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NCIS Enquetes Spéciales - Sous couverture

Chapitre 3

Erotique
— C’est parti, dit l’espionne, dans l’immeuble en face du Barclay. Allez, faut s’habiller pour le dîner.— Ca marche, répondit son collègue. La femme, de type asiatique, commença à se déshabiller. Une fois en sous-vêtements, elle remarqua le regard de son collègue.— Ah non non, pas maintenant, dit-elle.— Oh, allez, juste un petit coup, rapidement...— Si je te suce, tu me laisse tranquille ce soir ?— Vendu ! répondit l’homme avant de se déshabiller totalement.L’asiatique, en sous-vêtements, s’approcha alors de lui.— Par contre tu enlèves tout, protesta-t-il.— Ce que j’en ai marre de bosser avec toi ! dit-elle avant de retirer son string et son soutien-gorge.Elle s’agenouilla alors devant lui, et le regarda droit dans les yeux tout au long de la fellation. Elle avait beau faire semblant d’en avoir marre, elle adorait cet homme, et puis il baisait comme un Dieu. En plus elle avait passé sa journée à regarder les Ranier s’amuser ensemble grâce à la camera à rayon laser, ce qui ne l’avait pas laissée indifférente. — Plus profond, Maya ! gémissait-il. Oh, tu suces comme une pro, à croire que t’as fait ça toute ta vie...Elle se sentit toute heureuse de pouvoir entendre ça de la bouche de son collègue. Ca l’exitait beaucoup. Elle sorti alors le sexe de sa bouche et se mit des tabes sur les joues avec, sur les seins... Oh, et puis tant pis, ils arriveraient en retard au dîner, mais elle en avait trop envie. Elle se mit à quatre pattes devant lui, et il la pénétra sans ménagement. Elle était assez mouillée, de toute manière. C’était une bête, cet homme. Bien brute, comme elle les aimait. Il lui tira les cheveux en arrière, cela lui faisait mal, mais elle ne dit rien. Elle aimait vraiment ça. Elle s’abandonna alors au plaisir, manqua de tomber, et fut brusquement "réveillée" en sentant que son collègue se vider en elle. Furieuse, elle le repoussa.— Non, mais t’es pas cool putain !Il lui sourit pour seule réponse, et alla prendre une douche.---— Ne me regarde pas comme ça, Gibbs, dit Abby en entrant dans la salle d’autopsie, Gibbs sur ses talons. J’étais à la soirée du club de bowling quand tu m’as appelé. J’étais juste sur le point de battre mon record, et pour ta gouverne, ce n’est pas moi qui ai eu l’idée des tenues, rajouta-t-elle. Elle était vêtue d’une jupe bleue, un chemisier blanc surmonté d’une cape rose et un foulard rose dans les cheveux, et portait encore ses chaussures de bowling.— J’adore ta tenue, dit Gibbs. Même si tu es bien mieux sans.— Hé c’est trop chou ! répondit-elle.Ducky, qui n’avait rien dit jusqu’à présent, renchérit:— Je te préfère sans aussi, Abby. Si tu nous faisait le plaisir de l’enlever ?Avec un sourire satisfait, Abby commença à retirer sa cape.— Toujours aucun signe de M. Palmer, je suppose ? repris Ducky.— Non, il doit être rentré chez lui, répondit Abby en laissant tomber sa jupe. Elle se retrouvait en culotte et chemisier devant Gibbs (son amant régulier) et Ducky (qu’elle n’avait jamais vu nu, ce qui, bien sûr, n’était pas réciproque).
— Abby, ce sont les bagages des tueurs, dit Gibbs en lui montrant deux valises. Connecte toi pour décrire en direct à David et à DiNozzo ce que tu vas trouver. Et enlève moi cette culotte.Abby esquissa un sourire, regarda Gibbs dans les yeux, ôta sa culotte et la lui jeta à la figure. Il l’atttrapa au vol et la mit dans sa poche. Elle portait toujours son chemisier.— On cherche quelque chose en particulier ? demanda-t-elle.— Oui, vous cherchez tout ce qui pourra aider ces deux-là (en parlant de Tony et Ziva) à agir comme eux (il désigna les deux corps). Et que faut-il faire pour que tu te déshabille complètement ? rala-t-il.Il s’approcha alors d’elle, arracha sa chemise, et, comme à son habitude, Abby ne portait pas de soutien-gorge. Ca y est, elle était nue devant eux. Ils la détaillèrent longuement ("Comme si c’était la première fois qu’ils me voyaient nue !" pensa-t-elle), et ne se privèrent pas de la caresser. Elle exposait à la vue de tous son corps à la peau très blanche, totalement dépourvu de poils. La partie de son corps qu’elle préférait était ses seins. Un bon bonnet C, du moins ce n’était qu’une suppositin car ça faisait drôlement longtemps qu’elle n’avait pas mit de soutien-gorge. Elle était aussi assez fière de ses fesses, rondes, blanches, et ni trop grosses ni trop fines. Ducky s’agenouilla et embrassa ses lèvres vaginales, tandis que Gibbs se colla derrière elle, et lui malaxa les seins. Abby glissa une mains derrière son dos dans le pantalon de Gibbs, mais celui-ci la repoussa, l’embrassa tendrement et s’en alla. Un peu frustrée, elle s’assit sur une table d’autopsie libre, tandis que Ducky lui faisait toujours un cunnilingus. Elle aimait les cunnis de Ducky. Il était tendre, attentif, et ne précipitait jamais les choses. Cependant elle se demandait pourquoi il se refusait toujours à aller plus loin. Jamais elle ne l’avait vu enlever ne serait-ce que son tee-shirt, à son grand désarroi. Car il fallait bien le dire, s’il faisait de très bon cunnis, Abby révait de goûter son sexe et de vois ce qu’il valait en tant qu’amant. Perdue dans ses pensées, elle fut surprise elle-même de jouir aussi vite. Elle se crispa, colla la tête de Ducky contre son abricot, et poussa de longs soupirs. Comme à son habitude, Ducky se releva et l’embrassa. Juste un petit "smack", jamais plus. Cette fois-ci, Abby tenta d’aller plus loin:— A votre tour, docteur ! dit-t-elle en lui donnant une claque sur les fesses.— Oh, Abigail, je t’en prie, j’ai une autopsie à finir maintenant, dis-t-il d’un air désolé. Alors Abby, encore plus frustrée, se leva et chercha ses vêtements.— Tu as vu mes vêtements ? demanda-t-elle.— Oui bien sûr, dans les bras de Gibbs quand il est parti ! répondit le docteur.Abby fut surprise: même s’il lui demandait souvent de se déshabiller, Gibbs ne lui avait encore jamais piqué ses habits ! Elle se dirigea donc vers l’ascenseur, nue, si jolie et si désirable, avec ses nombreux tatouages désormais tous visibles.Le soir venu, Tony et Ziva, se faisant toujours passer pour le couple Ranier, dinèrent comme prévu au restaurant de l’hôtel. Bien qu’il n’ait aucun problème de vue, Tony avait mit des lunettes équipées d’une petite caméra invisible, caméra qui retransmettait instantanément les images au labo d’Abby, qui, toujours toute nue (Gibbs lui avait également chippé toutes ses blouses de scientifique), cherchait à identifier tous les clients de l’hôtel (les plus hauts gradés du pays, les directeurs d’agence fédérales... voir chapitre 2). Le prétendu couple disposait également d’oreillettes et de micros.— C’est bon Tony, on a l’image, dit Gibbs, qui était dans le labo d’Abby, une main sur ses fesses.— Il y a du monde dans ce restaurant, dit Tony. Tu vois quelqu’un que tu connais, chérie ?— Pas encore, mais la nuit ne fait que débuter, mon joli derrière poilu, lui répondit-elle.— Abby ? demanda Gibbs.— Je charge les photos dans l’ordinateur, répondit-elle tandis qu’elle capturait la photo d’un autre client de l’hôtel.— Ducky, tu as un scoop sur Bonnie and Clyde ? demanda Gibbs.— J’ai les analyses du contenu de leur estomac et de leurs intestin. Si M. Ranier était resté en vie je lui aurai suggéré riche en fibres ! Les matières fécales bouchaient complètement son colon.Tony, qui était sur le point d’avaler une crevette, la reposa aussitôt et Ziva éclata de rire.— C’est trop tard pour avoir une selade ? grommela-t-il.McGee, qui était habillé en serveur, observait la salle.— Bonsoir, dit l’homme qui les espionnait depuis l’immeuble d’en face. Une table pour deux.Tandis qu’ils se firent conduire à leur table, Ziva annonça:— Je crois que nos plats arrivent. Bon apétit, mon petit poulet !Abby chargea une nouvelle photo dans son ordinateur.— McGee, je vous écoute, dis Gibbs.— Je couvre tout le restaurant depuis l’entrée, patron.Voyant que Tony avait du mal à couper sa viande, Ziva l’interrogea du regard:— Ca s’appelle bien un plat de résistance, non ? se justifia-t-il.— Tony, dit Ducky dans son oreillette. Les cals sur la main de M. Ranier indiquent qu’il était gaucher.— Change de main, DiNozzo.Ziva en profita pour se moquer à nouveau de lui.— Ca c’est une jolie soirée, dit-elle.— Oui, répondit Tony. Et un délicieux dîner, juste entre nous six, ajouta-t-il. Soudain, le téléphone que Ziva avait prit dans la Bible de la chambre sonna. Elle s’empressa de répondre, prenant quand meme le temps de monter à Dinozzo le numéro de téléphone qui l’appelait, afin que Abby puisse localiser l’appel grace aux lunettes-caméra de Tony.— On va être dérangés, dit-elle.— Abby, dit Gibbs, je veux le numéro.— Je l’ai, je cherche tout de suite l’endroit d’ou il émet.— Ravi que vous apelliez, dit Ziva, on s’ennuyait ferme.— J’ai cru préférable que vous voyiez votre contrat en chair et en os, dis l’homme au téléphone.— Il est là ?— Vous ne le voyez pas ?— Du calme, j’ai eu un vol qui a duré plus de 24 heures, répondit Ziva. Et le restaurant est bourré ! On va le repérer.— Je t’écoute Abby, dit Gibbs, tandis que celle-ci farfouillait sur son ordinateur. Il promenait toujours ses mains sur son si joli derrière, si bien que ses tétons pointaient.— Il s’agit d’une cabine téléphonique, l’adresse arrive.— Vous ne m’aviez pas dit qu’on serait au milieu d’une salle bourrée de Marines, dit Ziva. C’est trop dangereux pour la somme que vous nous payez.— Accomplissez votre mission. On discutera après.— Mais vous ne paierez pas plus.— Je l’ai, dit Abby. C’est au 2005, M street. Il est dans la cabine télphonique du restaurant ! — DiNozzo, McGee, dit Gibbs.— Excuse moi, je dois aller me laver les mains, se justifia Tony, tandis que McGee courait vers la cabine.— Je dois d’abord en parler à mon patron, dit l’homme au téléphone.— C’est ça. On va attendre, dit Ziva. Il a raccroché, ajouta-t-elle à l’attention de Gibbs.McGee arriva a la cabine, pointa son arme sur l’homme qui s’y trouvait en disant:— On bouge plus, agent fédéral !— C’est moi le bleu, il s’est tiré ! dit Tony en se retournant.
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