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Un nöel pas comme les autres

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Partie 2: Ceci est la suite d’un Noël peu ordinaire : partie 1. Je vous conseille cette lecture en premier pour bien saisir le déroulé de l’histoire. :) Je rapproche Clémence avec mon bras, nous voilà tous les trois en cercle. J’embrasse Clémence, puis j’embrasse Elodie. Elle me rend mon baiser. Je m’arrête de nouveau. Les cousines se regardent, et puis s’embrassent également. Clémence me déshabille ensuite. Je bande comme un taureau. Elle s’agenouille et commence à me sucer passionnément. Elle invite sa cousine à la regarder du regard. Elodie s’agenouille aussi. Clémence, tenant mon sexe en main, lui présente mon gland, Elodie commence alors à me lécher également. Me voilà debout avec les deux cousines agenouillées devant moi, en train de me faire la meilleure pipe de ma vie. Elles me sucent tour à tour, laissent courir leurs langues sur mon sexe toutes les deux en même temps. Je suis au paradis.
Clémence ensuite se relève et demande à Elodie d’aller s’allonger dans le lit, ce qu’elle fait. Elle s’allonge sur le lit, la tête sur les oreillers. Clémence me prend par la main et m’amène au lit. Elle m’embrasse, et me glisse à l’oreille "tu es le meilleur". Je reste immobile, j’observe la suite des événements. Ma belle se dirige vers sa cousine, elles se regardent avec passions. Clémence écarte les jambes d’Elodie et retourne terminer ce qu’elle avait commencé avant que je ne les surprenne, la suite du cunni inachevé. La voilà en train lécher son minou. Ma chérie a le fessier perché en l’air, je comprends le message, elle souhaite que je la prenne pendant qu’elle s’occupe de sa cousine. J’ai la vue sur sa belle croupe offerte à moi, son minou luisant tellement elle mouillait. Je m’invite à mon tour dans le lit, je m’installe derrière ma belle et je commence à la prendre en levrette. Les gémissements qu’elle laisse échapper m’indiquent son plaisir.
Tandis que je m’affaire à faire claquer ses fesses contre ma peau, elle s’occupe davantage de sa cousine.
Elodie me regarde fixement. Son regard a changé, le même que celui de Clémence, je sens la salope en elle s’épanouir. Cela m’excite, et j’assène des coups de reins de plus en plus fort à Clémence qui me dit alors :
— vas-y mon chéri, baise-moi.
Sur quoi Elodie ajoute :
— Oui, vas-y défonce-la !
Eh oui, au plus je donne de plaisir à Clémence, au plus le cunni qu’elle prodigue à sa cousine est intense, au plus cette dernière prend du plaisir. C’est un cercle vicieux et vertueux à la fois. Elodie passe ses mains dans les cheveux de sa cousine et lui presse la tête contre sa chatte, je la vois se tordre, ses muscles se raidir puis elle jouit, dans un long cri aigu de plaisir. Cela a pour effet immédiat de me faire jouir également, je me vide en Clémence, qui elle aussi jouit grâce à nous deux. Nous nous écroulons sur le lit, en sueur, sur un nuage. Le lendemain, lorsque je me réveille, nous sommes tous les trois en train de dormir dans le lit. Les filles affichent un certain sourire dans leur sommeil. Je décide de me lever et de descendre. Les filles me rejoignent une demi-heure plus tard. Il est 10h. Les premiers regards, paroles sont étranges. Personne ne sait trop comment réagir. Au petit-déjeuner, Clémence décide d’aborder le sujet :
— Mon chéri, pour cette nuit, je ne sais pas trop quoi dire, je peux t’expliquer. — Il n’y a pas de soucis ma chérie. Après tout, on a eu beaucoup de plaisir non... ? — Tu ne trouves pas ça bizarre ? Me demande Elodie. — Eh bien, vous êtes cousines, et vous aimez avoir des rapports lesbiens entre vous. Pour être honnête, j’ai fantasmé de ça. — Je le savais, petit vicieux ! J’avais bien vu que tu l’as matée ! Me lance Clémence.
— oh oui il me matait, je te le confirme ! Complète Elodie d’un ton un peu rieur et flatté. — Vous faites ça depuis longtemps ? leur demandais-je.— Depuis nos vacances en Corse, vers nos 17 ans - répond Elodie. — Ah oui ça dure depuis un moment maintenant. — On ne couche ensemble qu’au moment des fêtes de Noël maintenant, c’est juste pour le plaisir du sexe, et un peu parce qu’on a un lien fort entre nous –m’explique Clémence. — Et jamais avec d’autres femmes ? — Non, c’est seulement entre nous deux, me répondirent les deux cousines.
Cette conversation terminait, chacun se sent visiblement plus léger. Un climat très léger s’installe, nous sommes tous de bonne humeur. La matinée se déroule à merveille. Je n’ai pas pris soin d’évoquer mes petites séances d’espionnage. En début d’après-midi, Elodie se sent de faire une petite sieste. Clémence décide d’en profiter pour aller acheter le cadeau pour sa cousine, qu’elle n’avait toujours pas trouvé. Au moment de partir, sur le pas de la porte, elle dit alors :
— Tu sais, elle est célibataire depuis un an. Je pense que tu devrais prendre soin d’elle.
Elle m’embrasse, me fait un clin d’œil et monte dans sa voiture. Bien bien, ma chérie me demande d’aller m’occuper de sa cousine. Je ne voudrais pas la décevoir. Je la laisse dormir un peu tout de même. AU bout de 45 minutes, je ne tiens plus. Je décide de monter la rejoindre dans sa chambre. Je me déshabille, mon sexe est déjà prêt à l’action. Je rentre délicatement dans la chambre, et m’insère dans la couette. Elodie se réveille doucement et me dit :
— C’est toi ? Que fais-tu ? Où est Elodie ? — Elle est partie faire une course. C’est elle qui m’envoie.
Nous restons à nous regarder quelques instants. Très étrange que de pouvoir coucher avec une autre femme, sur demande de la mienne, qui est en plus sa cousine. Elodie continue :
— Je t’ai vu me mater, tu sais. Tu me trouves comment ? — Pour être honnête, super sexy et très excitante. Ton petit cul est superbe !
Elle rit un peu, gênée.
— Oui, Clémence me le dit aussi. Je dois avouer, je t’ai aussi matée, tu es sexy. — Parfait alors, nous pouvons nous amuser un peu.
Je laisse mes mains parcourir son corps, ses seins, le bas de son dos, ses fesses, ses cuisses. Ses petites mains commencent à me masturber. Je l’embrasse dans le cou, je la doigte. Puis je la prends en missionnaire, mon sexe en elle est jouissif. S’enchaînent alors diverses positions, puis une levrette qu’elle me demande. Elle me dit de la prévenir quand je viendrais, pour me vider sur ses seins. Nous baisons comme des bêtes. Comme demandé, je la préviens, elle se retourne d’un coup, je me masturbe et envoie une bonne dose de mon jus chaud sur ses petits seins, très beaux.
Une heure plus tard, Clémence revient, nous sommes Elodie et moi chacun occupé à nos affaires dans le salon. Ma chérie nous demande si tout va bien. Sa cousine lui répond "oui très, merci pour le cadeau". Nous sommes le 23 décembre. Le lendemain, nous avons réveillon et ensuite le repas du 25, jour où sa cousine reprendra la route pour rentrer. Ce soir est donc notre dernier soir à 3.
Après le dîner, Clémence demande à Elodie de l’accompagner à l’étage un instant. Je ne dois pas bouger. J’attends donc sur le canapé sagement. Quelques instants plus tard. Elles me demandent d’éteindre les lumières et d’allumer le sapin. Le salon n’est alors éclairé que par les petits LED multi couleurs de la guirlande et du feu de chemin que j’ai démarrés un peu plus tôt dans la soirée. Je m’assieds à nouveau dans le canapé. J’entends alors les filles descendre les escaliers, en talons vu le bruit. Que se passe-t-il ? Je les vois apparaître toutes deux en lingerie de mère Noël sexy. C’était donc ça la course de Clémence ! Elles portent toutes deux le même ensemble, une sorte de guêpière à volants rouges, ainsi qu’un string et des bas rouges également. Sans oublier bien sûr le bonnet. C’est donc mon Noël avant l’heure !
— On voulait te remercier pour ta compréhension, on ne s’est jamais autant senti aussi à l’aise avec notre secret et c’est grâce à toi. On est ravi de pouvoir partager ça - me dit ma chérie. — Mais enfin, regardez-vous ! Je suis l’homme le plus chanceux du monde !
Elles rient toutes les deux. Elodie porte une bouteille de champagne dont elle fait sauter le bouchon. Nous trinquons. Elles m’offrent un petit paquet. Je l’ouvre. Bien évidemment, j’y trouve un caleçon de père Noël ainsi qu’un bonnet. Elles me demandent un strip-tease, pour ensuite enfiler ma tenue. Je ne peux pas leur refuser. Je m’exécute donc à ce petit déshabillage. Je suis nu, je bande déjà. J’enfile le caleçon, dans une matière assez fluide, j’entends alors quelques bruits de grelots ! Cela a pour résultat de bien les faire rire. J’enfile aussi le bonnet. Je suis donc dans ma belle tenue, cependant le caleçon trahit mon érection évidente.
— Attends, je vais t’aider ! me dit Clémence avant de venir ouvrir les 3 boutons du devant, elle en sort ma queue bien tendue. — Voilà, là c’est mieux ! Complète Elodie. — Maintenant, tu t’assieds sur le canapé. Tu n’as pas le droit de te toucher – termine Clémence.
J’obéis, sa prise d’initiative attise mon excitation, je dois d’habitude plutôt dominant, mais sa confiance soudaine me plaît. Je m’assieds donc. Les cousines commencent alors à se caresser doucement, lascivement. Sous la lueur douce du feu qui crépite, leurs courbes sont voluptueuses, leurs mouvements sublimés. Elles commencent à s’embrasser avec passion, elles le font lentement. Leurs langues effectuent des ondulations l’une autour de l’autre. Par intermittences, elles me regardent, parfois en même temps, parfois non. Leurs yeux brulant d’un désir ardant m’hypnotisent, m’envoûtent. Je suis subjugué par ce tableau vivant. Je suis en émoi, je suis tiraillé entre l’envie de me masturber, l’envie de me jeter sur elles, et aussi l’envie que cela dure le plus longtemps possible.
Leurs corps se rapprochent, elles s’enlacent, se passent les mains dans les cheveux, dans le dos, sur leurs fesses, leurs cuisses. Elles se mordent le lobe des oreilles, se lèchent la nuque. Je commence à avoir très chaud. Ma verge est raide, ses veines gonflées, l’érection est tellement forte qu’elle en est douloureuse. Mon gland est gonflé à bloc, il suinte. Mes mères Noël continuent leur balai, elles se retirent leurs petits strings.
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