Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 67 J'aime
  • 0 Commentaire

Nicole et sa fille

Chapitre 8

une seule bite pour deux générations

Avec plusieurs femmes
Nicole et sa fille. Une seule bite pour deux chattes.2

StéphaniePutain ! Je n’aurais pas cru ma mère aussi chaude ! Il est vrai qu’aux yeux des enfants, on ne réalise pas toujours que nos parents ont connu l’amour avant nous et peuvent eux aussi s’éclater en faisant des galipettes.Pierre bande à nouveau comme un dingue après le spectacle en gros plan de nos chattes.Je me saisis de son pénis. Ce que j’apprécie chez lui, c’est qu’il rebande très vite et qu’il lui reste encore assez de ressources pour nous satisfaire pleinement. J’adore garder en bouche son sexe doux et chaud quand il éjacule et me fait don de son sperme épais et savoureux. Au début, je n’appréciais pas mais maintenant j’avale tout et m’en régale et même en redemande.
 - Maintenant, je vais vous enculer! Nous informe-t-il.Il est si beau et la partie de son corps que je préfère est cette tige pharaonique splendidement dressée comme l’Obélisque sur la place de la Concorde. Je n’ai pas besoin de fantasmer sur sa taille. Elle est si imposante que j’en ai plein les yeux… et plein les mains ! Je l’ai tellement dans la peau que dès que sa bite si raide et si douce envahit ma chatte, je suis au Nirvana. Je n’ai jamais connu avec un autre homme un tel bonheur.Je ne me lasse jamais de la câliner comme maintenant, de la caresser, de la sucer. Même après l’effort, quant elle perd de sa superbe, elle impose toujours le respect. Je suis aux anges quand je la vois se redresser fièrement, et devenir dure et longue et si épaisse sous mes caresses.Il m’a aussi initiée à la sodomie. Il m’a fallu un certain temps avant d’y prendre un réel plaisir. C’est une jouissance trouble, plus cérébrale que physique. Mais je ne crois pas que ma mère n’ait jamais pratiqué ça. Enfin… Qu’est ce que j’en sais ?Il met ses doigts dans sa bouche pour les enduire de salive et glisse la main entre mes fesses. Je l’aide comme je peux pour lui faciliter la tâche. Deux doigts rentrent comme dans du beurre dans mon anus tellement je suis ouverte, prête à le recevoir.Sans un mot, je me mets à l’envers sur lui pour empaler mon petit trou sur sa queue. Je présente mon œillet à son défonce-cul. Je saisis d’une main son sceptre et d’un coup, introduit le gland trigonocéphale dans mon anus. Une fois le portail passé, je fais visiter à cette intrus ce long couloir sans fin puis monte et descends telle une furie sur cet axe d’airain. Je la fais ressortir puis m’empale à nouveau, encore et encore, poussant des râles et des « han » sous l’effort. Je suis comme dans un état second, me perforant toute seule. Mais il décide de reprendre l’initiative. Il passe ses mains sous mes cuisses qu’il décolle du sol. Je ne peux plus rien faire, c’est lui qui tient le manche. Enfin… Façon de parler.Il se redresse d’un formidable coup de reins et je me retrouve suspendue dans le vide, uniquement retenue par ses bras puissants et ce pieu solidement enfoncée dans ce puits sans fond.Je m’accroche comme une noyée à son corps puissant et m’abandonne à la houle de ses coups de boutoir qui me poussent toujours plus loin vers le plaisir. Quelques coups de reins surpuissants me suffisent pour me faire jouir comme une folle. Quand il réalise qu’il est arrivé à ses fins, il me repose à terre et se désaccouple de mon cul.
-A toi maintenant, Nicole !
Il positionne maman en levrette pour la prendre par-derrière. Je lui fais les gros yeux et me précipite pour l’interrompre.-Laisse-moi au moins quelques minutes pour la préparer au supplice du pal ! C’est une novice par là !Je lui lèche le petit trou, y enfonce un puis deux doigts oints de ma salive puis applique du gel anal avant de demander au pourfendeur de se présenter à l’entrée des artistes.Je guide sa poutre. Il met ses mains sur le dos de Maman et avance lentement son bélier.Même avec le gel, il éprouve des difficultés pour dérider cet œillet fripé trop serré.Pierre lui explique comment il va procéder :-Détends-toi donc un peu, tu es toute raide ! Je vais compter jusqu’à trois et pousserai pour faire au moins pénétrer la tête de ma teub ! Un…Maman hurle de douleur, surprise par l’envahissement de son postérieur par le braquemard de Pierre qui n’a pas attendu pour la forcer. Le gland et plusieurs centimètres ont disparus entre les fesses de ma mère.
-Putain de salaud ! Comment as-tu !Mais maintenant, comme à son habitude de mâle dominateur, il n’a cure de ces remontrances. Il l’empale d’un coup pour se retrouver bien à fond. Elle se tortille de douleur. Ma mère gémit sous le joug de mon amant qui commence à la seriner avec sa grosse dague. Il la baise par-derrière pour la première fois, et ce ne sera sûrement pas la dernière ! -Bordel de Merde ! Pas une pour rattraper l’autre ! Deux chaudasses du cul !Il faut bien deux minutes pour que maman se détende et enfin commence à éprouver du plaisir par le cul. Maman halète, de petits cris s’échappent de ses lèvres à chaque ruade de Pierre. Les seins de ma chère maman remuent tellement que Pierre les prend à pleines mains et s’en sert comme de points d’appui, s’engouffrant encore plus loin dans son fondement.Quand enfin Pierre sent que ça vient, il se retire et présente à nos bouches avides sa lance bientôt prête à cracher en nous ordonnant :
-Sucez-moi le plus loin possible ! Je ne veux pas vous entendre ! Nicole, à toi !Elle se rebiffe mais il ne lui laisse pas le choix. Il écrase sa queue contre les lèvres de ma mère et lui pince le nez. A peine ouvre-t-elle la bouche qu’il s’engouffre dedans, poussant la pénétration buccale encore plus loin que d’ordinaire. Elle a des haut-le-cœur mais comme un brave petit soldat obéit à ses ordres et commence à le sucer.Il passe ensuite à moi mais je ne rechigne pas à la tâche.En quelques instants, il atteint le point de non-retour et sort sa pine de ma bouche pour éjaculer.-Serrez-vous, les filles ! Y en aura pour tout le monde !Pierre se branle devant nous, faisant monter le jus de couilles dans son tuyau et nous gratifiant de copieuses giclées de son foutre chaud que nous nous sommes partagées entre mère et fille. Un vrai délire (et un vrai délice) ! Les deux concurrentes sont devenues complices pour le plaisir de leur mâle.Réalisant ce qu’il vient de faire subir à ma mère, (qui est toujours sa patronne), il s’excuse :
-Excuse-moi Nicole ! Je me suis laissé emporter !-Excuses acceptées ! Mais souviens-toi maintenant que tu devras filer droit dans cette maison. Maintenant que tu devras honorer la mère ET la fille ! Quel plaisir nous allons avoir tous les trois, mes doux Chéris ! Et maman se saisit de la bite encore humide de nos salives et la reprend en bouche. Il se laisse aller à ce plaisir. Elle le suce très lentement en tenant par la base cette chose devenue flasque. Elle accélère la cadence, le suçant lentement en tournant la langue autour de son gland en me regardant d’un air complice, pour réveiller encore une fois ce monstre.Comme si s’était évident, elle prend le temps de me préciser :— La bite de mon futur gendre fait vraiment des merveilles.
Il nous a reprises ensuite plusieurs fois dans la soirée.Quand épuisé, il nous a laissée ivres de bonheur, nous étions rassasiées de plaisir comme jamais. Dans nos bras, il a dépassé ses limites, nous faisant découvrir l’ivresse bouleversante que ne peuvent connaître qu’une mère et sa fille dans des circonstances assez spéciales.
— Oh putain j’adore ta grosse bite !Ce fut la phrase de ma mère qui clôtura cette folle nuit. Mais rassurez-vous, c’était la première d’une longue série.
Diffuse en direct !
Regarder son live