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La naufragée de la route

Chapitre 4

SM / Fétichisme
GERMAIN
J’ai planté ma queue tout au fond de la petite chatte d’Elyne. Jamais je n’aurais cru qu’elle était aussi serrée !
Je commence à aller et venir en elle, et tout trahit le plaisir qu’elle éprouve : ses gémissements, ses seins qui pointent malgré les pinces qui écrasent ses tétons, et surtout, la cyprine qui s’échappe de ses petites lèvres, chaque fois que je la pénètre.
Elyne a bien essayé de protester - c’est la dernière fois que je le tolère - mais en réponse, j’ai pincé si fort son clito qu’elle a été saisie de tremblements, et je me suis remis à la tringler, plus vite encore, de toutes mes forces, en lui enlevant tout espoir.
— Elyne tu es désormais mienne, tu vas apprendre à dépasser tes limites avec moi et tu ne voudras plus repartir... J’en suis sûr !
Elle ne sait pas encore que je peux bander pendant plus d’une heure, en retardant mon éjaculation. Cette maîtrise que j’ai acquise après des années d’expérience m’a toujours permis de rendre folles de plaisir les femmes que je soumets.
Aussi, lorsque Elyne commence à bouger, je crois d’abord qu’elle veut se procurer des sensations encore plus fortes. Mais non ! Elle se débat, elle cherche à dégager ses jambes, elle soulève son buste... Elle pense encore m’échapper ! Quelle folie ! Je ne saurais tolérer la moindre résistance, et je la foudroie du regard.
— Tu n’as donc rien compris, Elyne ! Tu dois renoncer à ta liberté, pour devenir ma petite salope soumise. Je voulais t’y amener en douceur, mais tu m’obliges à recourir à la manière forte ! Lève-toi...
Je retire mon sexe de sa chatte, qui reste béante et trempée, je saisis la laisse, et je la remets debout.
ELYNE
Mais qu’ai-je fait ? J’ai mis en colère cet homme qui veut que je l’appelle maître ! Maintenant, il est entré dans une colère noire à cause de ma stupidité... Je frissonne... il est sorti de moi... laissant un « grand vide », je sens encore mes lèvres écartées... cela ne représente rien de bon ! Et maintenant il tire sur cette laisse et me remet debout ! Ses yeux sont d’un sombre !

GERMAIN
— Tu vas me suivre, à quatre pattes, comme une chienne que tu es ! dis-je d’une voix dure à Elyne.
Je tiens la laisse très court, et je devine que le contact du dallage, rugueux et froid, doit être désagréable pour ses genoux. Des larmes coulent sur ses joues, mais je ne me laisse pas attendrir aussi facilement !
Nous sommes sortis du séjour, et nous empruntons un long corridor lugubre, qui mène à une lourde porte, fermée à clé. Je l’ouvre, et nous pénétrons dans la pièce où je soumets mes soumises à tous mes caprices, et parfois à ceux de mes amis. Un "donjon" comme les initiés appellent ce genre d’endroit...
J’allume les lumières, un éclairage indirect diffus, qui donne une couleur rouge, inquiétante, aux murs, et aux objets qui sont installés ici. Elyne regarde autour d’elle, et semble ne rien comprendre à ce qu’elle voit. A moins qu’elle préfère ne pas comprendre, mais je vais y remédier...
— Debout Elyne ! Je voulais te faire découvrir progressivement l’univers qui sera dorénavant le tien, pour que tu t’y habitues, mais tu ne me laisses pas le choix. Tu m’obliges à employer la manière forte.
Elyne s’est relevée, et une expression de terreur gagne son visage, au fur et à mesure qu’elle découvre les chaînes et les cordes accrochées aux murs et au plafond, une croix de Saint-André, un carcan, une table munie de bracelets métalliques, et d’autres choses encore... Les portes entrouvertes d’une armoire lui permettent d’apercevoir des accessoires, qui l’affolent tout autant.
— Oh Maître, me supplie-t-elle. Ne me faites pas de mal, je ferai ce que vous voudrez.
— J’y compte bien ! Mais d’abord, ton geste de résistance doit être puni. Que deviendrait mon autorité, si je laissais mes soumises se rebeller sans appliquer de sanction ?
— Non, Maître, je vous en prie...
Elle essaie d’argumenter, mais je ne l’écoute pas. Je l’ai déjà saisie par les poignets, et j’attache ses bracelets de cuir à des mousquetons, qui pendent au bout de cordes suspendues à des poulies, au plafond. Je tire sur les cordes, et les bras d’Elyne sont soulevés, jusqu’à ce qu’ils soient étirés au maximum, et jusqu’à ce que ses pieds touchent à peine le sol.
ELYNE
Oh... mon Dieu... je suis si vulnérable attachée de la sorte ! Mes bras tendus étirent ma poitrine et ces pinces en profitent pour mordre de plus en plus fort mes tétons si sensibles.Ma position est inconfortable... je suis sur la pointe des pieds et mon corps se balance accentuant la morsure des pinces ! Je suis terrifiée ... Il est si en colère contre moi !
GERMAIN
J’avoue que le regard plein de terreur d’Elyne m’excite au plus haut point, et qu’il m’inciterait à abuser de la situation, si telle n’avait pas déjà été mon intention...
Je sors d’une armoire deux poids, en forme de gouttes d’eau, munis de petits anneaux à leur extrémité. Je me dirige vers Elyne, et j’accroche les poids à chacune des pinces qui écrasent ses tétons. Le résultat est immédiat : les pointes dressées sont étirées, et ses jolis seins commencent à pendre, malgré leur fermeté, et la traction des cordes sur ses bras.
Ma jolie soumise, que je devinais fière - à juste titre - de sa superbe poitrine se sent sans doute humiliée, et la plainte qui s’échappe de ses lèvres ne traduit pas seulement sa douleur !
— Je crois que ça ne te déplaît pas tant que tu en as l’air, dis-je à Elyne. Regarde, tu mouilles !
J’ai passé ma main entre ses cuisses ouvertes, et sa mouille a coulé sur mes doigts. Je les lui montre, en les brandissant tout près de son visage, puis je les enfonce dans sa bouche.
— C’est bon, n’est-ce pas ?
— Mon Maître... Non... Je...
— Rappelle-toi que tu n’es qu’une petite salope soumise ! Et que tu es à moi ! Je vais te le rappeler.
Sous les cris de frayeur d’Elyne, je sors un fouet de l’armoire. Je m’approche à nouveau d’elle, en la fixant, le regard noir.Subjuguée, elle baisse les yeux, résignée.Satisfait, je passe la lanière sur ses seins, sur son ventre, à l’intérieur de ses cuisses. Puis je tourne autour d’elle, pour caresser ses fesses avec le cordon de cuir.Et c’est alors qu’elle se détend, que j’arme mon bras. La lanière siffle, et vient cingler son joli cul. Elle hurle, de douleur et de surprise, pendant qu’une longue trace rouge apparaît lentement sur sa peau.Elle reprend son souffle, mais je ne la laisse pas récupérer. Le fouet vient frapper les deux globes serrés, sous un autre angle. Puis les coups de fouet se succèdent. Je l’oblige à compter :
— Trois... Quatre... Oh, j’ai mal ! Cinq... annonce Elyne, d’une voix transformée par la souffrance.
— Avoue que tu aimes ça !
— Six... Oui, j’aime ça. Sept... J’aime ça, mon Maître. Huit... Oooooh ! Neuf... Dix !
Je m’arrête de la fouetter, et Elyne reste presque inerte, soutenue par les cordes qui étirent ses bras. Je contemple un instant ma nouvelle soumise, désirable à souhait, avec ses seins martyrisés, et ses fesses zébrées de rouge.Je la détache, et elle lève vers moi des yeux qui trahissent ce qu’elle ressent, entre soulagement, et crainte de ce qui l’attend maintenant.Mais la crainte prend le dessus, lorsqu’elle se rend compte que je l’entraîne vers une sorte de table en bois étroite, équipée d’une solide barre, fixée en travers à son extrémité...
ELYNE
Je ne sens plus mes fesses... la douleur est cuisante mais si... Euh... bizarre ! Mon corps réagit fortement à ces coups de fouet, je devrais plutôt crier de douleur mais cette forte excitation est en permanence omniprésente chez moi !
D’ailleurs, il l’a bien remarqué puisqu’il s’est empressé de mettre ses doigts en moi et de me faire lécher ma mouille ruisselante ! Encore une nouveauté pour moi, dans ma vie bien rangée, je n’avais jamais pensé faire ça un jour et il faut dire que ce n’est pas si désagréable que ça ! C’est même goûteux...
Ma laisse est de nouveau tirée et me voilà amenée vers une petite table étroite en bois. Ce que je n’aime pas à ce que je vois... C’est cette barre métallique fixée de travers...
La, je n’ai qu’une envie... c’est de m’enfuir ! Je recule tout doucement afin de ne pas trop attirer son attention... la porte d’entrée n’est pas si loin ! Je me souviens avoir fait quelques pas en entrant. Plus qu’une dizaine de pas... et je pourrai partir en courant même si mes poignets sont toujours attachés !
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