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Nina, ma charmante patiente.

Chapitre 2

Des débuts prometteurs

Erotique
Alors que mon membre s’allongeait, je la fis rapidement s’installer sur la table avant qu’elle puisse remarquer mon état d’excitation à travers mon short de sport qui commençait à avoir du mal à maintenir mon érection.
Je commençai le massage au niveau des lombaires et en profitai pour me délecter de la vue de ses fesses moulées par sa robe beige. Entre ça et la vue de ses seins écrasés entre elle-même et la table, mon sexe avait atteint sa taille maximale et ce n’était pas près de changer. Je continuai le massage et tombai sur un point douloureux entre ses deux omoplates. Ses soupirs de douleur et le contact de mes mains sur sa peau m’excitèrent. Alors que je commençai à étendre le massage sur toute la largeur du haut de son dos, mes doigts finirent par tomber sur les parties de sa poitrine qui dépassaient de chaque côté. Au contact de ces deux zones, mon inconscient empiéta sur mon conscient et les scénarios érotiques s’enchaînèrent dans ma tête.
Je m’imaginai ouvrir la fermeture éclair de sa jupe et lui enlever en la faisant glisser lentement sur ses jambes si sensuelles. Ensuite, je serais monté sur la table et me serais mis à l’embrasser délicatement de son cou à son sexe tout en la défaisant de son tanga fendu à l’aide de mes dents. Rien qu’à l’idée des petits gémissements que cela pourrait lui provoquer, je me mis à avoir chaud et me perdis encore plus dans mes plus grands fantasmes. Une fois que je l’aurais eue mise entièrement nue, je m’imaginais l’aider à se mettre sur les genoux, la tête enfoncée dans la table, et venir poser mes lèvres sur les siennes vaginales. Alors que ses cuisses se seraient écartées au fur et à mesure de mon cunni, j’aurais cessé ce dernier pour commencer à la pénétrer de toute ma longueur. Je visualisai les gémissements sauvages que mon seize centimètres plus ou moins classique, mais qui se distingue par une circonférence au-dessus de la moyenne lui aurait provoqué en l’empalant à bon rythme.
La douce voix de Nina me fit revenir à la raison :
— Dis-moi monsieur le kiné, ça commence à faire un bon moment que tu masses la même zone. Je vais finir par croire que tu profites de la situation.— Jj... Je je... désolé. Je suis désolé si je t’ai gênée, j’avais la tête ailleurs.— Ne t’en fais pas, ce n’était pas désagréable, t’as des doigts faits pour ça. Et les ressentir sur ces parties de mes seins, c’était...comment dire... un petit peu excitant, dit-elle sur un ton timide.
Je profitai de cet aveu de timidité pour essayer de la déstabiliser.
— Je suis désolé, mais de ce que j’entends, c’est plutôt toi qui as profité de la situation, lui dis-je en manipulant sa nuque.
— Pfff... Je suis persuadée que tes yeux n’ont pas lâché mes fesses ne serait-ce qu’une seconde.
J’ai préféré assumer.
— Rohh ça va, comment veux-tu qu’un homme célibataire et hétéro puisse résister à une telle vue ! — Ouhh ça me flatte merci. Et célibataire, c’était une information que tu voulais que j’apprenne ? — C’était avant tout pour m’apporter bonne conscience, mais ça n’a pas l’air de te déplaire de l’apprendre... — Oui, disons qu’il y a pire comme nouvelle... répondit-elle.— Bon allez, fini pour aujourd’hui. Pour la première séance, on va se contenter du massage et de la manipulation. On commencera les exercices la prochaine fois. Tu peux te lever et te rhabiller.

Nina se retourna sur le dos, mais resta allongée sur la table.
— Tout à l’heure, tu disais que c’était moi qui profitais de la situation. Alors je voudrais te donner raison et te demander de te transformer en masseur de métier et de me détendre tous les muscles du corps, affirma-t-elle d’une voix hésitante.— Ben écoute...— Évidemment si t’as pas le temps, vu que c’est la fin de ta journée et que tu dois fermer le cabinet, tant pis, mais j’aurais essayé, dit-elle en me coupant la parole. — Ne t’en fais pas, pour toi, je veux bien faire un peu d’heures sup. — Ahhh génial, depuis le temps que je n’ai plus pris soin de mon corps comme ça. — Je vois, je vais faire de mon mieux alors, mais ça ne sera pas extraordinaire. Je suis kiné, pas masseur, et j’ai pas d’huiles essentielles ou je ne sais quoi. — Je me fais pas de soucis, je suis sûre que tu peux faire des merveilles. — On n’va pas tarder à le savoir. En revanche, tu m’as parlé d’un massage sur tout le corps, on est d’accord ? — Exactement. — Alors pourquoi portes-tu toujours cette jupe ? — Ohh au temps pour moi. Tu n’as qu’à me l’enlever... rétorqua-t-elle en prenant un sourire coquin.
Je m’exécutai et commençai par ouvrir la fermeture éclair de sa jupe. Une fois cela fait, je me mis à tirer sur son bas pour le faire glisser jusqu’à ses pieds et découvris une sublime culotte de dentelle noire. Je lui demandai de lever les jambes pour lui enlever complètement la jupe. En reposant ses jambes, elle fit exprès de frotter habilement mon short avec son pied droit au niveau de mon sexe, relativement au repos à ce moment précis.
Je me mis à la masser en commençant par ses quadriceps, mes yeux en profitèrent pour se délecter de la magnifique forme de ses hanches. Petit à petit, mes mains montèrent de plus en plus haut sur ses jambes et finirent par se retrouver au niveau de ses adducteurs. Mes doigts frottèrent le contour de sa culotte et n’étaient qu’à quelques millimètres de ses lèvres vaginales. Cette situation me fit tourner la tête et mon sexe entra en demi-molle. Je finis par quitter cette zone, mes mains sautèrent sa culotte et se retrouvèrent en bas de son abdomen pour continuer le massage. Je traversai son ventre pendant quelques minutes avant de me retrouver à la base de ses seins. A son regard, je n’hésitai pas une seconde et je saisis à pleine main son 90C qui était enfin à ma merci. Mon pénis quitta sa demi-molle pour passer en érection totale. Avec mon short qui ne pouvait retenir grand-chose, elle le remarqua instantanément. Son regard fixa en alternance mon short et mes yeux.
Le mien fixa en alternance sa sublime poitrine et ses yeux.
Lorsque nos regards se croisaient, c’était intense. Elle comme moi étions excités par la situation et ses tétons qui se mirent à pointer au fur et à mesure que je pétrissais ses seins, ne pouvaient prouver le contraire.
Je finis par lever mes mains en lui demandant de se retourner. Elle se retrouva de nouveau allongée sur le ventre et je repris le massage au niveau de ses mollets, comme si de rien n’était. Mes mains parcoururent ses jambes et se posèrent sur la partie de ses fesses qui dépassait de sa culotte.
— Je peux ? lui demandai-je.— Oui, répondit-elle tendrement.
Alors elle se décolla légèrement de la table et je lui enlevai totalement le dernier « habit » qu’il lui restait. La voilà entièrement nue sur ma table de massage. Après avoir pétri ses tétons, je commençai désormais à pétrir ses fesses en forme de cœur suivant la courbe de ses hanches. Mon Dieu que c’était bon ! Emporté par l’excitation, j’écartai légèrement ses cuisses et fis glisser un doigt jusqu’à l’entrée de son vagin. Alors que je me mis à caresser cette zone, elle ne fit rien pour que je stoppe quoi que ce soit. Un deuxième doigt rejoignit le premier qui s’apprêtait à rentrer à l’intérieur de son sexe humide. Des râles de plaisir sortirent de sa bouche alors que j’étais en train de la pénétrer avec deux doigts. Repliant ses genoux et relevant son fessier en cambrant son dos, elle me facilita l’accès à son vagin et j’en profitai pour y rentrer un troisième doigt. J’accélérai le rythme de la pénétration et sa fréquence de gémissements suivit cette accélération.
Ses cris me rendirent dingue. Jamais je n’avais ressenti une telle passion envers une femme dont je m’occupai. Alors que je la doigtai sauvagement, mon pouce vint stimuler son clitoris et mon autre main agrippa son sein gauche qui se balançait. Nina mouilla fortement, des dizaines de gouttes de cyprine vinrent tremper le papier de protection de table et le déchirer. Cette cadence infernale dura quelques minutes, jusqu’au moment où dans un dernier grand gémissement, son corps se tendit et mes doigts firent comprimer ses parois vaginales. Elle venait d’atteindre l’orgasme. Je sortis mes doigts de son sexe et je les portai à sa bouche. Elle se retourna pour les sucer. Suite à cela, je me mis à embrasser vigoureusement ses seins, son cou et enfin sa bouche...
Je remarquai alors l’heure sur ma montre.
— Nina, on doit s’arrêter, je suis désolé, mais faut que je ferme et mette l’alarme, sinon mon chef va me demander des comptes s’il reçoit la notification d’alarme trop tard. — Non pas maintenant, ça part si bien. Je veux te sucer... — Écoute j’en crève d’envie vraiment, mais je n’ai pas le choix, faut qu’on y aille. — Argnnnnnnn !!! Bon OK OK je comprends.
Après avoir repris nos esprits, je lui demandai de changer le papier de protection et de nettoyer les zones de la table que ce dernier n’a pas pu protéger de sa jouissance. Durant ce temps, je fermai les volets et arrêtai l’ordi du cabinet.
Nous voilà désormais sur le parking :
— Il te reste une place vendredi à la même heure ? — Pour toi ? Évidemment.— Eh bien parfait, j’ai hâte que tu me soignes alors.— Oh tu sais t’as pas grand-chose, faut juste quelques manipulations pour débloquer tout ça et des petits exercices de renforcement musculaire bien précis que tu commenceras vendredi. — Oui je m’en doute, mais je suis venue pour ne pas que ça me reste trop longtemps. — J’ai failli oublier de te dire que vendredi, c’était inutile de venir avec des sous-vêtements, si tel était le cas, je serais déçu... — Ne t’en fais pas monsieur le kiné, je suis assez tête en l’air pour oublier d’en porter... répondit-elle en s’approchant de moi et déposant un affectueux baiser sur ma joue. Puis elle murmura à mon oreille : au fait, moi aussi je suis célibataire. Elle n’attendit pas ma réponse, se retourna et s’en alla vers sa voiture...
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