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Ma nièce

Chapitre 8

Trash
Résumé des chapitres précédents : j’ai débarassé mon adorable nièce Marine de son pucelage, elle y a pris goût, et je complète peu à peu son éducation sexuelle : levrette, cunilingus, fellation... L’élève est douée et se libère de ses inhibitions. Elle a découvert le plaisir du 69, de me faire l’amour, de le faire en pleine nature... Dans le chapitre 7, une petite gâterie dans une cabine d’essayage, avec une voyeuse pas seulement passive...
CHAPITRE 8 : ALIXE ==================
Chouette ! Aujourd’hui revient Marine ! Elle m’a demandé si gentiment si elle pouvait amener sa copine Alixe que j’ai tout de suite accepté. Pourvu simplement qu’elle nous laisse quelques moments d’intimité... Elle se connaissent depuis une bonne huitaine d’années, passent leurs vacances ensemble, dorment l’une chez l’autre, ce sont presque deux soeurs. J’en ai souvent entendu parler, mais je n’ai jamais vu Alixe. Quelle tête peut-elle avoir, avec un prénom pareil ? Déjà, moi, ce prénom m’évoque plutôt un personnage de bande dessinée, jeune grec toujours accompagné de son ami Enak... Marine m’a décri sa copine comme une petite blonde, je me méfie un peu du genre filasse et molasse... Tout ce dont je suis certain, c’est qu’elles ont le même âge.
Elles n’arrivent qu’en fin d’après-midi, et je suis tout de suite rassuré quant à Alixe : elle est en effet petite, les cheveux blonds très courts et très colorés, deux yeux turquoise immenses pétillant d’intelligence, le sourire éclatant et démesuré, vive et décontractée. Ouf, ce n’est pas une blondasse mièvre, me voilà rassuré sur son compte, et elle me plaît même tout de suite.
Marine lui fait visiter toute la maison, le jardin. - ’Super, la piscine, tu ne m’avais pas raconté de salades !’ s’écrie Alixe, puis, se tournant vers moi : ’Marine m’a dit de prendre un maillot de bain, on peut se baigner maintenant ?’ Aussitôt dit, aussitôt fait, les filles courent jusqu’à leur voiture, sortent leur sac et filent se changer. Elles reparaissent rapidement, Marine dans un deux-pièces noir mettant en valeur sa peau hâlée, Alixe dans un maillot une pièce sans bretelle, turquoise comme ses yeux. Marine, grande et mince, au corps nerveux, Alixe, plus petite et plus ronde, plus musclée. Je n’ai pas eu à me changer et je suis déjà dans l’eau, les filles me rejoignent en courant. Marine, arrivée la première, plonge dans l’eau sur sa lancée, à quelques centimètres de moi, m’arrosant copieusement. Avec trois foulées de retard, Alixe saute aussi, un plongeon parfait qui lui fait toucher l’eau sans une éclaboussure, juste devant moi. Elle passe sous mes pieds, je me tourne pour suivre sa trajectoire sous l’eau, et elle refait surface devant moi. C’est une vraie sirène, cette fille. Elle est à l’aise dans l’eau comme peu de gens.
Ce qu’elle ne remarque pas, c’est que dans son plongeon, le haut de son maillot s’est replié vers le bas, dévoilant totalement sa poitrine. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais... Pas de trace de bronzage, sa peau est uniformément claire, ses seins généreux flottent joliment sous la surface. Reprenant pied et constatant sa demi nudité, au lieu de se rajuster elle décide de rouler simplement son maillot jusqu’à la taille, laissant ses seins libres. Ce que voyant, Marine, contrairement à son habitude devant d’autres personnes, dégrafe son soutien-gorge et le jette dans l’herbe. Les coups de soleil qu’elle avait pris quand nous avions fait l’amour ici même se sont estompés, laissant une belle coloration un peu plus claire que sur le reste de sa peau. Elle a des seins plus petits que ceux d’Alixe, mais plus nerveux, plus hauts. Nous profitons de la douceur de l’eau pendant une bonne heure, nageant et plaisantant, rigolant de tout et de rien, du bonheur d’être dans cette eau claire et tiède. Furtivement, je parviens à frôler Marine, à la toucher une fois ou deux, mais je n’ai pas l’occasion de pousser plus loin. Nous sirotons un jus de fruit, plus ou moins allongés sur les matelas de bain, laissant au soleil le soin de sécher notre peau. Alixe a roulé son maillot très bas sur ses hanches, à la limite du pubis pour bronzer au maximum. C’est vrai qu’elle est joliment faite, les épaules larges et musclées et la taille étroite d’une nageuse entraînée. Une demi-douzaine de kilos doivent l’empêcher de faire de la compétition, ou en tous cas de monter sur le podium, mais donnent à son corps des rondeurs agréables, naturelles. Ajoutons à cela une conversation intelligente et drôle, elles forme avec Marine une paire d’amies distrayantes, agitées, dont la compagnie ne me lasse pas, même si je regrette de n’avoir pas eu encore avec ma nièce des moments plus intimes. Leurs corps étendus lascivement au soleil enchantent mes yeux, leurs histoires et leurs rires réjouissent mes oreilles, l’après-midi est délicieuse. Je vais chercher ma caméra vidéo, et j’engrange quelques images de cette scène calme et belle. Mais les deux filles, après s’être chuchoté quelques mots, se relèvent, remettent en place leurs hauts de maillot, et s’enveloppent dans des serviettes de plage. La caméra les gêne ? Pas du tout : elle m’organisent au contraire un petit sketch improvisé de strip-tease... Chantonnant un air plus ou moins juste, elles virevoltent, quelques effets de serviette laissant entrevoir une cuisse ici, un ventre là. L’une après l’autre, elles abandonnent leurs serviettes avec des mimiques étudiées, comme si elle ôtaient une grande cape. Leur sérieux ne dure pas bien longtemps mais leurs fou rires leur vont bien. Mon oeil rivé au viseur n’en perd pas une miette et les deux filles, pas du tout effarouchées par l’objectif, continuent leur strip-tease. Elles font ça en rigolant, mais elles savent mettre en valeur leurs corps, et le résultat est tout à fait réussi et convaincant. Avec des mimiques à la Marilyn Monroe, Marine dégrafe son soutien gorge, l’ôte en abritant ses seins derrière ses mains. Puis, écartant les doigts, elle fait apparaître et saillir ses tétons, excités par la mise en scène, pour enfin montrer sa poitrine. Gros plan sur ses tétons érigés, panoramique sur son ventre plat. A son tour, Alixe commence à rouler le haut de son maillot, dévoilant centimètre par centimètre le haut de sa poitrine, s’arrête avant d’en atteindre la pointe, dévoile un téton, puis l’autre, roule enfin le tissu sous les seins. Sans complexe, elle les met dans ses mains en coupe pour les présenter à la caméra, avec une mine lascive, mais éclate de rire au milieu de la scène. Seins qui tressautent en gros plan, et je ris aussi. Elles continuent toutes les deux à se trémousser devant la caméra, puis Marine reprend l’initiative, commence à baisser sa culotte. Face à l’objectif, elle passe deux doigts de chaque main dans la ceinture de son maillot, et lentement, commence à descendre. Jusqu’où ira-t-elle ? Je la crois trop timide pour se mettre nue devant quelqu’un. Mais après tout, Alixe l’a peut-être déjà vue comme ça ? La culotte continue à descendre, dévoilant la peau claire sous le tissu, et au moment où je sais que sa toison va apparaître, elle se retourne, dos à la caméra. Bien joué ! J’en suis pour mes frais... Glissant les doigts en arrière, elle descend quand même sa culotte jusque sous ses fesses et les agitent devant l’objectif. Alixe prend la relève, continue à rouler le tissu de son maillot, dévoile son ventre lisse, un adorable nombril, continue à descendre. Et elle, jusqu’où ira-t-elle ? Pour l’instant elle continue, libérant ses hanches étroites, remuant joliment son bassin en rythme avec une musique imaginaire. La moitié de ses fesses est déjà à l’air, et le tissu continue à s’enrouler. Elle s’arrête une seconde, puis d’un geste brusque descend le tissu jusqu’à ses cuisses en se retournant. J’ai à peine le temps de distinguer une toison toute aussi blonde que ses cheveux et le renflement de son mont de vénus, que ses fesses emplissent tout entier le viseur. La culotte à mi-jambes, elle tortille ses fesses, rejointe par Marine qui la suit en mesure. Charmant spectacle des deux filles nues, de dos, la culotte baissée, exhibant leurs fesses à la caméra. Elles terminent leur scène dans un double éclat de rire, se séparent en remontant leurs maillots et se retournent vers moi, contentes d’elles. Le tissu de son maillot roulé serré glissant mal, j’ai cette fois largement le temps de filmer en gros plan le sexe d’Alixe : blond, bombé, c’est un fruit charnu et épanoui, séparé verticalement par une fente ombrée, comme les deux moitiés d’un abricot tout rose. C’est toujours ça de pris dans la caméra, j’aurais des images charmantes à me repasser cet hiver ! Les deux complices s’étendent à nouveau sur les matelas, et je profite de la situation pour gaver ma caméra de gros plans : les bouts des seins érigés de Marine, les grands yeux turquoise et rieurs de Sophie, son petit nombril rond, l’intérieur soyeux des cuisses de Marine, les seins ronds d’Alixe. Elles me traitent de voyeur - c’est vrai - mais se montrent ouvertement exhibitionnistes ! La séance terminée, je les laisse là, et je rentre à la maison pour inventorier un peu les réserves de nourriture pour le dîner. En fait, j’espère secrètement que Marine me rejoindra seule, avec l’intention de lui montrer les effets de leur strip-tease sur une partie de mon individu... Je trouve en effet tout ce qu’il faut pour notre repas, mais je reste seul... Pour prolonger ma présence dans la maison, je vais me doucher : après tout, Marine m’y a déjà rejoint une fois, non ? Mais j’ai largement le temps de me rincer, de me savonner, de me rincer à nouveau, de me sécher... Toujours seul. Sans me rhabiller, je passe dans ma chambre, mais seul un faible courant d’air caresse mon corps nu. Belle et gentille, Alixe, mais elle ne pourrait pas me laisser un peu Marine ? Résigné pour l’instant, je passe un bermuda en jean, et je prépare un solide apéritif que j’emporte sur un plateau jusqu’à la piscine. Il était temps que le soleil décline, Alixe commence à prendre quelques larges coups de soleil ! Dans la lumière maintenant plus douce, nous buvons en discutant de tout et de rien, tout à notre plaisir de cette fin de journée délicieuse. Le corps des deux filles se colorent d’une teinte cuivrée, les ombres de leurs formes se dessinent avec plus de relief. Elles sont belles et désirables toutes les deux... Marine vient s’asseoir devant moi, s’appuie contre mon torse, juste ce qu’il faut pour faire ’amical’, trop pour me laisser indifférent, pas assez pour mon goût, mais les apparences restent sauvent.
Un verre, deux verres, l’esprit déjà vif d’Alixe s’anime encore plus, elle raconte un peu n’importe quoi mais elle est tellement rigolote que nous pouffons de rire tous les trois. Un immense soleil rouge se couche à l’horizon quand nous rentrons finalement dans la maison. Les deux filles vont se doucher : Marine aura-t-elle l’idée de prendre la sienne dans ma salle de bains, dont une porte donne directement dans ma chambre ? Fichtre, non, elles se rincent tour à tour dans celle qui est à côté de la chambre de Marine, il m’est impossible d’aller la rejoindre discrètement... Le dîner est néanmoins à l’image de cette journée, plaisant, animé. Le vin colore les joues des deux amies, les yeux immenses d’Alixe sont pétillants de malice et de gaieté, leur étonnante couleur turquoise semble illuminer la pièce. Marine pleine d’humour comme à l’accoutumé, nous faire rire continuellement.
Le plein de soleil a quand même épuisé Alixe, qui lance le signal du coucher. Manque de pot, les deux filles choisissent de dormir dans la même chambre : ce n’est ni la place ni les lits qui y manquent, mais je serais bien venu discrètement pendant la nuit câliner Marine ! Bisous, les filles ! Bonne nuit, les filles !
Je me réveille vers le milieu de la nuit, et, à pas de loup, je vais jusqu’à la porte de leur chambre. Elles dorment toutes les deux, mais mon dernier espoir d’approcher secrètement Marine disparaît, le visage d’Alixe étant tourné vers moi, je n’ose pas entrer. Je me recouche, mais il me faut longtemps avant de m’endormir, trop excité pour retrouver mon calme...
Je rêve. Je rêve que suis au lit et qu’une douce main féminine caresse ma peau, descend jusqu’à mon sexe qu’elle palpe, agace, caresse. Je rêve que mon sexe se dilate, s’allonge, remplit sa main qui continue son mouvement. L’excitation me réveille mais mon rêve continue : une main féminine entoure mon sexe érigé, le masturbe doucement. Marine est enfin venue ! Il fait très sombre dans la pièce aux volets clos, je distingue à peine une ombre, assise presque au pied du lit. Elle se penche en avant, posant sa joue sur mon ventre, sa silhouette se dissociant alors d’une autre, assise à côté d’elle. Les deux filles sont donc là... Je reste immobile, continuant à simuler le sommeil. Qui me tient dans sa main ? Quelle est la tête posée sur moi, les lèvres posées contre mon sexe, le baisant doucement ? Un déplacement silencieux au bout du lit, une autre main se pose sur mes testicules et les caresse. Les deux filles sont en train de ma caresser. J’entends juste leur souffle discret, retenu, sans pouvoir distinguer laquelle est posée sur moi. Ma bite enfle encore, se raidit. Les lèvres qui m’embrassaient laissent passer une langue pointue qui effleure le bout de mon gland, pendant que la main tient fermement ma tige. L’autre main agace mes testicules, les manipule doucement, un doigt descend jusqu’à mon anus qu’il chatouille un instant.
Qui me caresse, Marine ou Alixe ? Qui me suce, Alixe ou Marine ? Je ne peux plus me retenir de haleter, je renonce à simuler le sommeil... Le doigt si indiscret me quitte, une des deux silhouettes se redresse, une main se pose sur ma cuisse. Qui continue à téter mon gland prêt à éclater ? Qui avale tout mon sexe, jouant avec sa langue, m’arrachant des soupirs de plaisir ? Mon bassin commence à suivre les aller et venues de la bouche qui me suce, ma bite commence à palpiter sous la montée de l’orgasme. Je jouis enfin, mon sperme giclant dans la bouche de la fille qui se recule sous la surprise. Une nouvelle giclée arrose sa figure avant qu’elle ne me reprenne dans sa bouche, et je finis de me vider au fond de sa gorge. Elle aspire jusqu’à la dernière goutte, la dernière trace. Je n’ai pas encore repris mes esprits que je vois son ombre se redresser, se relever. Qui est-ce ?!? L’autre ombre se penche vers moi, embrasse aussi le bout de mon sexe, y lèche une dernière goutte de sperme qui s’en écoulait encore, puis les deux silhouettes sortent rapidement de ma chambre. Je n’ai même pas eu le temps de reconnaître qui était qui...
Je me lève quelques minutes plus tard, enfile rapidement un bas de pyjama court un peu élimé et détendu, bien décidé à prendre mon petit déjeuner et à apprendre la vérité. Croisant Marine qui se dirige vers les toilettes, je l’arrête, l’embrasse et lui demande : ’dis donc, toi ! Alors c’était qui, toi ou elle ?’ - ’Ah, tu ne le sauras pas, tu n’as qu’à deviner ! En plus, on s’est déjà lavé les dents !...’ Et elle file dans les toilettes. Dans la cuisine, je retrouve Alixe, qui me fixe avec un air réjoui, sûre du bon tour qu’elles m’ont joué... - ’Et alors, toi, tu vas me dire si c’était toi ou elle ?’ dis-je en m’approchant d’elle. - ’Ah non, je ne te dirai pas qui est la petite cochonne qui t’a sucé ce matin...’ répond-elle en riant malicieusement. Je ris avec elle, et me penche vers elle pour lui dire bonjour et l’embrasser. Quand mes lèvres se posent sur sa joue, je remarque un détail qui la trahit : à la limite de sa tempe, une trace indiscutable de sperme colle une mèche de ses cheveux. C’est donc dans cette adorable bouche que j’ai joui si fort ce matin... En l’enlaçant, je lui chuchote à l’oreille : ’tu as perdu, je sais que c’est toi, tu as une trace dans les cheveux qui t’a dénoncée !...’ Elle rit et m’enlace à son tour, renonçant à son secret, puis m’embrasse tendrement, ses lèvres picorant les miennes. - ’C’est moi qui ai demandé à Marine si je pouvais aller te réveiller, et quand on a vu que tu dormais, je lui ai demandé si elle était d’accord pour me laisser te faire une petite gourmandise,’ me souffle-t-elle dans l’oreille. Elle m’embrasse à nouveau, sa langue ouvrant mes lèvres et s’enroulant autour de la mienne, et ajoute : ’j’ai bien aimé, tu sais. Et tu m’as tout donné, dans ma bouche. C’était bon, c’était excitant.’ Pendant les révélations qu’elle m’avoue à l’oreille, ma main est partie explorer son corps, descendant le long de son dos jusqu’aux fesses qu’elle m’a si généreusement montrées hier, revenant vers l’avant en passant sous la courte chemise de nuit. Mes doigts caressent sa toison emmêlée, atteignent sa chatte encore gonflée de l’excitation emmagasinée tout à l’heure.
Elle ne proteste pas, laisse mes doigts explorer son sexe, glisser le long de sa fente, écarter ses lèvres palpitantes. Son ventre commence à s’agiter, son bassin réagissant à mes caresses précises. Mon doigt pénètre dans sa vulve inondée, coulisse sans mal entre les parois qui s’ouvrent avec volupté. Alixe halète dans mon oreille, son souffle s’accélère. Abandonnant un instant sa chatte, je relève le bas d’une jambe de mon pyjama court, libère mon sexe raide, et je le guide vers le ventre d’Alixe. D’elle-même, elle lève une jambe, pose son pied sur une chaise proche, tend son pubis vers moi. Je n’ai aucun mal à me guider jusqu’à l’entrée de son sexe, mon gland glisse sans difficulté à l’intérieur de son ventre qui m’attendait. D’une poussée irrésistible, je la pénètre de toute ma longueur, lui arrachant un sursaut de surprise et de plaisir. Elle cambre les reins, prêtant son sexe à ma pénétration brutale, et tout de suite bouge son bassin, à la recherche du plaisir. La séance dans mon lit l’a laissée sur sa faim, elle va et vient vigoureusement sur mon sexe, cherchant rapidement à atteindre son orgasme, profitant de l’absence de Marine. Elle respire bruyamment à mon oreille, son souffle me chatouille le cou. Elle s’active, cognant son pubis contre le mien, nos mouvements sont de plus en plus rapides. Elle se contracte soudain, me serre fort contre elle, et jouit silencieusement, m’immobilisant le temps d’aller jusqu’au bout de son plaisir. Alors qu’elle se détend et que je reprend mes mouvements dans son ventre, nous entendons Marine tirer peu discrètement la chasse d’eau, ouvrir la porte des toilettes. Je glisse vite mon sexe hors de son ventre, en dissimule comme je peux le volume poisseux dans mon pyjama, pendant qu’elle ôte son pied de la chaise, lisse sa chemise de nuit et essaye de reprendre rapidement ses esprits. Quand Marine entre nous avons l’air parfaitement innocent, bien que je lui tourne le dos pour cacher mon érection, et qu’Alixe soit un peu essoufflée, assise sur une chaise. Elle se sert son chocolat et nous rejoint devant la table, puis sourit et dit : ’hé, arrêtez votre cinéma, hein, j’ai tout vu... Je n’étais pas du tout dans les toilettes, je voulais simplement voir si Alixe allait dire que c’était elle.’ - ’...?!?’ - ’Si si, j’ai vraiment tout vu, même que toi, Alixe, je t’ai bien vue prendre ton pied, mais tu lui as même pas laissé le temps, à lui.’ - ’?a, c’est bien ta faute, si tu n’étais pas revenue à ce moment-là, je ne l’aurais pas laissé dans cet état’ répond l’autre, en posant la main sur mon sexe, mettant en évidence mon érection à travers le tissu de mon pyjama. La ’dispute’ est bien entendu parfaitement feinte, les deux filles et moi restons toujours dans le domaine de la plaisanterie, il suffit pour s’en convaincre de voir leurs mines rigolardes et contentes du tour de la conversation... - ’Oh, stop, les filles ! Vous n’allez pas vous bagarrer pour ça !’ dis-je en les prenant toutes les deux par la taille et en les serrant contre moi. ’C’est vrai qu’elle est arrivée un peu trop tôt, mais Marine peut réparer ça, non ?’ La ’fautive’ passe une main dans mon pyjama, jauge mon état, et déclare que c’est tout à fait dans ses possibilités. L’affaire étant entendue, je les prends chacune par une main, et je les amène jusque dans ma chambre.
Sans cérémonie - après tout elles connaissent toutes les deux parfaitement mon anatomie - j’enlève le seul bas de pyjama que j’ais pour tout vêtement, et je leur fait face, nu. Elles ont toutes les deux les yeux rivés sur une seule chose, ma verge gonflée et tendue vers elles. Riant de leur air gourmand, je m’approche de Marine, saisis le bas de son grand t-shirt, le relève et le lui passe par dessus la tête, puis je me tourne vers Alixe et lui fait subir le même traitement. Je pense qu’à mon tour, je dois avoir un certain air gourmand : les deux filles, chacune dans son genre, sont terriblement tentantes, et je sais que je ne vais pas m’ennuyer avec elles ! Je saisis Marine par la taille et Alixe par la main et nous installe sur le lit, la première allongée sur moi, la seconde assise à côté de nous. C’est la première fois que nous nous trouvons nus tous les trois ensemble, et Marine est un peu hésitante, elle n’a encore jamais fait l’amour devant une autre personne. Pendant que je lui caresse d’une main le dos, les reins, les fesses, elle couvre mon torse de baisers légers. Mon autre main est posée sur Alixe, allant de sa cuisse à son ventre, sans appuyer mes caresses. Marine vient embrasser mes lèvres, sa langue agile s’insère entre elles et vient rejoindre la mienne. Dans son mouvement pour atteindre mon visage, son pubis est remonté jusqu’à mon ventre, et je le sens qui commence à faire sentir sa présence active par des pressions répétées. Ses jambes écartées enserrent mes hanches comme une cavalière en selle. Revenant à ma poitrine, son ventre glisse sur le mien, jusqu’à ce que sa chatte touche mon sexe dressé à la verticale : heureuse de ce contact retrouvé, elle m’adresse un sourire tendre, et pour marquer sa satisfaction, ondule une ou deux fois des reins, frottant sa fente sur ma verge. Hummm, que c’est bon et excitant ! Je lui rend son sourire et baise tendrement ses lèvres. Je suis content de retrouver aussi son sexe. Alixe n’a rien perdu de la scène, se rend compte que le moment de pudeur est passé, et sans troubler notre activité, passe sa main en une caresse légère sur mes cuisses, sur mon flanc, et sur le dos et les reins de Marine, encouragement muet à continuer nos ébats. Soudain, elle se lève, et je la vois s’éloigner vers une commode, saisir ma caméra vidéo, puis après un bref moment d’hésitation pour la mise en marche, elle colle son ?il au viseur et commence à nous filmer. Un plan général sur Marine et moi pour commencer, puis, depuis le pied du lit, un plan rapproché du sexe de Marine se frottant à ma verge. Bravo, Alixe ! Excellente idée !
Marine, qui n’a rien vu, continue à exciter ma bite et sa fente... Satisfaite du résultat, elle se tourne en travers du lit, perpendiculairement à moi, amenant sa tête sur ma cuisse, sa main glisse sur mon ventre, frotte mon pubis, s’enroule à la base de ma verge, et remontant peu à peu toute sa longueur, s’enroule autour en un geste possessif. Alixe filme par dessus l’épaule de Marine, puis tourne autour pur se retrouver face à elle, entrant dans son champ de vision. Marine l’a vue, mais ne semble pas dérangée... Avec une mine gourmande, elle parcourt des lèvres ma verge de la racine jusqu’à la pointe, pose ses lèvres sur mon gland, l’embrasse, le lèche et l’agace d’une langue pointue et experte. Alixe la filme en gros plan... Marine ouvre sa bouche, y fait pénétrer le bout de mon sexe, le suce, l’aspire, puis peu à peu l’engloutit en entier. Sa tête monte et descend, suçant ma verge comme un sucre d’orge géant. Elle alterne les caresses de sa main et de sa bouche auxquelles mon bassin répond par ses propres mouvements. Du coin de l’oeil, je vois qu’Alixe pose la caméra sur un meuble, pointée vers nous, puis elle se couche aussi perpendiculairement à moi, mais à l’opposé de Marine, sa tête à hauteur de ma poitrine. Ses seins viennent s’écraser sur mon flanc, ajoutant à l’excitation que me procure Marine. Pendant que sa copine continue à manipuler ma bite, Alixe embrasse ma poitrine, caresse mon ventre, tout en continuant à se rincer l’oeil en regardant Marine. Elle continue ainsi à profiter du spectacle de Marine qui me fait monter la pression, dont elle ressent directement les effets sur ma respiration qui s’accélère. Soudain, elle se met à ramper par dessus mon corps, longe le ventre de Marine, et vient poser sa tête sur le haut de sa cuisse, son ventre à hauteur de la tête de Marine et de mon ventre. Délicatement, elle écarte les jambes de son amie, approche les lèvres de son pubis, puis l’embrasse toujours aussi doucement. Aux mouvements de sa tête, je vois que devant l’acceptation muette de Marine, elle continue ses caresses buccales. Je l’imagine parcourant des lèvres la chatte de Marine, sa langue suivant la fente humide, pénétrant son sexe consentant. D’ailleurs, je vois Marine remonter la jambe, s’ouvrant pour offrir son sexe à Alixe qui avance encore la tête entre ses cuisses. Les caresses que me prodiguait Marine se ralentissent, elle n’est plus vraiment à ce qu’elle fait, emportée par celles d’Alixe. Manoeuvrant avec délicatesse pour ne pas les interrompre, je me dégage lentement, puis je pousse les fesses d’Alixe jusqu’à ce que son ventre frôle la tête de Marine. Alixe a compris où je voulais en venir, et parfaitement d’accord, ouvre grand les jambes. Enfin, j’approche la tête de Marine du pubis d’Alixe, et au moment où sa bouche touche sa toison, elle entrouvre les yeux, comprend, et pose ses lèvres sur le sexe d’Alixe. Les deux filles n’ont plus besoin de moi pour continuer... J’en profite pour reprendre la caméra vidéo et filmer alternativement les efforts de chacune. Marine a maintenant le bout de la langue dans le sexe d’Alixe, mais elle a bien du mal à s’appliquer, sous les coups de langue de l’autre. Mais Alixe ne doit pas en être à son premier essai avec une partenaire féminine et sait lui faire reprendre pied de temps en temps... Dans mon viseur, une langue entre et sort d’un sexe, fouille un vagin, suce un clitoris... Il faut les connaître vraiment intimement pour savoir à qui appartient la langue, à qui appartient le sexe. Alixe, bonne actrice, ouvre largement les jambes, tant pour me laisser filmer que pour laisser sa copine atteindre tous les replis de sa chatte, et lorsque je filme de l’autre côté, elle me laisse tout autant filmer les détails et la progression de son cunnilingus. Ma verge de plus en plus excitée laisse échapper quelques gouttes de sperme qui s’étalent sur la jambe de Marine.
Ayant fait le plein d’images, je repose la caméra allumée comme tout à l’heure, filmant les ébats en continu, puis je m’allonge contre le dos d’Alixe. Mon sexe s’appuie sur ses fesses pendant que je la regarde lécher et mordiller le clitoris de Marine. Ma verge se contracte et bande contre elle, suivant le rythme de mon excitation. Par de tout petits mouvements pour ne pas interrompre Marine, elle appuie ses fesses contre mon sexe, m’invitant à poursuivre mon approche. Par des mouvements du bassin, je guide mon gland entre ses fesses largement écartées, jusqu’à ce qu’il touche son petit trou trempé de la salive de Marine, et doucement, je la sodomise. Elle se laisse faire, maintenant attaquée par devant et par derrière. Tout de suite sa respiration s’accélère, elle rejoint Marine au même niveau d’excitation. Je n’ai pratiquement pas à bouger, les mouvements de son bassin suffisent à exciter mon sexe raidi et enfoncé dans ses reins. Un orgasme dévastateur submerge Alixe, qui plante sa langue dans le vagin de Marine et lui fait aussi perdre pied. Les deux filles profitent longuement de leur jouissance, chacune la bouche collée au sexe de l’autre. La première, Marine reprend ses esprits, se relève sur un coude, admirant ma profonde pénétration dans les fesses d’Alixe. Je reprends mes mouvements de va et vient dans ses reins, elle réagit aussitôt. Marine se lève et prend la relève à la caméra, filmant en gros plan la fente béante d’Alixe et mon dard qui entre et sort de son anus, puis ses yeux qui ne voient que le vide, sa bouche entrouverte qui halète. Je fais rouler nos deux corps pour me retrouver au-dessus d’Alixe, lui pilonnant durement les reins, mon sexe entrant et sortant de toute sa longueur dans l’anus. Marine filme. Je sors complètement des reins d’Alixe, contemple un moment son petit trou maintenant dilaté et béant, laisse Marine le filmer, puis visant un peu plus bas, je plante d’un coup ma verge dans sa fente. - ’Ahhhh !...’ Alixe a un cri de joie et de plaisir, vient à la rencontre de ma bite en cambrant les reins, et en remontant les genoux sous elle, offrant son sexe à ma pénétration. Je ne me retiens plus et je la bourre de toute la longueur de ma verge, et rapidement j’éclate en elle, j’ai l’impression de déverser des litres de sperme dans son ventre. Me sentant jouir, elle part aussi et me rejoint dans un second orgasme dévastateur. Marine n’a rien perdu de la scène, a filmé toute la progression de la jouissance d’Alixe sur son visage, jusqu’à l’explosion finale. Repus, nous nous allongeons à nouveau sur le lit, mon sexe toujours fiché en elle. Marine abandonne la caméra inutile, et vient s’étendre contre nous, enlaçant de son bras nos deux corps satisfaits, sa tête sur l’épaule d’Alixe, contre mon visage. Longuement, nous profitons de cet instant délicieux, échangeant quelques caresses plus tendres que sexuelles.
Mon poids écrasant Alixe, je me dégage d’elle, la laissant en sandwich entre Marine et moi. - ’Dites donc, les demoiselles, c’était la première fois que vous faisiez joujou, toutes les deux ?’ - ’Pas tout à fait, avoue Alixe en se retournant sur le dos toujours au milieu de notre trio, on avait déjà joué comme ça un peu ensemble, mais il y a... plus de deux ans. Mais on a vite arrêté, parce que ça risquait de devenir trop bon... On avait peur de ne plus vouloir s’en passer, ça nous a semblé un jeu dangereux !’ - ’C’est peut-être pour ça, d’ailleurs, reconnaît Marine, que moi j’ai eu du mal à me décider, avec un garçon : heureusement que c’est arrivé, avec toi ! Maintenant, le problème, c’est que je ne peux plus me passer de ta queue dans mon ventre...’ Nous éclatons tous les trois de rire à cette déclaration. - ’Mais dis donc, Marine, c’est toi qui devait calmer mon érection laissée en plan par ton arrivée, ce matin, or c’est ta copine qui finalement s’en est occupée. Tu as toujours ton gage !’ - ’Oh, attend, dit-elle, ça n’est pas un problème, je m’en occupe tout de suite !’ Et joignant le geste à la parole, passant au dessus du ventre d’Alixe, elle saisit mon sexe à moitié au repos, et très vite lui fait reprendre une dimension et une dureté utiles... La tête posée sur la poitrine d’Alixe, elle me caresse, presse ma verge de toutes ses forces, obtient vite le résultat recherché. - ’Ah, en voilà à nouveau une belle machine prête à servir ! C’est magique : une petite passe magnétique, et hop, la petite queue toute douce et souple devient un gros bâton tout dur...’ Un fou rire nous secoue tous les trois, sans interrompre le travail de Marine, qui entame un lent mais efficace mouvement de la main de bas en haut et de haut en bas. Alixe, coincée entre nous deux, ne peut pas bouger beaucoup, je vois néanmoins sa main caresser doucement sa chatte : elle ne peut pas vraiment se masturber, mais simplement se caresser, profitant du spectacle. Marine s’active, fait monter rapidement mon excitation. Je respire rapidement et bruyamment, sans retenir les manifestations évidentes de mon plaisir : mon bassin suit les mouvements de la main de Marine, ma queue glisse dans ses doigts. - ’Tiens, vas-y, à toi !’ propose Marine à Alixe en amenant une de ses mains vers mon sexe agité de contractions, ’montre moi comment tu fais.’ La main d’Alixe remplace celle de Marine sur ma verge, celle de Marine remplace la main d’Alixe sur la chatte de celle-ci. Très organisées, les filles... Alixe me masturbe plus doucement, mais avec beaucoup de doigté, elle sait y faire... Ses doigts jouent avec la pointe de mon sexe, escagasse le gland, descend jusqu’à mes testicules. Le bas de mon corps tout entier est agité de soubresauts que je ne cherche pas à contrôler. Comme si elles se passaient un témoin, elles me masturbent tour à tour, Marine enrichissant sa technique auprès de sa copine apparemment plus entraînée qu’elle, à tel point qu’au bout d’un moment je ne sais plus qui est en train de me caresser. Je ne vais plus longtemps retenir mon orgasme... - ’A toi, finis-le !’ lance Alixe à Marine à ce moment. Un changement de main, et Marine s’applique à faire monter la pression au maximum dans mes testicules et ma verge. Les deux filles se sont relevées sur un coude pour mieux me voir éjaculer, et sous leurs yeux avides je jouis enfin, arrosant leurs ventres et leurs seins d’abondants jets de sperme. - ’Wouahhh !...’ se réjouissent-elles ensemble en contemplant leurs corps maculés. Satisfaite de son travail parfaitement accompli, Marine se laisse retomber sur le dos. Alixe lui étale mon sperme sur le ventre et les seins, l’autre rit et lui en fait autant. - ’Attends !’ dit Alixe. Elle se couche sur Marine, et remue tout son corps sur elle, mélangeant leurs taches de sperme en riant de plaisir, puis Alixe se remet sur le dos, avec un soupir d’aise et de contentement. Elles ont toutes les deux le ventre et les seins luisant de ma semence, et d’un geste machinal, chacune continue à se l’étaler d’une main caressante.
Je suggère quand même au bout d’un certain temps que l’on pourrait se doucher, ce qui fait l’unanimité, et nous n’avons qu’une porte à pousser pour entrer dans ma salle de bain. La douche est assez grande pour nous accueillir tous les trois, et en chahutant, nous nous savonnons mutuellement et copieusement. Bien entendu, elles masquent un intérêt certain pour savonner mon sexe, et le réveillent rapidement, appréciant le glissement facile de leurs mains sur ma verge pleine de savon... - ’Tu sais que c’est comme ça que ça a commencé, quand il m’a fait l’amour sous la douche’, dit Marine à Alixe en me masturbant proprement. - ’Ah bon, vous l’avez fait ici, dans cette douche ?’ - ’Un peu, oui ! Même que c’était la... heu... la troisième fois qu’on faisait l’amour ensemble. Et même que ma mère est venue frapper à la porte pendant qu’on était en train de faire l’amour !’ Marine s’est collée contre moi, toute excitée à l’évocation de ce souvenir, et continue à exciter mon sexe qui gonfle dans sa main. - ’Et ça t’a pas coupé tous tes effets ?’ - ’Oh non, tu parles, c’était tellement bon, tellement fort ! Humm ! Ce que c’était bon !...’ Et, pas seulement pour mieux lui montrer, elle pose son pied sur le redan de la douche, cuisses ouvertes, puis guide ma bite vers son sa chatte qu’elle presse contre moi, et en glisse le bout dans sa fente avant de retirer sa main. Après un petit hoquet de plaisir, elle tourne la tête vers Alixe, l’air de dire ’tu vois ce que je sais faire ?’ Je décide de lui laisser continuer sa démonstration, en un mot de me laisser faire, d’être un homme-objet... Voyant que je ne prends pas l’initiative, elle comprend qu’elle est maître de la manoeuvre et prend les choses en main... Plus précisément, elle me cale contre le mur, et pousse son ventre contre le mien, entreprenant de faire pénétrer mon sexe plus profondément dans le sien. Ses mains derrière mes reins, elle m’attire contre elle, le pubis en avant, et je sens les parois de son vagin céder sous ma pression avec des palpitations de plaisir. L’introduction se fait sans effort, ma bite abondamment enduite de savon glissant sans effort. Oubliant l’idée d’une démonstration, elle ne se consacre qu’à la pénétration, à l’invasion de son plaisir. Ma verge à moitié rentrée en elle gonfle encore sous la délicieuse sensation de la progression dans son fourreau soyeux et chaud et humide. A ce stade, Marine est complètement dépassée par son rôle, d’autant qu’Alixe a placé sa main dans son dos et la pousse en avant pour accélérer ma pénétration. Lorsqu’enfin nos deux ventres se touche, Marine reste un instant comme tétanisée par le plaisir, immobile contre moi, les yeux clos, la respiration rapide. Elle améliore la position de sa jambe relevée pour assurer son équilibre et pour pouvoir profiter de toute la longueur de ma verge dans son ventre et en favoriser le frottement sur son clitoris, puis commence des mouvements de va et vient avec son bassin. Je me contente de résister à ses poussées pour ne pas me dérober, et j’ai la sensation délicieuse d’être pris par elle. C’est elle qui me fait l’amour. Je sens son sexe aller et venir autour du mien, avec un effet de ventouse qui en décuple la sensation. A la recherche d’un plaisir maximum, tour à tour elle se cambre ou se XXX, tourne son bassin d’un côté ou de l’autre, et mon sexe fouille tous les replis et les recoins de son vagin. Elle joue aussi à ne se faire pénétrer que par le bout de mon sexe, faisant juste aller et venir le bourrelet de mon gland entre les lèvres de son sexe, puis d’une poussée, à me faire l’envahir complètement, jusqu’à ce que nos pubis se cognent. Alixe suit nos ébats d’une seule main, l’autre étant occupée entre ses cuisses écartées à suivre la montée de notre plaisir. Se sentant partir trop vite, Marine cesse ses mouvements, retient son orgasme et laisse passer la tempête qui la submerge. puis se recule en se dégageant de mon sexe. Reposant sa jambe ankylosée, haletante, elle prend sa copine par le bras, la pousse contre moi : ’à ton tour, un peu, moi je me sens partir trop vite...’ Alixe ne se le fait pas dire deux fois : elle pose à son tour le pied sur le redans de la douche, la jambe relevée très haut, les cuisses grandes ouvertes, approche son sexe en guidant d’une main ma verge jusqu’à sa chatte. Plus petite que Marine, elle ne parvient pas à la bonne hauteur et je suis obligé de fléchir un peu les genoux, et elle parvient à amener sa fente au dessus de mon gland, qu’elle fait pénétrer en un tournemain entre les lèvres épanouies de son sexe. Abondamment lubrifiée par sa masturbation, Alixe n’a aucun mal à engloutir toute la longueur de ma verge, et pousse un râle de plaisir quand son ventre vient cogner contre le mien, mon gland buttant au fond de son vagin. Son sexe moins serré que celui de Marine me semble par contre plus musclé, je sens ses muscles internes presser spasmodiquement ma verge. Je sens bien la différence de leur sexe, et cela m’excite encore plus. Alors que Marine me tenait par les hanches, le torse un peu écarté du mien, Alixe passe ses bras dans mon dos, presse sa poitrine contre moi, et seul son bassin s’écarte et se presse alternativement de mon ventre, tout le reste de son corps restant collé à moi. Sa tête est nichée au creux de mon cou, et sa respiration rapide me chatouille légèrement.
A son tour, elle joue avec mon sexe dans le sien, s’empalant à plaisir, lui faisant fouiller toutes les ressources d’excitation et de stimuli. Elle geint et râle dans mon cou, murmurant des mots d’encouragement qui s’adressent à elle-même, des mots de plaisir qu’elle me fait partager. Comme avec Marine, je retrouve cette impression qu’elle se donne à moi, qu’elle veut me faire don de sa jouissance. Marine est derrière elle, lui caresse le flanc d’une main, pendant que l’autre fouille entre ses fesses, laissant en partie les mouvements du bas ventre d’Alixe guider l’exploration de ses doigts indiscrets. Je ne peux pas voir complètement ce qu’elle lui fait, mais aux contractions d’Alixe qui répondent aux mouvements de la main de Marine, je ne serais pas étonné qu’elle la sodomise gentiment. Mon rôle volontairement passif me permet de résister, de retarder mon orgasme, malgré la raideur et la tension de mon sexe excité en tous sens par la furie des mouvements d’Alixe qui geint à haute voix et en continu. Avec un hoquet et un long feulement de plaisir, elle jouit, secouée des pieds à la tête par une onde interminable, incapable de rester debout contre moi sans que je la tienne. - ’A toi, finis le...’ dit-elle à Marine après s’être dégagé de mon sexe toujours bandé, et avec un geste d’épuisement. Cette dernière ne semble pas plus vaillante, même si elle a un beau petit orgasme au chaud qui n’attend qu’à éclater, alors je la guide dans le coin de la douche, lui faisant prendre la place que j’occupais auparavant. Je me glisse entre ses cuisses, ramène une de ses jambes autour de mes reins, et sans même avoir besoin de me guider, mon sexe pénètre le sien en une poussée inexorable. Sa seule jambe qui la soutient cède, je la passe aussi autour de mes reins, tenant Marine sous les fesses empalée profondément sur moi, le dos coincé contre le mur. Dans cette situation, elle ne peut résister à mes assauts, ma verge entre et sort vigoureusement de toute sa longueur, défonçant son sexe sans ménagement. Elle perd pied immédiatement, saisie par le retour du plaisir, se laisse faire incapable de résister ou de reprendre l’initiative, complètement submergée par ses sensations. Criant sous mes coups de boutoir, elle jouit violemment, manquant de nous faire tomber. Je ne ralentis pas mes mouvements, continuant à bourrer furieusement son sexe, sans lui laisser reprendre ses esprits. Elle geint maintenant en rythme avec mes poussées dans son ventre, incapable de parler ni de réagir, le ventre dévasté par mon sexe. A mon tour, l’orgasme me foudroie, et je m’enfonce tellement dans le ventre de Marine que j’ai l’impression de lui déchirer le vagin. Mon sperme jaillit au fond de son ventre, et sous la violence de mon plaisir, Marine jouit une seconde fois, criant sans retenue comme jamais je ne l’ai entendue faire. Nous restons soudés l’un à l’autre, jusqu’à ce que nos membres contractés se détendent, puis je déplie ses jambes, la repose au sol, laissant doucement ma verge assouplie s’extraire de son ventre. Vidés ! Nous sommes tous les trois vidés, épuisés, sans force. Avec des gestes de tendresse, nous nous rinçons mutuellement, puis nous nous séchons, et à l’unanimité, nous décidons d’aller reprendre des forces et calmer nos estomacs affamés. Sans même songer à nous habiller, nous nous retrouvons à fouiller le réfrigérateur, chacun choisissant ce qui lui plaît, et nous allons nous effondrer sur un canapé, avec des plateaux bien remplis...
====== La suite dans ’Ma nièce’, chapitre 9 !======
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