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Noël au Manoir des Plaisirs

Chapitre 1

Le Réveillon

Orgie / Partouze
Noël au Manoir des Plaisirs
(Concours pour un Conte de Noël)
Chapitre 1 : Le Réveillon__________________________________________________________________________________________
Enfin, le réveillon de Noël. Après de longues journées de travail, je vais pouvoir me détendre. En cette soirée, je suis en route pour une réception organisée par un client du magasin avec qui j’ai sympathisé.
À mes côtés, Sonia, ma petite amie. Toujours aussi belle, toujours aussi merveilleuse. Ce soir, elle s’est apprêtée comme jamais ; sous son manteau noir, une jolie robe bleue avec des talons assortis.Mais nous ne sommes pas seuls. Justine, ma meilleure amie, est également présente. Elle est magnifique. Sous sa veste, elle porte la même robe et les mêmes talons que Sonia, mais en rouge.Plusieurs mois se sont passées depuis les révélations et notre nuit à trois. Aujourd’hui, Sonia et Justine s’entendent de la meilleure des manières. Elles passent beaucoup de temps ensemble, comme deux vraies amies que ce soit pour des sorties ou des soirées coquines. Il m’arrive d’être présent que ce soit pour observer ou pour y prendre part. Je partage ma vie avec Sonia mais je passe également du temps avec Justine. Un mode de vie peu banal mais un mode de vie idéal.
Nous arrivons chez notre hôte. Sa demeure ressemble à un de ces vieux manoirs ; camouflée par une haute haie qui fait tout le tour du parc, un parc où la neige, tombée ces derniers jours, recouvre la pelouse, s’accroche aux branches des sapins et cache les quelques statues. J’arrête la voiture devant l’entrée du manoir, à côté d’autres véhicules. Nous descendons tous les trois, les filles m’entourent. Instinctivement, je prends la main de Sonia ; Justine le remarque.
— Et moi ? dit-elle, faussement jalouse.— Ne t’inquiètes pas ! répond Sonia. Je saurai me faire pardonner.— J’espère bien.— Et puis, imagine la tête de notre hôte s’il nous voyait tous les trois, main dans la main, dis-je en plaisantant. Il se demanderait quoi...
Justine rit à cette affirmation. Les pieds dans la neige, nous nous approchons rapidement de l’entrée. Arrivés face à la grande porte, décoré d’une couronne pour l’occasion, nous sommes immédiatement accueillis par notre hôte.
— Bonsoir chers amis ! dit-il avec enthousiasme.— Bonsoir monsieur Lepetit !— Bienvenue dans ma demeure ! Mesdemoiselles, vous êtes magnifiques !
— Merci, répondent-elles en cœur. Très contentes d’être ici.— Monsieur Lepetit, je vous présente Sonia, ma petite amie. Et Justine, ma meilleure amie.— Mon cher Nicolas, vous savez vous entourer ! Mes félicitations !
Les filles sont flattées de l’entendre. Nous entrons dans le manoir et nous dirigeons vers une grande salle. À l’intérieur, deux grands sapins décorés à l’identique. Une grande table est dressée, avec une nappe blanche et un centre de table rouge. La cheminée est allumée, le feu brûle de manière vive. Un majordome, habillé d’un costume blanc, nous souhaite la bienvenue et nous propose de prendre nos manteaux.Des invités sont déjà présents. Pour la grande majorité, ce sont des couples. Nous les saluons chacun leur tour. Je reconnais l’un d’entre eux ; un employé de la bibliothèque municipale, accompagné de sa compagne. Puis, c’est au tour de Justine de reconnaître quelqu’un.
— Tiens ! Jean !— Justine ! Qu’est-ce que tu fais ici ? demande t-il, surpris.— J’accompagne un couple d’amis, Nicolas et Sonia, dit-elle en se tournant vers nous. Je vous présente Jean Dôm, professeur de Français, et collègue.— Enchanté de faire votre connaissance ! dis-je en lui serrant la main.— Pareil pour moi ! Bonsoir madame ! répond t-il.— Bonsoir ! Appelez-moi Sonia ! répond t-elle.
Justine continue sa discussion avec lui tandis que je continue d’observer les invités qui arrivent. Deux femmes, la quarantaine d’années, entrent, suivies par deux hommes. Si les deux femmes, l’une brune et l’autre rousse, porte la même robe noire, leurs partenaires portent des costumes identiques. Le premier est Sonia me chuchote que ce sont deux clientes de sa boutique de lingerie. Enfin, la dernière invitée fait son apparition. Elle se précipite vers le premier couple, leur fait une accolade. Je reconnais cette fille, une amie de ma sœur. Une jolie blonde très gentille mais qui a une certaine réputation. Lorsqu’elle me voit, elle se précipite.
— Nicolas ! Comment vas-tu ? me dit-elle, toute contente.— Emma ! dis-je, en lui faisant la bise. Je ne pensais pas te voir ici.— À vrai dire, moi non plus. Surtout quand on connaît les soirées de monsieur Lepetit. Je vois que tu es bien accompagné.
Je lui présente Sonia, ainsi que Justine. Puis, elle nous quitte afin de retrouver ses amis. Au même instant, Monsieur Lepetit entre dans la salle. Dans son grand costume rouge, il tient à prendre la parole.
— Bonsoir chers amis ! Je vous souhaite la bienvenue dans mon manoir afin de fêter, comme il se doit, le Réveillon de Noël ! J’espère que nous passerons un merveilleux moment. Et pour l’heure, je vous invite à rejoindre cette table !
Tous les invités s’approchent de cette table. Je m’installe à une place, entouré par Justine et Sonia. Emma s’installe juste en face de moi, tout sourire. Elle invite son couple d’amis à nous rejoindre.Le majordome, accompagné d’une serveuse et d’un jeune serveur, tous deux vêtus de vert, apportent les premiers plateaux, composés de foie gras, de saumon fumé, de crevettes, de toasts en tout genre ; et servent différents verres de vins, blanc ou rouge. Un buffet digne des plus grands repas de Noël, avec des chants de Noël en fond sonore. Pendant ce repas, je discute avec mon entourage, que ce soit avec Sonia ou Justine, mais aussi avec Jean ou Emma. Je fais la connaissance de ses amis, Antoine et Sophie, un couple très sympathique qu’elle a rencontré lors d’une soirée organisée par monsieur Lepetit. Je m’intéresse grandement à eux et découvre qu’ils ont une vie quasi similaire à la mienne. Sonia, qui s’est joint à la conversation, me chuchote à l’oreille.
— Eux-aussi sont adeptes de jeux à trois...— J’en ai l’impression, dis-je. Ça te fait peur ?— Au contraire, je m’amuserais bien avec lui...
Je la regarde, quelque peu étonné de sa réponse. Elle en rit et retourne discuter avec Antoine qui semble charmé par ma petite amie. Je me tourne vers Justine, occupée avec son collègue. Je sens qu’un certain courant naît entre eux. Au même instant, je sens qu’on me fait du pied. Je regarde Emma, son regard l’a trahi. Elle continue, me montre qu’elle aime ça. Au début gêné, je sens le désir monter en moi.Le repas se poursuit. Le majordome et son collègue apporte une très belle bûche aux fruits rouges avec des petites décorations et un cœur fixé sur le dessus. La serveuse nous sert, à tous les convives, une coupe de champagne. Monsieur Lepetit, assis au bout de la table, se lève et porte un toast.
— À cette merveilleuse fête qu’est Noël ! Que cette fête vous offre Joie, Santé, Richesses, aussi bien matérielles que spirituelles, et Amour ! C’est surtout ça le plus important ! Aimez-vous les uns les autres ! Santé !
Tout le monde lève son verre. Justine me tapote l’épaule.
— Quand il a dit : "Aimez-vous les uns les autres", il veut qu’on couche tous ensemble ou quoi ? me chuchote t-elle, amusée.— N’importe quoi ! dis-je avec un petit rire.
Pourtant, son regard a l’air sérieux. Elle me prend la main sous la table et la pose au niveau de son entrejambe, un entrejambe mouillé. Je la regarde, surpris. Justine, elle, se marre. Dans le même temps, le pied d’Emma vient, de nouveau, frotter mon genou. Ce réveillon de Noël bat son plein. Le repas fut excellent sans être copieux. Nous quittons la table afin de nous installer sur les fauteuils et canapés qui se trouvent près de la cheminée. Certains quittent la salle pour aller se rafraîchir ou prendre l’air, comme moi. Emma décide de m’accompagner. Quelques flocons tombent, nous trouvons un petit abri à proximité de l’entrée. Une fois dessous, elle allume une cigarette.
— Pas bien ! lui dis-je en plaisantant.— Je sais. Mais que veux-tu ? répond t-elle. On ne se refait pas...— Je sais bien.— Et puis, j’ai toujours aimé avoir quelque chose dans la bouche.
À moitié étonné de sa réponse, je la regarde. Son air veut tout dire ; elle s’approche et m’embrasse. Je la repousse.
— Tu es folle ? On pourrait nous voir !— Qui ? Sonia ? Ou Justine ? Laquelle des deux est ta petite amie ?
Sur le coup, je ne sais pas quoi répondre. Emma m’embrasse de nouveau et en profite pour me caresser le sexe. Sans difficulté, elle déboutonne mon pantalon et sort mon sexe.
— Dis donc ! Elles doivent bien s’amuser tes copines...
Et elle le prend directement en bouche. Sa bouche bien chaude contraste avec la fraîcheur de cette nuit d’hiver, une bouche chaude et experte. Mon sexe atteint sa forme optimale, ce qui ravit encore plus Emma. Elle continue sur sa lancée, tout en s’occupant de mes testicules, bien gonflées.Au même moment, la musique change et double de volume. On passe des chansons de Noël à des chansons plus festives. Emma s’arrête, se réjouit.
— Ah ! La soirée va réellement commencer, dit-elle.— Pourquoi dis-tu ça ?— Parce que je le sais. Je vais te montrer.
Emma stoppe sa fellation, se relève et se dirige vers le manoir. Je remets mon pantalon en place et la rattrape sous la neige. Nous rentrons, Emma se dirige vers la salle tandis que je me dirige vers la salle de bain pour me rafraîchir. Dans quel type de soirée sommes-nous invités ? Même si je suis porté sur la chose avec Sonia et Justine, je n’ai jamais eu l’idée de vivre une expérience de la sorte. En sortant de la pièce, j’entends du bruit venant de la pièce d’à côté. La porte y est ouverte, la lumière allumée.
Dans cette pièce, se trouvent les deux couples de quarantenaires. Tous les quatre sont nus, occupés à s’offrir du plaisir. Le grand chauve prend en levrette la rousse qui s’occupe du sexe de son amie, la brune. Cette dernière a la bouche remplie du sexe du blond, qui adore ça. Après de longues minutes ainsi, les hommes s’arrêtent. Le blond s’allonge sur le lit, la brune grimpe sur son sexe. Le chauve se retire de sa partenaire et se place derrière la brune et lui pénètre l’anus, d’un seul coup. Je n’ai jamais vu une double pénétration. La brune hurle, non de douleur mais de plaisir. La rousse se caresse le sexe tout en observant la scène. Elle remarque ma présence, me sourit.
— Regardez les amis ! Nous sommes observés !
Les trois s’arrêtent, me regardent et sourient.
— Moi, c’est Ingrid, reprend t-elle. Ma copine, c’est Christelle. Mes deux amis, Bruno et Vincent.— Enchanté, Nicolas ! dit alors Christelle.— Alors, Nicolas ? Tu veux te joindre à nous ? reprend Ingrid.— C’est que, ma copine m’attend dans la salle et...— Et tu crois qu’elle t’attend sagement ? me dit-elle avec une touche d’ironie. Pourquoi tu crois qu’on est ici ?— À vrai dire, c’est la première fois que nous venons ici. Avec Sonia et Justine, on est venu fêter le réveillon...— Et tu crois qu’on vient pour attendre le Père Noël ? me lance Vincent.— On vient pour baiser oui ! répond Bruno, tout en sodomisant sa partenaire.— Viens ! Je vais te montrer...
Je m’approche d’Ingrid. Elle déboutonne mon pantalon et le descend. Mon sexe bien dur apparaît, elle le prend en main puis en bouche tout en caressant mes testicules. J’adore ça.
— Je suis sûr que ta dernière pipe date depuis des semaines, me dit-elle.— À vrai dire, une invitée avait commencé dehors. Mais nous sommes rentrés à cause de la musique.— Ah ouais ? Mais tu n’es pas si innocent que ça.
Et elle me reprend en bouche. Juste à côté de nous, les deux hommes ont inversé leurs positions, Christelle toujours prise en sandwich. Ses cris sont de plus en plus forts. Ingrid s’arrête, et m’invite à la prendre elle aussi.
— Ne te retiens pas ! Vas-y ! me dit-elle.
Elle se place à quatre pattes, à côté de son amie. Placé derrière elle, je la pénètre d’un seul coup. Je commence mes va-et-vient dans son sexe et ressens un immense plaisir. Tout comme Ingrid.
— Oh oui ! Tu me remplis bien !
Je continue ainsi de longues minutes. À côté de moi, les deux hommes jouissent à tour de rôle en Christelle. Ils se retirent, je peux voir le sperme qui sort des deux orifices de la brune. Elle se glisse sous son amie afin que cette dernière puisse la lécher et goûter le sperme. Mais mes coups de reins lui rendent la tâche difficile.
— Mon salaud ! Tu me baises bien !
Je continue de longues minutes. Je sens que je vais craquer mais Ingrid finit par jouir.
— Oh oui ! Trop bon !
Voyant que je n’ai pas encore joui, elle m’invite à le faire sur sa poitrine. J’approche mon sexe de ses seins, me masturbe vivement. Je jouis une belle quantité de sperme.
— Hmmm ! Tu étais excité, me dit Ingrid, satisfaite.
Christelle, sans lui demander, pose sa langue sur sa poitrine et lèche le sperme. Puis, elle porte ses lèvres sur celles d’Ingrid qui est ravie.
— Ton sperme est délicieux, me dit Christelle, avec un clin d’œil.— C’est vrai, une merveille ! m’assure Ingrid.
Je les remercie et me dirige vers la sortie. Je leur demande si elles retournent dans la salle mais me répondent que non. Je les salue, croise Bruno et Vincent qui les rejoignent. Avant de retourner dans la salle, je vais dans la salle de bain pour me rafraîchir à nouveau. Je comprends mieux le sens de cette soirée.
Je retourne dans la grande salle et y voit donc cette orgie. Le sexe y est roi, tout le monde participe. Sur la table, débarrassée pour l’occasion, je vois Samuel, le bibliothécaire, occupé avec la serveuse, cette belle noire qui a retiré sa tenue de lutin. Sur l’un des canapés, Sophie, prise en double par le majordome et le serveur et qui hurle de plaisir. Sur un autre, Sandrine, la compagne de Samuel, en soixante-neuf avec Emma. Voir ces deux blondes incendiaires se faire plaisir mutuellement, me redonne de la vigueur.
Mais c’est ce qui se passe devant la cheminée qui m’excite au plus haut. Je vois Sonia, prise en levrette par Antoine, et Justine, prise en levrette par Jean. Face à face, elles crient de plaisir. Ma petite amie me voit, me fait un clin d’œil et le dit à son amie qui en fait de même. Ce qui me surprend, c’est que je ne suis pas étonné. Tout en les observant, je sens une main attraper mon sexe. Je me tourne et vois Emma, tout sourire.
— Il faut que je finisse ce que j’ai commencé, me dit-elle.— Avec plaisir.
Elle me masturbe puis se met à genoux pour me sucer à nouveau. Je sens qu’elle adore ça, aspire mon sexe de toutes ses forces. Elle joue avec mes boules, tout en me suçant ce qui décuple mon plaisir. Je la stoppe. Surprise, elle se demande pourquoi ; je l’allonge sur le dos, face à la cheminée, entre Sonia et Justine. Je m’approche et commence à poser mes lèvres sur son corps. Je m’occupe de son cou, descend sur le haut de sa poitrine, et m’attarde sur ses seins. Des seins fermes, symbole de jeunesse, des tétons dressés et bien durs. Puis je descends et arrive devant son sexe. Je caresse ses lèvres humides, d’abord tendrement, puis en insérant un doigt. Emma gémit, sa respiration s’accélère. Je poursuis, ajoutant un deuxième doigt puis un troisième. Puis, je commence à la lécher. Sa mouille épaisse et abondante me remplit la bouche, ses gémissements atteignent mes oreilles.
— Elle prend son pied, la petite, dit Justine, qui s’est arrêtée pour observer. — Tu m’étonnes, répond Sonia.
Justine et Sonia prennent plaisir à nous observer. Et elles vont être contentes de nous suivre. Après ce cunnilingus divin, je me redresse afin de la pénétrer. Emma, toujours aussi perverse, se réjouit de la tournure ; elle gémit sous mes coups de butoirs.
— Oui ! Vas-y !
Ses cris attirent l’attention de l’assemblée, motivent certains hommes. J’accélère mes coups de reins dans son sexe serré, pour le plus grand plaisir d’Emma. Sonia et Justine, elles, ont repris leurs étreintes ; une belle sodomie pour Justine, offerte par Jean, un missionnaire fougueux pour Sonia avec Antoine.Après de longues minutes, une femme se rapproche de nous, Sophie. Après sa double pénétration, elle a besoin de douceur. Elle embrasse Emma, toujours sensible à mes coups de reins et me demande d’arrêter. Je me retire, quelque peu surpris. Elle prend sa place ; Emma, instinctivement, se met au-dessus d’elle, en soixante-neuf. Elles commencent à se lécher mutuellement. Je décide de me mettre derrière Emma et approche mon sexe de son anus.
— Vas-y ! Ne te prive pas ! me dit-elle, avec toute perversité.— Vas-y ! Elle adore ça, déclare Sophie, entre deux coups de langue.
Mon gland posé sur son oeillet, je pénètre son anus. Son colon est bien étroit, il serre bien mon sexe. Ses gémissements se transforment en hurlements de plaisir. De plus, Sophie lui mange le sexe et titille son clitoris avec la langue. La voilà prise entre deux personnes. Je jette un coup d’œil à Sophie, son regard mêle perversité et plaisir.La jouissance monte en moi. Tout comme pour Emma qui finit par pousser un cri, telle une louve.
— Vas-y ! Jouis sur ses seins ! me dit-elle, excitée comme jamais.
Je me retire et me branle au-dessus d’Emma. Je finis par éjaculer sur sa belle poitrine, une bonne dose de sperme. Les deux femmes se regardent et adorent ça.Et ce n’est pas fini. Jean et Antoine, qui sont sur le point de jouir, s’approchent et font de même. Si Jean éjacule aussi sur ses seins, Antoine arrose abondamment le visage d’Emma. La voici noyée de sperme. Un quatrième homme, Samuel, s’approche pour en faire de même. Un jet se colle sur son front et ses cheveux, un autre sur son cou. Tout ce sperme sur ce corps ressemble à de la neige sur les montagnes.Sophie, elle, l’embrasse et commence à lui lécher le visage et partager le foutre avec son amie. Monsieur Lepetit, ravi de la tournure de la soirée, est impressionné par ce qu’il vient de voir.
— Et bien ! Difficile de faire mieux après ça ! dit-il avec enthousiasme. Mais la soirée continue.
Et la soirée s’est poursuivie. Si les autres ont continué à échanger, j’ai continué mes ébats avec Sonia et Justine. Le simple fait d’être maté par d’autres, nous excite au plus haut point. Après une énième éjaculation pour moi, mes deux amies offrent un show lesbien de haut vol. D’abord en soixante-neuf, elles finissent en ciseaux. Leurs deux sexes, collés l’un contre l’autre et bien mouillés, se frottent et leur donne un orgasme fulgurant. Les deux corps tremblent, la sueur coule sur les visages. Elles s’embrassent avec tendresse.Vers trois heures du matin, chaques participants s’installent sur les fauteuils et les canapés. Monsieur Lepetit, grand sourire aux lèvres, nous applaudit.
— Chers amis, je vous remercie de votre participation à cette soirée. Pour cette nuit, je vous offre l’hospitalité dans les chambres qui se situent à l’étage. Vous pouvez prendre une douche ou un bain.
Nous nous levons tous, récupérons nos affaires et nous dirigeons vers les chambres. Je suis Sonia et Justine, qui se tiennent la main. Nous nous installons dans la deuxième chambre. Les filles se jettent sur le lit et m’invitent à les rejoindre. Je me glisse entre elles, et les embrasse toutes les deux.
— Quelle soirée ! dit alors Sonia.— C’est clair, répond Justine. Je n’aurais jamais cru ça.— Pareil, dis-je. Vous regrettez ?— Oh non ! À vrai dire, j’ai l’habitude.— Et toi ? dis-je en me tournant vers Sonia.— Non plus. Disons qu’il faut une première fois.
Je l’embrasse avec tendresse. Mon amour est de plus en plus fort et même si j’aime beaucoup Justine, je veux passer le reste de ma vie avec elle. Justine m’embrasse également. Ma meilleure amie m’aime mais je sens que quelque chose à changer en elle. Elle embrasse Sonia, son visage se rayonne. Puis leurs baisers se portent sur moi, simultanément. Je m’endors ainsi, rempli d’amour et de joie.
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