Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 4 J'aime
  • 1 Commentaire

Je nique c'est mythique

Chapitre 1

Hétéro
Tina Leah et moi nous sommes rencontrés sur Internet. Le 13 février 2006 pour être exact. Quelques heures avant la Saint Valentin, nous avons engagé une conversation sur Meetic, le fameux site de rencontre sur lequel j’étais inscrit depuis une quinzaine de jours. Apparemment, elle avait flashé sur ma photo, et elle semblait très intéressée d’en savoir plus sur moi. Sur son profil, il n’y avait pas grand-chose : aucune photo, mais elle se décrivait comme blonde, cheveux très longs, environ 54 kg pour 1m65, et originaire de la ville de Sannec. J’appris plus tard dans la conversation qu’elle ne venait pas de Sannec, mais d’Absinthe. Elle avait mis une autre ville pour garder un certain anonymat. J’aurais dû m’en méfier dès cet instant, mais je ne prêtais pas cas : Absinthe ou Sannec, c’était déjà bien trop loin de là ou je vivais, et en moi-même je me disais que les chances de la rencontrer alors que près de 180km nous séparaient était très minces. Néanmoins, je me laissais porter par une conversation agréable qui flattait mon égo, ce dernier en avait d’ailleurs terriblement besoin. Fraichement séparé, je devais me remettre en selle sur le plan séduction, et j’appréhendais un peu la chose. La conversation qui allait suivre allait me rassurer sur ce point et m’amener sur un terrain sur lequel je n’aurais jamais cru m’aventurer.
Tina Leah est instit. Elle a une petite fille de 4 ans et est séparée, tout comme moi. Elle me dit qu’elle me trouve vraiment mignon, qu’elle n’est pas sur Meetic depuis longtemps, et qu’elle a mis très peu de choses dans son profil, car elle ne veut pas que son mari tombe dessus. Étant en plein divorce moi aussi, j’arrive à comprendre la chose. Sauf que moi, je suis bel et bien séparé, mais pour Tina Leah c’est loin d’être le cas. En fait, elle vit toujours avec lui, et plus je discute avec elle, plus je me rends compte que je ne suis pas en train de tchatter avec une future divorcée, mais bel et bien avec une femme encore mariée. Ce soir-là, on parle de tout sans vraiment avoir de tabous, car la distance et l’anonymat retire une à une les barrières de l’inhibition. On parle de musique, de cinéma, de sujets très soft puis très rapidement de sexe. On fait le compte de nos histoires de cul, elle en compte 13 depuis ses études à Aix à aujourd’hui, son mari compris. Elle me dit qu’elle l’a d’ailleurs déjà trompé, et qu’elle le trompe encore à ce jour. Avec un type qui vit à Boit, mais qu’elle compte plaquer car son instabilité et sa tendance à trop boire finit par la lasser. D’ailleurs, il était serveur quand elle l’a rencontré, lors d’une soirée au restaurant où son regard a croisé le sien. Ils sont restés fascinés quelques instants à se regarder, comme dans un conte de fées, et à la fin de la soirée, le serveur n’a pu résister à lui glisser son numéro de téléphone. Elle ne donne pas suite, mais elle garde le numéro. Et quelques mois plus tard, alors qu’elle l’avait complètement oublié, elle l’aperçoit en boîte de nuit. Il ne l’a pas encore vue, mais son portable sonne. C’est elle. C’est le début d’une aventure extra-conjugale qui va durer quelques semaines, mais m’explique-t-elle, touche à sa fin.
Pour ce qui est de tromper son mari, Tina Leah n’en est visiblement pas à son coup d’essai. Elle me raconte qu’elle a eu une aventure plus ou moins suivie depuis 3 ans, avec un garçon beaucoup plus jeune qu’elle. Et comme il est jardinier, elle se compare volontiers à Gabrielle Solis de Desperate Housewives. Il s’appelle Leviroi, et il pourrait être le nouvel amour de sa vie, si elle ne s’était pas rendu compte qu’elle et lui c’était purement physique, et que ça ne pourrait jamais fonctionner à long terme. Alors ils couchent ensemble, puis se séparent, puis retentent, et se re-séparent à nouveau de façon cyclique, tout ça dans le dos du pauvre mari cocu. Ce pauvre Nay. Marié depuis une bonne dizaine d’année avec Tina Leah , Nay est anglais, et directeur commercial dans une boîte qui fabrique des moteurs de yacht. Blindé de fric, il voyage énormément, et forcement l’épouse-mère de sa petite fille, même si elle profite d’une situation financière très confortable, se sent très seule. En plus de ça, elle me raconte qu’il l’a déjà trompée, donc leur relation est des plus fragiles : un cocktail rêvé pour faire des bêtises, et Tina Leah ne semble pas devoir se faire prier pour en faire.A ce stade de la discussion, je ne prends pas tout ça au sérieux. Les chances de voir cette conversation déboucher sur une rencontre, et une rencontre déboucher sur une relation me semblent insignifiantes. De par la distance, mais aussi du fait que je ne me sens absolument pas capable de draguer une femme mariée qui en plus a déjà un amant pendant qu’elle m’écrit. Pourtant, on partage plein de choses, on a l’impression qu’on se connait déjà, et qu’on a énormément de points communs, qui nous sidèrent au fur et à mesure qu’on les trouve. Elle finit par m’envoyer une photo. Elle est vraiment jolie, bien foutue, tout à fait mon style de femme. Voilà qui n’est pas fait pour me faciliter les choses, d’autant qu’elle commence à parler de peut-être se voir, malgré la distance. La demoiselle sait y faire.
Les jours qui suivent font monter la pression, y compris celle qui siège dans la région de mon bas-ventre. Nos conversations deviennent plutôt hard, on passe rapidement d’échange de photos de vacances à échange de photos relativement dénudées. J’achète même une webcam spécialement pour l’occasion, histoire qu’on se voit et qu’on discute face à face. Son mari est en voyage d’affaires, et Tina Leah commence à m’exciter terriblement. Elle sait visiblement très bien s’y prendre pour attiser le désir d’un homme. Même en journée, elle me sollicite sur la messagerie de mon travail. Pourtant, elle travaille elle aussi, mais profite des récréations pour s’éclipser vers l’ordinateur de son école, et m’envoyer des petits messages. Le soir, on se téléphone, avec chacun une bière puisqu’on adore ça tous les deux, et en quelques jours, je délaisse totalement tous mes contacts Meetic pour me consacrer uniquement à elle. Elle m’accapare la quasi-totalité de mon temps libre, nos conversations durent parfois jusqu’à 3 heures du matin, et forcement, arrive un moment où on planifie notre rencontre. On la fixe d’abord au 26 février, ce qui représente à peine 13 jours depuis notre premier chat. C’est peu, mais il faut savoir que dans ce court espace-temps, on ressent déjà irrésistiblement une fabuleuse complicité et une attirance mutuelle qui frôle l’indécence.
Finalement, nous nous rencontrerons le vendredi 3 mars 2006, soit 2 jours avant son anniversaire. Avant de partir, je lui achète un CD qui contient une chanson que nous avons beaucoup écouté pendant nos chats : ’Advertising Space’. Je me sape un peu, en mode compétition, je fais le plein de préservatifs - car il faut s’attendre à tout - et en avant. Elle me donne rendez-vous à la gare d’Absinthe, et n’ayant aucune idée où je passerai finalement la nuit, je joue la sécurité en réservant une chambre dans un hôtel du coin. Après environ deux heures de route, je l’aperçois au dépose-minute de la gare. Je descends de la voiture, elle est superbe. Jupe, bottes, petit manteau, queue de cheval, et grand sourire, elle est méga-craquante. Je lui fais la bise, en lui disant qu’elle est ravissante, ce à quoi elle me répond ’toi aussi’. On va garer sa voiture, et on prend la mienne, direction Ceni, car elle n’a pas envie de tomber sur des connaissances à elle dans un restau. On discute dans la voiture, je lui demande ses premières impressions, et elle me fait comprendre qu’elle n’est pas déçue. La soirée commence très bien. Arrivés à Ceni, on sort de la voiture pour rejoindre la vieille ville, et elle me dit qu’elle a un peu froid. Ayant bien compris le message, je lui passe le bras autour du cou, et on se met à chercher un petit restau, elle collée contre moi.
Nous atterrissons dans un restau indien. On passe une excellente soirée, à parler de nous et de nos vies passées et actuelles. Alors que la fin du dîner approche, on comprend l’un et l’autre qu’il se passe quelque chose, et Tina Leah est à deux doigts de succomber à mes avances. Je pose alors ma main sur la table, à sa portée, en lui laissant le choix de la prendre ou pas. Elle n’aura pas hésité très longtemps. Sa main est dans la mienne, on sait tous les deux quelle est la prochaine étape. J’ai maintenant une furieuse envie de l’embrasser. Je profite qu’elle s’éclipse aux toilettes pour payer la note, et on sort du restaurant main dans la main. A peine sortis dehors, je l’enlace et nous nous embrassons fougueusement. Plusieurs fois. On se balade dans les rues animées de Ceni, faisant des stops toutes les deux minutes pour s’embrasser avidement. Reste à savoir comment on va finir la soirée. On décide de reprendre ma voiture, ou du champagne dans une glacière nous attendait, ainsi que son petit cadeau d’anniversaire. On trinque à l’avant de ma 307. On a connu plus romantique, mais c’était au final parfait. Son cadeau la touche, et elle décide de me faire découvrir une boîte qu’elle connait, ’L’Événement’. On se gare juste devant, et on se retrouve en tête à tête dans une boîte ou deux gogo-danseuses font leur show. Nous sommes un peu à l’écart, histoire d’être un peu tranquilles, perchés sur deux chaises de bar, accoudés à une petite table. Alors qu’elle sirote tranquillement sa boisson, j’aperçois que sa jupe fendue révèle le haut de ses bas. J’aventure une main sur sa cuisse, que je fais remonter lentement sur cette partie dénudée, tout en embrassant tendrement ses lèvres. Je caresse avec une satisfaction intérieure chaque centimètre carré de sa peau, sous sa jupe, entre le haut de son bas nylon et la limite de sa petite culotte. Elle semble beaucoup apprécier cette espièglerie, et y prend même du plaisir. Du coup, elle aussi commence à balader sa main pour y trouver de la chair. La tension est en train de monter d’un cran, tout comme la température.
L’heure se montrant tardive, il est temps de décider ce que nous allons faire ensuite. Je lui dis très franchement que j’ai envie qu’on passe la nuit ensemble, sachant tout de même que son mari l’attend et que découcher ne sera pas sans conséquences. Elle en a terriblement envie, mais reste un poil hésitante. En attendant qu’elle prenne sa décision, nous reprenons le chemin d’Absinthe et atterrissons dans la chambre d’hôtel que j’ai réservé. Je lui laisse le choix de rester avec moi ou non. Elle me répond que c’est facile pour moi de lui laisser la responsabilité de ce choix cornélien, mais elle prend finalement la décision de passer cette nuit avec moi. Pourtant, il ne se passera rien pour ce premier soir. Certes, nous dormirons dans le même lit, nous nous montrerons extrêmement tendres l’un envers l’autre avec caresses et baisers fougueux, mais il n’y aura pas de sexe à proprement parler. Ce n’est pas l’envie qui aura manqué, mon bas ventre est en ébullition, mon sexe gorgé de désir, et mes testicules sur le point d’exploser tellement j’ai envie de décharger mon sperme en elle. Je la sais également fabuleusement mouillée, même si aucun de mes doigts ne s’aventurera dans son petit sanctuaire. Mais je sais reconnaître une femme excitée lorsque j’en embrasse une. Et Tina Leah était terriblement excitée ce soir-là. Elle laboure mon dos de ses caresses, et moi je l’embrasse partout où j’ai droit de visite. Elle s’en mord les lèvres. Une nuit délicieuse, qui m’annonce déjà ce qui va se passer le second soir !
Le lendemain matin est plus difficile. Tina Leah doit absolument rejoindre le domicile conjugal, son mari a cherché à la joindre plusieurs fois, et elle invente des excuses aussi grosses que mon gland quelques heures plus tôt. Je décide donc de reprendre la route et rentrer chez moi. Nous nous embrassons, et nous laissons. Difficilement.
J’arrive chez moi, en fin de matinée. Nous sommes samedi, j’ai très peu dormi, et je suis d’humeur à comater sur mon canapé. Je n’ai pas la certitude de m’être branlé en arrivant, mais me connaissant, c’est surement la première chose que j’ai dû faire, au moins une ou deux fois. L’après-midi qui suit se ponctue en échange de textos, mais de façon beaucoup moins libre, car le mari de Tina Leah est dans les parages. Notre rythme est voué à reprendre là où nous l’avions laissé avant notre rencontre. Avec la perspective de notre prochain rencard, qui ne sera plus seulement sensuel, mais forcement sexuel. Notre rendez-vous d’hier soir était un apéritif, une mise en bouche où nous nous sommes rencontrés, embrassés, touchés longuement et passé la nuit ensemble. Tina Leah et moi savons tous les deux que la prochaine étape sera le passage à l’acte. Nous en parlons d’ailleurs très librement, en évoquant d’abord les raisons pour lesquelles nous n’avons pas baisé ce soir-là. Très hypocritement, je lui sors que c’est parce que notre relation mérite mieux que de passer au sexe dès le premier soir. En fait, je n’en crois pas un mot. Pour être franc, si Tina Leah m’avait dégrafé le jean, sorti la queue de mon boxer et s’était mise à la sucer, je l’aurais bien évidemment défoncée comme elle le méritait. D’ailleurs j’avais prévu les capotes, c’était bien parce que j’avais envisagé cette option-là ! Si cela ne s’est pas fait, c’est juste que ce n’était pas le moment, et parce que de toutes façons, elle savait comme tout comme moi que ce serait pour la fois suivante. Pourtant, cela a bien failli s’arrêter là pour la raison que je vais expliquer maintenant.
Lundi 6 mars, au matin, je retourne au bureau. J’ai évidemment le souvenir de notre vendredi soir encore frais dans ma tête, lorsque je reçois un message de Tina Leah, pour le moins énigmatique. Elle me dit qu’il faut qu’elle me parle, qu’elle a des choses à me confesser, et que je la rappelle pendant sa récréation. Là, je me dis : ’Bon allez, c’est terminé, j’ai dû faire un truc qui n’allait pas, ou alors elle a réfléchit, mais à tous les coups ça va s’arrêter là, elle va te dire que c’est fini’... A 10h, je descends fébrilement dans le hall de ma boîte, je trouve un coin discret et je la rappelle. Elle m’explique qu’elle se sent coupable, qu’elle doit absolument me dire quelque chose qu’elle ne peut pas garder pour elle : elle a passé la journée de dimanche avec... son amant ! Je suis sur le point de raccrocher, terriblement vexé et déçu de ce comportement, mais elle m’explique que c’était prévu depuis longtemps, qu’ils devaient se voir pour son anniversaire, et qu’elle en avait profité pour mettre fin à sa relation avec lui. Je lui demande des détails, du pourquoi du comment, s’ils ont baisé (ce à quoi elle me répond oui)... A ce moment, je me dis que c’est la dernière des salopes, et je lui explique que je ne peux pas continuer avec elle dans ces conditions. Sans déconner : on sort ensemble le vendredi soir, et elle va coucher avec un autre même pas deux jours après, en ayant vu son mari entretemps ? Mais bon, en même temps en sachant cela, je n’attends plus énormément d’elle, si ce n’est une partie de sexe d’anthologie avec la bombe sexuelle que j’imagine en elle. Du coup, je la fais mariner, je lui dis qu’il faut que je réfléchisse. Elle me laisse plein de messages, me suppliant de la pardonner, puis finalement je me laisse faire. Elle a l’air sincère, et puis après tout, elle n’était pas obligée de m’avouer tout ça, si elle l’a fait c’est que peut être qu’elle veut être réglo avec moi pour partir sur des bases saines et sans mensonges. Et puis comme je le disais plus haut, j’ai quand même bien envie de me la faire, donc ça mérite de faire quelques concessions.
On repart donc sur notre rythme habituel, chats, webcam et téléphone, enfin plutôt sex-phone, car on est en train de planifier dans nos têtes notre partie de jambes l’air. On se cale même un week-end, le 17 mars. On s’envoie des photos très chaudes, des messages torrides laissant présager ce que nous allons faire lors de notre prochaine nuit.
Le 17 mars arrive enfin. J’ai posé ma journée, car on s’est donné rendez-vous à Axi, à 30 minutes de chez moi en fin de matinée, pour déjeuner en tête à tête. Elle aime bien cette ville, pour y avoir habité pendant ses années d’étudiante avec son copain de l’époque. Elle a même envie d’aller déjeuner dans un restau tout près de là où elle vivait, histoire de se remémorer ces années-là. D’ailleurs, elle a élaboré un petit jeu entre nous, inspiré directement du film ‘Fanfan’ qu’elle adore : nous ferons comme si notre rencontre était la première, sans s’embrasser, pour ne pas tomber dans la routine et faire de nos rendez-vous un éternel recommencement. Elle est de toutes façons certaine que je ne résisterai pas à l’embrasser, et qu’elle ne languira pas très longtemps. Ce serait bien mal me connaître ! Nous avons déjeuné, nous sommes repartis dans le centre d’Axi, et j’ai résisté une bonne partie de l’après-midi ! Elle n’en pouvait d’ailleurs plus, jouant avec moi en approchant ses lèvres des miennes et en les retirant au dernier moment, croyant me faire succomber ! Mais à ce petit jeu, c’est elle qui a fini par se faire prendre. A force de me voir résister, c’est elle-même qui, n’en pouvant plus, a pris l’initiative de m’embrasser… et croyez-moi, j’en ai profité !!!
En fin d’après-midi, on fait un saut chez moi pour déposer ses affaires, je lui fais visiter ma maison, on se change pour la soirée, et on planifie ce qu’on va faire. Je sais déjà que je l’emmène dans un restau japonais d’Axi (elle adore les sushis mais elle ignore ou je vais l’emmener), puis après nous verrons bien où le vent nous porte. On reprend donc la voiture en début de soirée, et on atterrit au Yogi, un magnifique japonais en plein centre d’Axi. Elle est totalement bluffée, et on passe une soirée délicieuse, a s’écrire des petits mots du style ‘ça le fait trop’. Le dîner terminé on retourne vers chez moi pour aller en boîte, d’abord au Warm Up, que nous quittons au bout de 30 minutes tellement l’ambiance est pourrie, puis au Bazar, où nous commençons notre nuit. Alcool, danse et attouchements poussés, font que la chaleur est en train de monter comme jamais entre nous deux. Je ne sais plus combien de temps nous avons passé dans cette boîte de jeunes friqués, mais au bout d’un moment, nous nous sommes regardés et nous avons compris qu’il était temps pour nous deux d’assouvir un désir qui se faisait de plus en plus explosif. On reprend donc la voiture, direction chez moi, pour enfin passer aux choses sérieuses.
Arrivés chez moi, je mets un peu de musique, l’album de Travis. Sur la chanson ‘Sing’, nous sommes dans le salon, à peine éclairés par la petite lueur qui éclaire la montée d’escalier qui nous sépare des chambres. Alors qu’elle est debout et que je l’embrasse tendrement, je commence à descendre lentement vers son nombril, et je dégage son chemisier pour accéder à son ventre que je lèche passionnément. Ma langue passe à la limite de l’élastique de sa culotte, je la caresse, j’attrape sa croupe, je redescends mes mains pour mieux les remonter dans l’intérieur de ses cuisses. L’instant est délicieux. Elle gémit, elle mord ses lèvres d’excitation, lorsque je me saisis de sa magnifique poitrine dont je sens les tétons dressés sous le tissu de son soutien-gorge. Tout en s’embrassant, on se déplace vers l’escalier, et on monte les marches une à une, sans détacher nos lèvres. Nous débouchons alors dans ma chambre, ou je prends le temps d’allumer trois bougies que j’avais préparé la veille. Tina Leah est maintenant sur mon propre lit, mon lit de nouveau célibataire, éclairée par les bougies que je viens d’allumer, le chemisier ouvert et la jupe remontée. Je la déshabille en explorant de mes lèvres chaque centimètre de sa peau que je mets à découvert. Elle me retire ma chemise, me plaque contre elle, puis descend ses mains vers la partie la plus bombée de mon jean qui semble vouloir imploser. Elle déboutonne mon jean, et caresse ma queue, gonflée et gorgée d’impatience, à travers mon boxer. Je lui retire sa culotte, et plonge ma langue au plus profond de sa chatte. Ah, cette chatte. Le goût délicieux de la chatte de Tina Leah est encore dans ma mémoire aujourd’hui. Je pense que de toutes les chattes que j’ai léchées, celle de Tina Leah était probablement la plus délicieuse. Un goût et une odeur extrêmement agréables, ce qui n’est malheureusement pas le cas pour toutes les femmes. Moi qui étais assez réticent à pratiquer le cunnilingus, m’y adonner sur la sienne était un pur régal. Je lèche son sexe de toute la surface de ma langue, de bas en haut, et je l’entends gémir en rythme chaque fois que je stimule son clitoris de cette façon. Bien évidemment, mes mains ne sont pas en reste, passant de l’intérieur de ses cuisses à sa somptueuse poitrine, que je viens de libérer d’un affriolant soutien-gorge en le dégrafant de deux doigts. J’avais déjà pu avoir un avant-gout, à travers le chemisier, de ces deux magnifiques seins ni trop gros, ni trop petits : bref, les seins de Tina Leah sont de ceux qui ont l’air d’être faits pour s’adapter à la main d’un homme, à la fois souples et fermes, odieusement doux au toucher et surplombés d’un téton turgescent de plaisir. Tina Leah est comme ça. Un visage d’ange avec un corps de pute, et c’est ce corps que j’ai sous mes doigts, à ma merci. A chaque fois que je lui donne du plaisir, elle se mord les lèvres, et expire de façon délicieuse. Le désir est à son extrême pour nous deux, ma queue est tellement gonflée qu’elle a largement émergé de mon boxer alors que Tina Leah est trempée, totalement asservie par mes caresses et mon jeu de langue qui ne cesse de stimuler sa chatte et ses seins. Je continue à lui infliger le plus délicieux des supplices, son corps m’appartient totalement, et arrive le moment où cette superbe trainée (je n’ai pas d’autre mot pour la qualifier à ce moment-là !) n’en peut plus et me fait comprendre qu’elle me veut au fond d’elle. De mon boxer devenu bien trop petit et dont je me débarrasse, je dégage ma queue, énorme et dure comme de la pierre, dressée vers le plafond et surtout brûlante à l’extrême. Je me saisis d’un préservatif, le tend à Tina Leah, qui telle une vraie professionnelle, le pose délicatement sur mon gland, et le déroule doucement sur toute la longueur de ce sexe qui va bientôt entrer en elle. Mon pilon est dégainé, prêt à frapper sa cible : une chatte trempée de désir, totalement offerte à moi, victime d’une somme de plaisir et d’envies refoulées qui s’accumulent depuis des semaines. Mon sexe se place alors à l’entrée de sa chatte : mon sexe, avec un gland énorme, bien trop gros en diamètre pour pouvoir y rentrer sans forcer. Le haut du casque est dans la vulve, la chatte de Tina Leah s’ouvre doucement au fur et à mesure que je m’y insère. Une sensation délicieuse m’envahit : je sens cette chatte englober, serrer et aspirer tout le tour de mon gland, si bien que je ne la pénètre pas totalement et reste avec juste le quart de ma queue en elle pour profiter de cet instant magique qu’est une première pénétration. Mon potentiel d’érection est à son maximum, je me retire légèrement, pour la re-pénétrer un peu plus profondément et bien imprégner nos deux sexes de la mouillure vaginale de Tina Leah. Je réitère la méthode plusieurs fois, en m’insérant en elle un peu plus à chaque fois, jusqu’à être totalement en elle, profondément, et sentir mes couilles contre sa peau. Je reste un instant au plus profond d’elle, puis je commence à la baiser. Lentement au début, car il ne s’agirait pas d’éjaculer trop tôt. Mon sexe est en érection depuis un long moment, et est extrêmement sensible à chaque mouvement de va-et-vient. Je contrôle ma respiration, et inflige des coups de plus en plus puissants à Tina Leah, qui est totalement submergée de plaisir. Ma queue est énorme, totalement englobée sur toute sa longueur par le sexe humide et chaud de Tina Leah. Chaque centimètre qui la compose est en éveil, renforçant une érection déjà maximale, et c’est maintenant avec une tendre violence que je me mets à pilonner ma victime. Je la bourre à grands coups, n’hésitant pas à ne laisser que mon gland en elle, pour sauvagement y re-rentrer jusqu’au fond. Le plaisir de Tina Leah est de plus en plus intense, au fur et à mesure que je la défonce. La vitesse à laquelle elle va atteindre l’orgasme me surprend moi-même… Je sens son corps se cambrer à mesure de mes coups, ses gémissements laissent place à des cris, des cris de plaisir, un plaisir qui est en train de l’embraser totalement. Elle est à deux doigts de l’orgasme, elle me le crie, lorsque je sens une chaleur intense, cette chaleur que je connais très bien, partir de la zone située entre la base de ma queue et mon bas ventre. Mon propre orgasme est en train de monter, et voyant que Tina Leah est à deux doigts de jouir, je sais que je n’ai pas à le retenir. Cette montée d’orgasme renforce de façon ultime mon érection, je sens à nouveau mon gland gonfler au fond sa chatte, prêt à exploser, et c’est ce qui va déclencher l’orgasme de Tina Leah. Son corps n’est plus que tremblement, sa voix n’est plus que cris déchirés, elle me serre contre elle, les cuisses repliées sur moi pendant que je la bourre, que je l’empale, que je la déchire, que je la pilonne, et c’est dans un cri de jouissance qu’elle atteint le septième ciel, l’orgasme qu’elle attendait tant que je viens de lui donner. Voyant que mon but est atteint, je n’ai pas à retenir mon plaisir. Mon sexe engorgé m’envoie les plus puissants signaux qu’il puisse envoyer. Je sens mon bas ventre monter en pression, et par secousses, je sens que le sperme est en train de quitter mes testicules pour maintenant se diriger vers la zone de ma prostate. Gorgée de semence qui est prête à être expulsée, sa chaleur irradie dans tout mon corps, jusque dans ma tête. Elle se répercute dans tout mon sexe, et lorsque je le décide, je relâche la tension que je maintenais et qui en devenait presque douloureuse : dans une puissante éjaculation, toute la tension de la zone se libère, en 4, 5, 6, 7 secousses qui sont à la fois libératoires et indéfinissables tellement le plaisir est grand. Tina Leah et moi restons figés, illuminés par le plaisir que l’on vient de se procurer. Nos deux corps ne font plus qu’un et ont fusionné dans l’extase. Nous nous endormirons, comblés de plaisir.Le lendemain matin, au lever de cette nuit délicieuse, Tina Leah décide, comme ça, d’aller chercher mon sexe sous la couette, pour le sucer de la façon la plus tendre qui soit, tout en me regardant fixement. Ne sachant pas trop si je dois me retirer avant l’éjaculation, je lui demande poliment si elle veut que je la prévienne avant de commettre l’irréparable. Elle me fait un signe de tête comme quoi, ce n’est pas la peine. Est-il possible pour un homme d’être plus heureux que dans ce moment-là ? Inutile de dire que je me suis laissé aller à cette douce fellation qui m’était offerte, de façon si inattendue ! J’ai laissé ma maîtresse s’affairer goulûment sur mon membre aussi gonflé comme la veille : étant donné qu’elle est extrêmement douée pour la chose, le plaisir n’a pas mis très longtemps à monter, et c’est avec une fierté non dissimulée que j’ai déchargé tout mon sperme (enfin, ce qu’il restait) dans son fond de gorge. La demoiselle a tout avalé, pour le plus grand plaisir de mes yeux ! Pour la petite histoire, quelques minutes plus tard, je lui ai demandé si elle avait faim et si elle voulait qu’on se prenne un brunch. Ce à quoi elle me répondit : ‘non moi c’est bon, j’ai déjà déjeuné’.Du pur Tina Leah, quoi !Pour conclure, je dirai que Tina Leah et moi avons continué nos escapades très sexuelles quelques temps, marquées par de magnifiques parties de baise chez moi, chez elle, à l’hôtel nos corps inondés de champagne et même dans un jacuzzi. Le tout dans le dos de son mari. Décrire ces instants magiques n’aurait que peu d’intérêt, vu que je vous ai décrit en détail notre première nuit de sexe et que je ne voudrais pas me répéter. On a juste fini par enlever le préservatif au bout de quelques jours, ce qui m’a valu quelques moments de trouilles, mais bien heureusement ni pour elle ni pour moi, cette imprudence n’a eu aucune conséquence vu que nous étions sains tous les deux. Il ne faut pas pour autant prendre la connerie que j’ai faite à la légère, et qui aurait pu être catastrophique. Protégez-vous dans toutes vos activités sexuelles, car pas tout le monde n’a la chance de tomber sur un chargeur vide lors de la roulette russe !Enfin, je dédicace ce récit à Tina Leah, peut-être le meilleur coup que j’ai rencontré !
Diffuse en direct !
Regarder son live