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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 1

Chapitre 1 scène 1

Hétéro
Ce que je vais vous raconter correspond à une période charnière de ma vie : je venais de divorcer deux ans auparavant, et depuis, je n’avais connu que des rencontres éphémères. Je venais de passer le cap critique des 40 ans, et le fait d’être seule, sans compagnon, m’avais foutu un coup au moral.
Le soir de mes quarante ans, j’avais dîné en compagnie de Damien, un vieil ami qui préférait les garçons, et qui s’était quasiment sacrifié pour que je ne sois pas seule ce soir-là ! Heureusement, quelques jours plus tard on avait pu faire une vraie fête avec mes copines.
Mais le cap avait été difficile à passer, même si Damien m’avait réconfortée comme il avait pu :
— Belle comme tu es, tu ne vas pas tarder à rencontrer l’homme de ta vie, pour un nouveau départ.
C’est vrai que pour mes 40 ans de l’époque, je me trouvais encore bien conservée. Certes, au fil du temps j’avais pris quelques kilos, mais ils s’étaient plutôt transformés en rondeurs bien placées, hanches, fesses, poitrine, un peu les bras et les jambes, mais peu à la taille et au ventre. Vêtue d’une robe un peu moulante, je voyais beaucoup d’hommes, même des jeunes, se retourner sur moi.
Pourtant, les deux ou trois hommes avec qui j’aurais aimé poursuivre une relation m’avaient gentiment oubliée au bout d’un mois, quant aux autres, ceux que je n’avais vus qu’un soir, je les appelais "mes toquards". C’est donc à cette époque de ma vie que j’ai rencontré Fabrice.
Je visitais une expo photo d’une fille que je connaissais bien dans le cadre du boulot, très professionnelle, efficace, et dotée d’un très grand sens artistique. Elle m’avait invitée à sa première expo pour que je lui donne mes impressions. Je déambulais donc dans la galerie, en cette belle fin d’après-midi printanière. Il n’y avait plus grand monde dans la galerie, j’avais aperçu ma copine en grande discussion, en anglais d’après ce que j’avais pu entendre, et comme je supposais que c’était des clients, je ne l’avais pas dérangée, me contentant de lui faire un petit signe. J’étais là, face à une photo, quand j’entendis derrière moi une voix masculine dire, d’une voix assez forte, sans doute pour qu’on l’entende de loin :
— Tous ces clichés sont absolument superbes !
Et puis, plus près de moi, presque contre mon oreille, d’une voix quasiment inaudible :
— Dommage que tout cela soit si triste.
Je me retournai : c’était un type de 35 ans environ, brun, taille moyenne, pas beau, mais pas moche, non plus, mince, assez élégant dans ses vêtements de marque. Je lui répondis, d’une voix forte :
— Oui, absolument superbes ! Et tout bas : mais c’est vrai que l’ensemble donne envie de pleurer.
On a ri ensemble d’être d’accord ! C’est vrai que chaque photo était presque vivante : on avait l’impression que le personnage était en relief et allait se mettre à bouger. Mais le thème principal était la douleur, la misère, et les photos de vieillards décharnés côtoyaient celles d’enfants handicapés, ou de femme se tuant au travail. Cela dit, il devait y avoir des amateurs, près de la moitié des clichés portaient la mention « vendu ».


Je continuais ma visite, le type aussi, on échangea encore quelques propos, mais on tombait toujours d’accord sur les mêmes points : très beau, mais très triste.

On finit par sortir de l’expo, sur le trottoir nous échangeâmes encore quelques banalités au sujet de l’expo, et, de but en blanc, il me proposa d’aller boire un verre. J’étais un peu surprise, hésitante, mais il insista, il me trouvait sympa et avait envie de faire plus ample connaissance. Il me parut sympa également, et je finis par accepter.

Je connaissais bien le quartier, il y avait un bar brasserie au bout de la rue, avec une belle déco, je lui proposai d’y aller.
Durant le trajet, nous eûmes juste le temps d’échanger nos prénoms : il s’appelait Fabrice, je lui dis que je m’appelai Nelly.
Deux minutes plus tard, nous étions attablés, le garçon nous demandant ce que nous voulions boire. On était assez hésitant, quand je me décidai :
— C’est 19 h 30, l’heure de l’apéritif, je prendrai bien un verre de vin blanc bien frais...
Fabrice eut l’air un peu étonné, mais finit par dire :
— Oui, bonne idée, deux verres de blancs, qu’est-ce que vous avez comme blancs ?
Le serveur :
— Muscadet, sauvignon, chardonnay...
Je l’arrêtai :
— Chardonnay pour moi.— Deux chardonnays, conclut Fabrice.
En attendant nos verres, on papota gentiment, il me raconta qu’il était chef d’entreprise, qu’il était à la tête de deux sociétés, une sur Rouen, l’autre sur Paris, spécialisée en domotique, qu’il partageait sa vie entre Rouen et Paris où il était deux jours par semaine, qu’il gagnait très bien sa vie.
Je lui racontai ma vie, styliste, divorcée, indépendante, avec des hauts et des bas... le temps de dire tout ça, on avait fini nos verres.

Il proposa de grignoter quelque chose ici : comme je connaissais bien l’endroit, je lui suggérais de prendre une salade mixte qu’on pouvait presque composer à volonté, idem pour les sauces. Chacun de nous se composa la salade de ses rêves, et on continua de papoter.
Jusqu’à présent, il avait soigneusement évité d’évoquer un point de sa vie, ce que je lui fis remarquer en le tapotant d’un doigt sur son majeur :
— Tu as une alliance, tu es marié (on était passé au tutoiement au 2e verre de chardonnay) ?— Euh... oui, marié, et toi ?— Je t’ai déjà dit, divorcée...— Et quelqu’un dans ta vie ?
Je ris !
— Petit curieux, non, pas en ce moment !— Excuse-moi si je t’ai choquée.— Mais non, j’ai l’habitude.
Il ne me demanda pas pourquoi j’avais l’habitude. Il y eut un petit silence... rompu par le serveur qui venait nous proposer des desserts, ou cafés.

Je déclinais, la salade était plus que copieuse, j’avais presque trop mangé. Fabrice demanda donc l’addition, je lui proposai de payer ma part, mais il me dit en riant qu’il n’était même pas un gentilhomme, car il allait payer avec sa carte pro, et que ça passerait en charges pour l’entreprise. Je lui répondis que, vu comme ça, j’acceptai. C’est ce qu’il fit, puis nous quittâmes le restaurant.

Dehors, il me proposa de marcher un peu, tout en continuant à discuter. Cela me convenait, dans la mesure où j’habitais à 15 min à pied. Nous marchions lentement, en parlant de choses et d’autres, l’air était encore doux et c’était très agréable.
Au bout d’un quart d’heure, on arriva donc en bas de mon immeuble. Et là, il y eut un moment de flottement... Pendant tout le trajet, je m’étais posé la question : il va me demander de monter ou pas ? Et moi ? Je l’invite à monter ou pas ?
Finalement, ce fut moi qui brisai le silence :
— Tu veux monter boire un café ?
Il sourit.
— Oui, avec plaisir.
J’habitais au 2e, mais on dut monter à pied, car l’ascenseur semblait coincé au 6e. Je le fis entrer dans mon petit home, lui pris son blouson, enlevai ma veste. Il me fit remarquer que j’étais encore plus belle sans ma veste, j’ai ri et je l’ai remercié. Je lui dis de s’asseoir où il voulait, canapé, fauteuil, poufs, et lui demandai s’il voulait un café, corsé ou un déca... il me dit corsé, que ça ne l’empêchait pas de dormir.
J’allais donc préparer deux expressos, un corsé et un déca, et quand je revins, il s’était finalement installé dans le canapé. Je m’installai à côté de lui, et on commença à touiller et boire nos cafés. Mais au bout de quelques secondes, il me regarda dans les yeux, me prit les doigts du bout de la main et me dit :
— Tu sais, tu es très belle, très désirable.
Je ne savais pas trop quoi dire... je ris ! Il avança alors son visage vers moi, cherchant mes lèvres. Il était séduisant, je m’avançai à mon tour, nos lèvres se touchèrent et ne se quittèrent plus. Au début, ce ne fut que de simples jeux de lèvres, puis nos langues commencèrent à s’entremêler. Il s’était rapproché de moi, ses mains étaient sur moi, me caressant la tête, m’effleurant le cou, descendant sur les épaules. Nos langues essayaient de s’immiscer le plus loin possible dans la bouche de l’autre, appuyant avec force sur la langue de l’autre, nos dents s’entrechoquaient. Ses mains courraient sur mon corps, mon dos, mes épaules, ma taille, une m’avait attrapé un sein à travers mon chemisier et le palpait sans vergogne, ce qui ne tarda pas à le faire réagir... et le téton commença à pointer. Fabrice s’en rendit compte, ses caresses se firent plus précises, une main était descendue sur mon collant et remontait doucement sous ma jupe.
Jusqu’à ce qu’il se rend compte que je ne portais pas de collants, mais des bas ! Il en fut si étonné qu’il lâcha mes lèvres.
— Tu portes des bas ? Et des porte-jarretelles ?
Je ris aux éclats !
— Ouiiii !
Comme je riais, il en profita pour m’embrasser à nouveau et fourrager avec sa langue dans ma bouche. Sa main droite n’était pas inactive et il remontait toujours plus haut sur la cuisse. Sa main gauche s’employait à faire se dresser le deuxième téton, toujours au travers du chemisier. Quand sa main droite commença à vouloir farfouiller dans la culotte, je me dégageai doucement et lui dis :
— Attends, donne-moi cinq minutes, le temps de me rafraîchir.
Sur le coup, il eut l’air un peu déçu, mais d’un autre côté, il comprit que maintenant, l’affaire était entendue...
Je partis donc dans la salle de bain, prenant dans le placard du couloir de quoi me changer et lui réserver une petite surprise.
Arrivée dans la salle de bains, j’enlevai tout à toute vitesse, me douchai à l’eau à peine tiède, savonnant l’intimité au savon à la lavande pour que ça sente bon, me rinçai abondamment, m’essuyai consciencieusement, et me rhabillai : bas, porte-jarretelles, soutif rouge, string brésilien assorti, et une jolie nuisette, noire un peu transparente, bien serrée à la taille.
Quand je revins dans le salon, je fus accueillie par un :
— Waouh...
Fabrice était un peu interloqué, ne savait plus trop quoi dire.
Je baissai la lumière au maximum avec la télécommande, et le rejoignis dans le canapé.
Il me dévorait des yeux !
— Maintenant, je suis une autre femme, pour toi, ça te plaît ?— Bien sûr, tu es absolument divine, laisse-moi te regarder, mets-toi debout que je t’admire.
Je me levai.
— Tu es vraiment splendide, si féminine, tu pourrais poser pour une revue...— Porno ?— Non, c’est pas ce que je veux dire, une revue pour femme, une illustration sur les nouvelles tendances en lingerie.— Merci, c’est une belle surprise ?— Tu parles, tu es super sexy !— C’est vrai ça ?— Viens voir.
J’allai contre lui et m’assis sur ses genoux.
— Qu’est-ce qu’on disait avant ?— On disait rien !— Qu’est-ce qu’on faisait ?— Ça !
Et il m’embrassa à nouveau, sa langue s’enfourna dans ma bouche, ma langue fit pareil, ses mains reprirent leurs explorations respectives.
Les choses s’accéléraient, sa main droite était arrivée au string, mais je gardais sagement les cuisses serrées pour l’instant. Sa main gauche avait réussi à atteindre mon sein droit sous le soutif et le tripotait sans vergogne. Je commençai à défaire sa chemise du pantalon, puis dégrafai les boutons. C’est moi qui lui enlevai sa chemise, puis son T-shirt, et il fut bien obligé de me lâcher. Il était là torse nu, il était plutôt bien foutu, pas de ventre, de beaux pectoraux, assez poilu, j’aimais bien. Ayant ses deux mains libres, il défit le nœud de la nuisette, puis l’ouvrit en grand, et se rinça l’œil tant qu’il put.
— Qu’est-ce que tu es belle ! Qu’est-ce que tu es belle ! Qu’est-ce que tu es belle ! me répéta-t-il trois fois avant de reprendre ses jeux de langues et de me masser à nouveau les seins des deux mains, dans la mesure où je gardais toujours les jambes serrées !
Moi, j’avais entrepris de défaire sa ceinture, puis le zip du pantalon. Mais je ne pouvais pas aller plus loin vu que j’étais sur ses genoux. Je dus me lever, il enleva ses chaussures, je tirais sur le pantalon pour le faire descendre, et l’enlever complètement. Il restait le boxer. Je sentis au travers du tissu que son sexe était bien dur.
— Je te fais de l’effet, mon grand ?— C’est rien de le dire !
Je tirai délicatement sur le boxer pour ne pas risquer de lui tordre le kiki. J’enlevai le boxer. Le kiki en question était au garde-à-vous, ce n’était pas un gros kiki, mais il était dans une bonne moyenne. Il était déjà tout baveux. Je le pris entre mes mains :
— Il est bien dur... attends !
Avant d’aller plus loin, il y avait une petite opération à faire. J’allais chercher dans le meuble du salon une petite boîte dans laquelle j’avais quelques préservatifs. J’en pris un. Je lui demandai s’il préférait le mettre lui-même ou que je m’en occupe. Il répondit qu’il voulait bien que ce soit moi qui le fasse. J’ouvris l’emballage, sortis la capote, la lui plaçais sur le gland, et la déroulais doucement. Je crois qu’il était au bord de la jouissance.

Puis je me plaçais debout face à lui, qui était toujours assis, puis je passai ma main derrière sa tête et j’attirai son visage vers mon sexe. Il comprit tout de suite, il fit rouler mon string vers le bas et dévoila mon sexe. Quand il le vit, il eut encore un moment d’étonnement. Il avait vu tout de suite que, si sur la partie haute du pubis, il y avait un trapèze de poils, la partie plus basse était totalement épilée. Épilée, et non pas rasée. J’étais face à lui, jambes légèrement écartées et il tentait de mettre sa langue entre mes cuisses. Évidemment, c’était loin d’être la meilleure position, mais je le laissais s’escrimer ainsi quelques minutes. Au bout d’un moment, je me tournai légèrement pour mettre un pied sur le canapé, mes cuisses étant ainsi beaucoup plus ouvertes.

Il descendit un peu du canapé, bascula la tête en arrière, et il put passer maintenant sa langue sur mon intimité, du clito au vagin. Il ne s’en priva pas, mouillant abondamment à chaque coup de langue. J’étais très émoustillée, et je commençais à mouiller abondamment. Associé au savon à la lavande, cela devait avoir bon goût, car il disait souvent.
— Hmmm, hmmmmm !
On avait tous les deux le souffle plus court. Pour que sa langue puisse s’immiscer encore mieux dans mon sexe, j’écartai un peu plus les cuisses, mettant mon pied non plus sur le canapé, mais sur son épaule. Je me tenais à sa tête pour ne pas tomber. Dans cette position, sa langue pouvait pénétrer allègrement mon vagin, et il ne s’en priva pas, car il avait bien senti que cela me procurait un plaisir réel.

Mais la position était difficile à tenir, aussi bien pour lui que pour moi, j’avais failli tomber par deux fois. Je décidai (pour l’instant, c’est moi qui décidais) de changer de position. Je m’allongeai sur le dos, les fesses posées sur le rebord du canapé, bien relevées, bien ouvertes. Il comprit de suite et se mit à genoux face à moi. J’avais déjà les cuisses grandes ouvertes, mais il les écarta davantage et entreprit de me lécher du haut en bas, du clitoris à l’anus, en pressant fortement avec sa langue, essayant de l’insérer partout où c’était possible. Parfois, il insistait plus sur une zone, le clito, puis l’anus, puis le vagin, à chaque fois en déversant des litres de salive, que je sentais couler le long de ma raie. J’étais très excitée, mais lui l’était encore plus.

Je lui fis sentir que je voulais changer. Pour une première fois, on allait faire classique : je m’allongeais sur le dos sur le canapé. Il vint sur moi et me pénétra doucement, puis il commença à aller et venir dans mon sexe, mais je voyais que déjà il se retenait et que ça n’allait pas durer longtemps, il criait au rythme où il s’agitait en moi, de plus en plus vite jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir et je le sentis avoir des tremblements, comme des convulsions, lorsqu’il jouit. J’avoue que j’étais un peu frustrée. Si le film avait super bien commencé, la fin s’était avérée très moyenne. Je le laissai reprendre ses esprits, jusqu’à ce qu’il se relève.

Il était bien conscient de la situation, il s’agenouilla près de moi, me dit qu’il avait bien vu que je n’avais pas vraiment joui, mais qu’il était super excité et qu’il n’avait pas pu se contrôler.
  J’ai bien vu que tu étais super excité, c’est peut-être un peu de ma faute.C’est vrai que j’ai pas eu un vrai orgasme, mais tes coups de langue sur mon clito, mon sexe et mon petit trou, c’était tout à fait délicieux, et ça rattrape en partie.— Merci, tu es trop gentille ! Mais au final, sur une échelle de 1 à 1,0 tu me mettrais quelle note ?— Je sais pas ! On m’a jamais posé la question ! Là, je dirai entre 5 et 6.— Bof, c’est pas terrible.— Mais non, c’est déjà pas mal, et puis tu as une vraie marge de progression ! Certes, vu sous cet angle... mais dans ce cas, il me faut une deuxième chance...— Pourquoi pas, si tu te sens en forme ! Moi, je demande que ça... En attendant, va te nettoyer. Et tu mets pas la capote dans les toilettes STP, mais dans la poubelle.— Bien, chef !
Il ne tarda pas à revenir au salon. Je lui pris la main et lui dis :
— Viens, on sera mieux dans la chambre.— Attends, j’ai encore envie de t’admirer ici, ton corps, tes formes, tes seins, ta chatte, tu es une œuvre d’art !— Merci !— Je n’ai jamais vu une chatte aussi belle que la tienne !— ...— Et d’une douceur, d’un soyeux ! Un goût si parfumé, un délice à toucher, à sentir, à goûter, à lécher.— C’est une véritable ode à ma chatte.— Oui ! Je te dis, j’ai encore envie de la lécher, je m’en lasse pas !— Hmmm, quel programme ! Viens dans la chambre !
On passa dans la chambre, défit le couvre-lit, et nous allongeâmes. Fabrice était à poil, moi j’avais encore mes bas et porte-jarretelles, mon soutif, ma nuisette ouverte.
Il m’attira vers lui, me caressant doucement le dos et me demanda :
— Tu as eu beaucoup d’expériences ?— Tu veux dire nombre de partenaires ?— Oui ?— Je sais plus trop, je dirais une quinzaine...— C’est pas mal !— Par rapport à ce que me disent certains mecs, c’est peu.— Est-ce que ce qu’ils disent est vrai ?— Ça, c’est la question. Et toi ?— Je dirais à peu près pareil. Vous avez divorcé avec ton mari parce que ça n’allait plus question sexe ou autre ?— Un peu de tout, plus beaucoup de sexe, et puis aussi des complications. Et toi, avec ta femme, ça se passe bien ?— Euh... oui... et non.— Pourquoi ?— Pas assez souvent, pas assez varié.— C’est quoi, souvent, pour toi ?— Au moins deux fois par semaine...— Et varié ?— Changer un peu de position, on fait presque toujours la même.— Laquelle ? La missionnaire ?— Non, les cuillères.— Les cuillères ? Ah oui, je vois, sur le côté...— Oui.— Et toi, tu aimerais quoi ?— La levrette, le lotus, le 69, la sodomie...— La levrette, je vois, mais le lotus ?— C’est un peu comme le missionnaire, mais la femme passe ses jambes sur les épaules de l’homme.— Ah oui, je savais pas que ça s’appelait comme ça. Et elle, tu lui as demandé si elle a des envies ?— Elle dit que c’est à moi de le découvrir. Je crois qu’elle a pas un grand attrait pour le sexe.— Tu as déjà essayé de lui faire ce que tu m’as fait tout à l’heure, lui passer ta langue du clito à l’anus en appuyant bien ? Si tu le fais bien, ça devrait l’exciter ?— Euh... jamais aussi fort, je l’avoue.— Tu devrais essayer ! Je vais te conseiller des trucs à faire à ta femme !— Je demande pas mieux ! Encore faut-il qu’elle le veuille. Revenons à toi, qu’est-ce que tu aimes à part qu’on te lèche intensément ?— Plein de choses ! Mais comme dit ta femme, il faudra le découvrir !— Pourquoi pas !

A suivre.....
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