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Un nöel pas comme les autres

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Première partie:Nous approchions des fêtes de Noël, et comme chaque année, ma copine Clémence attendait avec impatience cette période. C’était pour elle l’occasion de revoir sa cousine Elodie pendant quelques jours. Je ne l’avais vue qu’une fois l’année dernière, lorsque le Noël de ma belle-famille était organisé dans une autre région où habitait une partie de leur famille. Elodie est une jolie petite blonde de 26 ans, environ 1m55, assez menue, de beaux yeux verts, des cheveux mi-longs aux boucles très sexy. Elle a un joli petit postérieur et sa poitrine est relativement petite, un 85B tout au plus, ce qui ne l’empêche pas d’être très belle et sexy. J’avais dû d’ailleurs me forcer à ne pas trop la mater lors du Noël précédent. Quant à ma Clémence, qui à 24 ans, elle est tout simplement superbe, elle fait 1m65, de longs cheveux teints en roux sombre, du plus bel effet, de magnifiques yeux bleus.
J’aime particulièrement sa bouche, ses lèvres pulpeuses m’ont toujours plu, surtout lorsqu’elle me fait une fellation.
Elle a de belles formes, un généreux 90E, un beau cul bien rebondi et un joli minou touffu comme j’apprécie tant. Sexuellement, nous sommes très gourmands tous les deux, et nous aimons découvrir des choses ensemble.
Cette année, la belle-famille organisait la réception dans notre région. Nous nous étions proposées pour héberger alors sa cousine Elodie chez nous. Elle venait donc quelques jours avant, 4 jours au total. Clémence adore sa cousine, depuis petite, elles se voyaient régulièrement, et faisait beaucoup de choses, jusqu’à prendre leur douche ensemble. J’avais cru comprendre que cela avait duré plus longtemps que la simple enfance.
Nous accueillons donc Elodie un dimanche en fin d’après-midi. A son arrivée, toujours le même effet, je la trouve vraiment sexy. Elle porte un joli jeans moulant qui lui fait un petit cul à croquer, d’autant plus perchée sur ses petites bottines. C’est une jeune femme très souriante et agréable. Je reconnais que c’est un plaisir de l’avoir, et de la voir chez nous. Une heure après son arrivée, et après avoir pris le café, Clémence lui propose d’aller passer un moment détente entre filles dans la salle de bain. Elle me dit :
— Bon on te laisse, je t’avais prévenu mon chéri, c’est vacances cousines, on va se pomponner tout ça tout ça, des trucs de meufs quoi ! dit-elle en riant. — oui pas de soucis, allez-y, je vais jouer un peu à la console. — Ah oui ça va me détendre après toute cette route ! Ajoute Elodie. — Allez, à tout à l’heure, ma chérie ! conclut Clémence en m’embrassant.
Les voilà donc parties à l’étage dans la salle de bain. Je démarre la console. Mon téléphone bipe, presque plus de batteries. Mon chargeur est dans la chambre à l’étage. Je monte le récupérer, dans le couloir vers l’escalier, j’entends les filles discuter, glousser. J’entends également qu’elles coulent un bain. Tiens, petite pique de curiosité. Me vient alors une idée, dans mon esprit quelque peu voyeur. La porte de notre salle de bain possède une serrure, et nous avons perdu la petite clé lors de notre emménagement, le trou de la serrure est donc vide. Le fait est que face à cette porte se trouve une armoire avec un miroir, peut-être vais-je pouvoir admirer le spectacle.
Je m’avance doucement vers la porte, et m’agenouille. Je place mon œil devant le trou de la serrure, et je déplace mon regard afin de capter l’angle coïncident avec le miroir. Et là, j’arrive à voir un champ libre sur la salle de bain, avec la baignoire au fond. Je vois donc les deux cousines en train de discuter. Elles commencent à se dévêtir, je vois déjà Clémence en sous-vêtement, qu’elle est belle. Puis Elodie se déshabille également, je la vois de dos. Elle retire son haut, elle est en soutien-gorge noir. Puis elle fait descendre son jeans en se dandinant, tellement il est moulant, j’aperçois alors progressivement un beau tanga apparaître. Elle est superbe. J’admire sans qu’elles le sachent ces deux superbes femmes, et je suis très excité. Je les entends parler si je tends l’oreille :
— T’as toujours d’aussi gros nichons toi ! Lance Elodie.
J’aperçois la même en train de sous peser les seins de ma copine, qui a retiré son soutif entre temps. Les deux rigolent joyeusement. Je continue d’espionner, je les vois toutes deux de dos, elles se débarrassent de leur bas, leurs deux beaux fessiers côte à côté, j’adore. Je bande tellement. Progressivement, la vapeur de l’eau chaude embue le miroir, et je ne vois plus grand-chose à mon grand regret. Je les laisse prendre leur bain. Quant à moi, tout cela m’a trop excité. Je vais dans notre chambre me masturber en pensant à tout ce que j’ai vu, et surtout à Elodie. Je jouis rapidement.
Après une demi-heure, je repasse devant la porte de la salle de bain. Je remarque alors que je ne les entends plus. C’est étrange. Toujours discrètement, je jette de nouveau un regard à travers la serrure, et ce que je vois dépasse mes rêves les plus fous. La vapeur retombée, j’aperçois les deux cousines sont en train de s’embrasser langoureusement dans le bain. Je suis stupéfait. Elles se roulent littéralement des pelles à gros coups de langue. Je les vois bouger toutes les deux, sans bien distinguer, le bain moussant cache un peu la scène. Lorsque Clémence laisse échapper un petit bruit de plaisir, je comprends alors ! Elles sont en train de se masturber l’une l’autre !
— Chut ! lui rétorque Elodie.— oh t’inquiète, il est en train de geeker !
Puis elles reprennent leur petit manège. Je suis de nouveau en érection, cette fois mon sexe me fait mal tellement je bande fort. Quelques minutes plus tard, elles décident de sortir, je me dépêche de partir sur la pointe des pieds.
Les deux filles descendent et je leur demande si elles sont détendues, les deux me répondent en cœur que oui tellement. Tu m’étonnes... Le soir, Clémence et moi nous couchons, je ne peux m’empêcher de repenser à cette scène d’elles deux en train de s’embrasser, j’ai encore une forte érection. Clémence finit par s’en rendre compte, et est visiblement très chaude elle aussi, car en quelques instants, la voilà en train de me sucer avec énergie. Je lui propose un 69 qu’elle accepte aussi. Je lui bouffe le minou, elle dévore ma queue. Je sors son gode de la table de chevet, je la masturbe avec, tout en léchant son clito. Elle finit par jouir, ce qui me fait à mon tour jouir également, je me vide dans sa bouche, elle avale tout.
Elle revient s’endormir sur moi en disant "woww c’était trop bon". Le lendemain matin, petit-déjeuner. Clémence est dans cette nuisette dont un sein est toujours prêt à s’échapper, détendue depuis le temps. Elodie descend à son tour, également en nuisette, quelque peu sexy. Je fais tout mon possible pour ne pas la mater, et encore moins repenser à la scène d’hier, pour ne pas être en érection dans mon pyjama. Le reste de la journée se passe, rien de spécial, du shopping.
Vient alors le soir, sur les coups de 18 heures, les deux filles décident de nouveau d’aller faire une séance fille dans la salle de bain. Bah tiens... Même scénario, je retourne les espionner. Elles mettent un peu de musique, se mettent en lingerie pour faire leurs ongles. Je peux toujours admirer les corps de ces deux cousines, ces deux déesses. Une fois terminé, je me rends compte que Clémence sort son kit d’épilation. Ça devient nettement plus intéressant, et pour cause. Elles entreprennent chacune de s’épiler le maillot. Elles retirent alors les derniers vêtements qu’elles avaient pour s’occuper l’une de l’autre. J’aperçois pour la première fois, Elodie de face, jolie petite poitrine et jolie chatte. Légèrement poilu également. Elles s’épilent l’une l’autre.
— Tu as toujours ta petite forêt ? Lui demande Elodie. — Oui, il adore ça, et j’avoue que ça me plaît aussi. Et toi, je te fais quoi ? Toujours un petit ticket de métro ? — Oui, comme d’habitude aussi.
Elles terminent ce petit moment et se rincent le sexe. Je m’attends à ce qu’elles aillent dans la douche, mais non. Elles commencent à s’embrasser, leurs corps s’entremêlent, que c’est beau. Clémence se dirige soudain vers l’armoire au miroir, je prends peur, recule de la porte. Trop tard pour partir, si elle ouvre la porte, elle me verra, c’est certain. Mais non, je l’entends prendre des choses et ensuite parler à Elodie. Je viens alors me réinstaller devant la porte, et je vois Clémence ouvrir robinet de la douche. Cette fois, elles y vont, elles tirent le rideau, le spectacle est fini pour aujourd’hui, pour moi en tout cas.
La soirée se passe normalement, nous dînons un bon repas et plusieurs bouteilles de vin sont ouverts. Une bonne soirée. J’aperçois à quelques moments les deux cousines se lancer des regards complices. Je devine une tension sexuelle. Elodie mate régulièrement le décolleté de Clémence depuis qu’elle est ici, et je vois souvent ma belle faire de même sur le petit cul d’Elodie. La soirée se termine, nous allons nous coucher.
Dans la nuit, je me réveille, il est 3h. Je remarque l’absence de Clémence dans le lit. Je décide d’aller voir où elle est, j’ai soif qui plus est, après tout ce vin. Je sors dans le couloir, pas de bruit. Je me dirige vers l’escalier pour descendre lorsque j’entends un léger bruit. Je m’arrête net. Cela vient de la chambre d’ami où dort Elodie. Je me dirige alors cette pièce, toujours à pas léger, doucement. La porte de la chambre est contre, les poignées sont assez bruyantes, il faut dire. Je jette un coup d’œil, je ne vois presque rien. Je me décide de pousser un peu la porte, histoire d’avoir un petit cm d’écart. C’est là que je vois les deux cousines en train de se faire chacune un cunni en 69, Elodie dessus, ma belle dessous. Cette image est sublime. Comme toujours, j’obtiens une érection fulgurante en voyant la beauté de ce tableau.
Je les regarde, je suis trop excité, ma main caresse déjà mon sexe. Je décide de descendre l’élastique de mon pyjama sous mes couilles afin d’avoir le sexe à l’air. Je me branle en les regardant. Les deux coquines montrent un grand enthousiasme à se lécher et se doigter. Je me masturbe de plus en plus. Après deux minutes, je me trahis. Dans mon excitation, je lâche un petit bruit de plaisir, et Elodie l’entend, tourne la tête et nos regards se croisent. Aussitôt, elle s’arrête et dit à sa cousine :
— Oh non, il nous regarde !
Les deux filles se lèvent, Elodie prend la couette autour d’elle et Clémence ouvre la porte. Je suis devant elles, la main empoignant mon sexe au garde à vous ! Je m’attends à devoir m’expliquer, mais ce sont elles qui sont confuses et cherchent à s’expliquer.
— Ce n’est pas ce que tu crois ! Me dit Clémence.— Oh non il a tout vu, qu’est-ce qu’on va faire ?! Lance Elodie.
C’est alors que par je ne sais quelle force, quelle idée, je prends une initiative. Je m’approche de Clémence et je l’embrasse. Je la regarde dans les yeux, lui caresse le visage. Je continue ensuite en attrapant Elodie et de même, je me mets à l’embrasser. Elle est surprise, ne répond pas à mon baiser. Je m’arrête un instant. Je les regarde toutes les deux et leur dit.— Votre secret sera bien gardé avec moi.
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