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Nelly, amours et fantasmes

Chapitre 10

Episode 5, scène 2

Hétéro
Nos deux amoureux ont passé un début de soirée particulièrement chaud, où Fabrice s’est montré plutôt entreprenant, tout en restant énigmatique. Qu’a-t-il en tête pour la seconde partie de la soirée ?

On continua ce tête-à-tête un peu équivoque jusqu’au café. Nous étions alors dans le canapé lorsqu’il me demanda d’une voix étrange :
— Chérie, je voudrais que tu remettes ta robe blanche.— Mais pourquoi ?— Parce que je te trouve somptueuse dans cette robe.
Il savait s’y prendre pour me demander quelque chose, aussi je cédai à son caprice.
— Oui, bien sûr, puisque c’est demandé gentiment !

Je dégrafai mon corsage, le retirai, tirai le zip de la jupe, la retirai également, défis mon soutif. Il insista pour enlever le string, et m’aida à passer la robe blanche.
— J’avais presque oublié combien tu es belle dans cette robe.— Merci, mais...— Il est temps d’ouvrir le 3eme paquet que je t’ai apporté.
Il me le tendit. Dans le sac, il y avait une boîte, comme les emballages cadeaux de bouteilles. C’était assez lourd, je pensai à du champagne. Il me dit de la déballer.
J’ouvris la boîte, et là stupeur, c’était du gel lubrifiant, un tube énorme taille XXXL. L’ensemble devait faire trente centimètres de haut, dont la moitié était occupée par le bouchon, et pour avoir vu le petit modèle, je savais ce qu’il y avait sous le bouchon.
J’étais stupéfaite, effrayée, intriguée par ce que je venais de déballer.

— Oui, tu vois, je suis passé à la boutique dont tu m’as parlé, et j’ai trouvé cet objet... intéressant.— Mais il est énorme. — Défais le bouchon.
Ce que je fis : le bouchon cachait une canule énorme, conique, de quinze centimètres de long environ.
— Mais chéri, c’est monstrueux.— Mais non ma chérie, tu vas être sublime.— Parce que tu veux...— Oui ma chérie.— Mais je ne pourrais jamais, c’est bien trop gros.— Mais non, guère plus que mon sexe. Viens dans la chambre.— Tu vas me faire mal.— Mais non, je vais être d’une infinie douceur, je crois que tu ne le regretteras pas.
J’étais partagée par la peur que l’expérience soit douloureuse et l’envie de savoir quelles sensations j’allais éprouver avec cet engin entre mes fesses. Finalement, l’envie fut la plus forte et je le suivis à la chambre.
— Relève ta robe et mets-toi à genoux, dans le champ du miroir.
Ce que je fis. Je ne sais pas pourquoi, tout d’un coup je lui obéissais aveuglément.
— Tu vois bien ton joli postérieur dans le miroir, ma chérie ?
Il s’approcha de moi avec le tube de gel et l’approcha de mon anus.
— Je vais en déposer un peu à l’entrée.
Il appuya à peine sur le tube et du gel sorti de la canule, il l’étala avec le bout. Je regardai dans le miroir, et la vision était monstrueuse, un objet de trente centimètres de long et quatre à cinq centimètres de diamètre s’approchait de mon anus. Il appliqua la canule précisément au centre de mon petit trou. Il tenait le réservoir de gel par les deux mains.
— Regarde ma chérie, je vais lâcher le tube et il va s’insérer tout seul en toi.
Effectivement, avec le poids du tube, je vis et ressentis la canule s’enfoncer dans mon anus de plusieurs centimètres. Je serrai les fesses. La canule n’était pas très grosse à cet endroit, mais je la sentais déjà bien, sans que ça soit douloureux.
— Allons ma chérie, détends-toi, desserre les fesses, ça va aller.
Le salaud, il avait envie que ça dure le plus longtemps possible, il prenait un pied fabuleux de me voir ainsi avec ce machin énorme dans le cul. Je desserrai un peu les fesses, la canule s’enfonça encore d’un à deux centimètres.
— Allons chérie, détends-toi.
Détends-toi, il en avait de bonne lui, avec un machin comme ça dans l’anus qui ne demandait qu’à m’écarteler. Je desserrai encore un peu, mais les muscles commençaient à me faire mal. La canule gagna encore un ou deux centimètres. Il jouait la montre, il avait bien compris que je ne pourrais pas serrer les fesses très longtemps, et qu’à un moment donné, je ne pourrais plus tenir. Et ce moment arriva, mes muscles lâchèrent, et la canule s’enfonça encore de deux ou trois centimètres.
— C’est bien ma chérie, on a fait la moitié du chemin.
La canule était enfoncée à peu près à la moitié, mais ce qui restait à l’extérieur était de plus en plus gros. Il ressortit le tube presque complètement, et le laissa retomber, et la canule se renfonça en moi. Il continua ce jeu une bonne quinzaine de fois, et à chaque fois la canule redescendait un peu plus vite, un peu plus profond.
— Regarde chérie, on est presque aux trois quarts.
Et il exerça une forte pression sur le tube, et un flot de gel inonda mon rectum. La position, la vision que j’avais, les sensations extrêmes faisaient que je commençais à être très excitée.
— Allez ma chérie, tu vas voir ça va rentrer tout seul.
Mais il dut pousser l’engin, le ressortir, le repousser, le sortir à nouveau pour l’enfoncer encore de deux centimètres. Il restait encore environ trois centimètres autant que je pouvais voir. Il exerça une forte poussée. J’émis un « ohhh ». La canule commençait à être grosse à cet endroit, j’avais l’impression d’être écartelée, il procéda alors par allées et venues lentes, mais vigoureuses. Les sensations étaient extrêmes, j’étais hyper-excitée.
Petit à petit, la canule rentrait en moi, inexorablement, et à un moment, je ne la vis plus du tout, mais il continua malgré tout ses va-et-vient. J’avais le cul écartelé, je n’éprouvais aucune douleur, mais j’avais le souffle coupé par la grosseur de l’objet qui était en moi. Fabrice ce salaud était toujours en train de faire faire des va-et-vient à la canule, alors que je pensais qu’elle était totalement en moi.
Et puis tout d’un coup, elle s’enfonça brutalement d’un centimètre supplémentaire. Je poussai un « Ohhh » de surprise, c’était vraiment énorme. Je n’avais pas vu qu’après la partie la plus large de la canule, il y avait un pincement, et c’est ce cap que je venais de passer. Je faillis pleurer tellement ce fut intense. Fabrice me dit de bien me cambrer, de bien lever mon postérieur, et il lâcha l’objet. Je vis dans le miroir que j’avais ce truc énorme dans le cul, qu’il tenait tout seul et que ça me produisait des sensations inouïes. Je ne voyais plus du tout la canule, seulement le flacon, et vu d’ici, j’avais l’impression d’avoir une bouteille de vin dans l’anus. La vision était insensée.
Fabrice s’approcha de ma bouche pour m’embrasser, puis me déclara à l’oreille :
— Tu es incroyablement belle et obscène ma chérie. Je ne pensais pas que tu y arriverai, tu es une déesse.
A ce stade, je pensais que la séance allait se terminer rapidement, mais il n’en fut rien. Fabrice retourna vers mon postérieur et entreprit de sortir l’engin. Il me dit :
— Chérie, mets-toi un oreiller sur la bouche parce que tu vas crier très fort.
J’eus peur, mais je fis ce qu’il me dit. Je tremblai, j’avais peur de ce qui allait m’arriver.Il tira sur l’engin pour le ressortir, mais mon anus s’était refermé sur la partie rétrécie. Il dut tirer très fort pour extraire l’engin qui finit par sortir brusquement, m’ouvrant à nouveau l’anus tout aussi brusquement. C’est là que je poussai un hurlement dans le coussin. La canule à moitié sortie, je pensai être enfin libérée. Mais ce salaud de Fabrice voulait vraiment aller au bout de son fantasme.
Il recommença à m’enfoncer la canule fermement. Ça rentrait un peu plus facilement, il poussa à nouveau, jusqu’à arriver au pincement, il fit tourner l’engin en moi, comme pour me dilater encore plus, et poussa encore. Mon anus se referma, et il recommença dans l’autre sens, tira pour l’extraire, ce qui m’arracha un nouveau hurlement. Mais déjà, il le repoussait dans l’autre sens, dépassant le pincement, et là, il exerça une grosse pression sur le tube, un torrent de gel inonda mes entrailles. Puis il le ressortit tout aussi vigoureusement. Il me dit :
— Dis donc ma chérie, tu as l’air d’aimer ça.
Je crois que ça lui procurait un plaisir sadique, et moi j’en éprouvais aussi un mais totalement cérébral, cette vision de moi totalement humiliée, dans cette posture obscène m’excitait infiniment. Ce salaud de Fabrice continuait de faire entrer et sortir la canule de mon anus, m’arrachant à chaque fois un hurlement étouffé par le coussin. Je crois que je jouis, d’un orgasme bestial, et je sombrai. Quand je repris mes esprits, je sentis que j’avais toujours l’engin dans mes fesses, et qu’il y était bien enfoncé. Fabrice me dit :
— Ma chérie, lève bien ton cul que l’engin tienne bien, maintenant tu vas me sucer comme tu sais si bien le faire jusqu’à que je jouisse dans ta bouche.
Et il approcha son sexe de ma bouche. Ah il avait voulu jouer le petit coquin, moi aussi j’allais jouer avec lui.
— Mets un coussin sur ta bouche, je crois que tu vas crier très fort.
Un peu méfiant, il le fit malgré tout. J’attrapai son sexe dans ma bouche tout en attrapant la base de sa queue avec ma main, en serrant bien fort, surtout l’urètre. Je commençais à le sucer, plutôt à aspirer son gland, par petites succions au début, puis de plus en plus fort. Son gland commença vraiment à grossir, il aurait voulu jouir, éjaculer, mais le canal était bloqué par ma main. Je continuai ce jeu sadique un bon moment, histoire de lui rappeler ce qu’il m’avait fait subir, puis enfin le libérai.
Il poussa un hurlement dans le coussin, et un torrent de sperme se répandit dans ma bouche. Pendant de nombreuses secondes, ce fut un écoulement ininterrompu, puis des jets violents, qui finirent par se calmer. Je n’avais pas d’autre choix que de tout avaler et c’est ce que je fis, mais je n’avais pas de soda pour faire passer le tout. Lui aussi reprit ses esprits, je lui demandai gentiment :
— Chéri, aurais-tu l’obligeance de me retirer ce truc énorme que j’ai dans le cul. — Oui ma chérie, je suis à tes ordres.
Il dut encore tirer fort sur la canule pour l’extraire, ce qui m’arracha un nouveau cri, et il me retira enfin l’engin de mon petit orifice, qui à l’heure actuelle ne devait plus être si petit que ça. Je dus courir aux toilettes, car j’avais l’impression d’avoir des litres de gel dans le derrière qui ne demandait qu’à s’échapper de mon anus béant. J’allais prendre une douche, j’y restai longtemps, avec l’impression que l’eau me purifiait.
Quand je revins dans la chambre, la première chose que je fis c’est de déplacer les miroirs pour pouvoir voir mon pauvre derrière. Il n’était pas rouge, ce qui était bon signe, tout au plus un peu distendu. Je n’avais pas mal non plus, je mis malgré tout une bonne dose de crème hydratante, et je massai bien pour faire pénétrer la crème.
L’engin était posé sur la table de chevet. En le prenant, je sentis qu’il était presque vide, puis je regardai plus attentivement l’objet qui m’avait écartelé l’anus. Sur le flacon, il y avait une photo d’un mec en débardeur et casquette en cuir, portant le tube sur l’épaule, on comprenait de suite à qui ça s’adressait ! Et tout d’un coup, j’eus un flash : si au lieu du gay, on mettait ma photo avec le tube enfoncé en moi jusqu’à la garde, ma robe blanche retroussée, est-ce que cela aurait été plus vendeur ?
Je regardai aussi la canule, un point me rassura, il n’y avait pas trace de sang. Elle devait faire environ quinze centimètres de long, et sa base était à peu près du diamètre d’une bombe de laque, puis ce pincement qui m’avait arraché des hurlements.
Puis je m’intéressai à Fabrice. Il était prostré sur le lit, il regardait son kiki. Le kiki n’était pas très beau à voir : même au repos, le gland était énorme, tout rouge, il n’arrivait même pas à le recalotter.
— Il a bobo à son kiki mon chéri.— Tu as vu ce que tu lui as fait ?— Tu as vu ce que tu as fait à mon cul ?
On éclata de rire !
— Excuse-moi chérie, je crois que je suis allé beaucoup trop loin. L’autre fois quand je t’ai vue avec le tube de gel dans ton derrière avec ta robe blanche, j’ai eu le fantasme de refaire la même scène avec le tube plus gros. Mais celui-ci était vraiment très gros, je te le concède. Cela étant tu étais absolument divine, une déesse de la pornographie. — Je vais devenir une actrice porno avec toi !— Jamais je veux te garder pour moi tout seul. — Allez fais-moi voir ton kiki, je vais lui mettre un peu de crème hydratante, et il va rapidement revenir à la normale. — Fais doucement.
Je le badigeonnai de crème et le massai jusqu’à ce qu’elle ait totalement pénétré.
— Merci ma chérie, ça va déjà mieux. Dis-moi, tu veux pas remettre ta robe blanche ?
Je voyais bien où il voulait en venir, je remis la robe blanche, qui était pleine de taches de sperme et de gel, ainsi que les escarpins à talons. Je savais à peu près ce qu’il allait me dire. Il m’enlaça et me parlant doucement à l’oreille :
— Madame est-ce bien vous avec qui je viens de réaliser un fantasme consistant à enfoncer un tube de gel énorme dans votre anus fragile ?— Oui monsieur, c’est bien avec moi.— Qu’est-ce que vous étiez belle quand vous aviez cet objet énorme entre vos fesses, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau.— Sachez monsieur que cet engin énorme m’a procuré des sensations extrêmes et totalement inconnues et un plaisir inavouable, mais je ne renouvellerai pas l’expérience de sitôt. — Madame, que puis-je faire pour me faire pardonner ?— Peut-être lui prodiguer quelques douces caresses avec votre langue ?— Dans ce cas si madame veut bien remonter sa robe et se mettre sur les genoux ?— Avec plaisir.
Ce qui fut fait, et il recommença à me masser doucement mon petit derrière avec sa langue. C’était juste pour achever de détendre mon petit trou après ce qu’il avait subi. Et ça marchait, Fabrice le faisait doucement, c’était très relaxant et j’en avais besoin. Je le laissai faire quelques minutes, histoire que ma petite fleur revienne totalement à elle, et lui dit qu’il pouvait arrêter. Il était un peu déçu.
— Comment ça, madame est déçue ?— Non, mais madame est fatiguée après l’énorme engin que vous lui avez inséré dans son intimité anale. — Madame voudrait dormir ? — Oui mon chéri, madame voudrait dormir.— Ahh, madame n’a donc pas apprécié cette expérience ?— Si, mais c’était très physique et là je suis claquée.
Je sentais bien qu’il avait encore envie de faire l’amour, mais j’étais vraiment claquée par ce que je venais de vivre, physiquement et nerveusement, car j’avais beaucoup stressé.
Et puis il venait de réaliser un fantasme insensé, il pouvait prendre un peu de recul pour l’apprécier pleinement.
Il se rhabilla et on se donna rendez-vous pour le jeudi suivant. Le baiser de départ fut beaucoup plus bref qu’habituellement.Il partit, j’allai me coucher et m’endormit immédiatement.

A suivre...
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