Nathalie femme infidèle 3Après son aventure autoroutière, Nathalie se demande comment elle a pu résister aussi longtemps à l’appel du sexe hard et imprévu. Le fait de s’être fait prendre par trois inconnus dans des douches, décuple son envie de découvrir bien plus, même des situations extrêmes. Les relations sexuelles avec son mari lui paraissent encore plus fades depuis son aventure, elle aurait aimé lui avouer et qu’il participe, même comme candauliste. Elle craignait sa réaction, bien qu’il reconnaisse de lui-même qu’il n’était plus très performant malgré sa beauté. Une fois, il lui avait même demandé si le manque de sexe de sa part ne la contrariait pas. N’osant pas le diminuer, elle lui avait répondu qu’elle s’en accommode fort bien. C’est un mensonge qui est fait pour le rassurer, désormais le démon du sexe a frappé, jamais plus elle ne pourra rester sans relations extra-conjugales. L’adultère provoque encore plus d’excitation. Le mari de Nathalie est en déplacement au Maroc pour une quinzaine de jours. La petite coquine se dit que c’est le moment de partir à la pêche au gros. En effet, elle adore les grosses queues depuis que Youri et Tintin, lui ont visité sa petite rondelle et sa minette. Le côté allumé les routiers est réalisé, donc elle doit trouver un nouveau délire. Sur son ordi, elle tape "SexenBretagne" aussitôt elle se fait un compte en mettant quelques photos d’elle nue prises par son mari. Pour présentation.” Femme mariée recherche aventures avec un ou plusieurs hommes, origines et âges indifférents" Une demi-heure plus tard déjà une vingtaine de mails. Il y en a pour tous les goûts. Des hommes seuls qui tentent leur chance en stipulant qu’ils peuvent réunir des copains, des hommes mariés qui disent que leur femme n’est plus intéressée par le sexe (mon œil). Un mail retient son attention "100 % Halal" l’annonce explique que plusieurs Maghrébins organisent des soirées avec des blanches servant de sac à sperme. L’annonce est peu élégante, mais intrigue Nathalie qui recherche surtout des rencontres qui sortent de la routine. Tremblante, elle compose le numéro indiqué sur l’annonce sur son iPhone en numéro caché. Une voix grave avec un accent très prononcé. Nathalie se présente avec son numéro d’annonce. — Bonjour, pourriez-vous m’expliquer un peu ce que vous attendez d’une femme dans vos soirées ? L’interlocuteur qui se fait appeler Saïd lui répond crument. — À te défoncer de tous les côtés sans capotes, mais avec tests récents, à quatre ou cinq suivant tes capacités, si tu aimes la sodo, vu tes photos et le cul que tu as, tu seras ravie jolie kahba. Alors intéressée ou as-tu peur pour ton cul ? Nathalie le trouve vulgaire et est hésitante, peut-elle coucher avec quatre ou cinq hommes, qui vont la traiter comme une chienne soumise ? L’envie est forte de franchir le pas et de découvrir l’amour avec des personnes d’origine étrangère, elle qui dans les soirées rencontre surtout des hommes guindés, qui se mettent toujours en avant fiers de ce qu’ils pensent être. Nerveusement, elle répond à Saïd. — Puis-je réfléchir, et vous répondre plus tard ? Saïd répond. — Ne tarde pas la gazelle, tu sais, nous avons beaucoup de demandes. Tu n’es pas la seule, beaucoup de petites cochonnes veulent goûter de la bite d’arabes. Nathalie devant cette injonction finit par répondre. — J’ai bien envie d’accepter, mais si je désire arrêter en cours de soirées est-ce possible ?
La réponse est sans appel. — Tu ne crois pas qu’une fois dans ta chatte ou ton cul, tu peux décider de laisser des amis en panne ? Une fois commencé, c’est fini quand on le décide. Saïd semble un dominant, cela ne déplait pas à Nathalie qui apprécie les hommes de ce genre. Un soupir, un bref combat dans sa tête, le démon du sexe gagne et elle accepte.Rendez-vous pris pour le soir même. À peine raccroché, Nathalie regrette un peu, sa décision trop rapide, ce n’est pas le fait de coucher avec plusieurs hommes, cela l’excite, mais la peur de ne pas être à la hauteur, et d’être ridicule. Le rendez-vous est pour vingt heures, dans le quartier un peu chaud de Kercado, une cité de Vannes pas très bien réputée. La journée passe, Nathalie passe et repasse dans sa tête la façon dont peut se dérouler la soirée, tantôt des idées positives, et ensuite des négatives. L’envie de sexe l’emporte sur la peur. Nathalie pour se donner un peu de courage, ouvre une bouteille de champagne et en boit trois coupes de suite. Ce délicieux breuvage, elle le sait, la désinhibe complétement. C’est comme ça qu’une fois lors d’une soirée avec des amis de son mari, elle avait fait un strip-tease debout sur la table, ce qui avait plu aux invités de son mari, que des hommes. Daniel, un peu ivre aussi, l’avait laissé danser entièrement nue, il était juste intervenu lorsque quelques mains commençaient à palper les généreux charmes de sa femme. Donc quelques coupes plus tard, elle est complétement décontractée, et ne pense plus qu’à la soirée, où elle va enfin découvrir ce que ressent une femme soumise à la lubricité de plusieurs salops. L’heure est venue de se préparer, Nathalie hésite sur le style à adopter, pute, maquillée et vêtements, ras du cul, nichons à l’air, Bourgeoise, petite robe à bretelles, arrivant juste un peu plus haut que les genoux. Elle se décide pour un mélange des deux. Maquillage léger qui ne cache pas ses quelques taches de rousseur, simple pour ses yeux d’un vert émeraude, puis un peu de gloss pour les lèvres afin de les roser et briller. Par ailleurs, elle hésite entre mettre ou pas un soutien-gorge, le ballant de ses seins lourds est provocateur sous une robe légère. Elle opte donc d’en mettre un de dentelle, couleur noir intense, assez léger pour donner un peu de liberté aux mouvements de ses seins. Un tanga assorti, puis une robe vert pastel à bretelle mi-cuisses qui est bien assortie à sa rousseur cuivrée. Ainsi, elle tourne et retourne devant la glace, convaincue qu’elle est bandante et baisable, question physique, c’est parfait, elle va plaire, seules ses performances sexuelles s’avèrent inconnues. Nathalie décide de prendre un taxi pour se rendre à Kercado, laisser sa BMW garée dans ce coin le soir, sûr qu’elle ne la retrouvera pas le matin. Servir de poupée sexuelle toute la nuit, elle s’en remettra, se faire voler sa voiture, elle ne le supporterait pas. La jeune femme remarque le chauffeur regarder souvent dans son rétro, elle devine pourquoi, assise sa robe est remontée jusqu’à la frontière de son tanga. L’homme se rince l’œil à chaque feu rouge. Nathalie joue le jeu et écarte un peu les cuisses, légèrement grisée par le champagne, elle est d’humeur allumeuse. Une idée lui traverse l’esprit, elle fouille dans son sac et donne une carte de visite au chauffeur, un beau black bodybuildé, en lui disant. — Si un après-midi vous êtes libre, une petite balade en taxi dans un coin tranquille ne serait pas pour me déplaire. Nathalie devient de plus en plus accro au sexe, un black sur sa peau laiteuse de rousse, cela doit être assez joli. Le sourire ultra brite du chauffeur laisse deviner qu’elle va vite avoir de ses nouvelles. Arrivée devant une barre d’immeuble, Nathalie règle le chauffeur qui lorsqu’elle se penche voit le dessus des gros globes de l’impertinente, et s’imagine déjà en train de faire glisser sa grosse queue entre eux. Il est temps de passer à l’action, vingt heures pile. Nathalie se dirige vers le numéro que Saïd lui a indiqué. Un hall tagué, un ascenseur en panne, six étages à grimper, étant sportive, ce n’est pas un problème. La jeune femme va pour monter quand un homme collé contre le mur, l’interpelle. — C’est toi Nathalie ? Elle répond affirmativement. — Je suis Saïd, tu es venue seule comme convenu ?— Bien sûr, pourquoi il fallait amener une copine ? L’homme est tout boutonneux, une acné qui lui dévore le visage, presque chauve et maigre comme un jour sans pain.Nathalie pense qu’elle aurait dû demander des photos de profil, plutôt que celles de leur queue avant de s’emballer. L’homme sort une clé de sa poche et lui dit que pour lui l’ascenseur fonctionne.Effectivement, les portes s’ouvrent, il lui met la main aux fesses, puis la pousse à l’intérieur de l’étroite cabine. Quand la cabine s’ébranle, il saisit la jeune femme, la colle contre lui et l’embrasse sans façon, sa langue fouillant la bouche féminine en bavant. Nathalie se laisse faire bien que peu enthousiaste à sentir ce visage en éruption se coller au sien. Une main remonte sous sa robe et lui tripote l’abricot, la rapidité de l’homme à passer direct à son intimité, la surprend. La jeune femme sent une certaine excitation à se faire tripoter dans un ascenseur. Elle a été sage trop longtemps, elle doit rattraper son retard d’affection. Ainsi, elle oublie le visage couvert de boutons puis rend avec passion son baiser à Saïd. Leurs langues se quittent lorsque la cabine après un saut s’arrête, Nathalie rabat sa robe remontée au nombril. La porte de l’appartement ouverte découvre une entrée au papier arraché, Saïd la guide dans la salle où se trouvent quatre hommes complétement à poil. Des hommes d’environ la vingtaine, basanés plutôt bien physiquement, et surtout quatre belles trompes qui pendent entre leurs jambes. Sans plus de manières, ils viennent tous la peloter, lui rouler des pelles, puis commencer de la déshabiller. Nathalie se demande pourquoi elle a mis aussi longtemps à choisir ses vêtements si c’est pour être à poil en cinq minutes. La robe, le soutien-gorge, le tanga ont rejoint la moquette crasseuse. Les queues des quatre gaillards se sont redressées et regardent le plafond, Saïd présente ses copains qui pelotent les grosses mamelles de la jolie rouquine, tirent les poils cuivrés, taillés en ticket de métro de son minou. Des langues envahissent sa bouche, lèchent ses mamelons, s’aventurent même dans sa petite toison. Nathalie entend les noms dans la confusion des caresses. — Nabil, Djamel, Mohamed et Karim. Que préfères-tu pour commencer, chacun te baise dans la chambre afin de te montrer le plus performant, ou nous cinq d’un coup ? Nathalie ne réfléchit pas une seconde pour répondre. — Faites comme vous voulez, je suis là pour vous servir de vide bourses. La réponse plait à Saïd. — J’avais deviné, tu es une kahba, prépare tes miches morue. Les hommes saisissent Nathalie, la pose sur une table, lui replient les jambes afin qu’elle ait sa chatte bien offerte au bord de la table. Des queues se présentent à sa bouche, pendant que Nabil se met entre ses cuisses et sans aucun préliminaire lui enfile sa queue d’un brusque coup de rein. Heureusement que sa chatte est déjà trempée sinon, la violente pénétration lui aurait fait mal, la grosseur du zob lui distend quand même la chair. Nabil ne se préoccupe pas du plaisir de Nathalie, il tire un coup, c’est tout, pour lui, c’est juste un vagin pour se soulager. Nathalie passe sa langue d’un gland à l’autre, elle subit des gorges profondes. Génial d’avoir quatre queues à sucer. Le bourrage de sa chatte par Nabil commence à la faire jouir. Pourtant, le salop se vide trop vite, il lui inonde le vagin de puissants jets de jute chauds. Nathalie pousse un Oh de désappointement. Saïd à son grand plaisir vient prendre la place de Nabil, et enfourne sa queue dans le four brûlant de la jeune femme. Nabil rejoint ses copains qui se font sucer et ordonne à Nathalie. — Nettoie ma queue salope, tu me la rends propre sinon je te démonte la tête. Nathalie, un peu peureuse, s’exécute. Elle pompe avec application la queue enduite de sperme et de cyprine. Saïd quant à lui se démène dans la chatte remplie de jus et monte le produit en mayonnaise, cela devient épais et mousse. Alors, il se retire du vagin dégoulinant et approche son gland de la petite rondelle plissée. — Tu as vraiment un beau cul ma chienne, prends ça. D’un seul coup, il s’enfile dans le petit trou serré, arrachant un cri de douleur à la jeune femme. Nathalie veut se dégager, mais le nombre de mains qui la tiennent, l’en empêchent. La jeune femme pleure, cela n’attendrit pas Saïd, bien au contraire. C’est un plaisir de remettre cette petite chienne en face de la réalité, elle doit comprendre qu’elle est leur prostituée, et qu’elle va subir ce qu’ils voudront. Avec un sourire pervers, il se retire, Nathalie croit qu’il a pitié. Puis quand elle ne s’y attend pas, il replonge sa queue sauvagement dans la petite rondelle, faisant disparaitre tous ses plis. Le hurlement de Nathalie doit s’entendre dans tout l’immeuble. Saïd recommence quatre ou cinq fois la manœuvre et content de lui, cette fois lui baratte le cul comme jamais elle n’a connu. Les larmes inondent son visage, les quatre compères applaudissent Saïd quand enfin, il se vide dans les boyaux de la loque pantelante qu’est Nathalie. La jeune femme sent les jets chauds lui remplir le rectum, tétanisée par la douleur, elle ne bouge plus. Le supplice se poursuit, les quatre autres mâles la sodomisent tour à tour. Sans réaction, Nathalie subit ces outrages, le cul débordant de sperme, elle finit quand même à ressentir un léger plaisir lors de la dernière sodo. Les sodomites repus à présent l’abandonnent sur la table la pastille largement ouverte dégoulinante de leur sperme. Ils photographient le trou du cul béant et l’envoie aussitôt sur WhatsApp à leurs amis. Nathalie va à la salle de bains crasseuse pour rafraîchir sa petite rondelle, c’est avec soulagement que l’eau froide éteint le feu que toutes ces bites ont allumé dans son maintenant énorme trou. Djamel la rejoint et lui demande. — As-tu aimé prendre nos queues dans ton cul salope ? La soirée fait que commencer, on est trop bien dans ta rondelle, tous ont apprécié ton cul. Cela ne rassure pas la jeune femme pour la suite de la soirée. Djamel lui essuie le dos, se fait plus insistant sur l’entre cuisses, excitant le clito qui ne demande qu’à réagir. Nathalie s’ouvre, se crispe sur le lavabo et implore Djamel de lui prendre la chatte. Djamel la fait mettre à genoux puis pour toute réponse lui enfile son interminable sexe dans la bouche. Vingt-sept centimètres de chair s’enfournent dans le clapet de la jeune femme, ses amygdales sentent le gland les chatouiller et lui donne envie de vomir. Elle a un haut le cœur, mais arrive à réprimer sa déglutition. Son nez touche le ventre poilu, pas le genre à s’épiler les beurs. Un moment, elle garde le sexe au fond de sa gorge, puis se retire pour reprendre sa respiration. La salive enduit le sexe et coule de sa bouche avec de grands filets transparents. Plusieurs fois Djamel remet Nathalie en apnée, et lui ordonne. — Tourne-toi, je vais te remplir la chatte, j’ai toujours rêvé de mettre un bâtard dans le ventre d’une femme française mariée. Nathalie blêmit en entendant ces mots, elle prend conscience qu’obnubilée par sa recherche de sexe, elle a complétement oublié de prendre sa pilule. N’osant pas dire à Djamel de se retirer à temps, elle fait vite les comptes de ses dernières règles et pense qu’elle n’est pas en période d’ovulation. Finalement, il est trop tard, un a déjà jouit dans son minou, un de plus, cela fera un panache si elle est enceinte, cette pensée la fait sourire. Elle repose ses mains sur le bidet, offrant son adorable moule au serpent de Djamel. Pas de fioritures, Djamel pose son gland circoncis sur la fente et en deux coups de reins, il se retrouve au fond du vagin. La chatte de Nathalie, bien humide, accepte le viol de son intimité sans en souffrir plus que cela. C’est la plus longue que sa chatte a accueillie, mais quel plaisir de sentir le bout du zob frôler son utérus. Sans même la tenir, Djamel se promène allégrement dans le vagin de la jeune femme, sa queue coulisse aisément dans le fourreau chaud et trempé de sa soumise. Nathalie prend un pied terrible de sentir sa chatounette remplie, elle est prête à jouir, quand soudainement le coït est interrompu par les quatre autres qui rentrent dans la salle de bains en vociférant. — Alors les amoureux, on tringle en cachette ? Ce n’est pas sympathique de ne pas partager, surtout qu’avec une telle pouffe, il y en a pour tous. Vas-y Djamel finis-toi après on se la met en rafales. Djamel pour faire plaisir à ses copains, procède à un rythme effréné, il claque violemment les fesses de Nathalie, les faisant rougir, puis en criant en arabe, il répand en elle de gros jets, arrose le vagin dilaté, Nathalie crie son bonheur. Djamel en se retirant continue de faire éternuer son cyclope arrosant les miches de la belle. Le cul couvert de sperme, Nathalie n’a pas à attendre, elle ne sait pas qui l’enfile, mais elle apprécie cette nouvelle saillie. Secouée par les coups de reins de son amant, Nathalie à du mal à sucer les autres, sa tête allant de droite à gauche sous les coups furieux. Elle jouit intensément en grognant la bouche pleine. Le sperme jaillit dans sa chatte, sa gorge, un bonheur. Nathalie ne sait plus combien peut durer la tournante, une heure, deux ? Les hommes se succèdent dans tous ses orifices, inondant ceux-ci, l’abattage est accompagné parfois par un splendide orgasme de la jeune femme. Bien que d’être fourrée comme une dinde de tous les côtés, le plaisir fini quand même à la faire jouir, des cris de bonheur. D’autres fois de douleur, elle est comme droguée et s’offre à qui le veut comme il souhaite. Six heures du matin, enfin, les hommes l’abandonnent. Nathalie au sol souillée de sperme d’urine, ils lui ont fait subir une douche dorée, sans qu’elle proteste. Fusillée par cinq jets puissants d’urine, elle en a reçu sur le visage, la bouche entre ouverte, elle en a même avalé. Elle n’était plus en état de résister à quoi que ce soit. Ainsi, elle avait voulu connaitre du sexe à l’extrême, elle devait assumer. Nathalie se relève endolorie de partout, comme si elle avait été bastonnée. Avec peine, elle se rend à la salle de bains, dégoulinante de ses trous, le sperme et la pisse ont séché sur elle, l’odeur âcre est abjecte. L’appartement est silencieux, Nathalie se place sous la douche avec un immense plaisir, les jets d’eau chaude lui cinglent la peau. Avec un vieux gant de toilette, elle frotte tout son corps, insistant sur sa minette, sa rosace toujours ouvertes, le gant glisse dans son anus béant. Elle se retourne pour saisir la serviette et sursaute, Karim est là, il observe la jeune femme dans ses ablutions. Nathalie la peur passée lui tend la serviette pour qu’il lui essuie le dos. Karim laisse tomber la serviette au sol, Nathalie aperçoit avec stupeur le sexe du jeune beur dressé comme s’il n’avait pas baisé, pourtant il a été un des plus actifs dans la sodo. Sans un mot, il fait pencher la jeune femme, lui écarte les fesses et présente sa queue à l’entrée de l’anus qui n’est plus une rosace, mais un trou bien ouvert. Nathalie soumise sent la grosse queue qui envahit de nouveau son corridor anal, elle s’aperçoit que son anus bien que béant s’est quand même resserré, vu la douleur moindre, cependant présente qui irradie ses reins. Elle se refuse à gémir, Nathalie subit l’empalement avec fierté. Douleur, plaisir, sont un délicieux mélange qui fait penser à Nathalie que le SM soft doit être agréable. La jeune femme sent les boules de Karim se coller à ses fesses, entièrement en elle, il lui saisit ses énormes seins et les malaxe. La queue enfilée bien profonde frémit dans l’intestin de Nathalie, les soubresauts l’excitent. Karim d’une main lui caresse en plus le clito qu’il a trouvé sans mal, comme il est sorti de son capuchon. La première fois qu’un s’occupe de son plaisir Nathalie lui prouve en lui mouillant les doigts. Karim ressent les contractions des muscles anaux lui masser le gland, un peu comme une masturbation interne. Il ne bouge pas planté dans le plus intime de la jeune femme. L’excitation se fait plus forte, sa queue gonfle davantage. Nathalie apprécie le nœud de Karim qui lui remplit bien le cul. Alors, elle commence un lent va-et-vient rentrant et ressortant le long du zob dur. Karim abandonne le malaxage de la grosse poitrine de la jeune femme, la prend par les hanches et dirige lui-même le mouvement. Nathalie gémit, se masse les seins, se tord les mamelons, le plaisir grandit en elle, elle intime à son sodomite, de la bourrer plus fort, de lui inonder le cul. La liqueur de couille jaillit dans le doux fourreau, les deux crient leur bonheur. Ils s’affaissent sur le carrelage froid de la salle de bains, Nathalie les seins collés sur le froid carrelage pleurant de joie, lui la queue toujours enfoncée dans le rectum de la jeune femme, le gland nageant dans son sperme. Sa queue ressort de l’anus avec un floc et libère tout le jus injecté dans les boyaux de Nathalie, qui s’écoule entre ses cuisses et la fente de son abricot. Les autres, réveillés par les cris de bonheur des deux amants, s’agglutinent autour d’eux. Saïd dit — Tu n’en as pas eu assez kahba il te faut une seconde tournée, tu me fais bander salope, apporte ton cul que je t’engrosse. Il la relève, lui met une grande claque sur le cul et la dirige vers sa chambre en disant à sas amis.— Je me vide un peu avec elle pour me rendormir, après elle est à vous. Nathalie suit Saïd, il l’a fait s’allonger sur les poufs, se met à califourchon sur elle, place sa bite entre les grosses mamelles de la jeune femme, lui ordonne d’enserrer sa queue et commence une branlette espagnole de qualité. Bien que sa queue soit de belle grosseur, elle disparait complètement entre les deux gros globes de chair chaude. Et en même temps (comme dirait un président de renom). Il maltraite durement les mamelons érigés de sa conquête. Saïd s’active entre les grosses mamelles de sa maitresse d’un soir. Un grognement, des insultes, et la puissante giclée qui s’écrase sur le menton et les autres qui s’écoulent entre les seins toujours serrés par les mains de la prostituée consentante. Saïd s’avance un peu, écrasant les lolos larguant les dernières gouttes sur les lèvres entre ouvertes de Nathalie, qui de la langue les lape comme une jeune chatte son lait. Il lui donne un léger coup de pied dans les côtes en lui disant. — Dégage la kahba va vider les autres, pour ma part, je dors. Nathalie outrée, se relève sans un mot, le sperme coulant de sa poitrine à son nombril.Elle rejoint les trois autres, Karim étant parti et demande tout de go. — Qui veut se vider avec moi ? Salope elle l’est devenue dans cette soirée, son rôle, éponger tous les hommes présents, suivants leurs envies. C’est un peu ce qu’elle pressentait en venant, maintenant elle assume et ira jusqu’au bout de son engagement. Le lendemain matin, elle doit faire une bonne pipe à tous ses amants, qui lui demandent si elle a aimé ? — Une expérience assez dure, mais qui doit être vécue au moins une fois et peut être reviendra-t-elle les voir. Elle est félicitée par tous d’avoir assuré ainsi.— Saïd, lui confie qu’elle est la seule qui ait tenu une nuit complète avec eux, et que son cul est un endroit divin dans lequel ils aimeraient revivre ses doux instants. Un petit bisou sur la bouche de tous, et Nathalie repart cassée, mais heureuse vers de futures aventures.
