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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 3

Episode 2, scène 1

Hétéro
Nelly et Fabrice se sont rencontrés la semaine précédente, et leur première nuit a été très chaude ! Ils ont décidé de se revoir ce soir, et leur nuit s’annonce torride...
La semaine s’écoula rapidement. Je n’eus aucune nouvelle de lui jusqu’au dimanche soir, où je reçus un message « coucou, ça va, t’as passé un bon WE ? ». Il m’avait demandé d’être laconique, je renvoyai un émoticon avec un pouce levé. Le mardi nouveau message « toujours OK pour jeudi soir ?» je renvoyai le même émoticon ! Le mercredi soir nouveau message « tu aimes les huîtres ?» J’adore ça, et je réponds par l’émoticon applaudissements. J’espère qu’il comprendra.
Le jeudi soir, je rentrai vers 18h, car je savais qu’il me faudrait un peu de temps pour me préparer. Prendre une douche, m’habiller. J’avais déjà réfléchi comment j’allais m’habiller : petite robe d’été d’un joli vert léger, sans manches, assez décolletée sur le devant ainsi que sur l’arrière. Pas de dessous, ni en haut ni en bas, juste des bas autofixants, escarpins à talons. La robe était juste moulante ce qu’il faut, elle englobait bien les seins, les soutenait, et on voyait bien les tétons pointer, ça devrait lui plaire... Si toutefois on devrait sortir, je me changerais.
Il était ponctuel, et arriva les bras chargés de sacs et paquets. Nos retrouvailles furent chaudes, en commençant par un long baiser bien langoureux et humide, alors qu’il avait toujours ses paquets dans les mains !
Il me montra ce qu’il avait amené : un premier sac, c’était deux douzaines d’huîtres Marennes d’Oleron, N° 2 label rouge hmmmm... on allait se régaler. Dans un autre, il avait amené deux bouteilles de blanc chardonnay.
— Je crois pas qu’on va tout boire !— On sait pas, la soirée pourrait être longue !
Rires ! Un autre sac contenait une boîte de tartes aux fruits qui avaient l’air délicieuses. Le dernier sac contenant un paquet cadeau, qu’il m’offrit.
— C’est pour moi ? C’est gentil, qu’est-ce que c’est ?— Ouvre !
C’étaient des dessous. Plus précisément un ensemble assorti culotte soutien-gorge d’un beau rose saumon, avec de la belle dentelle, surtout le soutien-gorge. La culotte, elle, était plutôt minimaliste, et s’apparentait plus à un string brésilien. Quand je regardai de plus près, je m’aperçus qu’il était fendu en son milieu ! Je lui fis remarquer en riant en lui montrant l’ouverture :
— C’est dommage, il y a un souci avec le string, il y a eu un problème à la fabrication.— Effectivement, c’est dommage, mais je crois que tu devras faire avec !
On rit à gorge déployée !

— Tu veux que je les essaye maintenant ?— Non on a mieux à faire.
Et il m’entraîna sur le canapé, recommença à m’embrasser à pleine bouche, ses mains commencèrent leurs investigations sur tout mon corps. Elles s’intéressèrent d’abord à mes seins, elles trouvèrent un chemin par les ouvertures de la robe sous les bras et elles commencèrent à me malaxer, à me pétrir les nichons avec vigueur.
Les tétons ne tardèrent pas à pointer, et il fit exprès de tendre ma robe pour qu’on les voie bien pointer sous la robe. Ça avait un côté indécent qui m’excita beaucoup, et je sentis que lui aussi. Il avait abandonné ma poitrine pour descendre plus bas, et il commença à farfouiller sous la robe. Il se rendit vite compte que je ne portais pas de culotte.
— Quelle coquine, tu n’as ni soutif ni culotte.— J’ai oublié d’en mettre ! ça te plaît ?— Tu parles !
Effectivement, je sentais son sexe contre moi à travers ses vêtements et il avait dû grandir de cinq centimètres d’un coup. Il était à nouveau super excité, trop.
Il me fit mettre à genoux sur le canapé, rehaussa ma robe jusqu’à ma poitrine. Puis il se pencha et commença à passer sa langue le long de ma raie, puis sur la vulve, les lèvres. Je me cambrais et m’écartais le plus possible pour lui faciliter la tâche, et il me fit alors une séance de léchage absolument délicieuse, insérant sa langue profondément dans mon vagin.
C’était prodigieux, mais j’eus comme l’impression que ça ne pourrait pas être bien long. Il était super excité, avait déjà baissé son pantalon et son boxer et s’apprêtait à me pénétrer.
Juste eu le temps de lui rappeler de mettre un chapeau, ce qu’il fit rapidement, et il était en moi. Il commença des allers et retours rapides et je sentais bien que ça n’allait pas durer longtemps. En plus la position n’était pas idéale, il se trouvait trop bas, et ça ne me donnait pas beaucoup de sensations. Mais il était tellement excité qu’il continua ainsi et jouit rapidement en poussant des « ahhh », « ouiiii » « ohhhh ».
J’étais plus que frustrée. Je n’avais quasiment rien senti. Je me dégageai de lui le plus rapidement possible. Il était toujours dans sa jouissance, mais il se rendit compte que je n’étais pas très contente. Il se confondit en excuses, qu’il était navré, désolé, que ça faisait des jours qu’il attendait ce moment, qu’il l’avait tellement imaginé, qu’il s’était fait des films.
— Tu sais j’ai quasiment rien senti et pourtant c’était bien parti. Il faut que tu apprennes à mieux te contrôler.— Oui je sais, mais tu sais si bien m’exciter.— Pourtant je n’ai pas fait grand-chose.— Je sais mais rien que ta robe, que tu n’aies pas de sous vêtements, ça m’a rendu fou.— OK la prochaine fois je m’habillerai comme une vieille !— Tu sais très bien que c’est pas ça que je voulais dire.— Tu ne mérites pas plus de 4 sur 10. Et encore c’est bien noté.— Je vais me rattraper. — Tu as intérêt, même si toi tu jouis pas.— OK, promis. Viens que je t’embrasse.
Je me laissai faire, et il m’embrassa à pleine bouche. Au début, je fis exprès de ne pas réagir, mais je finis par lui rendre son baiser, et nos langues s’emmêlèrent, et comme le baiser dura un long moment, je finis par oublier et lui pardonner.
— Tu es gentille, je sens que tu m’en veux déjà moins.— C’est vrai. Tu sais t’y prendre pour te faire pardonner. — Hi hi ! Mais... on avait pas parlé d’une séance d’essayage ?— Si, mais tu vas encore être surexcité.— Mais non, on vient juste de faire l’amour, ça va pas revenir en deux minutes.— Si tu le dis.— Oui, allez vas-y, s’il te plaît, essaye les. — OK.
J’enlevai la robe et enfilai le soutien-gorge. Je fus étonné, il avait trouvé la bonne taille du premier coup.
— Comment t’as fait pour trouver la bonne taille ?— J’ai triché, la dernière fois quand t’as enlevé ton soutif, à un moment j’ai vu l’étiquette : 100C. C’est une très belle taille. — Merci, j’avoue que mes seins sont la partie de mon corps que j’aime le plus.— Tu as raison, ils sont absolument magnifiques. Essaye le bas maintenant.
J’enfilai le string. Il n’y avait vraiment pas beaucoup de tissu. Sur le côté, il remontait très haut sur les hanches, une petite bande de dentelle sur le haut des fesses, deux ficelles entre les jambes pour qu’il puisse être ouvert, deux mini-triangles de dentelle sur le devant. A tel point que ma toison qui n’était pourtant pas très fournie débordait du tissu faisant comme une paire de moustaches. Je lui dis :
— Le string me donne l’air d’avoir des moustaches !
Ça nous fit beaucoup rire !
— Il faut que j’épile un peu.— Tu veux faire ça maintenant ?— Oui, j’en ai pour une minute. Tu veux voir ?
Il fut un peu interloqué.
— Oui, pourquoi pas ?
Je l’emmenai dans la salle de bains, attrapai une petite tondeuse à cheveux, allai dans la douche.
— Tu vois, je passe la tondeuse au ras du string, et hop ça tombe tout seul. Tu veux faire l’autre côté ?— Euhh... oui.
Je lui passai la tondeuse, qu’il passa comme je lui avais montré, et hop les poils superflus disparurent.
— Il y a plus qu’une petite finition.
Je pris un rasoir, passai un peu de gel de rasage là où on voyait encore les racines des poils et rasais les vilaines racines.Au total, l’opération avait pris moins de cinq minutes. J’ouvris le string pour voir ma toison qui avait encore bien diminué. Il me dit qu’ainsi j’étais encore plus féminine. On retourna dans le salon. Il m’admira, me fit tourner sur moi même.
— Tu es superbe, divine.
Je me regardai dans le grand miroir, je me trouvai effectivement assez sexy, et je me dis qu’habillée ainsi, je pourrais poser pour certains magazines pour hommes.
— Tu veux bien rester comme ça pendant le repas ?— Sacré coquin ! Oui, si ça peut te faire plaisir. Mais toi enfile ton boxer.
On alla dans la cuisine pour tout préparer. Il se chargea de l’ouverture des huîtres, je préparai les tartines beurrées, sauce ail et vinaigre, citrons, je mis la table, débouchai une bouteille de chardonnay. Cinq minutes plus tard, la dégustation commençait. Elles étaient vraiment délicieuses. On se régalait.
— Tu aimes les huîtres ?— Oui, j’adore, celles-là sont particulièrement bonnes.— Paraît-il que c’est un excellent aphrodisiaque.— Oui, je sais, et je vais pas te laisser ma part !
Il n’y avait plus de pain, je me levai pour aller en chercher dans la cuisine, mais quand je passai devant lui, il me bloqua en passant son bras autour de ma taille. Puis avec sa main me fit comprendre de me pencher en avant. Je m’exécutai, prenant appui sur la table, je ne voyais pas trop où il voulait en venir.
De son autre main, il m’incita à écarter les jambes, je continuai de lui obéir. Puis il mit son majeur dans la bouche, l’humidifia, et l’introduisit dans mon sexe, un peu, puis plus profondément, le fit tourner en moi. Mon sexe était encore humide de tout à l’heure, il agita encore un peu son doigt en moi, comme pour recueillir cette humidité, puis le ressortit et le porta à sa bouche, le suçant, léchant jusqu’à la dernière goutte. Il répéta encore l’opération à trois reprises, à chaque fois en essayant de prélever le plus de jus possible de mon intimité. Et à chaque fois, il répétait :
— Hmm, que c’est bon, un délice, c’est divin, un nectar.
Il me relâcha.
— C’était ton petit dessert ?— Je dirais plutôt un trou normand !
Ce qui le fit beaucoup rire. Je ne compris l’allusion qu’avec un temps de retard ! Je me mis à rire aux éclats également.
— Tu es un sacré coquin !— Toi aussi tu as ton côté coquine, après tout tu t’es laissé faire, et tu semblais apprécier.— C’était inattendu, et assez agréable je dois dire.
J’allai chercher le pain, nous finîmes les huîtres. Au final, j’avais calé à la dixième. Il en avait mangé cinq ou six de plus que moi.
— T’en as mangé plus que moi, tu vas être plus excité.— Tu crois ? On verra ça.
Il nous restait les tartes aux fruits. On décida d’en manger une moitié chacun. Pendant le repas, on avait discuté de choses et d’autres, sans aborder ni le sujet du sexe, de l’amour, du conjoint, etc.
Je me levai pour débarrasser la table, j’étais toujours en soutif et string. Il me reluqua à nouveau et me dit :
— Qu’est-ce que tu es belle, encore plus quand tu as mangé.— Pourquoi, j’ai pris un peu de ventre ?— Non, mais tu es plus rayonnante !— Peut-être qu’avant le repas, j’étais un peu contrariée.— Tu m’en veux encore ?— Mais non, t’inquiète, je t’en veux pas ! Allez, emmène-moi dans la chambre, ces huîtres étaient excellentes, et je me sens dans de bonnes dispositions pour continuer, en soulignant mes propos d’un petit clin d’œil.
Il me prit la main pour aller dans la chambre, sans oublier son verre de chardonnay.Arrivée dans la chambre, j’eus une idée : j’avais des bougies, j’en allumai deux, ce qui donnait une lumière très feutrée. J’allumai aussi un bâtonnet d’encens parfumé, pour achever de nous mettre dans l’ambiance.
On s’allongea dans le lit l’un à côté de l’autre, sans qu’on sache trop ce qui allait se passer. Ce fut lui qui eut l’idée.
— Tu veux que je te fasse un massage ?— Oui, pourquoi pas, mais un vrai massage ou un massage coquin ?— Un peu des deux ! Couche-toi sur le ventre.
Ce que je fis. Il commença alors à me pétrir doucement les épaules, la nuque, le dos, le creux du dos, tout ça très délicatement, ce n’était pas des caresses, c’était plus appuyé, c’était très décontractant. Je me lassai faire, il continua sur les fesses, toujours délicatement, puis les cuisses, les jambes, puis l’intérieur des cuisses, il me demanda de les écarter un peu.
Puis il dégrafa le soutif, et me demanda ensuite de me retourner. Il enleva le soutif, et se mit alors à me pétrir les seins, délicatement, longuement, parfois en les pressant vers le haut avec ses deux mains, comme pour en faire sortir le lait, cherchant à faire gonfler mes tétons, parfois dans l’autre sens, comme pour les faire dégonfler.
Effectivement, mes tétons réagissaient et se tendaient, ce qu’il ne manqua pas de remarquer. Il me demanda si j’avais de l’huile pour massage, je lui répondis que regrettais de ne pas en avoir.
— On dirait que ça t’inspire.— Oui, c’est très agréable, continue.
Il descendit sur les cuisses, les jambes, puis remonta aux cuisses, me demanda de les écarter un peu pour masser l’intérieur. Je commençai à voir où il voulait en venir, mais c’était très agréable, aussi je continuai à jouer le jeu... Il me demanda de me retourner à nouveau, glissa un gros coussin sous mon ventre de façon à ce que mon postérieur soit bien proéminent, et là je compris vraiment où il voulait en venir. Il recommença à me pétrir les fesses, se rapprochant à chaque fois un peu plus de l’intérieur.
Puis à plusieurs reprises, il déposa de la salive dans mon entrejambe, et passa doucement le côté de sa main pour bien l’étaler partout. Il massait maintenant mon intimité avec son avant-bras, le faisant tourner, ou de haut en bas. La sensation était tout à fait délicieuse, et je commençai à être très excitée.
Il continua ses mouvements longtemps, très longtemps, remettant de la salive régulièrement, ce qui fait qu’ajouté à ma mouille, j’avais l’entrecuisse littéralement trempé. Et il continua, continua, chaque fois mon excitation montait d’un cran. Et progressivement, le massage se fit plus précis, autour de mon anus. Il me fit écarter les cuisses encore un peu plus, et sans vergogne se mit à me caresser exclusivement cette zone.
C’était très doux, bien lubrifié, ses doigts jouaient avec mon anus, à plusieurs reprises, je pensai qu’il allait l’introduire, mais il ne le fit pas. Toujours en me tripotant cette zone, il vint s’allonger près de moi, et me susurra à l’oreille :
— Tu veux que je te mette un doigt ?
Dans un souffle, je lui répondis :
— Non pas tout de suite, viens plutôt y passer ta langue.
J’étais proche de l’extase, et je préférais me réserver pour d’autres jeux à cet endroit plus tard dans la soirée. Il obéit une fois encore, et vint me mettre de grands coups de langue dans mon intimité. Il savait maintenant où je réagissais le mieux et ne se privait pas d’exciter cette zone.
Je m’abandonnais totalement, il m’écartait les cuisses, à croire qu’il m’avait coupée en deux, mais c’était si bon de sentir sa langue au tréfonds de moi. Le jeu se poursuivit encore quelques minutes, je ne savais plus où j’étais, et sur un coup de langue encore plus appuyé, je sombrai dans l’extase. Je ne sais pas combien de temps je restais dans cet état de plénitude parfaite, mais quand je revins à moi, ça m’avait paru long, très long...
Il était allongé près de moi, me regardant :
— Tu es encore plus belle quand tu jouis, ça avait l’air bien...— Oui, c’était fabuleux, je suis restée combien de temps dans « le gaz » ?— Je sais pas trop, une bonne minute. — Merci mon chéri, c’était divin.
Je me remis sur le dos, et me collai à lui.
— Et toi, tu as joui ?— Non, pas encore.— Tu crois qu’on va arriver à jouir en même temps ?— Je sais pas, l’important est que chacun ait du plaisir.— Oui, mais ce serait mieux si on pouvait y arriver ensemble.
Je me rapprochai encore de lui, ma bouche tout contre son oreille.
— Je voulais te dire...— Oui ? — C’est délicat, je sais pas comment commencer...
Encore moins fort :
— C’est au sujet de ce que tu m’as dit l’autre fois.— Au ...
Il allait parler, mais je mis un doigt sur ses lèvres.
— Oui, ton goût pour le sexe anal.
Il eut un petit sursaut, je maintenais mon doigt sur ses lèvres.
— Tu sais je l’ai déjà fait. Mais pour moi c’est un peu compliqué. Il faut que j’aie une totale confiance en mon partenaire, qu’il y ait une bonne ambiance, et de longs et doux préliminaires. Maintenant, je me sens en confiance, aussi je veux bien essayer.
Il eut un nouveau sursaut.
— Mais pas tout de suite, je crois que t’es trop excité, on va faire normalement, et après, quand l’envie reviendra, on essaiera, parce que si ça marche j’ai aussi envie que ça dure longtemps.— J’enlevai mon doigt de sa bouche.— Bin dis donc... si je m’attendais à ça. Tu me surprends toujours. T’es incroyable.— J’ai dit essayer...— Crois bien que je vais tout faire pour que tu sois en confiance, dans la bonne ambiance, et que je serais très délicat durant les préparatifs. Mais si malgré tout tu changes d’avis en cours de route, dis-moi stop et j’arrêterais.— Je suis sûre que ça va marcher. En attendant, viens m’embrasser.
Nos langues se mélangèrent, ses mains parcouraient mon corps, et très vite se retrouvèrent sur mon pubis. J’ouvris les jambes en grand, il immisça ses doigts dans mon entrecuisse, avant de m’insérer son majeur dans le vagin. J’étais encore trempée de sécrétions, il s’en humidifia le doigt le plus possible, et comme tout à l’heure le porta à sa bouche. Il le suça en partie, et me donna ensuite son doigt à sucer en me regardant. Je me mis à le lécher délicatement. Il recommença l’opération, mais cette fois me donna directement son doigt à sucer. Ce que je fis goulûment. Il réitéra le jeu encore une fois et je m’exécutai.
— Tu as aimé ?— Oui, c’est... goûteux !— Tu l’avais déjà fait ?— Oui.— OK.— Et toi ? — Moi ?— Tu as déjà goûté à ton sperme ?— Non jamais.— Il faudra qu’on essaye alors.— Pourquoi pas, je veux bien tout essayer avec toi.
Après ces petits jeux et cette conversation savoureuse, son sexe s’était bien redressé, j’attrapai un préservatif et lui enfilai délicatement jusqu’à la garde.
— Allez viens me faire l’amour.— Oui, tu veux comment ?— J’ai bien aimé le lotus l’autre fois.— J’adore.
Je me mis sur le dos, les jambes bien relevées, il se mit sur moi, je refermai mes jambes derrière sa tête, et lui dis de me prendre. Là encore, je voyais bien qu’il n’allait pas tenir longtemps, qu’il était surexcité après ce que nous avions fait et dit. Je le poussai un peu plus à bout :
— Oui, fais-moi bien l’amour, je veux sentir ton sexe aller et venir en moi et après, quand tu seras de nouveau en forme, je serais toute à toi, tu pourras jouer avec mon petit anus et le prendre comme tu voudras, avec ta langue, tes doigts, le masser le pénétrer, le dilater doucement, y mettre tes doigts, le faire s’ouvrir comme une fleur.— Et quand il sera bien ouvert, tu pourras y glisser ton sexe et me sodomiser longuement, très longuement j’espère, y enfoncer ton sexe jusqu’à ce que tes couilles soient contre mes fesses, puis le ressortir complètement, puis le ré-enfoncer profondément et ainsi de suite jusqu’à notre jouissance.
Évidemment, j’avais à peine prononcé ces dernières paroles qu’il jouit longuement. Il était beau à voir, il était comme tétanisé, tous les muscles tendus, qui ressortaient. Puis il finit par se détendre et reprit ses esprits.
— Dis donc quel pied !— J’ai vu.— Tu sais ce qu’il faut faire et dire pour me faire jouir. Tu me contrôles complètement, je suis une marionnette entre tes doigts.— N’exagère pas, mais c’est vrai que je commence à bien te connaître.
Il revint s’allonger tout près de moi.
— Et toi tu as joui, pas vraiment a priori ?
Je lui répondis tout contre son oreille.
— Un peu quand même, tous les mots salaces que je t’ai dits, ça m’a super excitée, ça m’a procuré une sorte de plaisir, mais cérébrale. Pas un orgasme, mais du plaisir. Je devrais pas te le dire, tu dois me prendre pour une garce, une salope.— Bien sûr que non ! Et tu le sais très bien que j’ai un très grand respect pour toi. Tu prends ton plaisir comme tu veux, moi ce que je veux c’est que tu en aies.— Merci de pas me juger.— Sinon, pour revenir à ce que tu disais pendant qu’on faisait l’amour, tu comptes faire tout ce dont tu as parlé ?
En lui léchant l’oreille et parlant tout bas :
— J’y compte bien, et plus si tu as envie.— Quel programme !
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