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Chapitre 4

Hétéro
Elle devrait être rassasiée et pourtant elle en veut encore, elle en veut plus.
Elle le regarde du coin des yeux et sourit.
Il est pensif, le film n’en est même pas à la moitié, la journée est loin d’être finie.
Pendant presque une demie heure elle reste contre son épaule et ressent juste comme un petit frisson quand il frôle son sein du bout des doigts.
Ce qui n’était qu’une caresse anecdotique prend de plus en plus d’ampleur et son sein commence à devenir très sensible, trop sensible peut-être à son toucher.
La caresse revient quand elle ne s’y attend plus et chaque fois la sensation est un peu plus présente.
Elle n’est pas certaine d’aimer ce traitement mais pourtant ce frisson commence à la démanger.
Le bras se retire.
Il s’écarte d’elle pour relever l’accoudoir puis se rapproche et la couche sur ses cuisses.
Dans cette position, elle ne le voit plus lui mais vois toujours l’écran et il dispose d’un meilleur accès pour la caresser où qu’il veuille.
Elle est ravie de sentir une main revenir sur son sein, elle pourrait même aimer cela tout comptes faits.
C’est la main gauche qui procure la caresse désormais, la droite, elle, est passée sous le t-shirt et lui caresse le ventre, à la limite du pubis.
Elle n’aime pas trop les caresses sur cette partie de son corps mais elle ne veut pas lui dire, elle l’a déjà fait quelques fois.

Comment le faire bouger sans lui donner l’impression de le repousser?
Elle ouvre son pantalon et l’abaisse jusqu’aux genoux.
Il peut désormais la caresser plus bas si l’envie lui en prend et elle espère qu’il comprendra la suggestion.
La main continue pourtant sa caresse sur le ventre mais elle s’aventure de plus en plus souvent sur les poils de son pubis, descendant lentement vers des zones dont elle ne remontra plus.
Elle est là, couchée à demi nue dans une salle publique, une main lui caresse le sein gauche et une autre joue maintenant dans les replis de son sexe. Elle voudrait être moins excitée par cette mise en scène mais elle se sent à nouveau en feu.
Ces doigts qu’elle ne contrôle pas se jouent d’elle, n’en font qu’à leur guise, entrant, sortant, disparaissant, pinçant, caressant selon un rythme qu’elle voudrait plus rapide.
Son jeu est lent mais elle résiste à l’envie d’y prendre part de ses propres mains.
Il entre régulièrement trois doigts dans son sexe. Ses mains sont grandes, ses doigts bien plus larges que les siens et il les enfonce aussi loin qu’il peut. Elle aime cette sensation.
La main disparaît et quand elle revient, elle tient quelque chose, un objet dont elle a du mal à distinguer la forme ou la nature dans cette salle obscure.
Le contact sur son sexe la surprend.
Du tissus!
Un sorte de dentelle peut-être?
Son string!
Il y a si longtemps qu’elle le lui a donné qu’elle l’avait complètement oublié et le voilà qui revient lui chatouiller les cuisses et les lèvres.
Agréable sensation, très agréable même.
Lorsque les doigts la pénètrent à nouveau, le tissus les accompagne, elle ne peut empêcher un petit cri de surprise.
Les doigts ressortent mais laissent un bout de la culotte derrière eux, bien enfoncée dans son sexe.
La sensation est étrange, très étrange, mais une vigoureuse caresse sur son clitoris lui rappelle le plaisir que tout ceci lui procure et quand ensuite il tire lentement sur le tissus, elle en éprouve des frissons dans tout le corps. Elle sent son sexe se contracter au passage des boucles et des nœuds de la dentelle.
Délice trop court.
La main la pénètre et enfonce à nouveau une partie du string au passage. Elle ressort et entre, poussant un peu plus de tissus dans son sexe.
Le sentir là et puis le sentir sortir lentement quand il tire dessus est une torture délicieuse.
Le manège se répète. Chaque fois il enfonce un peu plus de tissus en elle et chaque fois le frissons qu’elle ressent lorsqu’il le retire la rapproche de l’orgasme.
La main gauche a abandonné le sein et s’occupe maintenant du clitoris.
Les doigts enfoncent une nouvelle fois son string, cette fois, ils n’en laissent rien ressortir, toute la culotte est boule au fond de son sexe.
Sur le clitoris, la caresse s’accélère encore. L’orgasme la frappe au moment où il lui enfonce un doigt dans le petit trou sans en avoir laissé rien présumer. Cette intrusion inattendue provoque l’explosion de son plaisir.
Elle n’en revient pas de cette situation, de cette sensation nouvelle.
Il l’essuie et le contact frais des lingettes prolonge la conscience de ce plaisir et lui envoie des frissons dans tout le corps.
Elle a envie de rester là comme ça, à demi nue, couchée dans ses bras et le sentir la désirer. Elle n’a plus envie de caresses pour le moment mais elle veut prolonger le moment.
Le string est toujours en place et lui donne une sensation de pression à la limite de l’inconfort qui lui rappelle sans cesse les délices qu’il lui a procuré et ceux qui viendront encore lorsqu’il sortira. Elle n’y touchera pas. lui seul décidera du temps qu’elle devra le garder, seuls ses doigts pourront le ressortir.
Le film se termine, elle n’en a presque rien suivi, il n’avait pas l’air terrible.
Elle remonte son pantalon et essaye de remettre un semblant d’ordre dans les cheveux.
La lumière revient, ils sont vite hors de ce cinéma et retrouvent l’anonymat de la rue.
La nuit n’est pas encore tombée, la soirée débute mais ils se sentent tous les deux assez fatigués et décident de prendre un taxi pour rentrer.
Le trajet est calme. Tous deux semblent perdus dans leurs pensées tout en jetant régulièrement de petits regards obliques vers l’autre.
Tout à coup, elle se penche vers lui, lui passe les bars autour du coup et l’embrasse.
"Merci" lui dit-elle très bas, "je n’aurais jamais imaginé y parvenir autant"
Il sourit
"Franchement, sept fois, c’est énorme" ajoute-t-elle en souriant.
"Sept fois?" Il semble étonné. "deux fois ce matin, deux dans le parc et deux au cinéma, j’en compte six moi"
"A midi, quand tu m’as demandé de retirer ma culotte. Je ne sais pas si c’était ça ou une suite des caresses de la salle de bain, quand tu m’as rasée, j’avais peur d’être coupée et en même temps c’était terriblement stimulant. Bref, je ne sais pas pourquoi mais quand je me suis retrouvée dans les toilettes, après avoir enlevé mon pantalon et mon string, j’ai eu super chaud. J’étais trempée alors je me suis assise, les jambes bien ouvertes et j’ai mis tout de suite trois doigts et je me suis caressée le clito en même temps. C’est venu très vite. C’était bien, très bien".
Il ne répond pas, semble songeur.
"Donc ça fait sept pour moi" conclut-elle avec un sourire coquin.
"C’est encore mieux que je ne pensais". Il sourit également. "Je vais le faire une fois seul moi aussi alors"
"Oh, vilain" elle a cette moue adorable qui se termine langue à demi sortie.
Il l’embrasse à son tour.
"Je fais ce que je veux de mes érections"
"Seulement si tu veux que je te punisse encore" elle rit. "La prochaine fois je t’attache et te force à regarder." Elle tire à nouveau la langue, difficile de dire si elle est sérieuse ou non.
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