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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 9

Episode 5, scène 1

Hétéro
Nelly et Fabrice se sont rencontrés il y a peu, mais vivent une passion charnelle. Chacune de leurs rencontres est de plus en plus torride, et jusqu’à présent, c’est plutôt Nelly qui prenait les initiatives. Est-ce que Fabrice peut encore prendre l’ascendant sur elle ?

Comme d’habitude, ce ne fut que le dimanche que j’eus de ses nouvelles, toujours un message aussi laconique : « OK pour toi jeudi ? », auquel je répondai immanquablement par l’émoticone du pouce levé. Le mercredi soir, message tout aussi laconique « j’apporte à manger ».
Je n’avais pas trop réfléchi à comment m’habiller, je décidais de faire simple. Sous-vêtements blancs, string brésilien « sobre », joli soutien en dentelle, pull moulant blanc, jupe courte en cuir marron, bas autofixant noir. Maquillage léger, rouge à lèvres discret.
Je venai juste de nous préparer un apéritif quand l’interphone sonna. Une nouvelle fois, il était chargé de cadeaux. Un énorme bouquet de fleurs, un grand sac de plats préparés venant d’un traiteur indien, une bouteille de Chianti, et un autre sac dont il me dit qu’on l’ouvrirait plus tard. Mais je crois que je devinai ce que c’était, car l’emballage ressemblait fort à celui d’une bouteille.
— Tu es toujours aussi ravissante.— Merci, mais viens t’asseoir, il faut qu’on se parle.
Sur le canapé :
— Chéri, tu sais que tu prends de plus en plus de place dans ma vie. Je pense à toi presque tout le temps, je me remémore nos jeux amoureux. Toute la semaine, j’attends ton retour.— Moi aussi ma chérie, je pense à toi tout le temps, mon esprit est tout accaparé par toi. Parfois, mon sexe commence à se tendre quand je repense à nos ébats. Tu m’obsèdes. Ton corps, tes seins, ton sexe, ton joli postérieur, tout de toi m’obsède.
Nous n’osions pas nous dire qu’on s’aimait.
— Allez, viens m’embrasser et me faire l’amour. Je suis toute à toi. Ce soir, c’est moi qui suis ton jouet.— Tu ne crois pas si bien dire, me répondit-il, l’air un peu mystérieux.
Plus tard, je regrettais presque d’avoir prononcé ces mots.
Il m’embrassa avec passion, ses mains étaient avides de mon corps, et s’y promenaient partout. Quand il farfouilla sous la jupe, il fut étonné parce que j’avais mis une culotte. C’est vrai que les fois précédentes, je n’en portais pas souvent ! Il me retira ma jupe, ainsi que le tanga, et entreprit de se déshabiller à son tour.
Lui et moi étions aussi excités l’un que l’autre. Il se mit à genoux face au dossier du canapé, le buste droit, et me demanda de venir sur lui. La position n’était sans doute pas la meilleure, mais nous pouvions nous embrasser, nous avions nos mains libres pour nous caresser mutuellement, et nous ne nous en privions pas. Le désir et le plaisir montaient graduellement, la jouissance ne tarda pas à nous submerger. Nous étions collés l’un à l’autre, nos bouches étaient elles aussi soudées l’une à l’autre.
On resta encore de longs instants à nous embrasser et nous caresser avant de nous séparer lentement. Et c’est là que Fabrice s’approchant de mon oreille me murmura :
— Chérie, j’ai très envie de te sodomiser. — Mais on vient juste de faire l’amour...— Je sais, mais j’ai tellement envie de te prendre par là, s’il te plaît...— C’est vrai, tu en as très envie ?— Oui, depuis que je suis arrivé, j’ai envie de te prendre ainsi, c’est un tel bonheur de te faire l’amour comme ça, ça me rend fou.— Tu es un amour, tu sais que moi aussi, j’adore quand tu me prends très délicatement par là.
Je lui attrapai son kiki, mais je sentis que ce n’était pas encore la grande forme.
— Viens, on va se laver d’abord.
Nous finîmes de nous déshabiller et je l’entraînais vers la douche. A peine sous la douche, il m’aspergea entièrement et entreprit de me masser avec le gel douche. Il passait ses mains sur tout mon corps, la sensation était très douce, plus appuyée qu’une caresse, mais moins qu’un vrai massage. Ses mains glissaient délicatement sur mon corps, c’était délicieux !
Puis ses caresses se firent plus précises, les seins tout d’abord, il les soupesa, étira, fit rouler sous ses mains, et en titilla les extrémités. Puis il s’intéressa à mon entrejambe : il entreprit de me faire un massage de toute cette zone, toujours avec du gel douche, avec son avant-bras, qu’il faisait aller d’avant en arrière. C’était nouveau comme sensation, mais absolument divin, et l’excitation me gagnait rapidement.
L’eau de la douche continuait de nous asperger, il s’occupait maintenant de mon petit orifice, le câlinait doucement avec son doigt enduit de gel douche. Rapidement, son doigt put coulisser librement dans mon étroit couloir qui s’ouvrait délicatement, comme une fleur. Il me souffla à l’oreille :
— Chérie... demande-le-moi s’il te plaît...
Je savais très bien ce qu’il voulait, et entrais dans son jeu:
— Oui, mon amour, sodomise-moi s’il te plaît, donne-moi du plaisir par là, fais-le lentement, longuement, amoureusement.
Il ne se fit pas prier, après notre petit échange verbal, son sexe était à nouveau complètement raide.
— Chérie, écarte bien les jambes, et cambre tes reins, je vais m’enfoncer en toi.
Je m’accrochais à la barre de douche, il positionna son pieu devant mon œillet, et s’enfonça lentement. L’eau de la douche nous arrosait toujours, et cela provoquait des "slosh - slosh" à chaque va-et-vient. Je nous voyais en partie dans le miroir de l’armoire de toilette, et cette vue était particulièrement excitante, digne d’un bon film X.
Il me lutina tendrement pendant de longs et délicieux instants, il m’avait attrapée par les seins, qu’il pétrissait fermement. Ajouté à l’eau qui ruisselait sur moi, je plongeai avec lui dans le plaisir, et lorsqu’il jouit en moi, ses jets de sperme étaient comme des salves de bonheur qui irradiaient mon corps.
Après ces deux séances d’amour intenses, nous étions particulièrement affamés, on passa donc à table rapidement. Les plats indiens qu’il avait apportés étaient tout à fait délicieux, plus ou moins épicés, et accompagnés d’un Chianti, c’était absolument divin. On discutait de choses et d’autres, mais je sentais bien qu’il ne me disait pas tout, mais malgré plusieurs tentatives de ma part pour essayer de savoir ce qu’il me cachait, il répondait invariablement :
— Mais non, ma chérie, je t’assure, je ne te cache rien.

A suivre...
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