissé échapper le juron car dans mon sac, point de GSM. Je me suis tellement dépêchée que j’ai oublié de le prendre avec et je peste encore davantage contre mon inconscience, comme me le répète si fréquemment mon mari. Je laisse mes phares et mes signaux de détresse allumés afin d’être visible de loin et je me tiens à côté de ma voiture dans l’attente du passage d’un bienfaiteur quelconque.
Après une demi-heure et deux voitures qui n’ont pas daigné donner suite à mes signes, je me rends à l’évidence que je serai mieux dans ma voiture et me préparer à passer la nuit dans ma voiture. Si un bon samaritain passe, il verra bien mes phares allumés et s’arrêtera, du moins je l’espère.
Finalement, je repense à Patrick, l’oncle du marié qui était de fort bonne compagnie. J’étais déjà assise à ses côtés lors du dîner et il s’était avoué de fort plaisante compagnie, charmant et charmeur, débordant d’humour, il m’avait fait passer une chouette soirée en me tenant compagnie. La quarantaine, grand, on devinait sous son costume un corps musclé, ce que j’avais pu avoir confirmation lors des slows que l’on a dansés ensemble.
Aux petits soins pour moi, allant me chercher un verre de vin – un chardonnay bien frais, mon péché mignon, et dont je crois avoir bien abusé - quand le mien était vide, je laisse mon esprit vagabonder en imaginant la fin de la soirée si j’avais accepté ces avances de moins en moins discrètes.
Collés l’un à l’autre, sa bouche près de mon oreilles, ses compliments susurrés doucement me font chaud au cœur – et ailleurs aussi, je dois dire – et sa main sur mes fesses qui me collait fortement contre lui, me permettait de sentir son sexe gonflé frotté contre mon bas-ventre, faisant naître des milliers de fourmillements dans ma chatte. Mes lèvres intimes se gonflent de désir et la fine bande de tissu de mon string s’immisce entre elles comprimant délicieusement mon clitoris.
Je me sens perdre de plus en plus pied, partagée entre mon désir de sexe et mon envie de rester fidèle à mon mari. Mais je ne peux m’empêcher de presser mes seins dardés contre les pectoraux de Patrick. Prenant cela comme un accord tacite, il décolle lentement son visage du mien et plantant son regard bleu acier dans mes yeux, il rapproche ses lèvres des miennes pour tenter de m’embrasser profondément.
Un sursaut de pudeur et de discrétion me fait détourner la tête car je connais ici plein de personnes qui connaissent mon mari et qui sont déjà en train de juger mon comportement indécent dans les bras de cet inconnu.
— non, pas ici !!!
Mais qu’est-ce qui m’arrive !! Je deviens folle !! Au lieu de lui refuser ce baiser, je lui ouvre la porte vers une relation extraconjugale en lui suggérant, non pas d’arrêter, mais que je suis d’accord de le faire mais ailleurs à l’abri des regards des autres. Bien entendu, Patrick saisit la balle au bond en me rétorquant :
— ok, viens, suis-moi !! — non, attends … si on nous voit sortir ensemble, tout le monde aura compris ce que je suis en train de faire. — Moi, en tout cas, j’ai compris ce que tu as envie de faire et cela me convient très bien. J’ai très envie aussi de te faire l’amour, là tout de suite.— Tu me rends folle mais c’est vrai que j’en ai très envie. — Laisse-moi arranger cela. Fais-moi confiance. J’ai vu des salles à l’étage de ce château, on pourrait s’y rendre séparément et en trouver une ouverte pour que je puisse te faire l’amour comme nous en avons tous les deux très envie. Rejoins-moi là-haut dans un quart d’heure. Promets-moi de venir sinon je te viole ici devant tout le monde !!— C’est de la folie !! Si on nous surprend ? — Mais regarde, ils sont tous occupés, ils ne verront même pas notre absence. Et il paraît que le risque d’être surpris augmente l’excitation et la jouissance.— Ok, pars en premier à la fin du slow, je te rejoindrai par après.
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