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Noël en famille

Chapitre 4

Ma soeur Marie

Inceste
Je promets de tout expliquer à ma soeur, mais pas tout de suite. Je lui demande de me laisser du temps, d’autant plus que je sais que mon beau-frère doit s’absenter pour aller à son bureau.
Ce jeudi Pierre part vers 10 h pour se rendre à son travail, il nous averti qu’il sera de retour vers 17h. En début d’après-midi Camille et Sarah décident de sortir voir leurs amies.
Je suis assis au salon quand Marie décide de me rejoindre. Elle s’assoit en face de moi dans le fauteuil. Elle me fixe des yeux.
— Alors tu peux m’expliquer ?— Écoute c’était le soir du réveillon. On avait tous un peu bu. Vous êtes allés vous couchez et je suis resté au salon avec Sarah. Au début je n’avais aucune idée en tête, mais l’ambiance à fait que...— Je n’en reviens pas que tu as baisé ta propre nièce. Il y a eu plusieurs fois ?— disons que Sarah a parlé avec Camille, et cette dernière m’a menacé de tout vous raconter si elle n’avait pas plus d’attention que sa soeur. — Donc tu as baisé tes deux nièces ? Je crois rêver ! J’espère que tu sais comment on appelle ça ?— Oui.
Je ne sais pas pourquoi, mais de me rappeler ce qu’il s’est passé avec mes nièces, de tout raconter à ma soeur, et de me faire faire la morale, ne me déplaît pas, au contraire. Je sens un début d’excitation. Il faut dire que de la manière dont Marie est habillée, ne me simplifie pas les choses.Elle a revêtu une robe qui se ferme devant avec des boutons. Sauf que les trois premiers boutons du haut sont ouverts et me laisse entrevoir le début de sa généreuse poitrine, et les boutons du bas sont également ouverts jusqu’à mi-cuisse, ce qui me laisse voir ses jambes ainsi que le début de ses bas noirs.
Elle continue de me faire la morale. Je ne l’écoute qu’à moitié.
— Peux tu me dire ce que tu leur as fait vraiment ?— Euh, euh, tu es certaine de vouloir savoir ? — Oui. Je veux savoir ce que tu as fait à mes puces.
Je commence par lui raconter ce que j’ai fait à Sarah et je lui apprends que j’ai fait perdre sa virginité à Camille, sans oublier de lui dire que je l’ai également sodomisé.
Je vois dans son regard qu’elle est prête à m’engueler, mais je peux constater qu’elle bouge et se trémousse légèrement sur son fauteuil. Je pense que toutes ces descriptions ne la laisse pas indifférente.

— Sais tu si elles ont aimé ça ?
La question de Marie me surprend. Son ton est plus calme et moins accusateur, au contraire, on dirait qu’elle veut avoir encore plus de détails.Je décide de lui en donner.
— Je pense qu’elles ont vraiment aimé ça. Pour Sarah elle connaissait déjà ça et elle a beaucoup aimé que se soit Tonton qui lui donne du plaisir. Par contre pour Camille se fût une découverte pour elle, au début un peu timide et maladroite mais à la fin elle en redemandait.
Je vois ma soeur se trémousser de plus en plus.
— A mon tour de te poser une question. — Vas-y !— Tu sais que je couche à côté de votre chambre ! — Oui.— Tu as baisé il y quelques jours avec ton mari.— Comment tu le sais ?— Tu as tout fait pour que je l’entends. Je me suis levé et je t’ai vu, je vous ai vu. En passant je voulais te dire que tu es magnifique.
Je la vois rougir.
— Et tu a aimé le spectacle ?— Oh oui.— Pour être honnête avec toi, tu as eu de la chance de voir ça, car nous ne faisons pas ça assez souvent à mon avis. Pour cette soirée là, l’alcool a aussi aidé. Et quand on fait ça, c’est pas mal toujours la même chose, la même position. — Il ne te traite pas comme tu dois être traitée.— Pour être franche avec toi, au début quand j’ai appris que tu avais couché avec tes propres nièces j’étais furax, mais au fond de moi je les enviais.
Je n’en revenais pas des paroles prononcées par ma soeur.Je décide de me lever du divan et de me rapprocher d’elle qui est toujours assise sur le fauteuil.Je me penche vers elle pour lui faire un petit bisous sur la joue. Elle tourne sa tête d’elle même et me présente ses lèvres. Je ne refuse pas l’invitation et dépose ma bouche sur la sienne. Immédiatement nos langues se mêlent. Je lui mordi ses lèvres, lui lèche sa langue. Ma main caresse sa nuque. Elle penche sa tête sur le côté, j’en profite pour l’embrasser dans le cou. Elle ferme les yeux et ronronne.J’ai mon bassin à hauteur du visage de Marie et en ouvrant les yeux elle constate une bosse énorme qui déforme mon pantalon.
— C’est moi qui te mets dans cet état ?— Oui et il va falloir m’aider.
Sans se faire prier, elle met mes paroles à exécution. Ma soeur déboutonne mon jeans qui tombe à mes pieds. Mon érection est tellement forte que ma queue sort à moitié de mon slip.Elle descend mon slip et ma tige se dresse droite devant Marie. Je viens frotter ma queue sur son visage. Je passe devant ses lèvres mais j’évite de la rentrer dans sa bouche. Je veux qu’elle sente la queue de son grand frère parcourir son visage. Je veux l’exciter au maximum, même si je sais qu’elle l’est déjà, car elle se caresse déjà ses cuisses et remonte sa main jusqu’à son entrejambe. Je peux ainsi admirer le haut de ses bas et le début de sa culotte à dentelle.
Quand je frôle sa bouche avec ma bite, elle cherche à la prendre, elle ouvre grand les lèvres et sort sa langue, et encore une fois, elle ne peut que donner un coup de langue dessus.
— On dirait que tu as hâte de sucer la queue de ton grand frère.
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle se jette dessus et l’avale en une seule bouchée. Je sens ma bite cogner le fond de sa gorge, ce qui la fait presque s’étouffer. Elle a les yeux tout humide.Elle me suce admirablement et passe sa langue sur mon gland tout luisant. Avec sa main libre elle me caresse et soupèse mes couilles. Elle délaisse par moment ma tige avec sa bouche pour me lécher et gober mes bourses.
Je suis aux anges. Elle s’avance sur son fauteuil et se place sur le bord. J’en profite pour glisser ma main dans l’ouverture de sa robe. Je malaxe délicatement son sein par dessus son soutien gorge en m’attardant sur le bout que je sens durcir très rapidement. Je glisse à prèsent mes doigts entre son tissus et sa mamelle. Sa peau est douce. Je fais rouler son téton dur entre mon pouce et mon index. Tout en gardant ma bite en bouche, elle utilise ses mains pour déboutonner le haut de sa robe. Elle retire ses manches et descends sa robe jusqu’à sa taille. Elle fait tomber les bretelles de son soutien gorge et le descend également. La voilà à présent seins nus. Ils sont magnifiques, gros, pesant, aux bouts larges et foncés. Deux belles mamelles de mère de famille, qui ont nourri mes deux nièces. Il faut dire qu’elle est encore jeune avec ses 42 ans, comparé à moi et mes 57 ans.
Je la fais se lever. Nous sommes face à face. Nous nous regardons droit dans les yeux. Il est encore temps d’arrêter, mais je crois qu’aucun de nous deux à l’envie de renoncer à se désire.Je pose mes lèvres sur les siennes, elle accepte mon baisé. Nos langues se mêlent. Je suce sa langue, je mordi ses lèvres.
Je l’aide à retirer complètement sa robe, son soutien gorge et sa culotte. Je me recule pour me déshabiller à mon tour et j’en profite pour l’admirer. Je suis complètement nu, Marie est juste habillée de ces bas noirs, qui la rendent encore plus sensuelle. Nous nous jetons à nouveau dans les bras l’un de l’autre. Nous continuons de nous embrasser. Mes mains parcourent le corps de Marie, en m’arrêtant sur sa chatte. Je caressse sa chatte fraîchement rasée. Son sexe est lisse et doux. Je passe mes doigt sur sa fente. Elle est tellement humide.
Je m’allonge sur le tapis et je l’invite à venir s’asseoir sur ma bouche.
— Donne moi ta chatte. J’ai hâte de savoir ce que goûte ma soeur. — Tu vas pas le regretter
Elle se positionne au dessus de moi. Je soulève légèrement ma tête et commence à lui lécher sa fente. D’elle même, elle écarte ses lèvres pour que je puisse insérer ma langue. Tel un chien je lui lèche toute sa moule assez vigoureusement. Du bout de ma langue je m’attarde à présent sur son clitoris. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Elle prends ses seins en main et commence à se les malaxer. De mon côté je caresse les fesses de Marie. Je lui prends à pleine main. Je dirige mes doigts vers sa fente, jusqu’à atteindre son petit trou. Je sens sa petite rosette sous mon majeur.
J’entends la respiration de Marie s’accélérer. Je comprends qu’elle n’est pas loin d’avoir un orgasme. Je continue de titiller son bouton rose, jusqu’au moment ou je l’entends jouir. Je n’en perds pas une goute de l’abondance de cyprine qu’elle vient de produire. J’imagine que ma soeur a eu sa dose mais bien au contraire elle se lève, recule de quelques pas et s’accroupie. Elle saisit en main ma bite bien raide et droite et se la dirige à l’entrée de sa chatte. Sans aucun préliminaire elle se l’insère directe jusqu’au bout. Ça rentre sans aucune difficulté tellement elle est lubrifiée. Elle est littéralement en chaleur. Elle monte et descend sur ma queue.
— Vas-y baise ta petite soeur. — Tu es toute une salope ! Tes filles tiennent de toi.— Oh oui, quand j’ai baisé avec Pierre, je criais exprès pour que tu m’entends. Je voulais t’exciter.— Et bien tu as réussi. Je me suis branlé le soir en pensant que je te défoncais.
Marie se penche en avant m’offrant ses mamelles à téter. Je prends son mamelon en bouche, commence à sucer son sein, et de ma langue je lui lèche le téton que je sens devenir très dur.Je continue à la pilonner, je monte et descends mon bassin rapidement et avec puissance ce qui arrache à chaque coups un cri de ma petite soeur.
— Veux-tu subir le même traitement que ta fille Camille ?— Lequel ?— Que ton grand frère t’encule, te défonce le cul !— J’aimerais trop ça !— Mets-toi à quatre pattes ma chienne.
Marie sort ma queue de sa chatte, se lève et se positionne en bonne salope devant moi.Elle m’offre à présent son cul bien rond. J’adore ses fesses généreuses.Je veux la faire languir et patienter un peu. Elle a sa tête contre le sol et les fesses bien relevées. Je la prends en levrette pour commencer. Sa moule est a moitié ouverte, je n’ai aucun mal à m’insérer en elle. D’un coup sec je la pénètre. Je me relève légèrement, je la tiens par les hanches et commence mon va-et-vient. Dès le début, mes coups sont puissants. On entend le bruit de mon ventre cogner les fesses de ma salope de soeur.Elle passe sa main entre ses jambes et vient me carresser mes couilles.
— Vas-y, j’aime ça sentir tes testicules cogner mon clitoris.
En entendant ces mots sortir de la bouche de ma soeur, j’accélère mes mouvements en la tenant fermement par les hanches.Même de la position ou je suis je vois ses mamelles se balancer de droite à gauche. Après l’avoir pilonné plusieurs minutes je décide de m’attaquer à son cul.Je sors ma tige de sa chatte , elle est couverte de sa mouille.Je lui écarte bien ses fesses, ce qui a pour effet de bien lui ouvrir son anus.Je lui donne quelques petits coups de langue dessus, et je crache également sur sa rondelle. Après avoir bien lubrifiée ma queue également, je pose mon gland sur son trou. Je pousse petit à petit. Je m’insère assez facilement. J’entends ma soeur gémir de douleurs et plaisirs en même temps.
Je suis à présent complètement à l’intérieur et je commence ma sodomie. Je regarde ma queue coulisser entre les fesses de Marie. J’entends ma soeur gémir de plus en plus fort.
— C’est tellement bon mon frère. Je n’avais plus baisé comme ça depuis longtemps. — Tu vas y goûter frangine.
Plus je lui donne des coups puissants, plus elle en redemande.Avec sa main droite elle se caresse son clitoris pour doubler son plaisir. Je sors complètement ma queue de son cul qui reste bien ouvert, pour y retourner d’un coup, je répète ce petit jeu un bon moment. Ces coups répétés la fait avancer sur le sol.Je lui attrape son sein gauche qui continue de se balancer et je lui malaxe. Il ne tient pas dans ma main tellement il est volumineux.À ce rythme, je ne tiens plus que quelques secondes et je lâche tout mon jus dans son cul. Je reste deux à trois minutes dans cette position pour être certain de me déverser jusqu’à la dernière goûte. Je me retire, et constate qu’un peu de sperme coule d’entre les fesses de Marie.
Ma soeur en veut encore, elle n’a pas eu son second orgasme. Je décide de la finir en la masturbant et en la lèchant. Je lui insère deux doigts dans sa chatte, tout en lapant toute sa moule.
— Vas-y plus vite, encore plus vite, encore, encore, encore.
Mes va-et-vient s’accélèrent, ainsi que mes coups de langue.
Elle se contracte, pousse un cri puissant de jouissance. Elle soulève son bassin et m’envoie, un jet puissant, saccadé.Elle m’innonde littéralement le visage et mon torse.Je viens de découvrir que ma petite soeur est une femme fontaine. Malgré que nous venons de baiser ensemble, elle est toute gênée que je découvre son secret.Ça la rend encore plus charmante.
On ramasse nos habits. Direction la douche. Comme il est encore tôt, et que personne n’est censée déjà revenir, on ne se presse pas et on décide de prendre notre douche ensemble comme quand nous étions petits. Bien sûr nous allons dans la salle de bain réservée à ma soeur et mon beau-frère. Ce dernier que je venais de faire cocu.
Chacun nettoie l’autre. Je m’attarde bien sur ses différentes parties intimes, et Marie en fait de même. Sauf que chez moi, c’est immédiat et ma queue se dresse. Elle part à rire.
— Décidément tu démarres au 1/4 de tour. Viens je vais te soulager.
À genoux dans la salle de bain, Marie commence une fellation. Je suis encore excité que je ne tiendrai pas longtemps. Tout d’un coup on entend la porte de la chambre s’ouvrir. Ma soeur arrête de me sucer et nous nous regardons.C’est à ce moment qu’on entend une voix féminine.
— Maman tu es là ?— Euh, oui je suis à la salle de bain.
Et on perçoit au loin une autre voix crier
— Tonton tu es où ?
Mes nièces étaient de retour plus tôt que prévu...
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