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Nicole à la Piscine

Chapitre 1

Divers
Je lis très régulièrement les histoires rédigées par d’autres et à mon tour, je me décide à vous apporter ma contribution. Il s’agit d’une vraie correspondance que j’ai échangée avec un parfait inconnu. Ensemble, nous partagions nos fantasmes et aujourd’hui, je vous les livre. Je précise que je suis mariée et que j’ai trouvé cette expérience très excitante.
Nicole à la piscine Tu es à la piscine. Il n’y a pas grand monde. Mais bien entendu, quand tu es entrée, tous les regards se sont portés sur toi. Il faut dire qu’avec ton maillot de bain, si on peut appeler ça un maillot de bain, le morceau de tissu, a du mal à cacher ta poitrine et la ficelle de ton string s’est détachée et il est tombé. Tu te penches lentement pour le ramasser, cachant d’une main ta nudité d’un air faussement effarouché, mettant tes fesses rebondies dans l’axe de vue du maître-nageur. Il n’en rate pas une miette. Tu te rhabilles maladroitement tout en jetant un regard en coin vers lui et tu vois avec soulagement que son slip de bain s’est fortement tendu, il s’en rend compte et se précipite, gêné sous la douche. Sa réaction t’amuse, mais tu te rends compte que toi aussi, ce petit épisode t’a excitée et que l’eau de la piscine te calmera en attendant de rentrer sagement retrouver ton mari.
Tu nages quelques longueurs, mais le désir est là et tu penses à la dernière fois où tu as pris ton pied. C’était ce matin après le départ de ton mari, tu as pris ton gode et tu t’es faite hurler de plaisir. En y repensant, une seule idée t’obsède : ton gode. Vite, rentrer à la maison et jouer avec ton gode. Tu sors de l’eau et tu te précipites dans ta cabine.
Dans ta précipitation, tu oublies de fermer la porte et celle-ci s’est légèrement entrouverte. Des gouttelettes d’eau ruissellent sur ton corps, tu es nue et tu commences à t’essuyer. Tout d’un coup, tu sens une présence derrière toi, tu te retournes et tu vois un petit vieux qui te mate d’un air vicelard.
Il pénètre dans la cabine et appuie sa bouche sur la tienne. Aussitôt, sa main se faufile entre tes cuisses et il s’aperçoit bien vite que tu en meurs d’envie, tu es trempée.
Entre lui et le maître-nageur, tu aurais préféré le maître-nageur, il est plus jeune, plus grand, plus musclé, maintenant, il te fait te mettre à genoux et t’enfonce sa queue dans la bouche. Entre une vraie et un gode, autant choisir une vraie. Tu t’exécutes et ça te rappelle le lycée quand tu suçais tes camarades de classe dans les toilettes pendant la récréation. (Mais ça, c’est une autre histoire).
— Dis grand-père, elle est bonne ?
Tout à ton affaire, tu n’as pas entendu arriver le maître-nageur. Et la bouche pleine, tu l’entends discuter avec le vieux sur ta façon de faire. Tu as l’impression qu’ils discutent d’une vulgaire marchandise, mais cette marchandise, c’est toi ! Tu es horrifiée et la honte t’envahit.
— Attends grand-père, je vais la prendre, ça va lui faire tout drôle de se faire mettre par un vrai mâle.— Vas-y gamin, sa bouche me suffit.
Il appuie son sexe sur le tien, ça rentre immédiatement tant tu en as envie. Bien sûr, tu aurais préféré un peu moins de vulgarité, surtout venant d’un homme aussi beau, tu aurais aimé un peu plus de tendresse, à côté de ça, tu es tombée sur un macho de la pire espèce. Le genre d’homme pour qui les femmes ne sont que des trous à boucher. En attendant, il te fait du bien.
— Ah, je jouis.
C’est le vieux, il inonde ta bouche de son sperme, et se retire pour finir son éjaculation sur ton visage. De dégoût, tu fermes les yeux, et tu essayes de l’éviter en tournant la tête. Au moment où tu allais prendre enfin ton pied tant désiré, le maître-nageur se retire et gicle sur tes fesses. En ajoutant " Encore une que j’ai régalée, t’as aimé ça hein poupée ? Ca m’étonne pas, je suis le meilleur. "Il prend ta serviette et s’essuie la queue avec et disparaît comme il était venu avec le vieux.Tu n’as pas pris ton pied, et tu n’en as plus envie tellement tu as honte d’avoir fantasmé sur un homme aussi beau, mais aussi nul à faire jouir une femme. Rapidement, tu prends une douche et tu te rhabilles. Tout en sortant, tu entends deux voix qui discutent. Voix que tu reconnais : celle du maître-nageur.
— Alors ça t’en fait combien ?— Avec celle-là, c’est la 17e cette semaine.— T’es un vrai tombeur !— Ouais, faut dire que celle-là, ça faisait un moment que j’la matais avec sa minijupe ras-la-moule et ses maillots de bain allumeurs.
Tu n’entends pas le reste de la conversation, tu montes rapidement dans ta voiture et tu disparais. En te disant que demain, il faudra trouver une autre piscine.
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