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Noah et Sophie

Chapitre 2

Entre quatre murs

Hétéro
Comme à son habitude, Noah est en avance au dojo et discute avec ses amis. Sophie elle, arrive juste à temps pour le début du cours. Elle a à peine le temps de saluer quelques personnes, Noah n’en fait pas partie. Un mois est passé depuis leurs relations. Entre-temps, les vacances scolaires (synonymes d’arrêt des entraînements), puis une absence de Sophie de quelques jours font qu’ils ne se sont pas vus depuis.
Pendant l’entraînement, Noah se propose à Sophie comme partenaire, « Ah désolé, je suis déjà prise ! » répond-elle. Et bonjour peut-être sinon... pense Noah.
Le cours se poursuit. Un entraînement catastrophique pour Noah. Ces derniers temps, il a perdu un peu de poids, il n’est plus très en forme, sa formation universitaire l’épuise et le moral ne va pas fort.
C’est la fin, Noah part se doucher, il traîne un peu, les mains posées sur le mur, les yeux fermés, il reste sous l’eau chaude, son corps est douloureux. Le vestiaire est silencieux, tous sont déjà partis.
L’écoulement de l’eau s’interrompt, Noah s’apprête à appuyer une nouvelle fois sur le bouton poussoir quand il entend « Bon Noah, tu fais quoi ? Je te ramène ? ». C’est Sophie qui est entrée dans les vestiaires.
— Ah pardon ! Oui, je me dépêche ! Ça lui était complètement sorti de la tête. Sophie n’a pas perdu ses habitudes.
Il est nu, le corps trempé. Sophie attend, vêtue d’un survêtement, les cheveux attachés, droite comme un piqué, l’air sérieux. Embarrassé, Noah attrape une serviette pour se sécher en vitesse. Il enfile ses vêtements, si vite qu’il remet un t-shirt sale. Peu importe, se dit-il.
— Allez, on y va !
lance sèchement Sophie.

Dans la voiture, la radio occupe l’espace laissé par un silence pesant. Pesant pour Noah du moins, Sophie n’y prête que très peu attention, concentrée sur la route comme une pilote, elle fait crisser les pneus pour réduire le temps de parcours.
— Voilà, t’es arrivé. À la semaine prochaine !
La voiture étant garée en double file, les warnings allumés malgré quelques places de parking plus loin, Noah se pressait pour récupérer ses affaires et quitter l’habitacle.

— Au revoir ! dit-il une fois sorti. Mais la porte aussitôt refermée, Sophie redémarre. Il devra se contenter d’un signe de main à travers la vitre teintée.
Noah est pris d’une sensation étrange. Il voulait parler à Sophie, il n’arrête pas de penser à elle. Elle a fui, comme si elle ne lui devait plus rien à part un raccompagnement taxi jusque chez lui.
Souvent depuis un mois, il repense à cette scène entre lui et Sophie. Il se masturbe en revoyant le corps de la quarantenaire blonde. Il se souvient de tous ses faits et gestes. De sa mâchoire serrée, de sa taille tordue, le bassin fixé sur le sien. Il se souvient de chacune des sensations, de l’étouffement. Il se souvient de la texture de la langue de Sophie qu’il a goûtée avec son gland.
Bref. Il est tard, il faut se coucher. « Merde mon sac ! » s’écrie-t-il, seul dans sa chambre d’étudiant. Après une brève hésitation, il envoie un message à Sophie :
— J’ai dû oublier mon sac dans ta voiture...
La réponse est immédiate :
— Effectivement, je passe te le rendre demain. — Merci beaucoup, bonne nuit Sophie !
Pas de réponse.

*


Le lendemain, 9h, l’interphone sonne. C’est le gardien de la résidence étudiante. « Noah, ta mère est là pour te voir. » Ma mère ? Pense-t-il. Il sort dans le couloir et s’avance vers l’entrée quand il aperçoit Sophie qui le rejoint, le sac de sport oublié de la veille à la main. Sa tenue surprend Noah, non pas qu’elle soit choquante en soi. Mais à 9h du matin, un samedi, Sophie est déjà maquillée ; rouge à lèvres vif, ses cheveux sont ondulés légèrement décoiffés, ses yeux noircis d’un trait d’eye-liner. En haut, elle porte un pull bien trop grand à l’effigie d’un club de NBA. En bas, elle porte un drôle de pantalon noir, patte d’eph, très fin et très souple qui moule parfaitement les formes de son corps.
— Je me suis fait passer pour ta mère, ça semble fonctionner.— Oh, mais tu sais, ce n’est pas une prison, tu aurais juste pu dire que tu étais une amie.— Mouai.
Ils marquent un temps puis Noah relance ;
— Bon bah merci pour le sac en tout cas ! Et désolé hein.— De rien. Tu ne me fais pas visiter ?— Ma chambre ?— Bah oui, où tu vis quoi ?— Euh eh bien c’est-à-dire que c’est une chambre quoi... Non, mais oui bien sûr tu as raison, viens, je vais te montrer ! Tu veux un café ?— Je veux bien oui.
Peu habitué à recevoir Noah entre en premier dans la chambre. « Voilà c’est ici que je vis depuis septembre ! » En même temps, il en profite pour refaire le lit qu’il a quitté il y a peu et débarrasse le bureau de quelques affaires. Ça fera office de table se dit-il, puis il lance la cafetière.
Stoïque Sophie dit « effectivement, c’est petit ». Elle regarde un peu partout, puis se cherche une place afin de s’asseoir. « Assieds-toi sur le matelas si tu veux, je n’ai pas grand-chose d’autre haha... » Sophie s’exécute, toujours silencieuse.
Le bruit de l’eau s’arrête ; le café est prêt. Noah fait le service dans des récipients peu adaptés.
— Désolé je n’ai que ça... — C’est parfait, ne t’inquiète pas.
Dans la pièce, on n’entend que le bruit des déglutitions, et au loin, un voisin semble jouer à un jeu vidéo. Un silence qui ne fait qu’évoquer leurs relations passées, et cette complicité soudainement perdue. Noah essaye de faire la conversation :
— Et sinon, ça va ?— Mhmh, fait Sophie en buvant une gorgée.— Ta soirée d’hier s’est bien passée ? Noah ne sait vraiment plus quoi dire pour casser le silence.
Sophie sourit malicieusement – oui et la tienne de soirée ?
— Oh bah je me suis couché peu de temps après que tu m’aies déposé...— D’accord. Dit-elle doucement en le fixant du regard.
À court de conversation, Noah se tait, touille son café et regarde ses pieds, Sophie le fixe toujours, sourire en coin comme la première fois qu’ils se sont vus.
— Tu n’as rien fait de particulier hier soir ? demande Sophie.
Surpris par cette question, Noah répond : « Euh... bah non... »
— Tu ne t’es pas branlé ?
Noah reste bouche bée, immobile, il regarde Sophie sans répondre.
Sophie se met debout, fixant Noah dans les yeux elle se penche vers lui et reprend :
— Tu ne t’es pas branlé en repensant à ce que nous avions fait ?
Les mains posées de part et d’autre du bureau au dos de Noah, les bras de Sophie encadrent ce dernier.
Les battements du cœur de Noah semblent résonner dans toute la pièce. Ébahi, il fixe les lèvres de Sophie qui se rapprochent. Soudain, il se décide à les embrasser. Là, Sophie le repousse avec violence. Puis elle empoigne le sexe de Noah au travers du jean.
Il bande. L’érection a été instantanée depuis le moment où Sophie l’a repoussé, comme incontrôlable.
Elle lui déboutonne son jean d’une seule main, l’autre est toujours en appui sur le bureau, puis saisit le sexe rigide de Noah pour le branler. Noah quant à lui pose timidement ses mains sur la taille de Sophie qui ne le repousse pas, au contraire :
— Baisse-le. Ordonne-t-elle.— De quoi ? Demande Noah.— Mon pantalon, baisse-le. Enlève-le-moi !
Noah fait ce qu’on lui dit. Très souple, il lui suffit de tirer un peu pour que le pantalon descende aux chevilles.
— Le string aussi. Enlève le string. Reprend-elle.
D’un mouvement de balai, Sophie termine d’enlever ses vêtements tout en masturbant Noah.
Sa main glisse entre les cuisses de Sophie et atteint le vagin où il y glisse deux doigts. Puis il remonte jusqu’au clitoris qu’il vient masser tendrement de son index. Sophie, restée en contrôle depuis le début de l’acte commence à se laisser un peu faire. Son autre main vient saisir la fesse gauche de sa partenaire. Fesse qui tient tout entière entre les doigts du jeune homme.
Mais Sophie se reprend. Elle recule, faisant perdre son emprise à Noah. Elle vient s’asseoir sur le lit, les jambes écartées. « Viens mettre ta bouche ! ». Noah ne bronche pas, s’agenouille devant elle et pose sa langue là où son index venait de passer. Là, Sophie lui saisit le crâne, l’étouffe dans son entrejambe. Noah est obligé de repousser avec ses lèvres et sa langue pour ne pas mettre les dents. Mais c’est peut-être ce qu’elle souhaite finalement pense-t-il. Convaincu par cette hypothèse, il décide de venir saisir entre ses incisives une lèvre vaginale.
— HAaanh !
Le cri que vient de lâcher Sophie ne donne pas vraiment d’indication à Noah quant à la sensation provoquée. Son visage mime la douleur, mais à en juger par ses cuisses qui maintenant viennent consolider son emprise sur le crâne de Noah, il semblerait qu’elle en redemande.
Cette fois, c’est le clitoris que Noah vient attraper entre ses dents. La réaction de Sophie est immédiate. Elle pousse un cri aigu avant de bondir à nouveau sur ses jambes. Noah est maintenant à genoux au sol, Sophie lui penche la tête en arrière puis la coince à nouveau entre ses cuisses.
Respirant à peine, le visage plaqué contre le vagin, il observe sa partenaire en contre – plongée. C’était une bonne idée ; les dents, Noah n’hésite pas à recommencer. À chaque coup de canine, Sophie se tord de plaisir, ses jambes tremblent. La respiration est rendue beaucoup trop compliquée par la position à laquelle Sophie le contraint. Pour éviter de suffoquer plus longtemps, Noah repousse les cuisses de Sophie et s’étale au sol. Reprenant leurs respirations, lui sur le dos, elle debout, ils se regardent. Le visage de Sophie n’est pas plus expressif que pendant un combat de judo. Elle ne tremble plus, ne lâche pas du regard son partenaire. Noah transpire à grosses gouttes, ses joues sont rougies.
D’un mouvement décidé, Sophie retire le pull qu’elle portait depuis le début. En dessous ; simplement de la lingerie, pas de t-shirt. Elle porte une sorte de soutien-gorge, une coupe encore inconnue pour Noah. Celui-ci n’est fait que de bandes en tissus noirs, ne cachant que très peu de poitrine et ne soutenant pas grand-chose en apparence ; une bande principale cache chaque téton pendant que deux lanières périphériques font le tour de la poitrine sans la couvrir.
Noah contemple sa partenaire encore un peu, mais celle-ci a l’air décidée à en découdre. Elle s’agenouille au sol pour mettre son visage à hauteur du sexe de Noah puis l’embouche. Tout en gardant le contact visuel avec son partenaire, Sophie va-et-vient sur le sexe massif, y laissant une partie de son rouge à lèvres qui s’estompe au fur et à mesure qu’elle suce. C’est donc une bave teintée qui, doucement, rejoint la base du pénis de Noah. Elle remonte un peu ; arrivé en haut du gland Sophie donne un coup de dent sur celui-ci.
— Aaaïïïi ! Fait Noah l’air hébété.
Sophie ricane en se redressant puis de sa main droite, met une claque au sexe de Noah qui tel un ressort que l’on tord puis relâche, se met à balancer rapidement de gauche à droite.
— Bon allez baise-moi maintenant. Dit Sophie sur un ton sérieux avant de tourner le dos à Noah pour aller se mettre à quatre pattes au sol.
Noah se relève, vient se placer derrière Sophie, et entre lentement son sexe dans le vagin bouillant de sa partenaire qui lâche un souffle de soulagement. Il entame une série d’allers-retours, visiblement pas assez vigoureux selon les critères de sa partenaire puisqu’elle lui lance :
— Allez, mais baise-moi ! Tout en exagérant sa cambrure posant sa poitrine au sol. « Baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! » reprend-elle.
Noah accélère le rythme, mais ses genoux posés à même le sol lui font mal. Souffrant en silence, il tente des choses ; ses mains entourent la taille de Sophie et amènent son bassin contre le sien de manière répétée. Mais ça ne suffit toujours pas à contenter Sophie.
— Mais défonce-moi bordel. Chuchote Sophie en tordant son buste afin de voir Noah.
Sophie se décide à reprenred les choses en mains ; elle recule ses fesses d’un coup sec, plaquant ainsi Noah contre une paroi derrière lui. Il se retrouve coincé, aucun degré de liberté ne lui est autorisé par Sophie qui lui plante les os de son bassin dans le bas-ventre. Sophie relâche la pression doucement en s’avançant, puis recule à nouveau violemment enfonçant le sexe de Noah au maximum. Elle gémit, puis recommence, encore et encore.
Noah encaisse tant bien que mal les chocs que subit son pubis. Son dos, aplati contre le mur, aussi devient douloureux, lui faisant presque oublier ses genoux. Sophie supporte beaucoup mieux la violence des ébats. Elle tord à nouveau son buste pour faire face à Noah sans séparer leurs sexes. Là, elle saisit les joues de Noah tordant ainsi ses lèvres. Puis elle sourit avec un léger rire discret.
Noah sent son gland atteindre des profondeurs vaginales rarement atteintes. Mais là, Sophie s’arrête. Devenue tout à coup silencieuse, elle vient prendre une main de Noah pour la porter à son clitoris. Avec celle-ci elle se masturbe, guidant les moindres gestes des doigts de Noah telle une marionnette. Ses gémissements se renforcent, elle crie de plus en plus fors. Maintenant c’est son corps tout entier qui se crispe, les yeux fermés elle jouit.
Sophie, comme affaiblis, ses muscles si toniques l’instant auparavant deviennent mous, ils ne la soutiennent plus. Elle s’aplatit au sol sur le ventre. Noah resté droit comme un « i » le sexe à la perpendiculaire la regarde s’étaler. Il observe le dos de Sophie se détendre, les muscles si saillants pendant l’acte s’estompent, dans le bas du dos, le pli causé par la cambrure excessive disparaît, ses fesses semblent se ramollir.
Elle reste là quelques minutes à reprendre son souffle. Noah n’ose pas bouger. Quand enfin elle se redresse, Noah découvre le visage de Sophie fatigué. Quelques larmes ont fait couler son maquillage, laissant apparaître des cernes. Elle se tourne vers Noah et baisse les yeux en direction du sexe encore bandé. Puis inexpressive elle détourne le regard, attrape son pull et l’enfile. Elle fera de même avec son pantalon.
Noah s’est relevé, mais n’est toujours pas rhabillé. Gêné, il cache dans ses mains son pénis congestionné. Sophie a récupéré ses affaires, enfin presque :
— Je te laisse un souvenir, amuse-toi bien. Dit-elle en désignant son string laissé au sol.
Noah constate qu’en effet, le pantalon de Sophie a parfaitement pris la forme au niveau de son entrejambe.
Sophie quitte la pièce sans rien ajouter.
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