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Nature sauvage

Chapitre 1

Gay
« Bon… Je n’attraperai plus rien aujourd’hui… Trois poissons… Grand-père va être content… J’aime vraiment bien ce coin. A chaque fois la pêche est bonne. Je reviendrai… »Je rembobine le fil de ma canne à pêche. J’enlève soigneusement l’hameçon et le leurre. Je range le tout dans la boite. « Boire un coup… Tiens, j’ai fini la bouteille ! Pas étonnant que j’ai envie de pisser ! J’irais bien me baigner aussi… Pisser dans l’eau, en nageant… A poil… C’était sympa la dernière fois… Mais pas à cette heure-là… La plupart des pêcheurs sont comme moi, ils remballent. Je risque de me faire surprendre… »Je sors d’un coup de ma réflexion en entendant une branche casser. Cela arrive. Rien d’anormal dans ces sous-bois pas entretenus le long de la rivière. Sauf que là… Le chant des oiseaux s’est tu. Plus de piaillements. Uniquement le bruit de l’eau qui coule. Il y a quelqu’un. Homme ou animal ?Je scrute discrètement la berge autour de moi en faisant semblant de fouiller dans ma boite à pêche. Je ne vois rien. Pas un mouvement.Je sais pourtant où on peut se cacher ici. Je connais ce coin par cœur. Depuis le temps que j’y viens ! Là-bas, à droite, le bosquet sombre… Un peu plus à gauche, le tronc mort au sol. Il y a un creux derrière où on peut s’accroupir sans se faire voir.« Mais non, décidément, rien. Ai-je rêvé ?D’ailleurs les piaillements reprennent. Je me fais un film… »Pisser. J’ai très envie de pisser. Je fais demi-tour pour aller me soulager contre un arbre en tournant le dos à la rivière. Et je m’arrête. Ce n’est pas drôle.J’adore pisser dans l’eau. J’adore exhiber mon pénis en pleine nature. Ce n’est pas un hasard si je ne suis vêtu que d’un simple slip de bain rouge. J’ai hésité à l’enlever. Je n’ai pas osé, même si plusieurs fois dans la journée je l’ai descendu à mi-cuisses pour me caresser tranquillement.Oh, pas une véritable masturbation. En tous cas pas une qui se conclue par une belle giclée jouissive. Non. Juste un peu de plaisir sensuel. Des caresses intimes. Douces. Délicieuses.« Et si ? Et si je pissais dans l’eau, face à la bête, ou au beau mec, qui se cache peut-être quelque-part face à moi ? Pourquoi ne pas lui présenter ce pénis dont la nature m’a doté ?Si je fais cela naturellement, qui pourrait me reprocher de me soulager en croyant qu’il n’y a personne ? Quand bien même je rêve qu’il y a quelqu’un…Peut-être qu’un mec me mate depuis des heures ! Peut-être m’a-t-il vu me faire du bien ? Et attend-il que je ressorte la mécanique ?Allez ! Autant faire plaisir à un éventuel voyeur, homme ou femme, jeune ou vieux ! Après tout, je ne suis pas trop moche comme garçon ! »Je me décale face à la rivière. Je tire sur l’élastique du slip et j’en sort mon pénis légèrement gonflé. Queue à l’air (j’adore !), je m’approche encore de l’eau, me fixant sur une grosse racine plongeant dans la rivière. Là je peux uriner en paix !« Autant que mon voyeur putatif en voie le maximum ! Et si j’abaissais un peu mon slip ? »Le tissu glisse en haut des cuisses, libérant mes fesses et mes bourses. « Oui… Comme cela c’est un parfait équilibre entre geste naturel et légère impudeur ! ».J’urine tranquillement, pivotant gentiment de gauche à droite comme si je jouais naïvement à arroser le lit de la rivière avec mon robinet enchanté. En réalité je veux permettre à un éventuel voyeur, placé je ne sais où, d’avoir une vue de mon engin sous différents angles.L’idée fait encore grossir mon pénis. Une fois mon affaire faite, je me décalotte entièrement et secoue mon engin pour en faire tomber la dernière goutte.Je me recalotte lentement, secoue encore, et remballe, à regret, le tout dans mon mini slip de bain que je remonte.Je réalise subitement que je n’ai pas montré mes fesses. J’aime pourtant beaucoup quand un beau gars s’y intéresse, à mes fesses, pour y fondre et s’y enfoncer…Alors je me retourne, rabaisse mon slip pour venir frotter lentement mes fesses à pleine main, comme si elles étaient irritées…Les meilleures choses ont une fin. Je me rafistole définitivement, ramasse mes affaires et prends le chemin du retour. Si voyeur il y a, j’espère qu’il a apprécié !
 Arrivé au bout du sentier à ma mobylette, j’installe solidement mes affaires. Je renfile mon short et mon teeshirt. Au moment de grimper dessus, le doute m’assaille : y avait-il quelqu’un, ou pas ?Il me faut en avoir le cœur net ! Je laisse tout en plan et file de l’autre côté de la rivière. Je connais cette berge aussi bien que celle que je viens de quitter. Je sais comment l’emprunter en toute discrétion.Arrivé à peu près en face de l’endroit où j’ai passé l’après-midi, je retiens à grand peine un cri exalté : il y a bien quelqu’un !Un grand mec, de mon âge, torse-nu, sac à dos au sol, qui commence à déballer ses affaires. Sans doute pour y passer la nuit. Un grand mec, plutôt bien foutu ! Et mignon…Au moment où je me fais cette réflexion je marche sur une branche de bois mort. Le claquement sec le fait se retourner vers moi. Nos regards se croisent. Que faire ? Que faire d’autre si ce n’est attaquer ?– Ah ! Je le savais ! C’est donc toi qui m’as regardé pisser sans sourciller ? – Non ! Désolé ! Je n’ai rien vu !– Si tu sais que j’ai pissé, là, à cinq mètres de toi de l’autre côté de la rivière, c’est bien que tu m’observais !– Oui ! Non ! Je t’ai vu avec ta canne…– Tu parles de quoi là ? lance-je ironiquement.– La longue ! Celle qui sert à pêcher ! je veux dire à attraper du poisson. Pas l’autre… – Ah. Je préfère.– Et puis je t’ai vu t’approcher de l’eau et sortir la mécanique pour pisser. Mais juré, je n’ai presque rien vu ! J’ai détourné le regard !– D’abord tu n’as rien vu. Puis tu n’as presque rien vu ! Bon, d’accord, tu as tout vu ! Remarque, je m’en contrefous ! Toi aussi par moment tu t’arrêtes pour pisser en sortant la mécanique, non ?– Evidemment ! Désolé d’avoir été indiscret.– Et peu discret ! Tu n’es vraiment pas un homme des bois, toi. Je t’ai entendu… Et je t’ai trouvé tout de suite !– Ah oui ? Tu m’as entendu et tu as quand même fait ton petit numéro ? Tu ne serais pas un peu exhibe ?Le salaud ! Il contrattaque ! Eh bien, en plus ! Bien vu ! J’éclate de rire.– C’était juste pour vérifier… – Bien sûr ! dit-il du ton de celui qui n’est pas dupe. Mais tu as raison. Je suis un parigot. Pas un gars d’ici.– Bienvenue quand même ! Et qu’est-ce que tu fais ici ?– Je randonne. Je cherchais un endroit pour passer la nuit. J’ai trouvé que ce coin n’est pas mal, non ?– Tout seul ?– Oui… Je… Je viens de rompre…– Désolé ! Pas de bol… Mais…Je réfléchis à toute vitesse. Il est vraiment mignon. Il a de belles boucles d’oreille… Il a un look androgyne. Oui. C’est cela qui me plait en lui : son air androgyne… Avec un peu de maquillage et une robe, il passerait volontiers pour une fille. Tout ce que j’aime !Comment faire…Je ne réfléchis pas plus. C’est mon instinct qui parle :– Ne t’installe pas ici. Le terrain appartient au père Bourrine. C’est un vieux con à moitié alcoolique. S’il te repère il est capable de venir te virer à coups de fusil. Il est dangereux le connard !– Aïe ! Merde ! Je n’ai pas envie de me prendre du plomb dans le cul !– Il y a mieux à y faire, sûr ! J’ai une idée… Je suis chez mes grands-parents, pas très loin… Mon grand-père a un terrain à environ deux kilomètres d’ici. Je suis certain qu’il accepterait que tu t’y installes. Il y aura moins de monde à t’emmerder qu’ici.– Je n’ai vu personne ! A part toi bien sûr.– Cela dépend des heures. C’est un coin à pêcheurs. Sûr que ce soir et aussi demain matin tu en verras passer. La plupart sont sympas mais des fois il y a des cons ! Surtout des gars qui n’aiment pas les parigots… Et si un crétin te signale au père Bourrine… Non, ce n’est vraiment pas une bonne idée de rester là. Tu devrais…– J’ai les pieds en compote ! Je suis vanné !– Je comprends. Mais il ne faut pas rester là. Mon grand-père a un terrain à deux kilomètres en amont. Ce sera beaucoup plus calme. Tu n’as qu’à planter ta tente là. Personne ne viendra t’y emmerder ! Tu as une carte ?– Oui.– Sors-la, je te montre. Le temps de ramener ma prise du jour, je t’y rejoins dans une demi-heure. Regarde le pont, là. Tu le reconnaitras, c’est un des rares en pierre. Deux-cents mètres plus loin sur la gauche, tu vois le chemin ? Attends-moi devant l’entrée d’un champ qui a un horrible panneau « chien méchant ». Il n’y a jamais eu de chien méchant. C’est juste pour que les promeneurs et les chasseurs n’y aillent pas. Mon grand-père est un peu… bourru sur le sujet !– Es-tu certain qu’il va vouloir ?– J’en fais mon affaire ! Je lui ramène le dîner… Il se donne une apparence un peu sévère, mais il a le cœur sur la main ! Tu as bien vu où c’est ?– Oui, oui, ce n’est pas compliqué.– Alors rendez-vous dans trente minutes à l’entrée du champ des deux cornes !Sur ce, je tourne les talons et file rejoindre ma mobylette en espérant que personne ne m’a volé ma pêche du jour. Je n’ai pas été très prudent de la laisser. Mais l’envie de savoir était trop forte. Et ce gars est vraiment mignon ! Je le retrouve à l’heure dite devant l’entrée du champ. Je suis encombré avec un jerrycan de vingt litres entre les jambes et quelques outils sur le porte-bagage. Sans compter la part de tarte aux abricots de ma grand-mère qu’elle a absolument voulu que je lui amène en guise de bienvenue.Nous ouvrons la barrière. Je laisse ma mobylette cachée sur le côté et passe devant pour traverser le champ afin d’aller à l’autre extrémité, là où c’est calme. Cela fait un an que je n’y suis pas allé. Mon grand-père avait raison, tout a poussé avec excès.– Le jerrycan c’est pour ta consommation personnelle, et aussi en guise de sécurité si jamais l’herbe prend feu. C’est notre hantise ici, les incendies, surtout avec cette sécheresse !– Je n’ai que mon butagaz. Je ferai très attention !– J’espère ! Tiens, cadeau de ma grand-mère ! réplique-je en lui tendant la part de tarte emballée.Il regarde le contenu avant de se retourner vers moi. Je le sens ému. Ce gars ne doit pas avoir l’habitude de recevoir des cadeaux.Avec la faucille familiale qui a dû appartenir au grand-père de mon grand-père, si ce n’est plus, je taille soigneusement les herbes hautes là où j’estime qu’il sera le mieux installé.– A moitié sous les branches d’arbres, pour l’ombre. Tourné vers le nord. Les rayons de soleil du matin ne te toucheront pas avant neuf heures. Par contre tu auras la vue sur ta gauche et, avec un peu de chance, un superbe coucher de soleil !– Non, mais, je vais repartir demain matin !– Tu fais comme tu veux. Mais si tu veux rester, tu peux. Tu as l’air fatigué. C’est bon, lors d’une randonnée pédestre, de faire une journée de pause, tu sais ? Cela repose les pieds ! La rivière est à cinquante mètres plus bas. Tu y accèdes par le côté, là. Et ici tu seras peinard !– C’est gentil… Je ne sais pas…– Tu as le temps de te décider ! Tiens, avec la pelle-bêche tu devrais dégager le sol ici pour ne pas mettre le feu. Ton réchaud sera bien, là. Tu peux biner largement, cela repoussera ! Quant aux feuillées, tu vois les grands houx là-bas ? Juste derrière tu n’auras qu’à faire un trou. C’est toujours là qu’on le fait. D’abord parce que tu es caché de toutes les vues. Ensuite parce que la terre est meuble. Il n’y a pas trop de caillasses là-bas. Okay ?– Tu penses à tout !– Parce que moi aussi il m’arrive de randonner et de faire du camping sauvage ! Pour la toilette, la rivière est parfaite. Il y a une sorte de bassine naturelle juste en-dessous. Tu peux t’y baigner dans la tenue que tu veux sans risquer de te faire surprendre ! Pour le coup jamais personne ne s’y rend parce que la rivière est encombrée en amont et en aval ! La seule chose est de ne pas utiliser de savon qui pollue les eaux. Juste de l’eau claire, c’est entièrement suffisant !– D’accord. C’est le paradis ce coin ! Merci !– Je ne sais pas si c’est le paradis ; c’est en tous cas le mien !– Le champ des deux cornes, as-tu dit tout à l’heure ?– Exactement. Tu as de la mémoire !– C’est que le nom est original ! Cela vient d’où ?– On ne sait pas. Sans doute une question de bêtes à cornes… C’est très vieux !– Ah ? Je craignais que cela soit une allusion à mon état de manque !Surpris, j’éclate de rire. Le gars y va direct !– La rupture ? demande-je.– La rupture ! On avait prévu de partir ensemble pour deux semaines de randonnée cul… J’ai cinq boites de capotes dans le sac !Mon air effaré le fait éclater de rire à son tour.– C’est l’idée qu’on baise pendant les vacances qui te choque ?– Bien sûr que non ! Ce serait plutôt l’idée qu’on ne baise pas ! Mais cinquante capotes en deux semaines…– On était chauds ! Mais j’ai pris mon râteau deux jours avant de partir…– Aïe ! Pas sympa !– Oh, tu sais, quand ça casse c’est que les deux y sont pour quelque-chose… Même si ce n’est pas moi qui ai provoqué le clash…– Je suis désolé.– Il n’y a pas de quoi ! C’est la vie. Et puis…– Et puis ?– Il me reste la veuve poignet si j’ai trop la corne ! Nous rions de bon cœur. Je lui avoue que depuis mes douze ans, le champ des deux cornes a l’habitude de voir la mienne sortie et que j’ai bien ensemencé le coin…– C’est pour cela que la végétation est luxuriante ?– Bien sûr ! Ado j’ai giclé du sperme à peu près partout ici !– Cela se voit !Spontanément je retire mon haut pour reprendre mon fauchage. Je fais semblant d’être habitué à ce travail qui me fait abondamment suer, mais c’est loin d’être le cas.Trente minutes plus tard la tente est montée et mon invité est bien installé. Il retire son short et son teeshirt, me révélant un corps fin et élancé dont les plus belles parties sont cachées sont un slip de bain bleu taille haute que je regarde avec envie.

J’ai une terrible envie de me jeter sur son corps pour le lui arracher, mais je ne sais toujours pas s’il est hétéro ou gay. Rien dans ce qu’il m’a raconté me permet de savoir si c’est un garçon ou une fille qui l’a largué.En tous cas le paquet que je devine sous le slip est particulièrement appétissant. J’y foncerai bien la bouche la première !Et je note avec plaisir que lui aussi me reluque. Ses yeux sont posés sur mon torse en nage. Je regrette d’avoir gardé mon short jaune. J’aurais préféré être en slip de bain. Vu comment je suis excité, s’il est pédé cela devrait l’intéresser…Allez, il faut que j’y aille !– Au fait, c’est quoi ton prénom ? Ma grand-mère m’a demandé. Je n’ai pas osé lui dire que je n’en savais rien. J’ai sorti le premier prénom qui me venait : officiellement tu t’appelles Serge !– Pourquoi Serge ? Parce que ça rime avec verge ?– Un acte manqué, tu crois ? Pourtant c’est toi qui as vu la mienne !– Peut-être qu’inconsciemment tu voudrais voir la mienne ?– Pas à cette heure-là. Je n’ai plus le temps ! Moi c’est Jules.– Jules ? C’est dingue ! Moi aussi. Je me prénomme Jules ! Incroyable !– Avec quoi rime Jules ? lance-je sournoisement. Allez, j’y vais ! Si tu croises mes grands-parents, tu t’appelles bien Serge, d’accord ?– Juste une verge qui n’encule pas ! Ça me va. Tu reviendras demain matin ?– Tu voudrais ?– Oui. Je crois… Franchement. J’aimerais bien.– Alors d’accord. A demain. Salut Jules !– Salut !Pourquoi est-ce que dans ma tête il faut que j’entende un « est-ce que tu encules ? »… Toute la nuit, nu sur mon lit, je bande comme un âne. Il n’est pourtant pas question de me vider les couilles. Je dois garder toute ma vitalité. Pour Jules. Au cas où il veuille que je l’encule… C’est épuisant !Je me réveille tôt pourtant, après une nuit agitée. Mes grands-parents ont déjà fini leur petit déjeuner mais restent avec moi à bavarder. Officieusement je m’en vais pêcher. Au regard espiègle de ma grand-mère, je comprends qu’elle n’est pas dupe…A peine arrivé dans le champ des deux cornes, je m’approche à pas de loups de la tente et j’observe. Le besoin de me déshabiller entièrement me prend d’un seul coup. Jules est déjà réveillé. Il a fini de déjeuner. Il est en slip, son beau slip de bain bleu taille haute. Un slip qui moule un magnifique braquemart !Il se caresse par-dessus le tissu. Jusqu’au moment où il en sort sa queue pour la branler. Absolument somptueuse !Comment ne pas bander face à cela ! Je sens mon érection durcir. Je ne peux pas laisser passer cette occasion ! Aussitôt je passe mon teeshirt derrière la nuque et j’abaisse slip de bain et short au ras de mon pubis. Je suis peu poilu. J’aime bien laisser un début de touffe dépasser. Cela m’excite…Puis je me montre.Son regard se tourne immédiatement vers moi. Comme s’il savait que j’étais là. Sa main ne quitte pas son sexe. Tout juste arrête-t-il les mouvements de va et vient.– Bonjour ! me lance-t-il. Bien dormi ? C’est sympa d’être revenu. J’ai passé une super bonne nuit ! Et ce matin j’avais la gaule… Désolé pour le spectacle.– Oh, pas grave ! J’étais dans le même état au réveil !– Tu veux que je remballe la mécanique ?– Cela ne me dérange pas. Tu fais comme tu veux.– C’est gentil ! Parce que j’aime bien avoir la queue à l’air. Surtout en bonne compagnie !– Merci pour le compliment !– De rien, c’est sincère. J’ai du café chaud. Tu en veux une tasse ?– Je veux bien, oui. Je n’ai pas très bien dormi…– Je te sers. Mets-toi à l’aise si tu veux !Le slip placé sous les bourses pour bien exhiber son bel engin et de superbes petites fesses, il me sert une tasse qu’il pose à côté de l’entrée de la tente avant de se recoucher.Ecartant encore l’ouverture du slip, il me demande :– Tu la trouve comment ma queue ? Elle te plait ?– Elle est très jolie ! Vraiment ! Ton copain est vraiment con de l’avoir abandonnée ! m’exclame-je en retirant mon teeshirt puis mon short.– Je suis bien d’accord avec toi ! Elle est orpheline. Mes fesses aussi qui s’étaient préparées à accueillir sa queue plusieurs fois par jour… Il a préféré partir avec un vieux qui a une maison avec piscine dans le sud. En plus le gars lui donne un peu de pognon s’il reste à poil tout le temps et entièrement à sa disposition… Si tu vois ce que je veux dire…– Je vois parfaitement ! Le vieux va bien s’amuser !– Et lui aussi ! Je ne sais pas lequel des deux va se faire le plus enculer… Il aime les deux. Et il est doué pour les deux !– Tant mieux ! dis-je en me couchant à côté de lui.Ses yeux balayent sereinement mon corps. A son sourire, je sais que je lui plais. Il me plait aussi. Il regarde fixement mon slip.– J’aimerais bien revoir ce qui se cache en-dessous… Elle m’a l’air plus grosse que le joli pénis que j’ai vu pisser dans la rivière…– Ah ! Tu vois, tu avoues. Tu m’as bien reluqué !– Attentivement ! On dirait que toi aussi tu as la gaule ce matin… Tu es comme moi, tu ne t’es pas branlé la nuit dernière ?Je confirme en riant avant de libérer mon sexe en écartant mon slip. Je me décalotte. Ses yeux exultent de bonheur.Nous bavardons en buvant notre café à petites gorgées, comme pour faire durer ce doux moment totalement impudique avec nos engins sortis de nos slips. Il me dit qu’il est plutôt passif mais qu’il peut être actif pour rendre service. Je ris. Je l’informe que je suis les deux. Petit à petit je me mets à bander complètement. Lui aussi. J’éprouve le besoin de la lui montrer en me levant face à lui.Il passe sa langue sur ses lèvres avant de murmurer :– Juste la taille que j’aime… Et, plus intelligiblement : – Elle est bien plus belle comme ça que ce petit kiki en robinet !Nous nous sourions. Il se lève. Il se colle à moi. Il pose ses mains sur le haut de mes fesses qu’il caresse. J’abaisse son slip pour mettre ses fesses à nu.Ses lèvres viennent se coller aux miennes. Il susurre :– Tu m’excites depuis que je t’ai vu hier… Tu es exactement le genre de garçon avec qui j’ai envie de m’abandonner…Inutile de lui répondre qu’il est exactement le genre de garçon que j’ai envie de fourrer. Mes lèvres s’entrouvrent et rejoignent les siennes.
à suivre...
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