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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 4

Episode 2, scène 2

Hétéro
Nelly et Fabrice passent leur deuxième nuit d’amour. Le début de soirée a déjà été très chaud, mais Nelly s’apprête à faire quelques révélations et surprises à son Fabrice...

Je l’entraînais dans la salle de bains.
— Viens on va prendre une douche.
On passa sous la douche, on s’arrosa mutuellement, évidemment on joua à s’éclabousser, il y avait de l’eau partout. On se savonna mutuellement, en insistant bien évidemment sur les zones érogènes, on procéda au rinçage, et essuyage. On était tout beau, on sentait bon, et il s’apprêtait à repartir dans la chambre.
— Hep pas si vite, il y a encore une petite formalité.— ?— On va faire une petite séance de manucure.
Je sortis un coupe-ongle, lui attrapait la main droite et lui coupait les ongles de l’index, du majeur et de l’annulaire aussi court que je pus, puis je passai un petit coup de lime à ongles. Idem pour la main gauche. Il était très intrigué.
On allait retourner dans la chambre quand soudain j’eus une idée. Dans l’entrée, j’ai deux miroirs sur pieds, assez grands et orientables. J’en pris un, lui dis de prendre l’autre. Dans la chambre, j’en disposai un à la tête du lit, l’autre au pied. Je m’installai sur le lit, et lui demandai de les ajuster pour que je puisse voir dans le miroir ce qui allait se passer derrière moi. Après quelques tâtonnements, la disposition semblait bonne.
Je lui demandais si ça allait, il me répondit qu’il se sentait un peu fébrile, que tous ces préparatifs l’impressionnaient. C’était à mon tour de le rassurer que tout allait bien se passer.
— Tu vas voir ça va être merveilleux, tu vas être prodigieux, j’en suis sûre.— Je vais essayer de me surpasser pour toi. — Super, allez détends-toi, on va commencer doucement comme tout à l’heure.
Je me couchais sur le ventre, remis le gros coussin sous mon bassin, pour bien rehausser le postérieur. Je lui fis retoucher légèrement la position des miroirs pour y voir mes fesses en plein cadre. Je ne m’étais jamais vue ainsi, mais la position était particulièrement suggestive, digne de figurer dans un film X.
— Allez, fais-moi ce que tu sais si bien faire avec ta langue.
Il commença à me laper l’entre-fesse, mais il s’était mis dans le champ du miroir, je ne voyais que ses cheveux. Il fallut que je me tourne un peu, qu’il déplace le miroir au pied du lit pour que j’aie une vue de trois quarts. Il recommença à me lécher, et là c’était superbe, je voyais sa langue titiller mon anus, comme si je regardais un film de cul.
C’était super excitant. Il s’appliquait vraiment, léchant avec beaucoup d’entrain, je sentais mon excitation monter. Il continua ainsi de longues minutes, puis reprit le massage qu’il m’avait fait tout à l’heure, avec le plat de la main. Je n’en ratais pas une miette en contemplant le miroir, c’était fabuleux. Puis il commença à approcher ses doigts, d’abord en faisant comme des papouilles, puis de plus en plus précisément en faisant des caresses circulaires au bord de mon anus. Les caresses se firent insistantes, le doigt faisant mine de s’insérer, avant de ressortir. C’était un délice, à observer d’une part, et par les sensations. Je lui dis :
— Regarde dans la petite boîte à côté de celle des préservatifs, tu trouveras du gel.
Il trouva le tube, il était neuf, sur le tube était marqué « lubrifiant anal », il n’y avait pas d’équivoque, on ne pouvait pas confondre avec le dentifrice !
Dans le miroir, je vis qu’il ouvrit le tube, en mit un peu au bout de son doigt. On passait aux choses sérieuses. Il approcha son doigt de mon anus, déposa le gel tout autour, titillant son doigt à la porte de mon anus, comme pour m’asticoter, car il savait que je voyais tout. Puis il l’approcha de l’entrée, et doucement l’enfonça, pas plus loin que l’ongle dans un premier temps, et commença à le tourner tantôt dans un sens tantôt dans l’autre.
J’étais déjà bien émoustillée et en voulais plus, mais ne dis rien. Il dut comprendre et enfonça un peu plus son doigt, jusqu’à la première phalange. Ça rentrait tout seul, de son autre main, il remit du gel sur ma petite rondelle, et enfonça son doigt encore un peu plus loin, à la deuxième phalange, le ressortit, remit du gel et le ré-entra, et là il poussa jusqu’au bout, dans le miroir, je ne voyais plus rien de son doigt qui avait complètement disparu dans mon petit fourreau.
Il le ressortit complètement, et là il approcha le tube de lubrifiant dudit fourreau. Il en inséra le bout et pressa le tube, juste un petit peu, mais j’avais senti le gel couler en moi. Il me remit le doigt, et l’enfonça doucement jusqu’au fond, ça rentrait tout seul, le lubrifiant faisant son effet.
Ça me faisait toujours autant d’effet, en ressenti, et à voir. Là il se mit à faire aller et venir son doigt, doucement dans un premier temps, puis un peu plus rapidement et surtout plus profondément. Je sentais bien qu’à chaque mouvement, il aurait voulu aller plus loin, mais c’est sa main qui l’arrêtait.
Il changea de mouvement, et je compris alors qu’il voulait me dilater mon petit orifice : son doigt à moitié enfoncé en moi, il entama des mouvements circulaires, comme pour repousser les parois. Et il essayait d’imprimer des cercles de plus en plus larges à tel point que dans le miroir, je voyais mon anus commencer à s’ouvrir. Je vis qu’il voulut m’insérer un deuxième doigt, mais je le retins :
— Attends, prends un préservatif et mets tes doigts dedans.
Il s’exécuta, mit deux doigts dans le préservatif et les présenta devant mon anus. Quand il les enfonça, ça rentra aussi facilement que lorsqu’il avait mis le premier. Alors il continua ses mouvements dilatants, enfonçant, tournant, écartant les parois. Ça devenait très très chaud, je pense qu’on aurait pu figurer en bonne place dans un film porno.
Il continua comme ça un long moment puis ressortit ses doigts. Je vis dans le miroir qu’il insérait maintenant l’annulaire dans le préservatif. J’étais un peu inquiète, lui dis de faire très doucement, je me dégageai une main pour être prête à l’arrêter le cas échéant.
Mais il fit très doucement, les trois doigts s’immiscèrent dans mon petit trou sans aucune résistance, et puis il les ressortit, et me remit le tube de gel dans le cul, et cette fois en fit sortir une bonne dose.
Je sentis que ça coulait en moi. Il remit ses trois doigts en moi, et les fit aller et venir, doucement et peu profondément dans un premier temps, puis je sentis qu’il les poussait au plus loin qu’il pouvait aller. J’avais l’impression qu’il m’écartelait le cul.
Il me bourra comme ça tant qu’il put, puis reprit ses mouvements de va-et-vient, mais cette fois au plus profond qu’il pouvait. A chaque fois, ça faisait « slosh » « slosh », et il continuait à aller et venir, je ne ressentais aucune douleur, que du plaisir, et là ça commençait à monter vite en moi.
La position totalement indécente, ses doigts qui me fourrageaient l’anus, ce que je voyais dans le miroir, mon excitation était à son comble. Il retira ses doigts, et mon anus ne se referma pas aussitôt, pendant un instant, il resta grand ouvert, puis il se referma doucement.
C’est à ce moment-là qu’il réintroduisit ses trois doigts bien au fond de moi, puis les ressortit. Il continua ce manège une bonne dizaine de fois. Ce que je voyais dans le miroir me rendait folle d’excitation. Il prit alors une autre capote, se la mit sur le kiki, et se pencha à mon oreille pour me dire :
— Chérie si tu le veux bien, j’ai très envie de te sodomiser. — Viens, moi aussi j’en ai très envie.
Je le vis mettre une bonne dose de gel sur le bout de la capote, puis il positionna son sexe devant mon petit trou, et exerça une légère poussée. Son gland entra doucement en moi, facilement. Mais je voyais dans le miroir que la plus grande partie de son sexe était encore à l’extérieur.
Il continua de pousser, cette fois je voyais qu’une petite moitié était entrée en moi. Il poussa encore, on arrivait au trois quarts. Il commença alors des va-et-vient dans mon anus, ça coulissait facilement, tout en procurant une excitation infinie. Il faisait ça tranquillement, sans se presser. Mais petit à petit, il rentrait un peu plus profondément en moi, et ça chaque fois c’est presque son sexe entier qui disparaissait en moi.
Et puis on changea de dimension, il accéléra légèrement, mais surtout il se mit à me pistonner complètement, poussant son sexe le plus loin qu’il le pouvait en moi. Je sentais ses couilles venir battre contre mes fesses, et il accélérait, et toujours plus fort. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression que mon cul était écartelé de toute part, chauffé au rouge.
C’était la jouissance absolue, divine, je crois que je hurlai, je perdis toute notion de temps, d’espace, totalement à mon plaisir, à notre plaisir, car je crois qu’il jouissait aussi. J’eus l’impression de tomber dans les pommes...
Quand je revins à moi, je sentis qu’il était encore en train de me caresser, enfin, de me caresser l’intérieur de l’anus, car il avait ses trois doigts qui s’agitaient à l’intérieur.
Je lui demandais :
— Tu n’as pas joui ?— Si énormément, c’était totalement fabuleux, et encore plus fabuleux de voir prendre un tel plaisir. Tu es grimpé sur Mars ? — Oui, j’ai pris un plaisir rare, d’une intensité exceptionnelle. Tu as envie de recommencer que tu me tripotes le cul ?— Non, mais c’est tellement agréable.— Allez, oublie un peu mon cul, et viens plutôt m’embrasser.
On s’enlaça, s’embrassa longuement. Puis il me dit :
— Qu’est-ce que tu as le plus aimé ?— Tout, tu as été parfait.— Mais encore...— Si, depuis le début quand tu m’as léchée, quand tu m’as doigtée, puis quand tu m’as sodomisée, tout était génial.— Tu sais j’ai beaucoup aimé te le faire, c’était merveilleux de voir comment tu réagissais. J’ai eu un peu peur que tu réagisses mal quand je t’ai mis trois doigts, mais après j’ai vu que finalement tu prenais du plaisir.— C’est parce que tu m’avais bien préparée ! Tu as mis des tonnes de gel.
Il me montra le tube de gel : il n’en manquait pas tant que cela.
— Je crois que je t’ai dilatée très progressivement.— Ça y est je vois, tu veux avoir une petite conversation orientée sexe !— Oui, ça m’excite, moi aussi je suis un peu cérébral !— Je comprends ! Mais tu sais ce qui m’excitait le plus ?— Non. — C’est de voir dans le miroir tout ce que tu faisais subir à mon derrière. C’était incroyablement excitant. Voir ta langue qui me fourrait, puis ton premier doigt, puis les autres, cherchant à m’ouvrir le plus possible. C’était génial, j’étais actrice et spectatrice.— Oui, j’ai bien vu que ça t’excitait, à chaque fois j’essayais de faire des mouvements bien nets, visibles, que tu en prennes plein les yeux !— Dis donc toi tu pourrais faire acteur porno ! — Et toi actrice, parce qu’une scène comme celle-là ça se voit rarement dans les films pornos. Surtout qu’elle était longue, t’as une idée combien ça a duré ?— Non aucune.— On a passé plus de trois quarts d’heure.— Plus de trois quarts d’heure à me faire lutiner le derrière, mince je le crois pas !— Et pourtant si. — Mais comment tu as fait pour tenir si longtemps ? — Je t’avoue qu’à certains moments, je faisais tout pour penser à autre chose.— OK.— Au fait je t’ai pas demandé, je ne t’ai pas fait mal ? — Non pas du tout. Je sais pas si je pourrais m’asseoir demain après ce que tu m’as mis, mais là ça va ... hi hi hi.— Ça te fera penser à moi ! Une question indiscrète, c’est pas la première fois que tu le faisais n’est-ce pas ?— Non, bien sûr.— Tu l’as fait souvent ?— Ça dépend de ce que tu veux dire par souvent. Avec très peu de partenaires, mais souvent avec ceux-là. — C’est donc un honneur pour moi d’être de ceux-là. En espérant qu’on puisse recommencer.— Pourquoi pas ?
Et vraiment tout bas, tout près de son oreille :
— Je vais te faire un aveu, quand je suis avec un partenaire avec qui on a une bonne complicité sur ce plan, et avec qui je me sens libre, j’avoue que maintenant la sodomie me procure plus de plaisir que la pénétration vaginale. — On devrait s’entendre, tu as vu que moi aussi j’ai pris un plaisir vraiment insensé à te sodomiser.— Je vais te faire un autre aveu : c’est la première fois que j’ai envie d’être prise ainsi dès la seconde rencontre.— C’est donc un très grand honneur, et je vais tout faire pour en être digne. — J’espère, mais fais attention, je suis une femme très exigeante. Tu as vu que je peux mettre de mauvaises notes ! Et si tu as trop de mauvaises notes, tu seras puni !— OK, et c’est quoi la punition ? — Euhhh ... tu devras me lécher partout pendant une heure.— Dans ce cas, je vais faire exprès d’avoir de mauvaises notes ! Te lécher, ce n’est pas une punition, mais une récompense !— Je trouverais bien une punition adaptée.— Tu as vu comme j’adore te lécher, surtout ton petit orifice, y passer ma langue tout autour, essayer de forcer le passage, bien lubrifier à la salive ... j’en bave de désir.— C’est vrai que moi aussi ça me procure des sensations divines quand tu me le fais.— Là j’ai un peu mal à la langue, mais la prochaine fois, je vais m’entraîner et essayer de te la glisser à l’intérieur. On te l’a déjà fait ?— Non, pas avec la langue. — T’as envie d’essayer.— Oui, pourquoi pas, c’est plus facile pour moi que pour toi !— Et toi tu as déjà prodigué une feuille de rose à tes partenaires ? — Feuille de rose ?— Leur lécher le cul ?— Ah ... je savais pas que ça s’appelait comme ça. Non, enfin si, mais j’aime pas trop. Le sexe, les boules, ça va, mais l’anus j’aime pas trop. — OK. T’as pas envie que je te le lèche maintenant ? — Tu penses que tu pourras encore bander ? — Non, j’y arriverai pas, mais c’est juste pour toi, pour le fun, te donner un peu de plaisir avant de partir.— Moi non plus je suis pas certaine d’éprouver encore un orgasme.— Pas grave ferme les yeux, oublie tout, abandonne-toi, et prends du plaisir.— OK, pourquoi pas ? Tu veux faire comment ?— Je crois qu’on a trouvé notre position favorite. — Tu veux dire avec le coussin ?— Oui, en plus il y a encore les miroirs, allez remets-toi comme tout à l’heure.
Je remets le coussin, me couche dessus, sortant bien le postérieur. Il se met à genoux à côté de moi, et approche sa bouche de mes fesses. Je vois encore mieux que tout à l’heure, sa tête étant placée différemment. Il entreprend de me passer la langue sur l’anus, et je suis à nouveau l’actrice et la spectatrice d’un film particulièrement osé.
Je vois très nettement sa langue se poser et aller et venir sur mon petit orifice. Il continue son manège un bon moment, déclenchant une vague de désir en moi. Et puis il me dit :
— Chérie, j’ai encore envie de te doigter le cul, je peux ? — Fais doucement.
Je le vois remettre son doigt en moi. Il rentre facilement, l’orifice étant encore bien lubrifié. Il recommence à le faire tourner en moi, puis essayant de m’écarter et me dilater.
Je lui demande :
— Tu veux recommencer ?— Je sais pas, mais peut-être que oui, je sens la forme revenir, et puis un cul aussi divin ça m’inspire et sachant qu’il apprécie la sodomie m’inspire encore plus ! Mais je peux pas être formel... et toi ? Tu as envie que je te sodomise à nouveau ? — Oui, j’ai pris beaucoup de plaisir la première fois ? Mais tu sais la seconde ce sera forcement différent.— Oui, raison de plus d’essayer.— Alors, dis-moi. — Dans ce cas, guide-moi, dis-moi ce que tu veux que je fasse.— Continue avec ton doigt, remets un peu de gel, j’aime bien quand tu mets le tube de gel à l’intérieur.
Il s’exécuta, je sentis le froid du gel rentrer en moi, puis son doigt chaud qu’il fit coulisser puis tourner, avant de me l’enfoncer au plus profond de moi.
— Oui, comme ça c’est bon, bien profond.
Ça l’encourageait, il reprit ses mouvements pour m’écarter. Je voyais tout dans le miroir. C’était monstrueusement scabreux, mais totalement délicieux.
— C’est follement bon ! Continue, mets plusieurs doigts si tu veux.
Il ne se fit pas prier. Il reprit une capote, y glissa ses trois doigts et me les appliqua, mais avant me remit une bonne dose de gel. Ils rentrèrent comme dans du beurre, j’étais encore ouverte de l’épisode de tout à l’heure. Il me le fit remarquer.
— Dis donc tu es encore bien ouverte.
Il recommença à tourner ses doigts en moi, puis à me pistonner, et essayer d’aller au tréfonds de moi. Je l’encourageais.
— Oui, c’est bon fais doucement, va bien au fond.
Il m’écouta, enfonçant doucement ses doigts autant qu’il le pouvait. J’étais à nouveau super excitée. Puis il changea, je ne vis pas trop ce qu’il faisait, en allongeant le cou, je vis dans le miroir qu’il avait mis le pouce dans la capote, et commençait à l’insérer dans mon fondement.
De ses quatre autres doigts, il commença à stimuler mon vagin, stimulation qui se transforma rapidement en pénétration. Je me voyais ainsi doublement pénétrée : le pouce dans l’anus, et quatre doigts dans le sexe.
C’était nouveau et terriblement excitant de sentir une main d’homme entière en moi. Et il entreprit de me pistonner de ses doigts, en douceur dans un premier temps, puis plus fermement. Il remit du gel dans les deux orifices, et continua de jouer de ses doigts en moi. Il poussa doucement ses doigts dans mon vagin, d’une poussée continue, et à un moment donné, il entra également la paume de sa main. J’étais littéralement écartelée. Il m’inséra son pouce encore plus profond dans l’anus. C’est toute sa main qui était en moi.
J’en pleurais presque de bonheur tant l’excitation était forte. Il me dit :
— Dis donc t’as l’air d’aimer ça ma cochonne. Si je m’écoutais, je te mettrais bien la main gauche aussi.
Je poussais un hurlement :
— NOOOOON. Pas ça.— OK, je vais me contenter de celle-là.
Et il se mit à bouger sa main d’avant en arrière, mais toujours avec la paume bien dans mon vagin. Il fit ça pendant ce qui me sembla une éternité, remettant du gel de temps en temps. Je ne sentais plus mon cul ni mon vagin, mais c’était bon. Il m’attrapa la main, et me fit toucher sa verge qui était à un niveau de dureté moyen.
Il me demanda :
— Chérie, tu veux pas me sucer un peu, juste que je sois assez dur pour te sodomiser à nouveau ?
Il se mit face à moi et me présenta sa bitte. Elle était encore un peu flasque. Je pris son gland dans ma bouche et entrepris de légères succions, passant régulièrement la langue, déposant plein de salive sur sa tige, qui dégoulinait de partout. Son sexe se mit à durcir doucement, aussi je continuais mes succions, jeux de langues, et salivages. Mais la situation n’évoluait pas vite, il fallait quelque chose de plus fort. J’attrapais le tube de gel, et m’en mis sur un doigt, tout en lui disant :
— Toi aussi tu vas y avoir droit.
J’approchais mon doigt de son anus, je pensai qu’il allait m’en empêcher, mais au contraire il écarta les jambes. Je lui fis un massage du périnée, puis de la région anale, et doucement introduisis mon doigt. Je lui pratiquais toujours des succions de plus en plus fortes, et son sexe se remit au garde à vous. Aussitôt, je lui enfilais une capote et lui dis :
— Allez viens chéri, j’ai moi aussi très envie que tu me sodomises à nouveau. — J’eus envie de changer de position. Je me mis debout, face au mur, un pied sur la table de nuit, les jambes un peu écartées. — Allez viens on va commencer comme ça, remets du gel.
Il me remit une dose de gel dans l’anus, approcha son sexe et me pénétra. Il s’accrocha à mes hanches et démarra ses coups de piston. On ne disait plus rien, on n’avait pas encore le souffle court, on s’échauffait, ça risquait de durer longtemps. Effectivement, on le fit un bon moment dans cette position.
Puis j’eus à nouveau envie de changer, je le fis asseoir sur le lit, face au miroir et vins m’empaler sur lui, de dos. Là c’est moi qui menais la danse, et je montai et descendais sur lui. Il m’aidait en me soulevant les fesses. Lui et moi on voyait clairement dans le miroir que son sexe disparaissait dans mon anus. C’était une vision tout à fait excitante. Je lui dis :
— On voit bien que tu es en train de me sodomiser.— Ca t’excite ?— Absolument, c’est hyper-excitant, caresse-moi le clito en même temps.
Il mouilla abondamment son doigt, le passa sur mon clito et c’est mes mouvements de montée et descente qui l’excitèrent.
— Chérie qu’est-ce que j’aime ça, ton cul est absolument divin, je voudrais que ça dure des heures.— Oui, c’est délicieux, je sais pas comment tu fais pour y arriver encore.— Je te dis c’est toi qui m’inspires, regarde c’est grandiose on se voit faire l’amour dans une position insensée dans le miroir.— Attends, arrête un peu, et remets du gel.
Je me dégageais de lui, il m’inséra encore une fois le tube, déposa et peu de gel, et je n’empalai à nouveau sur lui.
— C’était bon ça, viens on va continuer, sors complètement, et reviens.
On entreprit de le faire et refaire, et c’est vrai que ça donnait de nouvelles sensations, une pénétration encore plus intense. Après de nombreuses entrées et sorties, il me dit :
— Tu arrives à contracter les muscles de tes fesses ? Essaye s’il te plaît.— Attends, on peut pas tout faire. Rentre bien en moi, je vais essayer.
Je contractai mes muscles fessiers au maximum. Il émit un « wourff » et dit :
— Doucement.— Je t’ai écrabouillé la queue ?— Presque !— C’est pas ce que tu voulais ?— Si, mais moins fort !— OK, comme ça alors ?
Je comprimais, mais un peu moins.
— Oui, c’est géant, grandiose. Essaye de garder la pose, je vais coulisser en toi.
La sensation changea du tout au tout, pour lui comme pour moi.
— Waouh, qu’est-ce que c’est bon ! — Oui, c’est merveilleux !— Tu voudrais pas continuer comme ça, mais en levrette, ça devrait être le top ?— Pourquoi pas ?
Je me remis à genoux, bien cambrée, il me remit un bon paquet de gel, me pénétra, et là je comprimai mes muscles. Il commença des va-et-vient puissants. Je me sentais écartelée, mais à chaque fois il arrivait à me forcer et à entrer profond en moi. Je sentais à nouveau le plaisir me submerger. Je me mis à faire jouer mes muscles fessiers, tantôt les contractant, tantôt les relâchant, et il se mit à pousser de « ahh », « ohhh », « hmmm » je sentais qu’il n’allait pas tarder à jouir.
Dommage que je voyais plus dans le miroir, mais les sensations étaient vraiment extraordinaires, je me laissais glisser doucement, le plaisir me submergea, je crois que Fabrice aussi jouissait, mais je ne savais plus trop, je n’étais plus vraiment là.Je me réveillais doucement, il était allongé à côté de moi.
— Ça va ma chérie ? Tu te rappelles ce qu’on faisait ?— Euh oui, j’ai bien joui.— Oui, moi aussi, qu’est-ce que tu m’as fait jouir en jouant de tes muscles fessiers. — C’était divin.— Ça va tes fesses ?— Oui, ça a l’air. Je n’ai pas mal nulle part. Juste un peu courbaturée vu les positions acrobatiques, j’ai plus 20 ans.— Arrête tu assures vraiment.— Merci.
Il partit dans la salle de bains. Quand il revint, je l’attirai vers moi pour lui dire à l’oreille :
— L’autre jour, j’ai été voir mon médecin, pour passer des tests pour les MST. Je devrais avoir les résultats cette semaine. Si tu les fais également, on pourra faire l’amour sans capote.— C’est une super idée, j’y vais dès demain. Il faut combien de temps pour les résultats ?— Deux à trois jours.— J’espère que ce sera bon la semaine prochaine.— Ouiiii ce serait super.
Je lui fis un petit bisou, et partis à la salle de bains.
Quelques minutes plus tard, quand je revins, je vis tout de suite qu’il s’était endormi. Il dormait comme un enfant, avec un sourire presque angélique. Je mis l’alarme du smartphone à 7h, j’avais un rendez-vous à 9h, donc pas nécessité de me lever trop tôt. Je crois que je m’endormis immédiatement. Au matin, quand l’alarme sonna, il n’était plus là. Je ne l’avais pas entendu se lever ni quitter l’appartement. Je déjeunai, me préparai et, alors que je partais, je reçus un message de Fabrice : « Désolé, tu dormais profondément quand je me suis levé, j’ai pas voulu te réveiller. A bientôt »
C’était assez laconique. Je ne savais pas trop ce qu’il voulait dire par « A bientôt », mais je n’avais pas d’autre choix qu’attendre de ses nouvelles. La journée se passa trop vite, j’avais trop de choses à faire, je dus ramener du boulot à la maison.
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