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Nathalie la bourgeoise

Chapitre 2

Trash
— C’est de la folie !! Si on nous surprend ? — Mais regarde, ils sont tous occupés, ils ne verront même pas notre absence. Et il paraît que le risque d’être surpris augmente l’excitation et la jouissance.— Ok, pars en premier à la fin du slow, je te rejoindrai par après.
Dès le slow fini, Patrick se détache galamment comme un parfait gentleman et me reconduit près de mon amie Isabelle avant de prendre congé. Isabelle est une amie que je connais depuis plus de 20 ans. Plus grande que moi, +/- 1,75m, elle est brune avec des beaux yeux verts, des cheveux bouclés en cascade sur les épaules, elle fait pas mal tourner la tête des garçons.
Elle vit seule aux dernières nouvelles mais étant dans la confidence, je sais qu’elle ne s’ennuie pas et a fréquemment des amants de passage. A son regard intrigué et rieur, je sens le rouge me monter aux joues car j’ai l’impression qu’elle lit en moi à livre ouvert.
— Et alors, on s’éclate à ce que je vois, Nath !!
— Euh…, ben oui, la musique est bonne, je passe une bonne soirée. Toi aussi ?
— Pas mal mais je n’ai pas encore trouvé chaussure à mon pied pour ne pas terminer la soirée seule, moi !
— Oh ça va, je ne fais rien de mal ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ?
— C’est vrai, tu n’as rien fait de mal … pas encore ou je me trompe ? Ceci dit, je ne te donnerai qu’un conseil, vas-y, fonce et profites-en. Si c’est la première fois que tu vas tromper ton mari, je suis contente pour toi, tu vas découvrir la joie de te faire sauter par un inconnu, juste pour le plaisir de te faire sauter sans aucun sentiment, juste pour le plaisir. Même pour te montrer que je suis de tout cœur avec toi, en voyant ton homme monter l’escalier, j’imagine que vous allez vous isoler. Alors, je vais faire le guet dans le hall pendant que vous êtes en haut pour que personne ne monte vous déranger.
— Mais enfin, tu devrais plutôt me raisonner et m’empêcher de faire une bêtise au lieu de me couvrir ainsi.
— Non parce que je suis contente que tu te décoinces et que je ne sois plus seule à passer pour une dévergondée et avoir des amants de passage. Tu verras, - enfin si c’est un bon coup -, tu vas prendre ton pied car tu découvriras d’autres sensations, une autre manière de faire l’amour, différente de ton tendre et cher mari et je suis sûre que tu en redemanderas par après. Allez file, c’est justement une Bamba sur la piste, ils ne te verront pas partir, dépêche-toi sinon c’est moi qui vais me le faire !!!
— T’es complètement folle et moi encore plus mais tu es ma meilleure amie, merci de ne pas me juger mais j’en ai trop envie, tu comprends, … Paul qui est rarement à la mais…
— …Arrête de te justifier et vas rejoindre ton bel amant inconnu, me dit-elle en m’embrassant sur la joue

Les jambes flageolantes, le cœur battant à tout rompre, je me dirige vers le hall d’entrée et constatai fort heureusement qu’il n’y avait personne
Aussi, après avoir jeté un dernier coup d’œil vers Isabelle, je monte au premier étage par l’escalier central qui donnait sur le hall. Dès la première volée, je me retrouve à l’abri des regards dans l’obscurité du premier étage et dans ma précipitation, je tombe dans les bras de Patrick qui m’enlace de ses bras puissants et me prend la bouche dans un baiser à me couper le souffle. Déjà ses mains s’égarent sur mon corps, palpent ma poitrine et je me sens me liquéfier.
— Viens trouvons-nous un endroit plus au calme, parviens-je à lui souffler
Au premier étage, nous trouvons malheureusement toutes les portes closes, aussi montons-nous encore jusqu’au deuxième et dernier étage. Mais les trois portes sont condamnées, elles aussi. Mais cela ne démonta pas Patrick qui m’embrasse fougueusement tout en faisant sauter les boutons-pressions de ma veste, dévoilant le haut de ma poitrine gonflée par ma guêpière, à son regard brûlant comme la braise.
Il fait rapidement tomber ma veste à nos pieds, insensible à mes gémissements de protestations de me retrouver ainsi sur le palier d’un château avec 150 personnes au rez-de-chaussée qui risquent de me voir. Je ne peux rouspéter davantage à cause de cette langue qui fouille ma bouche pendant que sa main droite vient malaxer mon sein encore prisonnier dans son bonnet.
Son autre main se glisse de manière autoritaire sous ma jupe et m’agrippe la fesse. Ces manières autoritaires sont assez nouvelles pour moi mais je comprends aussi qu’il n’y pas lieu de trainer en préliminaires, au plus vite aurons-nous assouvi notre envie de sexe, au moins on a de risque de se faire surprendre.
D’un geste brusque, il rabat le dessus de ma guêpière, libérant mes deux seins dont les tétons n’ont jamais autant dardé et sont douloureux de désirs. Abandonnant ma bouche, son visage descend et il commence à sucer et mordiller le bout de mes seins à tour de rôle. Je ne réponds plus de moi-même car ma poitrine et mes tétons sont de zones extrêmement érogènes et je sens un flot de cyprine mouiller mon string tandis que je ne peux retenir un gémissement de plaisir tant la sensation est forte.
Je l’aide à se débarrasser de son veston pendant que je sens ma jupe glisser à mes chevilles – je n’ai même pas entendu le zip de la tirette – et je retrouve quasi nue en guêpière, string et bas, juchée sur mes escarpins à hauts talons, et les seins à l’air qui plus est !!
Ecartant mon string, Patrick trouve facilement le chemin de mon sexe et enfonce d’une traite, deux doigts dans ma chatte complètement rasée – tiens, je me rappelle plus quand je me suis rasée intégralement ? -, m’arrachant un cri de plaisir que j’ai dur à retenir – merci à la sono qui couvre mes gémissements – et je dois me cramponner à ses épaules sous peine de défaillir et de tomber.
Il bouge rapidement les doigts dans ma chatte détrempée comme en témoignent les clapotis et les effluves de mouille qui me montent aux narines pendant que son pouce écrase mon clitoris. Je me sens proche d’une jouissance énorme, rapide, intense comme je n’en ai jamais connue.
Mais ce salaud veut faire durer le plaisir et me voyant proche de ma jouissance, délaisse ma chatte et d’un « suce-moi, salope « autoritaire – qui en temps normal, m’aurait révoltée mais dans ce cas, fustige mon excitation – et d’une pression sur les épaules me force à me mettre à genoux, le visage à hauteur de sa braguette déformée par son sexe bandé.
Rapidement, je m’attaque à sa ceinture, déboutonne son pantalon que je laisse tomber sur les chevilles et descend son boxer à ma cuisse, libérant une verge noire (?) et énorme, presque 25 cm sur 5 de large, au gland violet gros comme un abricot d’où perle une goutte de liquide séminal.
J’ai peu d’expérience de comparaison en matière de bite mais celle-là me semble vraiment hors-compétition car j’arrive à peine à en faire le tour. Si son propriétaire sait en faire bonne utilisation, je crois que comme Isabelle le disait, je vais me régaler. Les mains sur ma tête, Patrick me force à emboucher son mandrin de chair au goût de vanille (?), je crois m’étouffer et jamais pouvoir avaler un tel engin mais ma bouche semble miraculeusement s’agrandir au fur et à mesure de la pénétration, naturellement je me positionne idéalement pour que son sexe pénètre au fond de ma gorge, si bien que rapidement, ses couilles viennent frotter contre mon menton.
SCHLANG !!
Mon subconscient n’arrive pas à déterminer d’où vient ce bruit, trop occupée à digérer cette bite monstrueuse qui occupe ma bouche et ma gorge. Je suis assez fière de ma performance, moi qui ai toujours éprouvé une certaine répugnance pour sucer Paul mais dans la situation actuelle, rien ne me répugne mais au contraire, cela m’excite comme en témoigne les flots de mouille que je déverse sur la moquette du palier.
Me saisissant la tête, Patrick entame de longs et profonds va-et-vient, utilisant ma bouche comme un sexe de femme à une cadence soutenue, fort heureusement ma bouche produit de grandes quantités de salive qui facilitent les allers- retours au plus profond de ma gorge, tandis que de filets de bave d’excitation me coulent à la commissure des lèvres pour s’écraser sur mes gros seins dénudés et tellement gonflés d’excitation que j’ai l’impression d’avoir du 95 D de poitrine – j’ignorais qu’ils pouvaient autant se gonfler.
« Putain, t’as vu la meuf, tu crois qu’elle porte des bas ?
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