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Nathalie fait du sport

Chapitre 3

Nouveau partenaire

Zoophilie
Sur le forum de voyeurs, je suis devenue une célébrité locale ! Je me suis connectée par curiosité pour voir ce qui s’y disait dans la rubrique « exhib de parking » et je n’ai pas été déçue : Je suis la pute du bois Saint Hubert, la salope du parcours de santé, la pompeuse de glands du parking ... j’en passe et des meilleures. Je me suis prise au jeu de lire les commentaires salaces publiés en ligne en caressant doucement ma vulve humide.
Il faut dire que depuis 2 mois que je fais mon jogging tous les samedis dans ce bois, je commence à attirer du monde. D’abord un seul voyeur, Pierre et ensuite toute une petite équipe de pervers qui viennent se faire sucer par une mère de famille respectable à son retour de footing. Certains viennent de loin et font 1h de route pour en profiter ! Inutile de vous préciser qu’ils ont les boules pleines et que leurs jouissances maculent abondamment mon visage de foutre chaud.
Moi qui n’étais pourtant pas adepte de ces bains de sperme, j’y ai pris goût. Pas trop pour le sperme lui-même, mais plutôt pour la situation de domination-admiration : Se retrouver à susciter l’excitation de tous ces mâles et à recevoir leurs jouissances non feintes en hommage est un plaisir indescriptible. Ce qu’ils disent de moi, ce qu’ils pensent de moi est tellement différent de la cadre BCBG d’une compagnie d’assurance que je suis que ça me donne l’impression de jouer un rôle dans un film.
En plus c’est mon jardin secret. Moi qui ai une sexualité heureuse et comblée en couple, je n’ai pas parlé de ces activités extra-sportives à mon chéri. Pas de malice de ma part, ça s’est fait comme ça. Je n’ai pas osé en parler au début par sidération et puis après, c’était trop tard à mon avis pour revenir dessus, j’ai donc gardé ça en secret. Quand je rentre de mon jogging, je file à la buanderie mettre ma brassière et mon short souillés avec le linge dans la machine à laver que je démarre immédiatement et je file, en petite culotte, sous la douche pour me laver.
Donc tous les samedis, depuis quelques semaines, je retrouve toujours un noyau dur de 4 mecs de 30 à 50 ans auquel s’additionnent 2 à 3 autres curieux épisodiquement. Pierre, Alain, Laurent, Damien ne manqueraient pour rien au monde notre rendez-vous. Avec eux la relation est devenue progressivement dominante, ils n’hésitent pas à agir fermement, avec virilité voyant que j’aime ça, mais ils savent aussi que je n’aime pas du tout la violence. Les limites de chacun étant claires, nos jeux du samedi n’en sont que plus satisfaisants. Pourtant ce samedi allait encore me donner l’occasion de franchir des limites que je n’aurai jamais imaginées.
En ce jour de fin octobre, le temps était incroyablement doux et, si les feuilles jaunes ne tapissaient pas déjà le sol, on aurait du mal à se croire en automne.Short noir moulant et brassière grise, je finis mon tour hebdomadaire du parcours de santé. Je constate avec plaisir que j’ai gagné en endurance et que je ne me sens plus du tout essoufflée. Finalement, cette motivation de fin d’effort m’a permis de faire beaucoup de progrès.
Dernier virage avant le retour sur le parking, mon cœur accélère quand même un peu. J’aperçois mes « habitués » qui discutent en cercle en attendant. Un autre mec, la quarantaine, non intégré à ce groupe, est à l’écart. Il a un chien berger allemand en laisse et fait mine de le promener ... sur le parking. Je ne suis pas dupe qu’il a sûrement pris le prétexte d’aller sortir le chien pour aller mater la « salope du Bois Saint Hubert » dont il a entendu parler sur le Net.
Arrivant à proximité de ma voiture, je fais mes étirements de façon aussi sensuelle qu’une stripteaseuse, elle glissant bien mes mains sur mes hanches, en cambrant au maximum mes fesses et en redressant mon buste. De petites pointes saillantes trahissent mon état d’excitation derrière le tissu gris de ma brassière.
Inutile de dire que mes voyeurs n’en perdent pas une miette, mais ils respectent tacitement une bonne dizaine de minutes d’étirements, ce serait dommage de finir avec des courbatures et de devoir annuler le jogging de samedi prochain !
Quand ils n’en peuvent plus, ils s’avancent comme un seul homme et m’entourent. Des mains glissent furtivement sur ma peau transpirante puis deviennent plus insistantes en voyant mon sourire d’acquiescement. Je pose mes mains sur les bosses proéminentes saillantes de leurs pantalons et je commence à en extirper les membres raides avec une gourmandise non dissimulée.
Je me retrouve bien rapidement à genoux au milieu d’une forêt de bites déployées pour moi.
— Vas-y Nathalie, pompe-nous bien !— Humm ! Sa bouche de salope est toujours aussi bonne !
— Tu peux venir participer, elle aime ça !
Cette dernière interjection de Laurent ne s’adressait pas à moi, mais au maître du chien qui nous observait sans oser approcher.Il lâche alors sa laisse en donnant l’ordre au chien « reste assis, pas bouger ! », puis s’approche du cercle en ouvrant sa braguette.Je me retrouve avec plaisir dans ce tourbillon enivrant où je passe de queue en queue sous les encouragements obscènes de mes partenaires. Des mains impatientes ont retroussé ma brassière pour ploter mes seins et ont aussi baissé mon short à mi-cuisses pour caresser mes fesses.
Je suis pleinement occupée à sucer la queue de Pierre quand je sens tout d’un coup quelque chose de froid et humide sur la raie de mes fesses ! Le chien, intrigué par cette activité inhabituelle, a désobéi et s’est approché. Enivré par mes émanations hormonales féminines, il glisse son museau dans mon sillon fessier reniflant bruyamment avant de lancer un grand coup de langue râpeuse sur ma vulve humide et odorante.
Cette intervention déchaîne l’hilarité des mecs autour de moi.
— On dirait qu’il a détecté une bonne chienne ! — Le chien sait vraiment trouver les femelles en chaleur !
Je me retourne pour le repousser, mais il continue de me lécher affectueusement.
— Allons Nathalie, tu ne peux pas le repousser, la pauvre bête elle a besoin d’amour. Tu as vu cette langue, ça ne te ferait pas plaisir ?
Oui effectivement j’ai vu cette langue impressionnante et j’ai frissonné à son contact.
— Tu crois qu’il pourrait la lécher ? demande Alain à Sébastien, le propriétaire du chien.— Il n’a jamais fait ça, mais il a l’air intéressé, répond-il en le lançant un regard insistant.
Je reste tout de même interdite un moment, ne sachant pas quoi faire, mais Laurent prend la décision pour moi.
— Allonge-toi Nathalie et écarte tes cuisses devant lui, me dit-il en m’aidant à m’allonger au sol.
Je m’exécute machinalement encore dans le trip de domination auquel je me livre ici toutes les semaines. Comme attendu, le chien renifle par des mouvements saccadés de sa tête en s’avançant prudemment entre mes cuisses ouvertes. Son museau se pose sur mon pubis, je sens son souffle sur la peau de mon ventre et il lance de nouveau plusieurs coups de langue sur ma vulve ouverte. Je suis comme électrisée, me raidissant brusquement sous l’effet de cette longue langue musclée qui va de mon périnée à mon clito. Je ferme les yeux et je gémis doucement. C’est très agréable.Je rouvre les yeux seulement quand il redresse la tête, ne trouvant plus d’intérêt à sa dégustation de ma chatte. Je me sens frustrée, mais Sébastien l’encourage à continuer.
— Continue Silver, lèche, lèche !
Très obéissant, Silver se remet à l’ouvrage léchant avec des coups de langue rapide ma vulve gonflée. L’effet est extraordinaire tant cérébral que physique, une onde de chaleur me parcourt le bas-ventre. Je ronronne de plaisir.
Un silence de mort s’est instauré autour de moi, à part le maître qui l’encourage, les autres mecs sont bouche bée, entre excitation et dégoût de voir cette salope se faire lécher par un chien. Damien interrompt le silence par un râle de jouissance, car, n’y tenant plus alors qu’il se branlait en profitant du spectacle, il éjacule de longs jets qui atterrissent sur mes seins dénudés et souillent ma brassière. Son intervention libère le groupe qui fait avancer une forêt de bites se masturbant au-dessus de mon visage. Je n’ai même pas l’occasion de sucer, car ils jouissent leur foutre tiède sur mes joues et dans ma bouche ouverte avec un concert de jurons étouffé par des grognements de jouissance.
Pierre vient éjaculer le dernier essuyant sa queue gluante de sperme sur mes lèvres. Le chien s’est reculé et s’est mis assis nous regardant placidement.
— Vous m’avez encore bien repeint la figure les garçons, leur dis-je.— Et lui ? Tu ne t’occupes pas de lui ? Je suis sûr qu’il apprécierait, réplique Alain en montrant Silver.
Je regarde le chien qui m’observe, assis la gueule ouverte, respirant bruyamment. Entre ses pattes arrière, un petit sexe rose émerge de son fourreau poilu.
— Allez Nathalie, va le branler, il ne demande que ça ! s’exclame Sébastien.
Bientôt les autres m’encouragent aussi et arrivent à dépasser mes inhibitions.J’avance timidement ma main sous le poitrail de l’animal et je le branle comme je peux en faisant coulisser son fourreau sur son sexe rose.
— Continue, continue, il commence à bander.
Effectivement, des veines carmin se dessinent sur son membre que je sens gonfler dans ma main. Son sexe prend du volume et dépasse de plus en plus du fourreau. Silver donne de petits coups de reins en gémissant un peu sous le coup de l’excitation, il se redresse sur ses quatre pattes. Sébastien le prend par le collier et lui caresse la tête pour le calmer.
Les mecs sont silencieux de nouveau et n’en perdent pas une miette. La bite du chien devenant bien raide, je penche ma tête sous lui posant mes lèvres sur son bout rose, les faisant glisser le long de cette hampe turgescente.Il ne réagit pas et reste calme alors je continue, la main sur son fourreau qui le fait coulisser et ma bouche qui fait des va-et-vient sur son pénis. Un goût douçâtre légèrement amer se fait soudainement sentir ! Je retire ma bouche et je vois de petits jets translucides saccadés gicler hors de son sexe. Il éjacule déjà ? Je ne le savais pas, mais les chiens ont un liquide pré-éjaculatoire permettant le lubrifier la pénétration. Je n’ai pas le choix, je gobe de nouveau la bite gonflée, obligée de recracher régulièrement le liquide qui envahit ma bouche. Au bout de 5 minutes, je me retrouve plus maculée de sperme qu’avec les 5 mecs tout à l’heure ! Heureusement Silver, trop excité se dégage, commençant à tourner autour de moi en sautillant. Méfiante, je me relève prestement de peur qu’il ne me grimpe.
Je reçois alors les acclamations de mes fans qui sont impressionnés par ma prestation. Nul doute que ma réputation sur le forum va encore gagner en notoriété cette semaine !
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