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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 7

Episode 4, scène 1

Hétéro
Nelly et Fabrice se sont déjà rencontrés à trois reprises. Nelly a des idées plein la tête pour pimenter leurs ébats amoureux. Mais qu’a-t-elle prévu pour cette nouvelle soirée ?

Une partie de la semaine, je m’étais posé la question : comment allais-je me renouveler ?
Et puis le lundi soir, l’illumination me vint : en étant moi tout simplement. Je pris rendez-vous chez la coiffeuse pour le mardi, et chez l’esthéticienne le jeudi à 16h. Il fallait aussi que je voie Mathilde, ma couturière pour qu’elle réajuste ma robe blanche que j’aimais tant, mais dans laquelle j’avais maintenant un peu de mal à rentrer.
Mardi matin, je vois Mathilde, j’essaye la robe, finalement je rentre encore assez bien dedans, il n’y a que quelques retouches à faire, je lui dis d’accentuer un peu le décolleté devant. Elle me dit que la robe sera prête le soir même. Je passe la récupérer avant d’aller chez la coiffeuse. J’essaye la robe : c’est parfait, elle est parfaitement moulante, mais suffisamment souple pour ne pas craquer dès que je m’assieds. Mathilde a vraiment agrandi le décolleté sur le devant, je lui fais remarquer, elle me répond que j’ai une poitrine magnifique et qu’il faut bien la mettre en valeur, et qu’avec les yeux que j’ai en ce moment, je dois être sacrément amoureuse et que si je veux le garder, je dois me montrer sous mon plus beau jour, et que... bla bla bla, Mathilde est très bonne couturière, très observatrice et très bavarde.
Je vais chez la coiffeuse : coupe, couleur, brushing, balayage... la totale. Ça me coûte une petite fortune, mais le résultat est là, j’ai l’impression d’avoir dix ans de moins ! Le jeudi, séance chez l’esthéticienne, qui me fait un joli maquillage, très discret, très sobre, mais qui illumine bien mon visage. Encore dix ans de moins !
Juste le temps de rentrer à l’appart, enfiler la robe, pas de soutien-gorge, de toute façon, elle est tellement décolletée que n’importe lequel de mes soutifs se verrait, Mathilde a dû le faire exprès. Idem pour la culotte, la robe est si moulante que n’importe quelle culotte se verrait. Je mets les escarpins à hauts talons : je me trouve vraiment irrésistible, avec ma robe moulante et son décolleté profond. Je me sens bien, belle, femme, sûre de moi. Bon, faut que je me calme, je ne vais pas avoir un orgasme rien qu’en me regardant dans la glace !
L’appel à l’interphone tant attendu retentit enfin. Et il est là devant moi, enfin presque, car il est caché par un énorme bouquet de fleurs ! Et puis il me voit et là il est subjugué.
— Tu es à nouveau une autre femme pour moi, mais cette fois je te reconnais. A moins que ce soit ta sœur qui a 15 ans de moins que toi ? — Non, non c’est bien moi je te promets !— Tu es vraiment resplendissante, superbe, je trouve pas les qualificatifs.— Merci !
Je mets les fleurs dans un vase, le bouquet est énorme, une composition superbe. Et il a aussi un paquet cadeau dans les mains.
— Tiens c’est pour toi, mais on l’ouvrira plus tard.— Comme tu veux.— Oui, viens vers moi.

Je m’approche, il me prend dans ses bras, me parle tout bas dans le creux de l’oreille.
— Tu es si belle, dis moi que tu es la même femme à qui j’ai déjà fait l’amour les semaines passées.— Oui c’eust bien moi !— Dis-moi que tu es bien la femme avec qui je vais faire l’amour bientôt ?— Oui c’et bien la même femme. — Dis-moi que c’est la femme à qui je pourrais prodiguer des coups de langue salaces sur son petit derrière ?— Oui c’est bien moi.— Dis-moi que c’est la même femme que je pourrais sodomiser à ma guise ? — Oui, oui, oui, c’est moi.— Alors je suis vraiment le plus heureux des hommes !— Merci !— Mais tu sais tu es si belle, j’ose pas te toucher, j’ai peur d’abîmer ta coiffure, ton maquillage.— Tu sais, la beauté c’est éphémère ! Mais dans ce cas on va commencer là où ça ne risque pas de se voir.
Je me tournai, me mis à genoux sur le canapé, remontai ma robe jusqu’à la taille.
— Fais-moi ce que tu veux.— Coquine, tu n’as toujours pas de culotte. — Ça se serait vu sous la robe.— T’as eu raison tu es parfaite.— Allez viens chéri, fais moi la caresse que tu aimes, la caresse que j’aime, la caresse qu’on aime.
Aussitôt, il enfourna sa tête entre mes fesses et entrepris de me lécher la raie. Ce fut un vrai bonheur, une semaine que j’attendais que ce moment se produise à nouveau. Ce n’était pas mon sexe qui était l’objet de ses attentions, mais celui ci s’humidifiait à vitesse grand V. Tout d’un coup il se redressa pour dire:
— Dis donc, tu as drôlement bon goût aujourd’hui !— Oui, c’est de crème hydratante parfumée à l’abricot.— Tout à fait délicieux, viens je vais te bouffer l’abricot !
Et il le bouffa l’abricot, et tout ce qui était à coté. C’était absolument délicieux, je me demandais si j’allais pas jouir sous ses coups de langue. Il ne se lassait pas, et me lapait tantôt doucement, tantôt avec une vigueur incroyable que ça devait lui en faire mal à la langue. J’étais super excitée, mon sexe était trempé, mais il s’y intéressait assez peu, et c’était tant mieux.
Tout d’un coup il s’interrompit et se déshabilla à toute vitesse. Je voyais ou il voulais en venir
— Chéri, il y a du gel dans le vide poche.
Il s’empressa d’aller le chercher.
— Dis donc chérie, tu as racheté un nouveau tube, et c’est un sacré gros modèle ! T’as peur qu’il y ait une pénurie ?— Hi hi hi, ça fera plus d’usage.
C’est vrai qu’il était gros comme un tube de dentifrice ! Et le bouchon était un peu spécial, dévoilant quand on le retirait une canule de quatre ou cinq centimètres de long, sur deux centimètres de diamètre qu’on pouvait insérer directement dans le conduit à lubrifier. Bien sur il comprit tout de suite comment ça marchait. Il me demanda:
— Est-ce que la superbe femme qui m’a ouvert la porte tout à l’heure, vêtue d’une splendide robe blanche veut bien que je lui insère un tube de gel lubrifiant dans l’anus ?— Oui chéri, cette femme le veut !— Dans ce cas remonte un peu ta robe, je ne voudrai pas la tâcher.
Je remontai la robe, il approcha la canule, pressa un peu le tube pour faire sortir un peu de gel et lubrifier l’entrée, puis il enfonça doucement la canule jusqu’au bout et entrepris d’appuyer sur le tube pour faire sortir le gel. Je sentis un liquide froid m’envahir, c’était assez excitant. Ensuite il s’assit à l’extrême bord du canapé et me dit de venir sur lui, le dos tourné. Je compris aussitôt, et vint m’empaler sur son sexe d’un coup. Tout les deux, en cœur, nous poussâmes un « ohhh » Il voulait que je monte et descende sur lui, mais ce n’était pas pratique avec la robe.
Il souleva alors délicatement, me l’enleva tout aussi délicatement, et la disposa sur le canapé pour qu’elle ne soit pas froissée. Et nous nous lâchâmes. Je me mis à monter et descendre sur lui, il m’avait attrapé les seins et les secouait en cadence. Je commençais à voir des étoiles, j’allais pas tarder à jouir, il essayait de gagner le moindre millimètre pour me pénétrer, je sentais son sexe loin en moi, tout se mélangeait, j’eus des spasmes, crispant mes muscles fessiers, il hurla, et je sentis son sperme se répandre en moi. Mon Dieu c’était, divin, géant, énorme, inqualifiable. On resta ainsi je ne sais combien de temps, soudés l’un à l’autre.
— Oh chérie c’était fabuleux.— Oh mon chéri, TU as été fabuleux.— C’est vrai, tu as aimé.— C’était un délice. J’espère qu’on va recommencer rapidement, j’ai déjà le cul qui me démange.— Attends un peu il faut que je reprenne mes esprits.— Je te donne dix minutes... mais non je plaisante.— Mais dix minutes, c’est huit de trop !— La je crois que tu te vantes un peu !— Oui !
Nous partîmes nous laver. En revenant il me dit:
— Remets ta robe s’il te plaît.— Oui, pourquoi ?— S’il te plaît. — OK.
Je remis la robe. Il m’attira à lui m’enlaça tendrement et me dit d’une voix douce :
— Dites madame, vous êtes toujours la même femme à qui je viens de faire l’amour ?— Ouiiii !— Celle a qui j’ai prodigué des caresses anales avec ma langue.— ouiiiii !— Celle à qui j’ai inséré du lubrifiant avant la sodomiser ?— Ouiiiii je suis celle-là et j’en suis fière et je suis toute aussi fière que ce soit vous monsieur qui me l’ayez fait ! Embrasse-moi mon amour.
On s’embrassa éperdument, comme des fous, un long moment, ce fut encore un grand bonheur. Il me regarda encore:
— Qu’est-ce que tu es belle, tu es plus que belle, rayonnante, irradiante. Je me lasse pas de te contempler.— Merci.— Je cherche encore à savoir si tu es plus belle nue ou habillée, et je n’arrive pas à trancher.
Il changea radicalement de sujet.
— Tu as trouvé où ce gel ?— Dans un magasin spécialisé.— Un sex-shop ?— Non, pas vraiment, ils vendent de la lingerie, des gadgets softs, un sex-shop soft en quelque sorte.— Je savais pas que tu fréquentais les sex-shop, même soft. — C’est la première fois que j’y allais.— Et tu as fait d’autres achats ?— Nooon !— Menteuse ! — C’est vrai.— OK, c’est où ?
Je lui donnai le nom de la rue.
— C’est noté, j’y ferai un tour, je vais acheter la moitié du magasin pour toi !— Hi hi hi !— Et donc tu as acheté le plus gros tube de gel que tu trouvais ?— Non, même pas, il y avait encore 2 tailles plus grandes !— Mon Dieu j’imagine pas ! Le plus grand, dans ton joli derrière, cela devrait être un spectacle fabuleux, digne des plus grands films pornos.— Là je crois que tu te fais un film !— Oui ! Mais c’est excitant à imaginer. Totalement obscène, mais très excitant.— Cochon ! Groin groin.
Rires !
— Oui, un peu ! Et la crème à l’abricot, tu en as mis partout ? — Non juste à cet endroit.— Il faudra que tu en remettes.— Oui, ou tu pourras me le faire si tu veux.— Bonne idée ma foi, et aussi sur les seins.— Ouiiiiii ! Mais quelle heure est-il ? J’ai commandé à manger chez un traiteur chinois, il doit passer à 21h.— Là il est 20h.— Ça va, on a encore un peu de temps, qu’est-ce que tu proposes ?— On va regarder la télé !
Grosse rigolade !
— OK, mais si tu reçois une chaîne coquine ? — Non !— Dans ce cas, si on se faisait notre petit film coquin à nous seuls ? — Qu’est-ce que tu veux dire ? Une sex-tape ? — Mais non ! Comme l’autre fois, avec les jeux de miroirs.— Ah oui, pourquoi pas, je te propose un jeu : on va faire un quart d’heure chacun, la même position, si l’un des deux arrive à faire jouir l’autre, il a gagné.— J’adore ce jeu, mais il gagne quoi celui qui gagne ?— Je sais pas on verra, on a juste le temps avant que le chinois arrive.— OK, va chercher ta crème à l’abricot.
J’allais chercher la crème, on fonça à la chambre.
— Par qui on commence ?— Par toi mon chéri, mets-toi en place, je vais bien te nettoyer, te mettre la crème et dans moins de 5 minutes, il y aura une mare de sperme sur le lit !— Oui, attends je vais chercher mon portable, régler l’alarme pour 15mn. — OK.
Il revint.
— C’est toujours bon les miroirs ? Tu vois tout en gros plan ? — Oui.— Alors, regarde bien.
Je l’essuyai méthodiquement avec les lingettes humides puis sèches, et lui appliquai l’hydratant à l’abricot. Je pris bien mon temps pour lui appliquer la crème, histoire de l’asticoter un peu. Il me dit :
— Là tu triches ma chérie, ce temps sera décompté !— Regarde bien mon chéri, regarde bien ce que je vais te faire.
Et le plus amoureusement possible, je plonge ma langue sur son anus, de mes deux mains, je lui écarte les fesses pour qu’il soit le plus accessible possible. Et je lèche, et je lèche, et je regarde dans sa direction en lui souriant.
— Regarde mon chéri, regarde la femme qui t’a ouvert la porte tout à l’heure, la femme avec une belle robe blanche, regarde ce qu’elle est en train de te faire. De te lécher l’anus mon chéri, et je peux te dire que ton petit cul a un très bon goût d’abricot dont je ne me lasse pas. Regarde bien ce qu’elle te fait cette femme et n’en perds pas une miette. Je vais te déposer des tonnes de salive pour qu’il s’ouvre doucement, et peut-être pouvoir y insérer ma langue. Regarde comme elle est vicieuse cette femme à la robe blanche, qui écrase sa langue sur ton petit orifice, parce qu’elle a envie que ça te procure du plaisir, et qu’elle aussi prend du plaisir à te prodiguer ces caresses totalement obscènes.
Je m’arrête de parler pour me consacrer à ma tâche. Je m’applique du mieux possible et je vois bien que ça l’excite au plus haut point. Je crois qu’en me concentrant un peu, je vais pouvoir le faire jouir, alors j’insiste, le fait le plus langoureusement possible, car je sais qu’il regarde, et je continue de le regarder dans les yeux via les miroirs. J’y mets tout mon amour, ma sensualité, mon désir, mais rien à faire, il tient toujours, et là il me dit :
— Plus que 2 minutes !
Mince ça passe vite ! Je m’acharne, vais plus vite, plus fort, plus méthodiquement, mais rien à faire, il tient toujours, j’entends le bruit de l’alarme, c’est fini.
— Il se retourne, m’embrasse et me dit :— Merci ma chérie, c’était totalement divin, tu n’es pas passée bien loin de me faire jouir, mais j’ai réussi à tenir jusqu’à la fin. A ton tour maintenant.
Je me mis en place, il passa la crème à l’abricot sur mon entrejambe, frotta délicatement pour la faire pénétrer, il régla à nouveau l’alarme, et commença à me passer sa langue partout.
— Eh, t’as pas le droit sur le sexe et le clito, moi si je t’avais léché le sexe en 2 minutes, c’était fini.— OK, OK.
Il se concentra sur mon petit orifice. Et maintenant qu’il avait appris à me connaître, il savait comment je réagissais le mieux, précisément où il fallait passer sa langue pour me donner du plaisir. Finalement, je me dis qu’il valait mieux prendre du plaisir et perdre un pari que l’inverse. Je me laissai aller, mieux je l’encourageais.
— Vas-y mon chéri, je te vois dans le miroir, c’est fabuleux, tu es devenu un expert dans ce domaine, mon postérieur est tout à toi, tu en es le maître. La femme dans la belle robe blanche te donne son postérieur, fais-en ce que tu veux.
Effectivement, ça l’encouragea, il redoubla de vigueur, je décidai de m’abandonner.
— Oui, continue, ne t’arrête pas, fais-le-moi le plus langoureusement possible, avec tout ton amour. Je crois que je vais jouir, c’est trop bon.
Il me regarda pour savoir si je simulai, il dût voir que non. Je fermai les yeux doucement et me laissai aller. Il continua de me laper comme un chien, je m’abandonnai totalement, je me laissai aller, et le plaisir m’emporta. Ce ne fut pas un orgasme violent au contraire, un plaisir doux, feutré, mais réel. Il continua ses caresses, et l’alarme sonna peu après. Je m’allongeai sur le lit, il se mit à côté de moi. Tout près de son oreille, je lui dis :
— Tu vois mon chéri, la belle femme en robe blanche qui t’a ouvert la porte tout à l’heure, elle a pris son pied pendant que tu lui léchais le cul, tu l’as fait jouir avec ta langue. — Chérie, je t’aime.
Comme ces mots étaient doux à entendre...
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