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Négociation pas si difficile

Chapitre 1

bureau

Hétéro
Depuis quelques mois, ma vie d’adulte débute. Fini les stages à rallonge, je suis arrivé à mon but : jeune cadre dans une grande entreprise française, dans une centrale d’achat. Je viens d’avoir mon premier enfant, avec Claire. En couple depuis 5 ans, notre vie sexuelle depuis la naissance d’Hugo est inexistante. Mon travail peu passionnant, mais rémunérateur, me prend énormément de temps et d’énergie. Je suis en binôme avec Stéphanie, quadra énergique et froidement directive. Nous gérons le même stock. Nous avons peu de contact direct, communiquons quasiment exclusivement par mail. Nos bureaux sont pourtant à 10 m l’un de l’autre. Petit novice dans le métier, elle me tétanise et fascine en même temps.
Je suis saisi chaque fois que je croise ses grands yeux bleus. Ses tenues élégantes, ses talons hauts, son maquillage toujours parfait, tout reflète l’importance qu’elle accorde à son apparence. J’aime la voir sortir de son bureau dans ses tailleurs cintrés. Elle a un beau cul et doit le savoir. Rêveur et je me plais à imaginer ses sous-vêtements transparaitre sous sa jupe alors qu’elle passe dans le couloir. Je rêve à des strings en dentelle, des portes-jarretelles, et pense aux cochonneries que je ferais avec. Tous ces éléments de fantasme tranchent avec notre relation très timide de cette époque. Tristement, ma vie érotique se résume à remonter du regard ces mollets nylons.
L’histoire que je veux vous raconter a débuté dans ce contexte alors que je voulais poser mes premiers congés. Nous ne pouvons pas avoir la même semaine en même temps, la boîte refuse. Claire voulait rentrer chez ses parents pour la semaine de Noel. C’était primordial pour moi d’être là pour le premier Noel d’Hugo. Je prends les devants et écris un mail aux affaires du personnel, avec Stéphanie en copie pour les informer que je pose cette année la semaine de Noel. Je reçois dans les dix minutes un nouveau mail de mon binôme. Elle m’informe que c’est impossible, elle prend depuis 10 ans la semaine de Noel. Elle part au club med avec des amis à elle. Son mail directif et sans concession m’énerve. On a le même poste, malgré son expérience dans la boîte, il n’y a pas de lien hiérarchique entre nous.
Je lui écris, je fais valoir le fait que j’ai un enfant et pas elle, que ce genre de semaine ne doit pas être pris uniquement par une personne, que si on a une semaine qui coince, il faut tirer au sort.
Dix minutes après, je l’entends frapper à mon bureau. Je lui dis de rentrer. Elle referme la porte. Je m’attends à discussion houleuse. Mais elle est calme, ses cheveux blonds détachés sur son chemiser blanc, une jupe noire cintrée et ses talons. Je suis sûr qu’elle vient de remettre du rouge à lèvres, car elle brille plus que tout à l’heure. Elle me sourit amicalement. Moi c’est tout le contraire, fébrile, je suis crispé sur mon fauteuil, quand elle commence à me parler :
— Ecoute, tu viens d’arriver, tu ne connais pas les petites habitudes du service, je comprends. On avait notre petit arrangement avec Gerard, mon ancien binôme. Je prends toujours la semaine de Noel. — Il n’est pas question que je travaille toutes les semaines de Noel, alors que tu es tranquillement en train de faire du ski. Ce n’est pas écrit pigeon sur mon front. — Je me suis mal expliquée, Gerard avec une contrepartie très intéressante pour être flexible à mes demandes de vacances. Je suis sûre qu’on peut s’entendre. — Ah bon... il faudra payer cher pour me faire rater le premier Noel de mon fils. — Je faisais une super pipe à Gerard pour sa gentillesse.
Mon cœur explose, mes cuisses tremblent, j’ai bien compris ce que Stéphanie a dit ? Sous le choc, je n’arrive pas à lui répondre. Après un long silence, et tout en avançant vers mon fauteuil, elle me lance :
— Qui ne dit mot consent.
Elle attache ses cheveux en arrière avec un stylo trouvé sur mon bureau, décale mon siège, lentement remonte un peu sa jupe, s’agenouille, déboutonne deux boutons de son chemisier. Sans un mot, son visage se place entre mes cuisses. Elle ouvre mon pantalon, sort mon sexe surpris. Ses yeux ne se détachent pas des miens. Ses lèvres, fines humides, colorées d’un rouge vif s’approchent. Une décharge remonte sous ma nuque au contact de sa langue humide contre mon gland. Après ces quelques timides léchouilles de chat curieux, je vois disparaître mon prépuce dans sa bouche. Ses lèvres brillantes de make-up se plissent et se déplissent à chaque effort de pression. Je bande dure. Je suis paralysée de plaisir. Elle accélère. Agrippant ma verge, je remarque ses doigts fins agiles vernis aux couleurs de ses lèvres. Sa main douce et ferme commence des va-et-vient.
Elle me branle, sa bouche et sa langue contre mon gland, et son regard recherchant le mien. Sans arrêter le mouvement de sa main droite sur ma verge, sa bouche relâche mon gland. Elle s’aventure au palier inférieur, susurre à mes testicules des coups de langue malicieux, son joli nez frottant sur mes couilles. Je ne peux retenir un râle. Je suis à sa merci. Me voir défaillir l’excite sûrement, elle accélère ses coups de langue, son corps ondule. Je quitte ses yeux. Ses tétons transpercent son chemisier blanc dont les derniers boutons laissent entrevoir la dentelle bleu clair de son soutien-gorge et la racine de sa poitrine. Une mèche blonde rebelle tombe sur son épaule gauche. Mon regard descend le long de son bras, dont l’extrémité se perd sous sa jupe dans des mouvements rotatifs. J’imagine aisément sa main dissimulée, ses doigts explorant son intimité humide, son clito massé dans cocktail de dentelle et de nylon, son odeur âcre de plaisir.
Elle se branle, elle me branle, sa bouche et sa langue contre mon gland, et son regard recherchant le mien. Je suis sur une autre planète.
Ses mouvements se hâtent, plus désorganisés, plus sauvages. Des gémissements étouffés montent entre deux coups de langue.Comme un avertissement, je lui lance « Je vais jouir ». Elle se détachant de sa tâche quelques secondes et plongeant son regard bleu dans le mien me chuchote « Je veux te goutter ». Je suis sûr de l’avoir vue rougir avant qu’elle me regobe le gland. Elle y imprime avec sa langue un rythme mécanique. Beau système de piston, il n’y a plus que sa salive et le fond de sa gorge pour moi. Sa chevelure oscille dans un rythme rapide. Elle ferme les yeux, concentrée sur sa tâche. Je sens les contractions monter le long de ma queue. Un jus chaud envahit mon urètre. J’observe inquiet son beau visage occupé. Je sens mon liquide chaud explosé contre ses muqueuses. Un sourire de satisfaction passe sur lèvres occupées par mon sexe. Elle ralentit un peu, mais ne s’arrête pas. Je la sens déglutir plusieurs fois. Puis lâche son emprise sur mon sexe et pose sa joue sur ma cuisse droite, en souriant.
— OK je bosserais à Noel...
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