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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 2

Episode 1 - Scène 2

Hétéro
Résumé de l’épisode 1 scène 1: Nelly, divorcée, qui a fêté ses 40 ans récemment, vient de rencontrer Fabrice, ils se sont plu immédiatement, et la première partie de la nuit a déjà été très chaude. Qu’en sera-t-il de la seconde partie ?

Le petit échange verbal que nous venions d’avoir commençait à ranimer mister kiki :
— On dirait que la forme revient, tu récupères vite !— Notre petite conversation m’a un peu excité.— Je comprends, tu aimes parler de sexe ?— Là je crois que tu me provoques... oui, j’aimerais, mais j’ai pas souvent l’occasion !— C’est vrai que je te taquine, c’est mon côté petite coquine !
En même temps, je lui attrapais son kiki avec la main et commençais à le caresser. Il semblait réagir plus aux paroles qu’aux actes parce qu’il ne se passa pas grand-chose. Je décidai de changer de tactique, je m’approchai de lui, et attrapai ce kiki dans ma bouche. Il était encore flasque et je pus le gober en entier jusqu’aux couilles. Je ne le suçai pas vraiment, je le faisais bouger dans ma bouche. Là il commença à gonfler, j’aimais bien le sentir grossir en moi, et le garder en entier dans ma bouche le plus longtemps possible. Je l’entendis dire des « Hmmm... hmmmm ».

Pour ma part, ma langue était toujours occupée à lui masser le gland et je sentis que ça ne pourrait durer beaucoup plus longtemps, son sexe devenait super dur et était complètement arc-bouté dans ma bouche, à un moment, je n’ai plus pu tenir et j’ouvris la bouche pour le libérer. Il était complètement au garde à vous, et je ne sais pas comment j’avais fait pour garder cet engin en bouche.
— Ben dis donc, on ne m’avait jamais fait ça, me dit-il.— Je crois que moi non plus ! Viens là, que je te mette un chapeau !
J’attrapais un préservatif dans le tiroir de la table de nuit, l’ouvris et le lui déroulai sur la tige. Il se laissa faire comme un enfant bien sage,
Je continuai de lui caresser le sexe et ses boules et lui susurrai à l’oreille :
— On commence par quelle position ? Le lotus, ça te dirait...— Ouiiiii... ! Installe-toi sur le dos et relève tes jambes.

Ce que je fis, et il se mit sur moi, se tenant sur une main, de l’autre il mouilla ses doigts avec de la salive, les approcha de ma vulve et lubrifia abondamment, l’extérieur puis l’intérieur, à plusieurs reprises. Quand il me pénétra, ce fut un délice, j’avais les jambes par-dessus ses épaules, assez resserrées, et je sentais réellement son sexe se frotter dans le mien. Ses va-et-vient étaient assez lents, mais profonds, à chaque fois, il essayait d’aller plus loin, et je sentais ses couilles venir battre contre moi. La sensation de plaisir montait doucement en moi, et par bonheur, il continuait. Il me dit :
— Serre tes cuisses, que je te sente bien !
C’est ce que je fis, le serrant du mieux que je pouvais, mais à un moment, je ne pouvais plus contrôler, et me laissais aller au plaisir. Il me lutinait de plus en plus vite, de plus en plus fort, en essayant de durcir son sexe au maximum, et tout d’un coup, je fus transportée par un orgasme violent ! Je me crispai, je crois que je hurlai, c’était vraiment d’une intensité rare. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais quand je redescendis de mon nuage, il était toujours là à aller et venir en moi, mais beaucoup plus doucement. Je rouvris les yeux, il me souriait, et me dit :
— J’ai l’impression que tu as ressenti quelque chose ?— Oui, c’était fabuleux ! Et toi, je sens que tu n’as pas encore joui ?— Non, pas encore, mais c’était si beau de te regarder prendre ton pied ! Rien que ça, ça vaut bien un orgasme ! Mais ça t’ennuie pas qu’on continue doucement ?— Non, au contraire ! Tu veux qu’on change de position ?— Oui, pourquoi pas, qu’est-ce que tu proposes ?— La levrette ?— Là, je crois que tu veux me faire plaisir.— Oui, un peu.
Il me libéra, j’attrapai deux coussins un peu épais, les ajustai, et mis les genoux dessus. Je posai les bras sur le montant de la tête de lit, cambrai les reins. Il me dit :
— Tu es absolument sublime comme ça, une vraie déesse. Tu as envie que je te lèche ?— Ouiiiii, c’est toujours un délice !
Il entreprit donc de me lécher l’entrejambe. Étant donné la position, c’est mon anus qui se trouvait être le plus accessible, et il commença donc par là. En même temps, ses doigts s’activaient sur mon petit bouton, qui se gonfla doucement. Je sentis des doigts s’insérer en moi sans que je puisse dire combien, mais ils me remplissaient bien le vagin. Il se mit à les replier légèrement à l’intérieur de moi, massant la paroi avec l’anus, alors que sa langue continuait de me lécher le petit trou. C’était une sensation extraordinaire que je ne me rappelais pas avoir ressentie. J’étais à nouveau très excitée. Je lui dis :
— Mouille-moi bien et prends-moi !
Il exécuta mes ordres consciencieusement, déposa des tonnes de salive dans ma chatte avant de m’embrocher. Embrocher est le terme, car il n’y alla pas par quatre chemins, se retrouvant au fond de moi dès la première poussée.

Il était idéalement placé derrière moi, c’est pour ça que je m’étais installée sur les coussins, et la pénétration était bien profonde. Il était accroché fermement à mes hanches et allait et venait en moi sans retenue. Je sentais à nouveau ses couilles venir taper contre mes fesses, et à chaque fois que sa queue allait au fond de moi, cela produisait un bruit qui ressemblait à « shlosh ». Je sentais aussi que son plaisir commençait à venir, car il accompagnait chaque coup de reins d’un « oui » évocateur.
Le plaisir commençait à revenir en moi, et je m’y abandonnais doucement. Maintenant, quand il s’enfonçait en moi, il essayait de durcir et tendre sa bite aussi fort qu’il le pouvait, essayant de me soulever du sol. Je ressentais alors son engin coulisser le long de la paroi anale, ce qui m’excitait encore davantage. À un moment, je me sentis basculer à nouveau, le plaisir m’inonda, je perdis la notion du temps... c’était merveilleux, j’avais l’impression de voler comme un oiseau, hors du temps et de la gravité.

C’est lui qui me fit revenir sur terre, lui aussi avait pris son pied si intensément qu’il ne tenait presque plus sur ses genoux ! On avait failli s’écrouler sur le lit ! Pour l’instant, il était encore en moi, le sexe encore dur, il faisait de petits allers et retours. Mais, à un moment donné, le kiki devint trop mou, et sortit de mon sexe.
J’en profitai pour m’écrouler sur le lit.
— C’était vraiment extra !— Fabuleux !
On resta un long moment comme ça, immobiles, à ne rien dire. Ce fut lui qui trancha le silence :
— Je vais dans la salle de bains...
Quand il revint, il s’écroula à son tour dans le lit, mais je ne sais pas comment il fit, on se retrouva en position tête-bêche. Lui était complètement nu, moi j’avais toujours mon soutien-gorge et mes bas. Ce qu’il me fit remarquer.
— Tu veux que je les enlève ?— Si ça t’ennuie pas, j’aimerais bien te voir toute nue.— Coquin ! Dans ce cas, enlève-les !
Il dégrafa alors délicatement le soutif, déposa un bisou sur chaque téton. Puis il retira les bas, je dus l’aider pour le porte-jarretelles, il ne savait pas trop s’il fallait l’enlever par en haut ou par le bas ! Et on se retrouva à nouveau tête-bêche, il avait sa tête à hauteur de mon sexe, duquel il n’arrivait pas à détourner le regard.
— Qu’est-ce qu’elle est belle ta chatte ! Qu’est-ce qu’elle est belle !— J’ai déjà entendu ça, il me semble, hi hi hi !— Oui, mais elle est toujours aussi belle ! Ouvre-toi un peu, que je la voie mieux !
J’écartai un peu les jambes.
— Allez, sois sympa, encore un peu.— Mais tu l’as déjà vue... et de très près !— Oui, mais c’était pas le même contexte. Allez, fais voir !
Je finis par m’exécuter, ouvrant les jambes en grand. Il s’en approcha et contempla à sa guise, toucha un peu.
— Qu’est-ce qu’elle est soyeuse, j’ai jamais vu une femme avec la peau si soyeuse !— Parce que j’ai fait une épilation définitive, au laser, de la vulve et de l’anus. Sur le pubis, je fais plutôt à la crème épilatoire, ou à la cire.— Tu es la perfection féminine.— C’est trop gentil ! Je crois que tu exagères.— Non, c’est vraiment ce que je pense. Tu as un corps de déesse, avec de vraies formes de femme. Pour moi, c’est à peine croyable que je puisse être à côté d’une femme aussi belle que toi, nue, et à laquelle j’ai déjà fait l’amour à plusieurs reprises.— Tu es vraiment gentil, et la déesse a apprécié que tu lui fasses l’amour...— C’est vrai, c’était bien ?— Oui, surtout quand on faisait le lotus, j’ai eu des sensations vraiment intenses. Mon sexe était serré, je te sentais très fort en moi, c’était génial !— Donc, là, tu mets quelle note ?
Grosse rigolade entre nous !
— Disons que je mettrais 7,5. C’est déjà beaucoup mieux, mais peut mieux faire.— Bon, ça progresse, c’est positif. Et pendant la levrette ? Quelle note ?— Je dirais 7. Un peu moins bien, mais un bel orgasme malgré tout !— Zut, ça régresse ! Si je récapitule : missionnaire 5 ; puis lotus, 7,5 ; et levrette, 7. On va faire un tableau de données avec toutes les positions du Kamasutra !— Hi hi hi ! Tu as de l’humour !
Il contemplait toujours ma chatte.
— Me dis pas que tu as encore envie ?— Oui, pourquoi pas, pas toi ?— Je sais pas, mais tu penses pouvoir y arriver ?— Oui, je l’ai déjà fait, il faudrait juste que tu m’aides un peu.— Oui, et qu’est-ce que je dois faire ?— Je vais répondre comme les femmes me répondent : je te laisse le soin de trouver !— OK, je vais réfléchir ! Mais on a le temps.
Je regardai le réveil : il était à peine 23 heures.
— Attends-moi quelques minutes, je vais prendre une petite douche, t’endors pas !— Te moque pas !
Je filais sous la douche. Il n’avait pas éjaculé en moi, mais mon sexe coulait toujours de sécrétions diverses, et je tenais à être toute pimpante pour la suite, si Fabrice arrivait à tenir ses engagements ! Sinon, j’avais bien une idée pour la suite, mais il était trop tôt pour lui en parler.
Je commençai à prendre ma douche quand je m’aperçus qu’il était à l’entrée de la salle de bains, et qu’il me regardait au travers de la vitre dépolie.
— Tu m’observes ?— Je t’admire, je peux venir t’aider ?— Je devrais y arriver toute seule.— Il y a toujours des endroits que l’on a du mal à atteindre...— Ça semble assez intéressé ta proposition.— Oui !— Allez, viens !
Il me rejoignit dans la douche. Je lui tendis le pommeau de douche.
— Mouille-moi partout sauf les cheveux !
Il le fit avec beaucoup d’application, et évidemment, me demanda d’ouvrir mes cuisses pour pouvoir m’arroser partout. Je lui tendis le gel douche :
— Il faut en mettre juste un peu, mais partout !
Il commença à me savonner les épaules puis le dos et les bras. Puis il commença à s’occuper des seins avec beaucoup de cœur, passant et repassant, le haut, le bas, les tétons, et de nouveau le haut... c’était ma foi plutôt agréable. Il descendit sur le ventre, puis les cuisses, et les jambes. Il restait les fesses, qu’il frotta et massa avec beaucoup d’entrain, puis l’entrejambe pour lequel il me demanda d’écarter davantage les jambes. Il était très méticuleux, et le nettoyage complet fut particulièrement long, bien sûr, à croire que l’endroit était particulièrement sale. Mais je le laissais faire, amusée. Il me rinça tout le corps avec la même application, puis il m’essuya consciencieusement. Et alors que je ne m’y attendais pas, il me souleva, m’emporta ainsi jusqu’à la chambre et me déposa sur le lit comme une fleur.
— Merci, tu as fait ça très bien.— Je t’en prie, c’était un plaisir. Maintenant, tu brilles comme un sou neuf et tu sens très bon.— J’ai pas mis de parfum...— Non, mais le gel douche sur ta peau, ça sent très bon.
Il me passa la langue sur l’épaule.
— Et à lécher, c’est délicieux aussi. Je sens que je vais me régaler...— Dis donc toi, tu t’y vois déjà... hi hi !— Et sinon, à part le missionnaire, le lotus, ou la levrette, qu’est-ce que tu aimes comme position ?— Dis donc toi, tu aimes bien parler sexe... ça t’inspire ?— Oui, j’adore en parler ! Surtout avec toi ! Mais tu n’as pas répondu à ma question ?— Écoute, je sais pas, je connais pas les noms.— Dans ce cas, décris-moi, je te dirai si je connais et s’il y a un nom.— Bon, alors, comment dire, une que j’aime bien c’est quand la femme est couchée sur le côté, une jambe repliée très haut et l’homme vient sur elle et la pénètre.— Oui, je vois, mais je connais pas le nom !— Et aussi quand la femme est assise sur l’homme...— De face ou de dos ?— De face.— Par-devant ou par-derrière ?— Arrête coquin ! Par-devant !— Et par-derrière ? Tu aimes la sodomie ? Tu l’as déjà fait ?
Je lui mis un doigt sur les lèvres en faisant :
— Chut !— C’est pas une réponse.— Dis donc, ça a l’air de te tenir à cœur !— Je l’avoue, j’ai un gros péché mignon pour les jeux pratiqués à cet endroit, l’amour anal et la sodomie. Et toi ?— On en rediscutera plus tard,
Le temps qu’on discute de tout ça  et son kiki commença doucement à se réveiller. De totalement flasque, il était passé à demi-flasque.
— Dis donc, tu commences à réagir à notre discussion...— Tu vois !— Tu te sens prêt à recommencer ?— Tout à l’heure, tu m’as dit que c’était à moi de trouver la bonne formule.— Oui, et... ?— Dans ce cas, mets-toi sur le côté, replie l’autre jambe et pose le pied sur la première...
Ce qu’il fit.
— Descends un peu plus bas dans le lit.
Il descendit, je me mis dans la même position, mais tête-bêche, la bouche à hauteur de son sexe.
— Voilà, rapproche-toi, mets ta tête entre mes jambes... Tu as compris... un 69 sur le côté... et je vais te sucer comme une déesse, le premier qui fait jouir l’autre a gagné !
L’avantage d’être sur le côté est que les deux mains sont disponibles. J’enfournai donc son sexe dans ma bouche tout en lui caressant doucement les couilles. Je ne sais pas si c’est mes caresses ou le fait qu’il avait déjà entrepris de me lécher l’anus, mais son sexe gonfla à vue d’œil. Je changeai un peu de technique et lui aspirai doucement le gland, par petites succions. D’une main, je continuais de lui caresser les bourses, et de l’autre je commençais à passer mes doigts dans la région de la prostate et de son petit cul. J’eus envie d’y introduire un doigt, mais je me dis que ça pouvait attendre plus tard.

Il s’occupait maintenant plus de ma vulve, y déposant des litres de salive. Il semblait apprécier le massage rectal, car il enchaînait les « oui », les « oh oui », et les « que c’est bon ». J’étais moi-même assez excitée, mais comme je n’étais pas sûre qu’il puisse me faire jouir qu’avec sa bouche, je préférai une fin plus « classique ». Je me dégageai, me mis dans la position dont on venait de parler et lui dis :
— Viens, prends-moi doucement et longtemps !— Oui ! je mets un préservatif.— Mince, je l’ai oublié.
Il trouva une capote et l’enfila rapidement, se mit sur moi et me pénétra doucement. La position était particulière, la pénétration pas très profonde, c’était plus une sensation de chatouillis, mais c’était très agréable. Il allait et venait gentiment en moi, sans se presser, et j’avais le sentiment que ça pouvait continuer comme ça longtemps. Et puis il changea légèrement de position, écartant davantage ses jambes et relevant un peu plus la mienne. La pénétration fut alors plus profonde, et en même temps mon sexe s’était resserré autour du sien, ce qui me procura des sensations beaucoup plus intenses. Mais il continuait toujours à son rythme de sénateur.

J’avais l’impression qu’il n’était pas près de jouir, alors que moi ça pouvait être imminent s’il accélérait un peu. Je lui dis d’aller plus vite, et comme toujours, il m’obéit. Il accéléra donc et je sentis à nouveau ses testicules venir battre contre mes fesses. Puis je le vis porter son index à la bouche, y mettre un peu de salive, et avant que je comprenne vraiment ce qu’il avait en tête, je sentis son index contre mon petit trou, mais qui ne cherchait pas vraiment à y rentrer, juste à le caresser de façon un peu appuyée. C’était tout à fait agréable et je sentis une nouvelle fois le plaisir me subjuguer, je voyais des étoiles par milliers.
C’est alors que ce petit coquin, voyant que l’orgasme arrivait, profita de cet instant pour enfiler son index dans mon anus. Je ne sais pas pourquoi, cela décupla la jouissance et ce fut comme un feu d’artifice partout en moi. Lorsque je repris mes esprits, il continuait d’aller et venir en moi, son doigt toujours dans mon petit cul.
— Dis donc, il semble que mon petit doigt t’a fait de l’effet ?
Je pouvais difficilement ne pas le reconnaître.
— Oui, c’était sympa, mais maintenant tu peux le retirer.
Il commença par le retirer, puis l’enfonça le plus loin qu’il put, avant de le retirer à nouveau en appuyant bien contre la paroi côté vagin pour sentir son sexe qui était de l’autre côté. Évidemment, je poussais un « ohhhh », mais la sensation était loin d’être désagréable. Et il l’avait bien compris ce petit coquin. Il me demanda si j’en voulais à nouveau, je lui répondis « plus tard ». Il ne m’interrogea pas sur le « plus tard » :
— Et toi ? Tu n’as pas joui ?— Non, pas encore.— Mon pauvre lapin ! Viens, je vais m’occuper de toi.
On changea de position, je le fis s’allonger sur le dos, et je vins m’empaler sur son sexe à califourchon. Au début, je me contentais de bouger le torse d’avant en arrière, puis des mouvements amples de haut en bas, j’essayais de resserrer mon vagin le plus que je pouvais, tout en continuant de monter et descendre. Je sentais bien que ça lui faisait de l’effet, mais il n’était pas encore près de jouir. Pour l’exciter davantage, j’eus l’idée de lui dire des phrases salaces :
— Dis donc, mon coquin, tu m’as bien fait jouir tout à l’heure en me mettant ton doigt dans le cul.— T’es un sacré petit filou, qui aime lécher le cul des femmes, et le tien, on te l’a déjà léché ?— Et maintenant que tu es à ma merci, si c’était moi qui te mettais un doigt dans le cul ?
Et en même temps, je mis un doigt dans sa bouche pour qu’il le lèche.
— Lèche-le bien, tu vas en avoir besoin.
Il lécha.
— Ouvre un peu tes jambes !
Il ouvrit. Mon doigt s’approcha de son anus. Je continuai à monter et descendre sur son sexe. Mon doigt trouva son petit cul et commença à le masser. Je sentis que son excitation grimpa en flèche.
— Écarte davantage !
Il écarta. Son cul était maintenant à ma portée. Je plaçais mon index sur son orifice.
— Je vais te le mettre... tu en as envie ?— Oui, vas-y !— Attends, quand je voudrais ! Et c’est quoi qui t’excite le plus ? De le mettre ou de te le faire mettre ?— Je sais pas encore, mets-le-moi !— Tu es prêt ?— Oui !— OK !
Je lui enfilai mon index dans son cul. Il était incroyablement serré, ça rentrait à peine et j’ai le doigt fin. Il fit :
— Ouhhh !— Alors, c’est bon ?— Je sais pas, c’est bizarre.— Je vais te l’enfoncer un peu plus.— Euhhh !— Tu vois, finalement, ça rentre tout seul !
Là, je sentis qu’il était prêt à exploser.
— Tu veux que j’en mette un deuxième ?— Nonnnnn !— Je suis sûr que toi tu rêvais de m’introduire trois ou quatre doigts.— Mais non !— Alors, c’est quoi ton rêve ?— ...— De me sodomiser ?— Oui,
Et là, il ne tint plus et jouit le souffle court, je sentis la capote se remplir de son sperme
Je le laissais reprendre ses esprits. Après trois éjaculations, son kiki ramollissait à vitesse grand V.
Je me penchai sur lui et lui déposai un tendre baiser sur les lèvres.
— Dis donc, qu’est-ce que je dois pas dire et faire pour que tu jouisses !
J’avais toujours mon index dans son anus, je le gigotai un peu pour le lui rappeler, puis le retirai doucement.
— Ça t’a plu ?— Tu parles, tu m’as fait jouir comme jamais. J’ai eu l’impression que mon jet de sperme allait transpercer la capote !— C’est quoi qui t’a fait jouir ? Mon doigt ou ce que je disais ?— Les deux, on ne m’a jamais parlé comme tu l’as fait.— Ahhh... et le doigt ?— Le doigt, si !— OK !— Et toi ?— Et moi ?— Pour le doigt ?— C’était pas la première fois non plus !— Et plus ? Raconte-moi, s’il te plaît !— Je te raconterai plus tard.— Quand ?— On verra, s’il te plaît, n’insiste pas, tu vas gâcher une très belle nuit.— OK, excuse-moi !
À ce moment de notre relation, je n’avais pas envie de lui révéler que les plus belles sensations que j’avais eues en matière de sexe (!) ; que mes orgasmes les plus intenses avaient eu lieu lorsqu’on s’occupait de mon petit endroit !
On était toujours allongés sur le lit. Il me caressait nonchalamment tout le corps.
— Tu as encore envie ?— Oh oui ! J’ai encore envie de toi ! Mais sincèrement, je pense pas pouvoir y arriver.— Je comprends, tu m’aurais dit l’inverse je ne t’aurais pas cru, c’est bien aussi, on va se reposer. Tu peux rester si tu veux.— Non, je vais rentrer à mon hôtel, il est pas encore trop tard, et je voudrais me lever tôt demain, j’ai un emploi du temps chargé.
C’est vrai qu’il n’était que 0 h 30.
Ensuite, il fallut retrouver ses vêtements... il y en avait partout, salon, chambre, couloir, salle de bain. Ça nous fit bien rigoler. De ces rires fous qu’ont les amants après de longues étreintes !
Il allait partir, il me tenait dans ses bras.
— On se revoit quand ?— Je sais pas, tu reviens quand sur Paris ?— Jeudi et vendredi prochain.— Jeudi prochain alors ?— OK, à quelle heure ?— Je sais pas, vers 19 h ? C’est pas trop tôt ?— Non, 19 h c’est bien, ça nous laissera du temps, me dit-il en faisant un léger clin d’œil ! Il ajouta : OK ça marche. Mais laisse-moi ton n° au cas où. Je te laisse le mien, mais s’il te plaît, ne m’appelle pas. Envoie-moi des messages les plus laconiques possible. Tu comprends, si ma femme tombe dessus. De temps en temps, elle fouille dans mon portable.— OK, c’est promis !
On s’embrassa encore longuement et fougueusement, puis il partit et j’allai me coucher le cœur léger. J’avais passé une très belle soirée, il y avait longtemps que je n’avais pas eu de telles sensations. Je me demandais si je n’étais pas en train de tomber amoureuse. Il y avait malgré tout un gros problème à notre situation : il était marié et je savais par expérience que ce serait la cause de complications dans nos vies. Mais la nuit que je venais de passer était une des plus belles dont je me rappelais, qui m’avait fait oublier ma déprime lorsque j’avais passé mes 40 ans.
A suivre......
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