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Nathalie et Christelle

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Ceci est notre histoire qui a commencé il y a quelques années déjà, mais laissez-moi vous brosser le tableau :— ma sœur : 22 ans. Elle est brune aux cheveux longs qui lui arrivent au milieu du dos. Ils la rendent encore plus belle lorsqu’elle les attache en queue-de-cheval. Elle a des yeux noisette, mesure 1m75 et pèse 63kg. Elle a également un merveilleux 100 B.— ma mère : un peu plus petite et deux kilos en plus et même poitrine. Elle est présidente de société cotée au CAC.— et enfin, moi : 19 ans. Je mesure 1m78 et pèse 85 kg. Je suis toujours puceau car j’ai un problème de taille… Non, pas ce que vous croyez ! Comment dire… Je fais 22/7 et pour l’instant, à chaque fois que j’ai voulu pénétré ma partenaire, je n’ai eu que des refus. Franchement, ça me travaille tous les jours. En plus, avec les deux femmes que je viens de vous décrire, c’est un calvaire. Oh ! Bien sûr, pour me masturber, c’est bien. C’est même très bien au niveau fantasme, mais voilà, ça reste des fantasmes bien que je sois le seul homme de la maison : mon père est parti le jour où ma mère lui a dit qu’elle était enceinte.
Donc, nous y voilà.C’est au milieu de l’été, un été particulièrement chaud, même pour nous qui habitons toute l’année dans le sud de la France. Comme à leur habitude, ma mère et ma sœur sont seins nus. Je fais ce que je peux pour cacher mes érections, mais comme elles connaissent mon problème, j’en profite un peu. Mais au bout d’un moment, il faut que je me soulage sinon je ne réponds plus de rien alors je rentre le plus discrètement possible et monte dans ma chambre. Je commence mon affaire quand j’entends la porte qui s’ouvre et là je me dis « Merde ! J’ai pas fermé à clé ! ».
C’est ma sœur qui rentre. Lorsqu’elle voit ma queue sortie du short, elle me dit : « Qu’est-ce que tu fais là mon petit salaud ? »Elle ne quitte pas ma queue du regard. « Euh… et bien tu vois bien ce que je fais. » Je continue ma masturbation. Elle est toujours en train de regarder ma queue, enfin… la main qui monte et qui descend dessus. Mon geste lui laisse voir la longueur. Au bout d’un moment, je m’arrête et remonte mon boxer car je sens qu’elle veut me parler.« Qu’est-ce qu’il y a encore?— Euh… C’est à propos de l’autre soir avec ta copine… »C’est l’excuse qu’elle a trouvé pour me surprendre comme ça. Elle m’a dit plus qu’elle voulait voir si ce que mes ex, qui sont aussi pour deux d’entre elles des amies à elle, lui ont dit est vrai. Elles auraient dit que j’avais un monstre entre les jambes. Quand elle l’a vu la première fois, sa chatte a mouillé presque tout de suite.« Oui, et bien ? Qu’est-ce que tu veux savoir ? Comme tu l’as certainement entendu, et ma maman aussi, elle est partie.— Oui, ça, on a entendu. Mais pourquoi ? Vous vous entendiez bien.— Et bien, ce n’était pas le cas apparemment. »Et là, je me mets à pleurer.« - Pourquoi tu pleures ? Tu l’aimes encore c’est ça ?— Non, ce n’est pas ça.— Alors c’est quoi ? Dis-moi. »Je ne peux pas lui dire que je suis toujours puceau. Elle me pose toute sorte de questions auxquelles je réponds souvent par la négative, puis vient la question des rapports. Je ne dis rien et je baisse la tête. Elle a dû comprendre, car elle prend mon visage dans ses mains et me dit :« Je suis sûre que tu trouveras celle qu’il te faut quand il le faudra
— Moi, je veux bien attendre, mais pas trop non plus. J’ai une vie à construire, tout comme toi avec ton copain. »Et là, c’est elle qui baisse la tête. Je reste interloqué car, aux dernières nouvelles, tout va bien pour elle.« Qu’est-ce qu’il se passe ? Tout va bien entre vous?— Oui, tout va bien ! »Je vois qu’elle ne me dit pas tout, alors je lui réponds :« Ecoute, je te connais assez bien pour savoir que tu ne m’as pas tout dit.— Si, tout va bien.— Arrête de me prendre pour un idiot. Allez, dis-moi vraiment tout.— Bon le seul souci c’est… Et puis non, je ne peux pas te le dire, je suis ta sœur aînée tu ne peux rien pour moi.— Crache le morceau, ou bien je dis à maman que tu es restée dans ma chambre pour me regarder.— Bon, puisque tu y tiens… Contrairement à toi avec ta grosse queue, moi, mon problème, c’est qu’aucun homme ne me fait jouir. Voilà, tu es content ? Tu sais tout.— Quoi ? Même pas un peu ?— Si, un peu, par exemple quand il me lèche ou quand il me doigte, mais quand il me prend, je ne le sens pas en moi. »La conversation prend un tour auquel je ne m’attends pas.« Attends, tu me dis que même Pierre, qui est plus que dans la moyenne, ne parvient pas à te satisfaire pleinement ?— Oui, je ne le sens que quand il est prêt à éjaculer. »
Mon sang ne fait qu’un tour. Je réfléchis à toute vitesse car j’ai remarqué qu’elle baisse souvent le regard sur ma queue. Ça y est, j’ai trouvé. Oui, vu comme ça, la seule chose que je risque, c’est une claque et ma mère qui m’engueule grave mais ça passera. Ce que je ne savais pas, c’est qu’elle aussi me manipule pour coucher avec moi.« J’ai peut-être une solution pour toi, mais ça risque de pas te plaire.— J’ai un doute, alors vas-y, éclaire-moi. On ne sait jamais.— En fait, on se rendrait service tous les deux.— Bon, alors accouche. Ça vient ?— Et si tu couchais avec moi... ? »Je n’ai même pas fini qu’elle se lève et sort dans le jardin sans rien dire. Mais je la relance :« Réfléchis à ma proposition »Je me rhabille et descends dans le jardin où je discute avec ma mère lorsque j’entends ma sœur qui nous dit qu’elle va faire un tour. Nous la revoyons trois jours plus tard avec une valise. Elle nous dit :« Maman, je reviens passer un peu de temps à la maison avec vous.— Comme tu veux, ma fille. Tu sais où est ta chambre. »Elle me saisit le bras au passage et me dit :« Viens, il faut qu’on parle tous les deux. »Je la suis dans les escaliers. Comme elle porte une petite jupe qui s’arrête juste sous ses fesses. J’en profite pour mater son cul et sa chatte qui se dessine. Nous voilà dans sa chambre. Je prends place dans le fauteuil. Elle ouvre sa valise sur le lit puis se tourne vers moi :« Bon, comme tu peux le voir, je viens de quitter mon mec.— Ah bon ? Et alors ? En quoi ça me concerne ?— Et bien, avec ta proposition tu vois… »Je me lèvre d’un bond pour l’embrasser, mais elle me repousse :« Non, pas maintenant. Je ne suis pas encore prête, mais ne t’inquiète pas. On le fera, je te le promets, laisse-moi juste un jour ou deux d’accord ? Tu ne le regretteras pas. »Je pose ma main sur sa joue et en la caressant, je lui dis :« Prends le temps que tu veux. Je peux encore attendre puisque j’ai attendu jusqu’à maintenant. »Je sors de sa chambre quand je vois ma mère rentrer dans la salle de bain qui se trouve en face. Nous a-t-elle entendus dire ce que l’on s’est dit tous les deux ?En fait, j’apprendrai plus tard que notre mère m’avait surpris avec ma copine quand celle-ci voulait me sucer mais s’y prenait mal. Elle nous avait espionnés le jour où ma sœur m’a surpris la queue en main. Quand ma sœur était revenue, elle a compris qu’elle avait accepté de le faire avec moi, et que ma mère s’était elle aussi décidée à franchir le pas depuis qu’elle avait entendu mais se posait la question de savoir comment faire.
Ma mère prend les devants et nous dit avec des arrière-pensées : « Ce week-end, je vais voir mon amie Martine. Je reviens lundi dans la journée. Christelle, il faut que je te parle. »Ma sœur me regarde, je comprends sans qu’elle me le dise que je vais devenir un homme ce week-end. La fin de semaine arrive et notre mère est partie. Nous avons la maison pour nous, enfin je croyais. Ma sœur me prend par la main et me tire dans le salon en me poussant dans le fauteuil.« Tu ne bouges pas, je reviens. »Pour sûr que je ne vais pas bouger. Je n’attends même pas cinq minutes qu’elle revient. Elle s’est changée, enfin elle s’est plutôt déshabillée : elle se trouve en string et soutien-gorge en dentelle orange. Ma queue me fait mal car elle est coincée par le boxer et le pantalon. Elle me tend la main pour m’inviter à me mettre debout puis elle se colle à moi et passe une main sur ma queue qui devient de plus en plus dure et me fait toujours aussi mal. En même temps, elle lève la tête et voit ma grimace.
Elle me chuchote dans le creux de l’oreille :« Attends, je vais t’aider un peu. »Elle ouvre mon pantalon qu’elle fait descendre lentement. Je suis au supplice car le tissu mou du boxer se détend. Ma queue prend un peu de liberté ; et, de nouveau, elle se colle à moi. Cette fois, elle se frotte un peu avant de mettre ses mains dans le boxer et de me caresser.« Oh ! Voilà une belle queue ! Je suis gâtée. »Elle fait glisser lentement mon boxer. Mon gland sort comme un diablotin. Elle passe sa langue dessus. Mon supplice continue, mais enfin ma queue est libre et se met à angle droit. Je me sens mieux. Elle me regarde, regarde ma queue et me dit :« Sauras-tu t’en servir? Ou veux-tu commencer par autre chose ?— Et bien, on voir ça. »Je m’approche, l’embrasse en faisant tomber son soutien-gorge. Elle me pousse la tête vers le bas, et je m’exécute : je commence par lécher l’aréole d’un de ses seins puis je le prends en main et le malaxe. Puis, je tête son téton gros comme une tétine.« Oh ! Oui… malaxe-moi bien… oui tête-moi mon bébé… voilà, c’est bien… continue… »Je passe à l’autre, pas de jaloux. Je fais exactement la même chose. Je tête de plus en plus fort comme pour faire monter le lait quand elle me dit entre deux soupirs :« Mais mon salaud, arrête de me téter comme ça… je n’ai pas de lait. » Mais je continue à la téter et à malaxer ses gros seins. Je coince son téton entre mes dents, le fait rouler, le tire. Elle soupire encore plus fort. Je lèche en-dessous en les soulevant, sa peau est encore plus douce. « Bon, je vois que mes seins te plaisent.— Depuis le temps que je veux jouer avec… Tu ne peux pas savoir. »Je les mordille en même temps puis elle me pousse dans le canapé et tend la main pour prendre quelque chose. Elle s’approche de moi :« Maintenant, à moi de te faire plaisir. »Elle ouvre le tube qu’elle a en main et le gel tombe sur ma queue. La sensation de froid du gel ne fait qu’augmenter mon excitation. Je vois qu’elle s’en met entre les seins. Mon rêve va se réaliser : elle va me faire une cravate de notaire. Je me laisse faire. Elle écarte mes jambes pour se mettre à genoux devant ma queue, je la regarde. Elle sait que j’ai compris. Un sourire mutin souligne son visage, elle prend un de ses seins dans chaque main et place ma queue au milieu. Nous ne bougons pas pendant dix secondes qui me paraissent durer une éternité. Elle commence son va et viens, la douce sensation de la peau de ses seins sur ma queue qui gonfle encore un peu plus. Les choses s’accélèrent, mon souffle aussi.« Oh ! Oui que c’est bon… oh! Là… putain continue… hum! Encore… Tes seins sont merveilleux… ils sont fait pour ça…— Tu aimes ça hein ? Mon salaud, tu les aimes mes seins. »Je pince ses tétons et je tire en même temps qu’elle descend. Des gémissements se font entendre dans la maison. Je sens que je vais venir. Avant même que je lui dise, j’éjacule sur son visage. Cela la surprend qu’elle arrête sa cravate de notaire.« Excuse-moi, je voulais te prévenir mais je n’ai pas eu le temps. D’habitude, j’arrive à me contrôler, mais là, je ne comprends pas. Ça ne vient pas si vite normalement.— Ce n’est rien, je prends ça pour un compliment : ça veux dire que tu as vraiment envie de moi et vu que tu bandes encore, je ne pense pas me tromper. »Elle me prend par la main et nous montons dans sa chambre. Au passage, je remarque que le téléphone est débranché, mais je ne fais pas attention à l’ombre au coin de la cuisine. Arriver là, il n’y a plus de marche arrière. J’ai joui, mais il ne s’est rien passé de vraiment sérieux. Tout peut encore s’arrêter. Je lui tends une serviette pour qu’elle s’essuie et je lui dis :« Tu es sûre de vouloir aller jusqu’au bout ? Après, il n’y a plus de marche arrière te le sais.— Quoi ? Tu ne veux plus le faire ? Je vois… Je t’ai vidé les couilles et c’est tout, répond-elle en me jetant la serviette. »
Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Je colle ma queue sur son pubis que je frotte pour lui faire sentir mon envie d’elle. Ses mains s’accrochent à mon cou, je mets les miennes sur ses fesses pour la soulever un peu. Ses jambes enserrent ma taille et nous rentrons dans la chambre.« Non, ce n’est pas ça. Je veux être sûre que ce que nous allons faire soit consenti.Ne doute pas de mon envie, pour la première fois je vais jouir avec autre chose qu’un gode froid en moi. »Je la pose sur le lit, l’embrasse puis descends de nouveau sur ses seins. Je continue sur son ventre que je caresse. Je passe les mains de chaque côté de son string et le fait descendre doucement. Je découvre son pubis épilé en V puis ses lèvres proprement dites. Je lance dans la chambre, lui écarte un peu ses jambes et plonge au milieu. Je pose des baisers sur l’intérieur de ses cuisses, ses soupirs me disent que je peux continuer. Je monte vers sa chatte et sens son odeur qui devient enivrante. Je passe ma langue en remontant et tourne autour de son clito sans le toucher. Je continu ce petit jeu et lui mets deux doigt dans sa chatte et le pouce sur son clito que je masse de temps en temps.« Oh! Oui c’est bon… tes doigts, oui bouge tes doigts dans ma chatte… hum! J’aime, continue… oui encore plus vite… oui caresse-moi le clito… que c’est bon… »Le premier orgasme arrive. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je gobe son clito dur et le tête doucement. Un nouvel orgasme survient :« Non ! Arrête ! Tu vas me tuer ! Haaaa ! Ce n’est pas possible ! »Je pilonne sa chatte maintenant, mais elle n’est pas encore assez dilatée, alors je glisse encore deux autres doigts. Elle se cambre encore plus et jouit.« Oui ! Oh ! Que c’est bon… »Elle me caresse le visage, je la regarde et la trouve vraiment belle avec son visage où commence à perler de la sueur. Elle jouit vraiment. Elle se redresse et me tire à elle pour m’embrasser.« Continue… Mets ta main dans ma chatte…— Attends… Tu es sûre ? Je ne l’ai jamais fait.— Oui, si tu veux rentrer dedans, il va falloir que tu me dilates un peu plus, mais comme je mouille bien, ne t’inquiète pas. »Je suis les conseils qu’elle me donne. En fait, je dois juste mettre mon pouce à l’intérieur et pousser doucement, ce que je fais, et je vois ma main qui rentre. Une fois dedans, je ne bouge plus. C’est elle qui, en me prenant la main, me donne le rythme des va et viens. Elle se lâche enfin :« Oui frangin ! Continue… voilà… rentre bien ta main dans ma chatte… oui remplis-moi encore… plus vite… encore !… »Son orgasme arrive. Je sens son vagin qui se contracte et se détend autour de mon poignet.« Frangin, prends-moi… je veux te sentir en moi… remplis-moi avec ta grosse queue… »Je sors ma main de sa chatte que je lèche. Le goût de sa cyprine a changé. Il est plus épicé. Je me redresse entre ses jambes et prend ma queue en main. Je la mets devant sa chatte et pousse doucement mais je n’arrive pas à rentrer. Je pousse de nouveau mais rien à faire, ça ne veut pas rentrer alors elle me pousse en arrière et je me retrouve sur le dos. Christelle est passée sur moi, ses jambes de chaque côté. Elle ouvre sa chatte, maintient ma queue droite et se laisse descendre dessus, mais elle s’arrête. Je lui dis :« Tu as mal ? Si tu veux, on arrête. Je ne veux pas te faire souffrir.— Ne t’inquiète pas, c’est juste qu’il faut que ma chatte s’habitue à ta queue. Elle est plus grosse que je le croyais. »Elle recommence à descendre doucement. Je sens au fur et à mesure la douceur de sa chatte. C’est une première pour moi, jamais je ne suis allé jusqu’à là. La plupart des filles s’arrête bien avant mais ma sœur se dilate elle aussi de plus en plus ; puis je sens ma queue taper au fond de sa chatte.« Humm… enfin pour une fois je suis remplie. Merci petit frère.— Pour moi aussi c’est une première. Pour une fois, je suis au fond d’une chatte.— Alors petit frère, c’est bon ? me dit-elle en se penchant en avant pour m’embrasser.— C’est… c’est merveilleux, merci grande sœur. Enfin je peux sentir autre chose qu’une main ou une bouche sur ma queue.— Oui, je sais ce que tu ressens. Pour moi aussi c’est bon de se sentir enfin remplie et de sentir quelque chose de chaud et vivant dans sa chatte. »La lumière s’allume et notre mère apparaît devant la porte de la chambre.« Mais qu’est-ce que vous faites ? Ça ne va pas ? Vous êtes fous tous les deux ? Vous pensez à quoi?— Maman ! Mais qu’est-ce que tu fais ici ? Tu devrais être chez Martine, dit ma sœur. »Nous sommes toujours emboîtés l’un dans l’autre. Je tourne la tête et je remarque que ma mère a changé de tenue. Je plaque ma sœur contre moi et je lance à ma mère :« Maman, ça fait combien de temps que tu es là ? »Je vois qu’elle hésite à répondre, alors je continue :« Parce que quand tu es parti », tu avais un pantalon et un tee-shirt et non ce que tu portes.— Je suis là depuis le début. En fait, j’ai tout vu. Je voulais voir jusqu’où vous iriez même si je me doutais bien que vous iriez jusque-là.— Quoi ? Depuis le début ?— Oui et c’est pour ça que je me suis changée : j’ai tellement mouillé que c’est passé au travers du pantalon.Je comprends alors que ma mère a envie. Je suis toujours dans ma sœur qui a fait jouer ses muscles vaginaux pendant tout ce temps. Si je sors, je sens que je vais exploser. C’est encore une fois notre mère qui vient à notre secours.« Bon… je crois qu’il va falloir finir ce que vous avez commencé, surtout pour lui car je crois qu’il est à point, Christelle, vu comment tu t‘y es prise. »
Elle s’approche de nous et nous embrasse, puis s’assoit dans le fauteuil. Christelle se redresse et pose ses mains sur mon torse. Elle commence des va et viens en douceur pour se laisser le temps elle aussi de prendre du plaisir, mais plus aucun son ne sort de sa bouche. Je pose mes mains sur ses hanches et commence à donner un autre rythme. La sensation de glisse s’intensifie aussi en même temps que mes coups se fond plus fort. Je sens que je viens et la prévient car on n’a pas mis de préservatif.« Christelle, je sens que ça vient… je vais jouir ma belle… »Cela a un effet contraire a ce que je voulais, mais bon. Puisqu’elle ne veut pas que je me retire. Je me lâche sur un dernier coup de rien.« Oui… que c’est bon… je viens Christelle… » Elle jouit presque en même temps que moi.« Oui Philippe… remplis-moi… enfin une queue que je peux sentir jouir en moi… quel bonheur maman, si tu savais… »Puis elle s’effondre sur moi. Je tourne la tête et vois ma mère avec un sourire. Je comprends qu’elles se sont jouées de moi mais pour mon plus grand plaisir, car, à peine ma queue sortie de la chatte de Christelle, ma mère s’approche et commence à me lécher le gland couvert de mon sperme et de la cyprine de Christelle. Je la regarde. Elle lève les yeux et dit :« Laisse-toi faire… ta soirée pour être un homme ne fait que commencer. Philippe, ce soir, tu vas connaître tous les plaisirs qu’un homme peut avoir. »Je me laisse tomber en arrière et ma mère reprend là où elle s’est arrêtée. Elle me lèche la queue comme une sucette. Elle joue avec le frein. Mon supplice reprend, mais quel bonheur surtout quand je sens ses lèvres sur mon gland qui s’ouvre à mesure qu’elle descend. Sa langue joue sur le frein puis elle reprend sa descente mais s’arrête à la moitié de ma queue. Jamais une femme n’a réussi à me prendre en bouche. Je la regarde lorsqu’elle recule. Les sensations de succion et d’aspiration sont nouvelles pour moi. Je place une main sur sa tête pour qu’elle continue, mais elle met ses deux mains sur mes jambes pour me faire comprendre de la laisser faire. Elle se relève, se penche vers moi, m’embrasse puis me dit :« Lève-toi. »Je m’exécute, elle prend ma place en se mettant sur le dos. Je comprends : elle veut me faire une gorge profonde. Elle pose ses mains sur mes fesses et me tire à elle. Je m’approche, elle ouvre la bouche et je glisse ma queue dedans. Elle fait de légers va et viens qui me font entrer de plus en plus loin dans sa gorge. Encore quelques centimètres… voilà, c’est bon. Je suis au fond de la gorge de ma mère. Je sors doucement puis recommence mais, cette fois, je m’arrête au milieu car je sens que ça monte encore plus vite qu’avec Christelle. Je n’ai pas le temps de sortir ma queue que j’éjacule, ce qui la surprend, mais elle me retient pour que je finisse de jouir dans sa bouche. Elle prend mes boules qu’elle presse fort, ça me vide pour de bon. Elle avale en me regardant dans les yeux puis elle finit en me léchant la queue qui brille comme un sou neuf. Je tourne la tête pour voir où en est Christelle. Elle a les yeux écarquillés en se demandant comment c’est possible de prendre une telle longueur. Ma mère, en voyant son regard, lui répond :« Tu verras, un jour tu y arriveras.— Mais maman, comment tu as fait ? Je ne pense pas pouvoir le faire. »Je suis toujours debout, la queue droite et encore dure.« On verra plus tard, pour l’instant, regarde ton frère. il bande encore, le salaud. On l’a vidé trois fois et il bande encore.— C’est vrai. D’habitude, après avoir éjaculé, ma queue retombe mais, je ne sais pas. » L’excitation de l’interdit, ma sœur ou ma mère. Je ne comprends pas. Enfin, je ne vais pas me plaindre. D’autant plus que ma mère s’est relevée pour retirer ses vêtements. Je vois pour la première fois ses seins. Oh bien sûr, je les ai déjà matés dans la salle de bain ou bien dans sa chambre, mais je n’ai jamais pu les voir vraiment qu’à la plage. Je reste assis sur le lit à les regarder. Je sens un mouvement à côté, mais je regarde toujours la poitrine de ma mère. Je sors de ma rêverie quand j’entends la voix de Christelle qui me demande les quels je préfère.
Je regarde mais je ne peux me décider, alors ma mère me dit :« Puisque tu ne te décides pas à la vue, viens plutôt tâter. »Je me lève et pose une main sur le sein droit de ma mère. Il est chaud et doux à la fois. Son téton est moins gros que celui de Christelle. Je pose l’autre main sur le sein gauche de Christelle, il est aussi chaud et doux mais plus ferme que celui de ma mère. Il tombe un peu aussi, l’âge, certainement ; et l’allaitement de deux enfants font le reste, mais je les apprécie tous les deux. Je m’empresse de leur montrer en léchant leurs seins à tour de rôle tout en malaxant celui que j’ai dans la main. Je pince chaque téton, le roule, le tire puis le tête. Je lâche celui de Christelle pour prendre le deuxième de ma mère. Je le masse lui aussi.« Hum! Oui c’est bon… masse-moi bien… encore mon bébé… voilà, fais plaisir à maman… »Je commence à téter ce nouveau jouet. Ses tétons sont plus petits que ceux de Christelle, mais je suce plus fort et aspire presque tout le mamelon avec.« Doucement… je n’ai plus de lait… je vous ai tout donné quand vous étiez petits…— Moi aussi il m’a fait la même chose. Il te tête comme s’il voulait boire ton lait. Je lui ai dit que je n’en avais pas.— Ne t’inquiète pas, il était déjà comme ça petit. Il tétait jusqu’au bout. »Elle me relève le visage, m’embrasse et me dit :« Je veux aussi sentir cette belle queue en moi ».On va dans le lit.« Mets-toi sur le dos et laisse-toi faire. »Elle passe une jambe de chaque côté et prend ma queue en main, fait quelques va et viens puis se laisse descendre doucement comme Christelle mais, contrairement à elle, au milieu de ma queue, elle se laisse tomber d’un coup. Je suis aussi surpris qu’elle. Je ne m’attendais pas à ça. Je ne bouge pas, elle non plus. Christelle lui dit :« Tu sens comme elle est grosse et bien dure ?— Oui, je la sens. Pour une fois, je sens une queue dans ma chatte. Tu as raison Christelle. Sa queue est bien dure. »Elle commence à onduler le bassin de manière différente de ma sœur. Je pose mes mains sur ses hanches et donne une autre cadence qui apparemment semble lui convenir.« Oui… baise-moi bien mon fils… montre-moi que tu es un homme maintenant… » Alors je lui demande de se mettre en levrette au bord du lit, ce qu’elle fait puis remets ma queue dans sa chatte en lui arrachant un soupir de plaisir. J’attrape ses hanches de nouveau et reprends la cadence mais, cette fois, je fais glisser toute ma queue dans sa chatte.« Plus vite… bourre moi la chatte… Vas-y, je veux jouir avec ta queue en moi… aller, défonce moi… Donne-moi des coups de ta grosse queue qui ne me remplit qu’à moitié. »J’accélère de plus belle en raccourcissant la distance de ma queue dans sa chatte.« Oui encore… donne-moi le compte… aller défonce-moi la chatte… »Sur ces mots, ma queue gonfle encore un peu plus.« Oui… encore… vas-y c’est bon… ma chatte de salope est contente de sentir une grosse queue qui la ramone… que c’est bon !... Oh! Oui… Christelle tu as raison… sa queue est merveilleuse… je sens qu’elle va me plaire longtemps… »Sur ces mots, je crache ce qui me reste de sperme dans les couilles dans un dernier coup de butoir qui vient percuter le fond de sa chatte.« Oui, que c’est bon de sentir enfin une queue qui se vide en moi… »Elle s’effondre sur moi en sueur.« Merci mon fils de m’avoir fait jouir. Cela faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. »Je débande un peu puis je sors de sa chatte.« Je t’aime maman. Merci à toi aussi. »Pendant que je remercie ma mère, Christelle me suce comme la fait ma mère un peu plus tôt. Je recommence à bander lorsque ma mère lui dit :« Laisse-moi te montrer comment faire. »Elle prend ma queue et lui dit :« Tu poses ta bouche sur le gland et tu la remplis de salive. Tu descends en ouvrant la bouche sur la queue. » Ma queue rentre à moitié dans sa bouche puis elle remonte.« Tu vois, comme ça, sa queue glisse mieux. Vas-y, essaye. »Christelle prend sa place et fait le même geste que ma mère et mon gland disparait dans sa bouche. Quelle douce chaleur ! Sa langue sort et joue avec le frein.« Oui, c’est bien. Continue comme ça, ton frère semble apprécier ta manière de le sucer. »Je veux mettre les mains pour accentuer le mouvement mais ma mère m’en empêche « Mon cœur, c’est la première fois qu’elle te suce, laisse-la faire, sinon elle ne pourra jamais te faire une gorge profonde. Donc, pas touche. » Je me laisse faire, sa manière de sucer est différente de ma mère.« Hum! Oh! Oui que c’est bon… Continue, descends encore… ha ho! Hum! Elle a une vraie langue de salope…— C’est bien, écoute-le prendre son pied, ce salaud. Tu vois, pour une première fois, ce n’est pas trop mal. C’est même très bien. »Je suis couché en travers du lit. Je relève la tête pour regarder ma sœur, quand je vois ma mère passer sa jambe par-dessus mon torse et que l’une de ses mains me repousse en arrière. Elle pose sa chatte sur mon visage.« Bon, puisque je donne un cours à ta sœur, tu peux me payer en retour. »En remuant sa chatte, je sors ma langue et je lèche le bord de ses lèvres.« Oui… c’est bien mon fils… tu apprends vite… continue, lèche moi la chatte… »Je la lèche partout sans toucher son clito que je vois gonfler de plus en plus. Pendant ce temps, ma sœur me suce de plus belle et est même descendue un peu plus sur ma queue, mais je sens les haut-le-cœur qui arrivent, alors ma mère se penche un peu plus en avant pour prendre la place de ma sœur, ce qui me permet un accès direct sur ses deux trous.« Fais-moi une place ma chérie, je vais t’aider un peu à le finir. »Elle retire sa main et ma mère me lèche le reste de la queue et joue avec mes couilles. Je ne suis pas en reste car j’ai deux doigts dans sa chatte. Je sens le mélange qui coule sur mes joues tellement elle mouille. Je remarque que son trou du cul commence à frémir. Je passe un doigt dessus, pas de réponse négative.Je continue. Lorsque je repasse ma langue, une petite contraction. Je recommence et il se passe la même chose. Ma queue passe maintenant de bouche en bouche. Je sens que ça monte encore une fois, mais je ne dis rien. Je laisse la découverte à celle qui m’aura dans sa bouche. Je prends son clito en bouche, ce qui la surprend car elle lâche un cri de jouissance. Ma sœur me pompe toujours et je crache dans sa bouche. Notre mère lui dit :« Garde le dans ta bouche et après viens m’embrasser ».Je me vide dans un dernier râle.« Putain, que c’est bon de se faire sucer comme ça… »
Je suis vidé, ma sœur se relève et va embrasser notre mère comme elle le lui a demandé.« Hum! Il a vraiment bon goût ton frère. La prochaine fois, je le garde pour moi, dit-elle en riant. »Christelle lui répond :« Je ne crois pas non, car moi aussi je le veux. Pour une fois que j’ai une queue qui peut me satisfaire, je la garde.— Ecoutez-moi toutes les deux. Je peux dire un mot si ça ne vous dérange pas ? Maman, Christelle, je vous aime toutes les deux et je ne veux pas choisir entre ma mère et ma sœur.— Tu peux m’appeler Nathalie maintenant, vu ce que l’on vient de faire, je crois que maman est dépassé. Mais dehors, pour le moment, ça reste maman.— Et bien maman… heu! Nathalie… laissez-moi prendre une douche, après on réfléchit à tout ça ?— Ok, on fait comme ça. »On va tous la douche et on se retrouve sur la terrasse. Nous prenons notre douche un par un. Galanterie oblige, je passe le dernier. Elles ont le temps de discuter entres elles. Je reviens sur la terrasse avec un plateau de rafraîchissements. Elles sont habillées pareil : tee-shirt long qui s’arrête à mi-cuisse, moi tee-shirt et short de nuit. Je sers tout le monde et leur expose ma solution.« Puisque qu’apparemment vous avez toutes les deux le même souci, je pense pouvoir le régler.— Ha !— Tu crois pouvoir faire ça a ta sœur et moi ?— Oui, je pense être en mesure de faire ça.— Il vient de se faire déniaisé il y a moins d’une heure et il se la joue déjà homme de la maison— Maman, s’il te plaît, laisse le parler. Je crois que j’ai compris ce qu’il veut dire.— Alors dis-moi puisque tu as une solution.— Voilà, puisque Christelle et toi apparemment vous ne trouvez pas l’homme qu’il vous faut, et que moi je ne trouve pas la femme…— Oh! Je vois. Tu voudrais que nous restions avec toi c’est ça ? Christelle, qu’en penses-tu ?— Pour moi, c’est ça le problème : trouver un mec avec ce qu’il a entre les jambes et ça ne court pas les rues, si tu vois ce que je veux dire. Tu dois penser la même chose que moi, n’est-ce pas maman ? »Elle insiste sur le mot pour lui faire comprendre la situation.« Oui, tu as raison. Un homme comme lui, ça ne court pas les rues. Alors, tu es prête à le partager avec moi ?— Oui maman, je le partagerais avec toi.— J’ai peut-être mon mot à dire non ?— Ecoute-le celui-là. Il vient nous faire une proposition que nous acceptons et en plus, il ose râler. »Je n’en crois pas mes oreilles. Elles viennent de me dire oui toutes les deux ? Je me lève, embrasse ma mère et Christelle. Chacune passe une main dans mon short et me caresse la queue.« Nathalie, Christelle, je vous aime toutes les deux. »
Nous avons transformé l’étage en une seule chambre pour trois et venons de passer six mois merveilleux. Un soir, ma sœur me laisse entendre qu’elle voudrait avoir un enfant puisqu’elle a l’homme de sa vie.« Christelle, il faut en parler à maman.— Oui, je le sais. Mais je n’arrive pas à trouver le moment pour lui dire…— Et lui dire quoi à ta mère ?— Maman…— Non, plus de « maman » à partir de maintenant, puisque cela fait six mois que nous faisons l’amour tous les trois.— Bien… Nathalie… comment dire… je voudrais… enfin… tu es une femme… tu… toi aussi, tu as ressenti ce que je ressens à présent…« Oh! Je vois. Tu voudrais faire un enfant ?— Oui ma... Euh… Nathalie. C’est ça. J’ai l’homme qu’il faut et je me sens prête à le faire, mais je voulais… non, en fait Philippe veut ton approbation pour le faire car il pense que c’est important pour nous trois. »
Elle vient nous embrasser et dit :« Trouver un homme aussi prévenant… Je serai heureuse d’être grand-mère. »A notre tour de lui sauter dessus pour l’embrasser nous disons à l’unisson :« Merci maman.— Je vous ai dit pas de ça.— Excuse-moi, mais ça m’a échappé. »Christelle lui dit la même chose.« Bien, puisque vous allez me faire grand-mère, je voudrais moi aussi avoir un enfant. »Avec Christelle, nous nous regardons puis elle regarde notre mère et lui dit :« Mais ma... »Elle lève le doigt.« Pardon… Nathalie. Tu crois que tu vas pouvoir gérer l’entreprise et la maternité ?— Oui, je l’ai déjà fait non ?— Oui, certes. Mais tu avais 25 ans de moins.— Dis que je suis trop vieille pendant que tu y es.— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire. C’est seulement qu’à ton âge, une grossesse, ce n’est peut-être pas… Enfin, tu vois ce que je veux dire.— Oui, que toi tu peux et que moi je dois faire attention. Mais ne t’inquiète pas pour ça, je me doutais bien qu’un jour, cette question viendrait à se poser, car justement, vous êtes jeunes et c’est normal de vouloir fonder une famille. Alors j’ai pris le devant en allant voir mon gynécologue et il m’a fait faire des examens. Voici les résultats. »Elle les tend à Christelle qui les prend puis me regarde et lui saute au cou.« Nathalie, je suis si heureuse ! On va pouvoir faire plein d’enfants à notre homme. Il va être heureux avec nous, pas comme l’autre con qui est parti.— Oui, tu as raison. Il a tout ce qu’un homme peut rêver d’avoir : sa mère, sa sœur, sa femme et sa maîtresse à la maison, et bientôt ses enfants.
Elles se sont rapprochées de moi et ont chacune posé une main sur ma queue ; puis Nathalie me dit :« Maintenant, tu ne jouiras que dans nos chatte qui te seront toujours disponibles dès que tu en as envie. Tu n’as rien contre Christelle ?— Non du tout, au contraire. Au moins, je serai à l’aise.— Quoi ? Tu ne portes pas de culotte ?— Non, je n’en porte depuis que j’ai 5 ans.— Bon alors je vais faire comme toi. »Elle retire son string aussi son soutien-gorge. Christelle fait de même. Elles me regardent :— Bon ça va, j’ai compris... »Je retire mon short et elles se mettent à rigoler. Je lève la tête et, en me voyant dans le miroir, je rigole aussi. Ma queue ressemble à une trompe d’éléphant.« Bon, ce n’est pas tout mais il faut régler aussi le problème de la société.— Ça aussi c’est fait.— Ah bon ? Qu’est-ce que tu as fait ?— J’ai dit au conseil que je voulais prendre ma retraite et profiter un peu. Ils ont accepté et m’ont laissé un joli pactole. »
J’embrasse Nathalie et Christelle, leur prends la main et nous montons dans la chambre. Nous avons fait l’amour tout l’après-midi, le soir et les deux jours suivants. J’ai joui dans leur chatte à tour de rôle. Puis, deux mois plus tard, je surprends une conversation entre elles :« Christelle, ça fait quinze jours que je n’ai pas eu mes règles, mais je ne veux pas me faire de fausse joie.— Moi aussi, ça fait une semaine que je n’ai pas les miennes. On va faire le test et on verra bien. »J’entends le bruit des chaises et retourne à ma place, mais j’ai un début d’érection. Elles reviennent :« Chéri, on sort faire une course, on en a pour une petite heure.— D’accord. Moi, je vais faire une petite sieste. Vous me réveillez quand vous rentrez. »Je les embrasse puis je monte. L’heure passe. J’entends la voiture qui rentre dans le garage puis le son de leur voix dans le couloir. Elles sont heureuses, et moi aussi car je vais être père deux fois, mais je ne bouge pas. Elles se sont dévêtues. Elles montent sur le lit chacune de leur côté. Nathalie me fait mettre sur le dos et me caresse la queue pendant que Christelle me lèche le gland. Je fais semblant de me réveiller.« C’est bon de se réveiller comme ça. »Je mets mes mains sur leurs dos pour les caresser puis les tire à moi. Leurs yeux brillent comme s’ils étaient traversés d’étoiles filantes.« Alors, ça donne quoi le test ?— Oh ! Tu nous as espionnées ?— Non, je montais prendre une douche et je vous ai entendues.— Nous sommes toutes les deux enceintes, mon chérie. Tu vas être papa dans moins de neuf mois. »Tout ça dit avec la main de chacune sur ma queue qui vient de gonfler encore plus d’un coup.« Tu as senti, Christelle, le coup de sang.— Oui, regarde sa queue. Elle est plus grosse qu’avant.— Oui, tu as raison. Je vais goûter ce près-sperme qui sort. »Elle se penche et passe sa langue dessus, ce qui me donne une nouvelle décharge électrique.« Waouh mon chéri ! Je vois que ça te plaît. »Elle embrasse Christelle.« Son goût a changé, il est plus sucré.— Oui, c’est parce que ce cochon a compris et qu’il est content. »Nous avons fait l’amour jusqu’à ce que plus aucune d’elle ne me permette de la pénétrer, mais elles ont continué de me sucer.
Vient le jour de partir à la maternité. J’ai d’abord eu une sœur, puis une fille. On aurait dit que c’était fait exprès. Une semaine plus tard, nous rentrons tous à la maison. Depuis, j’ai eu encore un garçon et une fille avec Christelle et une fille avec Nathalie. Nous avons déménagé pour acheter un terrain où nous avons construit notre maison avec une chambre pour les filles et une autre pour le garçon, plus un étage pour nous trois.Si je vous raconte ça, c’est avec l’accord de mes compagnes puisque, il y a peu, nous avons dit à nos enfants, car leur grand-mère (notre mère, ma femme, ma maîtresse) va me quitter bientôt. Elle a voulu que chacun connaisse son histoire. Nathalie est partie le cœur léger de savoir que quelqu’un saura son histoire. Christelle et moi avons pleuré toutes les larmes de nos corps pendant plus d’une semaine quand nous avons reçu sa lettre. Elle nous disait qu’elle avait aimé les dernières années de sa vie avec nous, puis avec tous les enfants, même quand elle a appris qu’elle était malade. Elle nous l’a dit le jour même. Je savais que je devais faire de sa vie une fête, et je crois que j’ai réussi car, dans sa lettre, elle m’a laissé un petit mot sur ce fameux jour en me disant que c’était le plus beau jour de toute sa vie et qu’elle me remerciait, ainsi que Christelle, de lui avoir permis de le vivre.
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