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La naufragée de la route

Chapitre 6

SM / Fétichisme
ELYNEJ’ouvre péniblement mes yeux, je suis si fatiguée et j’ai tellement froid. Je suis nue et étendue sur un petit lit métallique. Un frisson me parcourt le corps...Je fais rapidement l’état des lieux de l’endroit où je me trouve : une petite chambre sombre où j’aperçois une petite fenêtre protégée par de solides barreaux en acier. Le temps est gris dehors, j’aperçois les branches d’un arbre virevolter avec le vent...
Mon regard est alors attiré par un petit enfoncement sur ma gauche, près de la porte. Seuls un WC et un petit lavabo emplissent cette pièce sordide. Mon cœur s’emballe. Je me retrouve seule, enfermée dans cette pièce, à la merci d’un homme dont les projets me concernant sont terrifiants !
Je n’aurai jamais dû quitter mon véhicule et demander de l’aide. Je suis maintenant sa prisonnière, et il n’est pas près de vouloir me laisser repartir !!!J’ai si froid, rien n’a été laissé pour me réchauffer. Je plaque alors mes mains sur mes seins frissonnants et de mes petits doigts agiles je me mets à titiller mes tétons durcis afin de me réchauffer...
GERMAINEn me rendant dans ma chambre hier soir, j’ai ouvert les écrans qui sont installés au-dessus de mon bureau.
L’un d’eux est branché à une caméra dissimulée dans la corniche qui ceinture le plafond de la chambre où Elyne est enfermée. Et je découvre ma jolie soumise étende, nue, sur son lit. Elle ignore que je l‘observe, et elle effleure de la pulpe de ses doigts ses tétons, sans doute encore sensibles après avoir été écrasés si longtemps par mes pinces. Son autre main va-et-vient entre ses cuisses, en allant de son minou à son petit trou. A ma grande surprise, je surprends un sourire de femme comblée, quand elle tourne l’extrémité de son index à l’entrée de sa rosette...
Puis la fatigue et le sommeil la terrassent, et elle s’endort. Je ne tarde pas à l’imiter, car cette soirée a été aussi excitante que fatigante pour moi. Je ne m’imaginais pas, hier après-midi, que le hasard m’offrirait une aussi belle proie le soir même ! Mais je récupère vite, et le soleil n’est pas encore levé, lorsque je me réveille. Un coup d’œil rapide sur l’écran : Elyne dort encore. Je me lève, je prends ma douche, je m’habille, et je me sers un café. Puis je prépare un solide petit-déjeuner sur un plateau, que je porte à Elyne.
Je pose le plateau sur la table de nuit et, bien que je n’aie fait aucun bruit, elle entrouvre les yeux. Son regard se pose sur moi. Étonné d’abord. Puis une expression de frayeur dilate ses pupilles.
— Tu as bien dormi, Elyne ? Je t’ai apporté tout ce qu’il faut pour que tu reprennes des forces. Une longue journée t’attend.— Oh. Ce n’était donc pas un cauchemar ?— Non, dis-je en souriant. Je ne crois d’ailleurs pas que tu aies trouvé notre soirée si désagréable...— Je, je voudrais partir, Maître.— Quelle idée ! Alors qu’il te reste tant de choses à découvrir ! Je te laisse manger et te doucher, et je vais revenir te chercher.
ELYNE
Il se retourne et quitte la petite pièce qui me sert de chambre. Il a laissé un plateau sur la table de chevet. J’aperçois une tasse de café fumant et 4 tartines de pain posées à côté d’un petit pot de confiture. Par contre je ne vois pas de petite cuillère. Il prend vraiment toutes précautions avec moi... Je trempe alors mon doigt dans le pot de confiture et je tartine mon pain avec mon doigt... A chaque prise, je ne peux m’empêcher de lécher avec délectation mon doigt recouvert de fraise. Après plusieurs gorgées de café bien chaud, mon appétit est rassasié et je me dirige vers l’enfoncement à gauche afin de prendre ma douche. Sous l’eau tiède, je ferme les yeux et je réfléchis à la façon dont je pourrais m’échapper. Mais je ne vois aucune issue de sortie pour l’instant. Les larmes coulent sur mon visage mouillé par la douche. Je ne sais pas ce qu’il a décidé aujourd’hui et je m’attends au pire...
GERMAINBien sûr, je ne perds pas une miette de ce que fait ma soumise, grâce à la caméra. Lorsque, après avoir mangé, je la vois sortir de la douche, je laisse passer un moment. Il n’est pas difficile de voir qu’elle angoisse, et l’inquiétude décuplée par l’attente est un bon moyen de la mettre en condition. Lorsque je pense qu’elle est "à point", je rentre dans sa chambre, avec son collier, sa laisse et ses bracelets à la main.
— Vous, vous ne m’avez rien apporté pour que je m’habille, me demande-t-elle, sans pouvoir détacher son regard des instruments de sa soumission.— Pourquoi veux-tu t’habiller ? Ce serait un crime de cacher ta beauté. Et tu seras punie, la prochaine fois que tu oseras me poser une question de ce genre. Approche !
Vaincue, elle me laisse fixer les bracelets de cuir autour de ses poignets et de ses chevilles. Puis c’est au tour du collier autour de son cou.
— Bien. Nous allons nous promener dans la forêt, tu ne dois pas rester enfermée, dis-je en attachant le mousqueton de la laisse à son collier.— Nue ?!!!.— Qu’est-ce que c’est que cette question ? Tu dois même oublier le mot « pudeur », tu étais prévenue. Tu recevras ton châtiment à notre retour !
Après avoir entravé ses poignets derrière son dos, je tire sur la laisse, entraînant Elyne hors de sa chambre.
ELYNEJe grelotte, nue devant cet homme qui, ce matin, ne m’a même pas amené de quoi me vêtir ! A la place de vêtements chauds, je me retrouve ornée de bracelets de cuir et d’un collier de la même matière.Je le vois sourire en me voyant aussi terrifiée et surtout en admirant son œuvre.Je fais un petit pas en arrière lorsqu’il s’approche de moi, tenant en sa main droite une laisse. De sa main experte, il vient positionner son accroche à l’anneau de mon collier. J’ai vraiment l’impression de ressembler à un animal, et plus précisément à une chienne !Mon cou est alors tendu vers l’avant, mon maître vient de tirer sur la laisse pour me faire avancer. Je n’ai pas le choix, je suis obligée de le suivre !
GERMAINVaincue, Elyne me suit sans résistance à travers la maison, jusqu’au vestibule. Là, j’ouvre un placard contenant des chaussures de toutes pointures, et je choisis une paire de chaussures de rando que je lui demande de mettre. « Pour ne pas blesser tes jolis pieds » lui dis-je en souriant.
Elle est incapable de nouer les lacets, avec ses bras entravés, et je m’en charge, avant d’ouvrir la porte. Une bourrasque d’air frais et humide nous surprend, et la chair de poule rend le corps nu de ma soumise encore plus excitant. Nous sortons, et Elyne claque des dents au bout de sa laisse, pendant que je l’entraîne vers la forêt. Nous empruntons une belle allée cavalière, et je surprends les regards inquiets qu’elle jette autour d’elle.
— Ne crains rien, cette forêt est privée. Elle m’appartient, et seules quelques personnes de ma connaissance ont le droit d’y accéder.
Si Elyne paraît un peu rassurée, le froid continue de la faire trembler. Mais elle me suit sans protester ni résister. Les pluies de la veille et de la nuit ont transformé les chemins en bourbiers, et les jambes d’Elyne sont vite maculées de boue. Nous marchons ainsi sur quelques centaines de mètres, pendant que je lui explique qu’elle posera pour moi aujourd’hui, et que j’organise le soir une fête en son honneur, au cours de laquelle je la présenterai à quelques amis. Mais alors que nous arrivons à la jonction avec un autre chemin, un homme en débouche et se dirige vers nous.
ELYNEJe le suis sans résister. Nous avançons progressivement dans la maison et nous nous arrêtons devant un petit vestibule. Il cherche quelque chose à l’intérieur et ressort de ce local avec une paire de chaussures de type Randonnée.
Il se tourne dans ma direction, puis s’accroupit devant à moi, et de gestes précis et rapides, me chausse les pieds. Je suis si frigorifiée que j’en claque des dents ! Il exerce à nouveau une autre pression sur la laisse qui m’oblige à le suivre, il ouvre la porte d’entrée et nous voilà à l’extérieur. Le soleil est caché sous les gros nuages gris et la température ne doit sûrement pas dépasser les 15 degrés !
Je le suis au bout de cette maudite laisse, et nous entrons dans un bois par une allée centrale. Je ne puis m’empêcher de regarder autour de nous, je suis dans une position si humiliante... L’humidité de la forêt se met à envelopper mon corps et les claquements de mes dents deviennent de plus en plus rapides et forts... Mon cœur s’arrête net un court instant quand mon maître m’annonce en avançant dans les bois qu’il veut organiser une fête ce soir avec des amis en mon honneur !!! Que va-t-il encore manigancer ? Mes pensées sont vite stoppées à la vue d’un chasseur qui vient de sortir d’un fourré sur ma droite ! Je ne sais plus où me mettre, dans cette position si humiliante !A voir son regard et le sourire aux lèvres, ma position ne choque même pas cet homme. Il s’approche de nous et adresse ses salutations à mon maître. J’écoute leur discussion sans dire mot, et j’apprends que cet homme, qui se nomme Luc, sera présent ce soir à la fête organisée par mon maître !
GERMAINElyne est devenue écarlate, en voyant mon ami Luc approcher. Il porte une tenue de chasseur, et un fusil.
— Bonjour Luc, lui dis-je. Je te présente Elyne. Elyne, Luc, un de mes meilleurs amis, et un habitué de mes soirées.— Bonjour Elyne. Vous êtes très belle. C’est une nouvelle soumise ? Me demande Luc en se tournant vers moi.— Exactement. Je ne la connais que depuis hier soir, mais j’ai pu apprécier ses qualités, et je peux te dire que nous passerons de bons moments avec elle.— Je te fais confiance dans ce domaine !— D’ailleurs, je devais te téléphoner ce matin. Tu es libre vers 20 heures ? J’organise une petite soirée, pour présenter Elyne et l’initier à nos jeux.— Mais avec plaisir. Je compte sur vous, Elyne, pour nous donner à tous beaucoup de plaisir. Et nous ferons en sorte que ce soit réciproque.
Après avoir échangé quelques considérations banales sur la météo, et sur la raréfaction du gibier, Luc nous quitte et continue sa chasse.
ELYNEMais ce que j’entends par la suite m’effraie. Mon maître veut m’initier à leurs jeux, et les paroles de Luc étaient que je leur donne à TOUS beaucoup de plaisir... Mais que va-t-il faire de moi ce soir ? Quand est-ce qu’il me laissera un peu tranquille ? Et surtout quand est-ce que je vais pouvoir rentrer chez moi ? Je suis devenue sa prisonnière, et maintenant j’apprends qu’il veut que je participe à ses jeux pervers avec d’autres personnes !
GERMAINDe notre côté, nous revenons vers ma demeure. Elyne est frigorifiée, maculée de boue jusqu’à mi-cuisses. Ses joues et ses oreilles sont rouges, ses lèvres bleuies par le froid, et les pointes de ses jolis seins durcis se dressent avec insolence. Avant d’ouvrir la porte, je saisis un tuyau d’arrosage, enroulé près de la porte, et je la lave à grands jets d’eau glacée, qui lui arrachent des cris. Puis je la fais rentrer, en la tirant toujours avec la laisse, en lui annonçant :
— Maintenant, Elyne, tu vas avoir droit à la punition que tu as méritée par ta réaction de petite bourgeoise coincée. Viens dans le "donjon" !
ELYNE
— Arghhhhh L’eau glacée coule doucement sur mon corps si frigorifié ! Je tremble, je claque des dents, mes tétons si sensibles sont dressés comme des pointes...Et pour clôturer le tout, après cette promenade si humiliante, mon maître a décidé de me punir à SA façon dans cette pièce qu’il aime tant appeler DONJON !
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