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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 5

Episode 3, scène 1

Hétéro
Ce ne fut que le dimanche soir que j’eus de ses nouvelles [SMS]<Est ce qu’on peut se voir jeudi ou vendredi, 19h?Sur le fond ça me posait pas de problème qu’il vienne le jeudi ou le vendredi, mais j’aurais aimé savoir au plus tôt. Je lui répondis[SMS]> Dis-moi STP jeudi ou vendredi.< Dans ce cas, disons vendredi 19h.> OK pour vendredi 19h.Le mercredi soir nouveau message[SMS]< Je peux aussi demain 19h, que préfères-tu ?
Il ne savait pas trop ce qu’il voulait mon petit chéri, mais au final je préférais avoir mon vendredi soir libre aussi je lui répondis [SMS]> OK demain jeudi 19h.
Il devenait lentement mon amant du jeudi!
Durant la semaine, j’avais réfléchi à comment le surprendre, et une idée m’étais venue. J’allais essayer de me faire passer pour une autre, et voir s’il me reconnaîtrait au premier coup d’œil. Le jeudi soir j’étais rentrée très tôt car j’avais une longue séance de maquillage qui m’attendait. Mettre des faux cils, surligner les sourcils, rehausser les pommettes avec du fond de teint, verni à lèvres rouge profond et bien glossy, retrouver mes lentilles de contact qui me faisaient les yeux verts. Et surtout changer de coupe. C’est surtout là-dessus que je comptais pour faire la différence. J’avais une perruque d’une couleur noir corbeau, cheveux coupés mi longs, au carré, une frange qui couvrait tout le front... Devant le miroir, j’étais méconnaissable. Je ne me reconnaissais pas moi-même.
J’enfilai une robe longue, toute noire, bien ajustée au niveau de la poitrine et des fesses, plus évasée plus bas. Pas de soutien-gorge, ce qui était bien visible au travers de la robe, un tanga noir lui aussi. Des escarpins avec des talons de 12 centimètres pour compléter le tableau, avec lesquels je devrais me retrouver à peu près à sa hauteur. Il ne me restait plus qu’à essayer de déguiser ma voix, j’allais essayer de prendre un accent du sud ou quelque chose comme ça, et ça devrait être bon. Finalement, je fus prête bien avant 19h.
A 19h je reçus un message[SMS]< Je serais un peu en retard.
Du coup j’allai préparer l’apéritif. Finalement, vers 19h15 j’eus un appel à l’interphone, puis quand il sonna à la porte, j’ouvris le cœur battant. Évidemment, il fut très surpris de me voir. J’avais préparé mon petit baratin :
- Bonjour, je suis Carole, l’amie de Nelly, elle est sortie faire une petite course, elle revient dans cinq minutes.Ceci avec un accent qui se voulait être provençal.Il y eut un léger flottement... - Ah d’accord, excusez-moi je suis un peu surpris, je m’attendais à voir Nelly ouvrir la porte. Je m’appelle Fabrice, enchanté de vous rencontrer.
Ouf, il ne m’avait pas reconnue, mais j’évitais de le regarder dans les yeux, en lui montrant le canapé je lui dis :
— Installez-vous, elle ne va pas tarder à revenir.— Oui, merci.— Vous la connaissez depuis longtemps ?— Non depuis quelques semaines environ ? C’est une femme formidable. Et vous, vous la connaissez depuis longtemps ?— Je suis une amie d’enfance, mais on s’est perdu de vue quelques années.— Vous êtes du midi ? Vous avez l’accent chantant.— Oui, Aix-en-Provence.— Très belle ville, vers la fontaine de la Rotonde ? Ou celle des Augustins ?
Mince, il connaît, vite changer de sujet.
— Un petit village à côté en fait. Elle m’a beaucoup parlé de vous, elle aussi vous trouve formidable. Je la connais bien, je vais vous faire un aveu, je me demande si elle est pas un peu amoureuse de vous ? — Vous me flattez, mais nous nous connaissons que depuis trop peu de temps. — Oui, mais d’après ce qu’elle m’a dit, vous avez une relation... très complice ?— Elle vous a fait beaucoup de confidences ? — Oui, elle m’a dit que c’était, disons... très sensuel.
Là je vis qu’il ne savait plus trop comment se mettre.
— Torride m’a-t-elle dit, elle m’a donné des détails... très croustillants.
Il devenait tout rouge...
— Elle m’a même dit que vous aviez fait...
Mais là je n’en pouvais plus et je suis partie dans un fou rire, il m’a regardée dans les yeux et m’a reconnue !
— Mais, mais, mais, c’est toi ?— Bien sûr, tu m’avais pas reconnue ?— Non, tu l’as bien vu ! Mais pourquoi ?— Juste pour te faire une surprise !— J’avoue que tu m’as bien eu ! Et lui aussi se mit à partir dans un fou rire.— Si je m’y attendais ! Tu es totalement méconnaissable, tu es vraiment une autre femme ! — Merci ! Alors, viens embrasser Carole...
Il vint vers moi et m’embrassa. Évidemment avec le vernis à lèvres, rapidement il en eut plus que moi sur les lèvres. Mais ça ne le gêna pas et il continua de m’embrasser. Au bout d’un moment, pour le provoquer je lui dis :
— Dis donc toi, tu aurais pas envie de te taper Carole, une belle brune méditerranéenne, 1,70m, yeux verts, avec une poitrine et un cul d’enfer et chaude comme tout ?— Si tu m’en donnes l’autorisation, oui bien sûr.— Autorisation accordée.— C’est une sorte de plan à trois, mais on commence par qui dans ce cas ?— Par cette salope de Carole.
Il s’approcha de moi, me fit me lever, et c’est vrai qu’avec mes 12 centimètres de talons, on était presque de la même taille. Il m’attrapa par la taille puis les fesses.
— C’est vrai qu’elle a un cul d’enfer cette salope de Carole. Elle doit savoir en faire des choses avec ce postérieur.— Plus que tu ne penses.
La robe longue était une robe portefeuille, et il trouva vite le passage pour venir flatter le postérieur de Carole, et bien sûr elle se laissa faire, puisque Carole était une salope. Le tanga le gênait dans ses investigations, aussi il tira dessus tant et plus pour le lui retirer, et il finit par le descendre jusqu’aux genoux, et elle, en gigotant le fit descendre à terre.
Il avait maintenant la voie libre pour aller inspecter l’intimité de Carole. Elle l’aida en mettant une jambe sur le canapé. Il mouilla abondamment sa main avec sa bouche, et l’enfourna sous la jupe, allant jusqu’à l’entrejambe, y déposa la mouille et entreprit un massage vulvaire. La bouillante méditerranéenne se prêta au jeu de bonne grâce en se baissant légèrement. Bientôt le massage externe devint un massage interne, quelques doigts s’étant immiscés dans son conduit vaginal. La belle brune mouillait abondamment et les doigts pouvaient y coulisser allègrement. Carole n’arrêtait pas de répéter « oui » « oui » « encore » « c’est bon ».
Fabrice décida qu’il était temps de changer de pratique, aussi il enleva pantalon et boxer. Il la fit mettre à genoux sur le canapé, retroussa la robe par-dessus elle, lui fit écarter les cuisses autant qu’elle pouvait et cambrer les reins. Elle était là dans une position incroyablement obscène, il se rinça l’œil de voir son sexe épilé et son anus, offerts. Il joua avec les deux, passant ses doigts autour, et les insérant délicatement. Carole gémissait toujours, on sentait bien qu’elle en voulait davantage. Il s’approcha de son oreille et lui murmura.
— Tu sais Carole, ma belle salope, cette semaine, j’ai passé tous les tests MST qui sont tous négatifs, aussi ma belle, je vais te prendre sans capote.— Oh oui, prends-moi librement.
Il ajusta son sexe sur le sien et la pénétra. Elle émit un soupir. Il s’accrocha à ses hanches et se mit à la pistonner doucement. Chaque va-et-vient lui arrachait un soupir. Il continua, plus profond, pour que ses couilles viennent battre contre elle. Elle soupirait de plus en plus fort. Lui se sentait prêt à continuer le jeu un pendant un bon moment. Il accéléra un peu le rythme, arrachant toujours des soupirs à Carole. Dans sa tête il pensa « qu’est-ce qu’elle est belle cette grande brune, devant moi, complètement offerte, et j’ai une chance folle de pouvoir la prendre comme j’en ai envie ».
Toujours en allant et venant en elle, et voyant qu’elle était au bord de la jouissance, il se dit qu’il fallait mettre un peu de piment à la scène. Il déposa un gros jet de salive sur le majeur de sa main droite et l’approcha de l’anus de la belle Carole. Toujours en allant et venant dans son sexe, il introduisit progressivement le doigt dans son petit conduit. Les gémissements devinrent des cris, de plus en plus fort à mesure que son doigt s’enfonçait dans le petit conduit. Son doigt était maintenant totalement en elle, il entreprit de le faire tourner. Elle criait de plus en plus fort, c’était bestial, il sentit que lui aussi allait jouir incessamment.
Encore deux ou trois allées et venues au fond de son sexe, le doigt qu’il poussait le plus qu’il pouvait dans son anus, et elle émit un hurlement, saisie par un orgasme d’une rare intensité. De la voir jouir comme ça, Fabrice se mit à jouir également, déversant son sperme dans le sexe de la brune. Il resta longtemps ainsi, son sexe et son doigt en elle. Elle ne chercha pas à se dégager. Elle se remettait lentement de l’orgasme intense qu’elle venait de vivre. Même si Fabrice aurait voulu prolonger ce moment le plus longtemps possible, son sexe revint à sa taille normale et s’échappa de celui de Carole. Un flot de sperme coula entre ses cuisses. Elle voulut aller dans la salle de bains, mais il avait toujours son doigt dans son cul, et il la bloqua en l’enlaçant de son autre bras. Il lui dit :
— C’était gigantesque.
Avant de retirer son doigt et de la libérer. Elle courut à la salle de bains. Il la rejoignit nonchalamment, il la trouva, totalement indécente, appuyée au lavabo, sa longue robe noire relevée, s’essuyant le sexe avec une serviette pour retirer le sperme qui en coulait. Il lui proposa :
— Tu veux que je t’essuie ?— Oui, je veux bien.
Il prit la serviette et l’essuya, mais du sperme continuait à couler de son vagin et il dut le faire à de nombreuses reprises avant que le liquide s’arrête de couler. Elle laissa alors retomber sa robe sur ses pieds, elle portait encore les escarpins à talons hauts, aussi elle eut un peu de mal à marcher jusqu’au salon. Ils s’assirent sur le canapé, il lui dit :
— Ca va la belle Carole ?— Ouiiiii, c’était fabuleux.— Mais c’est promis, tu diras rien à Nelly.— Non, bien sûr.— Qu’est-ce qu’elle t’a dit Nelly à propos d’elle et moi ?— Qu’elle avait rencontré un mec formidable.— Oui, et aussi...— Intelligent, drôle, élégant, raffiné.— Oui... — Et aussi un amant extraordinaire, qui l’a fait jouir comme rarement, lui révélant des postures qu’elle ignorait.— Tout ça...— Et aussi qu’elle avait redécouvert avec lui le plaisir anal, de recevoir des caresses perverses, la jouissance délicate d’être sodomisée, de sentir un sexe d’homme profondément ancré dans son cul.— Dis donc elle te fait des confidences très intimes notre Nelly. — Oui, on se dit tout.— Elle t’a dit ce qu’elle aimerait faire avec lui ? — Elle aimerait s’adonner avec lui à des jeux érotiques encore plus pervers.— Elle t’a dit lesquels ?— Non, c’est là que tu es arrivé.— Et toi Carole, tu as déjà fait tous ces jeux dont elle t’a parlé ?— Oui et non. — Comment ça ? — Certains oui d’autres non. — On t’a déjà doigté l’anus ?— Tu viens de le faire.— Et tu as aimé.— Oui.— On a déjà léché l’anus ?— Non. — Tu aurais envie de le faire ?— Oui, Nelly m’a dit que c’est délicieux.— Et on t’a déjà sodomisée ? — Non. — Tu voudrais essayer ? — Pourquoi pas, Nelly me dit qu’elle adore ça. — Tu as envie d’essayer là maintenant ?— Oui, pourquoi pas ?— Tu le diras pas à Nelly.— Non. Ce sera notre secret.— Dans ce cas, remets-toi à genoux sur le canapé, remonte ta robe, je vais te préparer.
Elle fit ce qu’il disait, et Fabrice partit chercher le gel lubrifiant dans la chambre. Ce double jeu que jouait Nelly le stimulait terriblement. L’idée qu’il allait donner une leçon de sodomie à une grande brune un peu nunuche le faisait déjà rebander. Elle allait en avoir pour son argent.
Quand il revint, Carole était à genoux sur le canapé, terriblement excitante. Malgré les essuyages à répétition, il y avait encore un filet de sperme qui s’écoulait de son sexe, qui le rendait luisant dans la pénombre. Elle avait toujours la robe relevée sur elle, mais finalement Fabrice jugea que ce serait plus pratique si elle la retirait complètement. Elle la retira donc et apparut complètement nue, sauf les escarpins.
Elle était sublime, à genoux, penchée en avant, jambes écartées, les seins tombant. Il commença par s’agripper à eux, pétrissant juste le bout et roulant délicatement les tétons entre ses doigts. Rapidement, ils se mirent à gonfler. Il s’amusa avec longtemps, même quand il comprit qu’ils étaient si gonflés que ça en devenait légèrement douloureux, bien qu’elle ne l’ait pas avoué. Ils étaient devenus d’un rouge écarlate, et ils étaient durs comme un petit morceau de bois.
Elle soupirait. Il se dit qu’il allait infliger la même torture à son clitoris. Il passa son doigt dans son vagin qui était encore trempé de sperme, et comme pour les tétons, fit doucement rouler le joli bouton entre ses doigts et lui aussi se gonfla doucement sous les caresses. Il poursuivit le jeu pendant de très longs moments. Le clito aussi virait à l’écarlate, gorgé de sang. Elle poussait des « hmm » « hmmm » de plus en plus fort.
Il n’arrêta pas la caresse, et entreprit de lui passer la langue sur son petit orifice. Dès qu’elle le sentit, les gémissements se firent plus fort, plus rapide. Rapidement, sa langue s’était mise à la lécher consciencieusement, et redoublait d’efforts pour essayer d’ouvrir son petit orifice, mais celui-ci résistait, tout au moins à sa langue. Il libéra le clitoris de ses doigts, et vint les humidifier dans le vagin dont l’intérieur était encore bien gluant. Puis il approcha le majeur de l’anus de Carole, le fit tourner un peu autour, et commença à l’enfoncer doucement.
Elle émit un « whoooh », aussi il continua sa progression, mais son doigt n’était pas assez lubrifié. Il introduisit alors le tube de gel dans l’orifice de Carole, et en déposa une giclée, son doigt pouvait maintenant coulisser aisément dans l’orifice étroit, et il ne se fit pas prier pour le faire aller et venir, de plus en plus profondément. Les gémissements s’étaient mués en petits cris, à chacun des mouvements de Fabrice dans le derrière de Carole, qui n’avait encore rien vu.
Attrapant une capote, il y mit deux doigts qu’il s’empressa d’aller immiscer dans le derrière de Carole. Et il commença à les faire coulisser délicatement au début pour ne pas l’effrayer, puis un peu plus vite et surtout plus profondément. Il sentit qu’un déclic s’était produit en Carole: elle s’agrippait fort au dossier du canapé, elle avait cambré ses reins encore plus, remontant son postérieur pour mieux s’offrir. Fabrice se dit qu’on était en bonne voie et qu’il allait avoir libre cours pour s’adonner à quelques perversions qui lui tenait à cœur.
L’index et le majeur toujours fourrageant l’anus de Carole, il entreprit d’insérer l’annulaire et l’auriculaire dans son vagin. Il crut bien entendre quelques petits couinements, mais les petits cris reprirent lorsqu’il commença à faire aller et venir ses quatre doigts dans les orifices de Carole. Ce qu’elle ne se doutait pas, c’est qu’il voulait aller beaucoup plus loin dans ce jeu.
Les quatre doigts coulissaient donc librement, de temps en temps, il les resserrait pour bien pincer la paroi entre le sexe et l’anus, Carole laissant alors échapper un cri plus fort que les autres. Il la masturba ainsi doucement pendant de longues minutes, puis retira ses doigts, mais il n’en avait pas fini.
Il remit une grosse dose de gel dans le cul de Carole qui allait en avoir besoin. Ensuite, il mit index et majeur de chaque main dans la capote, approcha le tout de l’anus de Carole. Elle n’avait pas vu ce que Fabrice faisait, et ne se doutait pas de ce qui se tramait. Il poussa doucement, mais les doigts avaient du mal à trouver leur chemin, il dut pousser plus fort, et le tout commença à rentrer. Elle fit un « OHHHH » et Fabrice la sentit comme tétanisée, il ne bougea plus, et elle se détendit.
Alors doucement, il entreprit d’enfoncer ses quatre doigts dans le petit orifice, et ils rentrèrent plus facilement que ce qu’il pensait. Mais pour aller plus loin, il fallait maintenant que les quatre autres doigts trouvent eux aussi leur chemin dans le vagin de la belle Carole. Pour l’instant, elle ne poussait plus de soupirs ni de petits cris, mais sa respiration était saccadée, se demandant sans doute ce qui allait se passer. Fabrice approcha les quatre autres doigts de son vagin et les inséra doucement. Ils rentrèrent sans trop de difficulté...
C’était insensé ce qu’il arrivait à lui faire faire ! Il lui fallait dorénavant les faire bouger, aussi il entreprit de pousser l’ensemble doucement, puis de le retirer, mais c’était à ce stade un mouvement d’à peine un centimètre. Il continua très doucement, essayant de grappiller un millimètre à chaque allée et venue, et progressivement, il réussissait à aller plus loin en elle. Sa respiration était extrêmement saccadée, elle était arc-boutée sur le dossier du canapé, mais ne refusait pas les jeux extrêmes qu’il lui prodiguait.
Ses doigts s’enfonçaient maintenant de plus en plus loin et de plus en plus facilement dans les orifices de Carole qui se détendait lentement, et recommençait à crier. Fabrice n’en pouvait plus, il se demandait comment il n’avait pas encore joui tellement il était excité. Il n’en pouvait plus. Il retira ses doigts et dit à Carole :
— Maintenant tu es prête, je vais te sodomiser.
Il lui réinséra une bonne dose de gel, approcha son gland de l’anus, et poussa. Évidemment, après ce que Carole venait de subir, le gland rentra tout seul, le sexe entier également, tant son anus était dilaté. Elle recommença à crier fort, et ça l’encouragea à la pistonner plus rapidement, plus loin, plus fort. Après de longs instants de ce traitement, Fabrice n’en pouvait plus et se mit à jouir, inondant le cul de Carole de son sperme. Lorsque celle-ci sentit le sperme couler en elle, elle bascula à son tour dans un orgasme insensé.
Lorsqu’il se retira d’elle, elle s’effondra dans le canapé, et resta là, prostrée, il la regarda un moment revenir à elle lentement, mais voyant que son sexe suintait toujours de sperme, il se rendit dans la salle de bain. Quand il revint, elle était toujours là prostrée, il put voir qu’un filet de sperme coulait le long de sa cuisse. Toujours sans un mot, elle se leva, et chancelante sur ses hauts talons, se rendit dans la salle de bains.
Elle resta enfermée dans la salle de bains un temps infini, Fabrice entendit l’eau couler longuement. Il se morfondait sur le canapé, culpabilisant, se disant qu’il y était allé trop fort, que ses fantasmes insensés allaient finir par tuer leur relation. Il devait s’excuser, lui dire qu’il s’était laissé emporter dans le feu de l’action, qu’elle aurait dû l’arrêter... Il en était là de ses réflexions quand elle revint.
Elle était totalement transformée, toujours nue sur ses hauts talons, elle s’était démaquillée, avait enlevé perruque, lentilles, faux cils. Elle ne s’était pas recoiffée après s’être séché les cheveux et elle était tout ébouriffée. Il la trouva sublime, les cheveux dans tous les sens, ses seins qui pointaient, grandie par les talons, et elle avait un grand sourire aux lèvres.
— Coucou ça va ?—... Euh... oui, oui, et toi ?— Super, elle est partie cette salope de Carole ?—... euh... oui...— Tant mieux je veux plus la voir. Cette salope profite que je l’invite chez moi pour pervertir et faire des actes obscènes avec l’homme que j’aime.
Ces trois derniers mots étaient sortis naturellement de ma bouche, et je devais me l’avouer, Fabrice était loin de me laisser indifférente. Mais je trouvais qu’il était encore un peu tôt pour lui en parler, aussi j’enchaînai :
— Je l’apprécie beaucoup mon Fabrice, j’ai pas envie qu’elle me le pervertisse.— Alors, viens l’embrasser.
Je m’installai à côté de lui dans le canapé et on s’embrassa longuement, tendrement, comme pour des retrouvailles, comme si on ne s’était pas vus depuis longtemps. A un moment, nos lèvres se séparèrent, il me dit alors :
— Ah, au fait, je l’avais apporté pour toi.
Il sortit de sous la table basse le sac avec lequel il était arrivé. Il y avait un paquet cadeau à l’intérieur, il me l’offrit.
— Ahh... merci, c’est trop gentil.
Je déballai la boîte: c’était marqué « lace for her » donc manifestement c’était de la lingerie. J’ouvris la boîte et y trouvai une superbe guêpière rouge et noire, avec la culotte assortie.
— C’est superbe, il ne fallait pas, tu es trop gentil.— Mais non, tu vas être ravissante avec, comme toujours, essaye-la s’il te plaît.
J’enfilais la guêpière. Il y avait de petites agrafes dans le dos pour la fermer, et on pouvait ensuite l’ajuster grâce à deux lanières. Je demandais à Fabrice de refermer les agrafes, ce qui prit un temps fou, car il y en avait une vingtaine. Je me regardais dans la glace : déjà comme ça elle m’allait bien, elle me serrait pas trop les seins, c’est vrai qu’elle recouvrait tout juste les tétons. Je demandais à Fabrice de serrer un peu les lanières, ce qu’il entreprit, mais il n’osa pas trop tirer.
— Tu peux tirer plus fort si tu veux.— J’ose pas.— Mais si, vas-y.
Il serra un peu plus.
— C’est mieux, mais tu peux tirer encore un peu.— Comme ça ?
Là c’était bien, j’avais le ventre et la taille bien maintenus, mais pas écrasés, je pouvais bouger sans problème. Je lui dis d’ajuster les lanières jusqu’en bas et de faire un joli nœud entre elles. Je me regardais dans la glace et me trouvais rajeunie : ma taille était incroyablement plus fine, mon ventre beaucoup plus plat, du coup je me sentais mieux dans ma peau. Restait à essayer la culotte tout en dentelle rouge et noire, sauf que, vous l’aurez deviné, elle était ouverte, et qu’il n’y avait quasiment pas de tissus dans toute la partie centrale. Il me dit que j’étais divine, tout en se rinçant l’œil et ajouta :
— Mets-les bas.
Je n’avais pas vu qu’il y avait des bas, qui pour être assortis à l’ensemble, étaient donc rouges.
— OK, enfile-les-moi.
Je mis une jambe sur le canapé, il attrapa un bas et réussit à me l’enfiler et à l’attacher en un temps correct, et avec l’entraînement ce fut encore plus rapide pour l’autre jambe. Je me regardais à nouveau : je me trouvai plutôt séduisante, et me dis que peu d’hommes devraient me résister habillée ainsi, ce qui m’émoustilla au plus haut point. Il y avait juste le fait que la taille étant désormais très amincie, cela me faisait le popotin plus gros. Ce que je lui fis remarquer, il me répondit :
— Mais tu es encore plus sexy comme ça. Tu ferais bander un évêque.
Je rigolais tant et plus !
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