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Un Noël plus que bandant entre mecs

Chapitre 1

Gay
Cette année, au Québec, comme partout dans le monde, Noël fut source de déception pour bien du monde. Question Covid, on a tous été affectés. Par contre, de mon côté, la veille de cette grande fête fut source de plaisir...
Pour la circonstance, j’avais invité quelques convives pour un repas donné au son des cloches de vingt heures. Il y avait Isabelle et Carole, un couple de lesbiennes, amies depuis longtemps. S’y joignaient mon neveu Alex, mon ami Patrice, mon homme à tout faire Steven ainsi que son employé Tygo. J’avais réuni ces gens en espérant leur offrir un moment de réjouissance et, sans que j’y sois pour quelque chose, ce fut une réussite totale.
Le repas se passa autour de discussions et rires, et ce, même si les invités étaient plutôt dissemblables, côté personnalité. Isabelle et Carole, deux riches snobs ayant réussi dans l’immobilier dont le parler, souvent emprunté aux Parisiens, tombait sur les nerfs. Mon ami Patrice, propriétaire du gym où je m’entraîne, dont l’alcool aidant, se plaisait trop facilement à rétorquer toute parole des filles. Mon neveu Alex, lui, ne disant mot, se contentant de rire, trop gêné comme à son habitude. Que dire de mon homme à tout faire, Steven, qui lui, de par ses familiarités, démontrait bien son manque d’éducation, mais toute sa bouffonnerie nous faisant rire aux éclats et Tygo, ce jeune Cubain de 25 ans qui ne comprenait presque rien à nos paroles trop vite prononcées. Tout ce beau monde réuni fut tout de même heureux de pouvoir partager ce moment.
A vingt-trois heures, les filles nous quittèrent, prétextant se lever tôt le lendemain. C’est alors que nous passâmes au salon, attendant minuit pour sabler le champagne. J’avoue que mes invités, ayant abusé du vin, auraient pu se passer du champagne, mais bon, nous étions là pour fêter.
Cinq, quatre, trois, deux, un et vlan, je secouai la bouteille à grands coups et fis sauter le bouchon, aspergeant Steven et Patrice au passage qui, par chance, se mirent à rire à gorge déployée. Je remplis les flûtes et nous portâmes un toast et c’est alors que Steven s’approcha de moi et me prit dans ses bras, m’enlaçant de ses gros bras tatoués et musclés. Je dois dire que je fus estomaqué que ce mec, pourtant toujours si distant lorsqu’il vient chez moi pour y faire des travaux, me fasse une telle accolade. Je mis aussitôt le fait sur l’alcool.
— Je te remercie de m’avoir invité, me dit-il en prenant mon visage entre ses larges mains. Tu sais que tu es mon client préféré.— C’est gentil Steven, très gentil, dis-je, ne sachant trop comment réagir. Et toi, tu es mon homme à tout faire préféré.— Homme à tout faire, répéta-t-il en s’esclaffant de rire. Je ne savais pas que tu pouvais faire de moi tout ce que tu veux.— Je n’ai pas voulu dire cela, expliquai-je, confus. J’espère que je ne t’ai pas frustré ?— Moi, frustré? Et moi qui croyais que tu me connaissais, formula-t-il de sa voix grave. Par contre, avec ton champagne, tu m’as inondé et là, je ne suis pas très à l’aise, poursuivit-il en déboutonnant sa chemise. Il faudra que tu acceptes que je termine la soirée torse nu. Et il se débarrassa complètement de sa chemise qu’il lança à l’autre bout de la pièce.
Je lançai un regard à mon ami Patrice, sachant parfaitement que son œil lorgnait Steven. Il faut avouer que Steven n’était pas mal du tout... pour un hétérosexuel. Joli visage encadré d’une barbe, grand, musclé et les bras et le haut du corps tatoués. De ses quarante-cinq ans, il offrait une image assez agréable, mais pour Patrice, il était tout simplement divin. Son seul défaut était qu’il ne jouait pas dans notre équipe.Et Patrice décida, lui aussi, de se débarrasser de sa chemise trempée. Je savais que mon neveu sentait un gros malaise, mais décidai de ne point intervenir. Ce n’était pas de ma faute si ma sœur l’avait éduqué à garder sa place sans jamais ne quitter les sentiers battus.
— Serait-ce impoli si j’allais prendre une douche ? demanda Steven. Tout ce champagne me colle à la peau.— Pas du tout, répondis-je. Tu sais où est la salle de bain.— Bien entendu. C’est tout de même moi qui l’ai rénovée, dit-il avant de prendre le pas de marche.
Et de notre côté, nous continuâmes à boire du champagne, discutant de choses et d’autres. Et ce fut quelques minutes plus tard que la soirée prit réellement son envol lorsque Steven revint, une serviette autour des hanches. J’avais vu cet homme des dizaines de fois sans gilet, mais là, c’était quelque chose d’émoustillant. Il avait attaché sa serviette, la laissant pendre le long des ses hanches, exposant son bas-ventre magnifiquement dessiné d’un V et le début de son pubis qui semblait rasé. La serviette était ouverte sur sa cuisse gauche, magnifiquement tatouée et musclée. Ni Patrice ni moi ne parvenions à nous détacher de ce corps qui attisait notre désir. Et c’est alors que Steven augmenta le son de la musique et se mit à danser. Je dis danser, mais là, c’était un spectacle des plus affriolants. Ce mec se trémoussait majestueusement, balançant ses hanches avec souplesse, se dandinant en effectuant des mouvements de va-et-vient pendant que mon neveu ne savait plus où poser son regard. Tygo, lui, observait, un léger sourire aux coins des lèvres.

Sans doute s’amusait-il à voir son patron agir de la sorte, lui qui était habitué à passer ses journées avec un homme très masculin, pour ne pas dire macho. De son côté, Patrice avait maille à cacher son excitation, une bosse ayant apparu sous son jeans et moi, je tentais de me changer les idées, justement pour ne pas laisser voir mon effervescence jusqu’à ce que Steven nous tourne le dos pour ouvrir sa serviette, la laissant glisser lentement sur son cul. Tentant de vouloir détourner le malaise, je me mis à applaudir, suivi de Patrice et de Tygo, ce qui aiguillonna Steven qui se retourna, nous exposant sa verge longue et dure. De mouvements de hanche, il la balançait de gauche à droite et chantant tout haut les paroles de la chanson. Il lança la serviette par-dessus sa tête.
— Alors, serai-je le seul à être nu ? cria-t-il en s’approchant de mon neveu. Allez Alex, montre-nous ton corps de dieu.
Mon neveu me regarda, m’implorant de lui venir en aide, mais Steven s’était déjà assis sur lui, glissant son cul sur les cuisses du pauvre Alex qui tentait de le repousser, mais en vain.
— Je suis certain que tu as une queue aussi grosse que la mienne. Allez, montre-nous ce que tu as sous ce jeans, criait Steven en plongeant ses mains sous le t-shirt, le soulevant du devant. — Tu vois bien que tu le mets mal à l’aise, lui dit Tygo. — Le voilà qui est jaloux, dit le patron en s’écartant d’Alex pour retrouver Tygo, se plantant devant lui, sa queue bien dure près du visage. Peut-être préfères-tu mon cul ? dit-il en se retournant pour lui présenter son popotin, le balançant tout près du visage qui grimaçait tellement la situation devenait ennuyeuse, du moins pour Tygo et Alex.
De notre côté, Patrice et moi aurions tout donné pour être à la place du Cubain. Steven était ce qu’il y avait de plus excitant dans ce salon et j’avoue que mon boudin avait pris de l’expansion. Souvent, lorsqu’il travaillait chez moi, je l’avais reluqué, fantasmant sur ce corps en sueur, sachant bien cependant qu’il était aux femmes, mais là, je l’aurais sucé sur place à grands coups de langue. Il s’éloigna de Tygo pour se remettre à danser, se promenant dans la pièce pour se donner en spectacle jusqu’à ce moment où il se retrouva assis sur Patrice, glissant ses mains sur la large poitrine velue. Lentement, il se leva, juste un peu, juste assez pour présenter sa queue au visage du pauvre homme qui en bavait abondamment et il se mit à faire des mouvements de va-et-vient, effleurant son asperge sur la peau moite, la glissant autour des lèvres ayant peine à demeurer fermées. Et il reprit place sur les cuisses de Patrice, se dandinant en caressant toujours la poitrine aux mamelons durcis.
— Oh, oh, laissa entendre Steven. Sentirais-je un beigne sous ton jeans mon Patrice ? Il me semble que c’est dur, poursuivit-il en accélérant la cadence de ses mouvements. Tu es un petit cochon toi à ce que je sens sous mon cul. Je suis certain que tu aimerais sortir ton bazooka pour me l’enfoncer bien profond.— Steven, arrête, dis-je. Tu vois bien que Patrice est mal à l’aise.— Je ne suis pas certain de cela, répliqua Steven en se levant un peu, juste assez pour présenter à nouveau sa bite à Patrice. Allez, dis-le à Etienne que tu aimerais que je te la renfonce dans la bouche, insistait-il en glissant son machin sur les lèvres. Tu vois, tu n’as qu’à écarter les lèvres et elle sera à toi. Sans trop se faire prier, Patrice ouvrit la bouche et avala la queue bien dure de Steven. Vous voyez, je savais ce qu’il voulait et pourquoi ne pas le lui donner et je dois vous dire qu’il suce comme une vraie petite salope ce mec.
Je regardais la scène, jaloux de Patrice qui prenait plaisir à pomper la grosse bite de cet homme dont l’alcool avait épuré tout scrupule, lui qui m’appelait monsieur Guy en temps normal. Et Alex se leva, nous annonçant qu’il quittait les lieux. C’était trop pour lui cette démonstration qui lui apparaissait comme le comble de la vulgarité. Et Steven se retira de la bouche de Patrice et se releva pour se rapprocher d’Alex.
— Il est trop tôt mon beau pour partir, dit-il en le retenant par les épaules. La soirée ne fait que commencer. Viens, assois-toi et amuse-toi. C’est drôle comme ces jeunes ne savent pas prendre du plaisir. — Je ne crois pas qu’Alex apprécie ce genre de plaisir, avisai-je Steven qui me regarda droit dans les yeux.— Voyons Etienne, Alex est capable de décider par lui-même. N’est pas que tu aimes avoir du plaisir ? dit-il en lui caressant les cheveux. Dis à tonton Etienne que ça ne te gêne pas d’avoir du plaisir.
Pauvre Alex. Il ne bougeait pas, laissant les mains baladeuses de Steven se promener sur le haut de son corps, le laissant même lui enlever son t-shirt.
— Approche Tygo, approche, dit-il en lui faisant signe de la main.
Tygo se leva et s’approcha d’Alex et Steven. Ce dernier se mit à déboutonner la chemise de son employé, laissant voir une poitrine bien musclée dessinée par des écrits espagnols. Il prit la main d’Alex et la plaça sur le corps de Tygo, la glissant lentement du haut vers le bas, jusqu’au nombril.
— Tu vois, ce n’est pas difficile, dit-il à Alex qui ne ripostait pas. Tu peux l’embrasser. Je suis certain que Tygo n’attend que cela.
Mon neveu ne disait mot, n’osant point me regarder et moi, je me demandais pourquoi il ne réagissait pas, mais bon, je le laissais faire. Il était assez vieux, à trente-deux ans, pour s’opposer si ça ne faisait pas son affaire. Et c’est alors que Steven se plaça derrière pour ouvrir lentement son jeans.
— Petit coquin, il ne porte pas de sous-vêtement. Tu savais Etienne que ton neveu ne porte pas de sous-vêtement ? me demandait-il pendant qu’il enfouissait sa main sous le jeans. Et en plus, il semble avoir une assez grosse bite qui, et je le dis, prend des proportions importantes sous ma main. Mais c’est qu’il bande ce petit. Je savais qu’il prendrait plaisir à un moment donné. Allez Tygo, fais-lui plaisir et agenouille-toi, dit-il en sortant le scout au garde à vous. Wow, de quoi remplir ta bouche.
Tygo s’exécuta et prit la queue en entier pendant que Steven retirait le jeans en entier. Ça me faisait bizarre de voir mon neveu dans toute sa nudité tout en m’excitant de regarder Tygo le sucer. J’avoue qu’Alex avait un petit corps sexy, mais jamais il ne me serait venu à l’idée de le baiser.
— Et toi Patrice, tu aimerais manger le cul d’Alex ? Je suis certain que tu t’en régalerais.
Patrice me lança un regard perplexe. Et pourquoi pas ? Le reste de la soirée s’annonçait plutôt agréable, sous la gouverne de Steven. Patrice se leva et s’exécuta, sans se faire prier, bien heureux de glisser sa langue entre les fesses de mon neveu. Steven vint vers moi, un large sourire aux lèvres.
— Et toi Etienne ? La soirée est à ton goût ? — Quelque peu bizarre, mais c’est OK.— Alors, tu peux enfin de rincer l’œil, dit-il en ouvrant tout grand les bras pour me présenter son corps. Tu crois que je ne sais pas que chaque fois que je viens travailler ici, que tu me regardes, croyant que je ne m’en rends pas compte. Et ce renflement sous ton jeans, est-ce pour moi ou pour ton neveu ? demanda-t-il en plaquant la paume de sa main sur mon jeans. J’ose espérer que c’est pour moi, chuchota-t-il en approchant ses lèvres, les plaquant contre les miennes. Dieu qu’il embrassait bien. Tu vois, tout vient à point à qui sait attendre. Et il s’agenouilla pour ouvrir mon jeans. Très drôle, dit-il en libérant ma bite. L’oncle et le neveu ne portent pas de sous-vêtement. C’est de famille ? Et il engloutit ma queue.
Pendant qu’il me suçait, je regardais Alex se faire pomper par Tygo tout en se faisant manger le cul par mon ami. Tous les trois y prenaient plaisir, même le fils de ma sœur qui laissait entendre de petits gémissements. Et Patrice ne semblait nullement gêné de se régaler de l’arrière-train d’Alex, surtout qu’il y avait un bout qu’il n’avait baisé. Steven se releva, m’incitant à me déshabiller. Ce que je fis immédiatement, suivi de Tygo et de Patrice. Tous les cinq nous retrouvions nu comme des vers, la queue bien dure et prête à suivre le jeu. Steven conduisit Patrice au canapé, lui ordonnant de s’y agenouiller, le cul bien en vue.
— Allez Tygo, il n’attend que ta grosse bite. Fais-lui sentir c’est quoi se faire fourrer pour une grosse queue de Cubain. C’est bien ce que tu veux Patrice ?
Patrice se retourna pour regarder le machin de Tygo. Ouf...La teub de ce mec était impressionnante. Longue, large, pour le bon plaisir de Patrice qui la reçut par un petit cri lorsqu’elle s’enfonça en lui. De petits mouvements de va-et-vient, il accéléra la cadence à la demande de Patrice qui en voulait plus. Pendant ce temps, Steven fit signe à Alex de s’agenouiller pour le sucer, ce qu’il fit immédiatement. Il me fit signe de les rejoindre. Allais-je me faire manger le poireau par mon neveu ? Eh oui, ma bite se retrouva dans sa bouche et je vous jure qu’il ne semblait nullement intimidé de lécher la queue de son oncle, pas plus que moi de sentir sa langue. Je le regardais, à mes pieds, sa main autour de mon aubergine, s’empiffrant de mon gland et tout ça, en entendant Patrice gémir et gémir alors que Tygo lui défonçait très bien le cul. Alex passait de mon anchois à celui de Steven avec entrain. Je le soupçonnais de ne pas en être à sa première fois le petit. Peu importait, il y prenait plaisir et c’était bien ainsi.
Steven se plaça derrière Alex et lui releva le cul, juste assez pour qu’il puisse le lui manger de sa bouche baveuse. Il avait un beau petit cul et je voyais bien que Steven s’en régalait. Et Alex appréciait, augmentant la cadence de ses mouvements sur ma queue. Il était excité comme j’imaginais ne l’avoir jamais été, mais ce n’est pas tout ce que j’imaginais. J’avais en tête ma sœur de voir ce spectacle. Son fils suçant son frère. Ça me fit sourire et redoubla mon excitation. De l’interdit, c’est toujours grisant.
Tygo et Patrice nous rejoignirent et Alex s’empressa de les sucer, à tour de rôle, tandis que Steven enfonçait délicatement un doigt dans son cul. Je savais bien qu’il le préparait à plus et je me demandais quelle serait sa réaction. Sucer un mec est une chose, mais se faire empaler par une queue, c’est autre chose. Pour l’instant, Alex réagissait bien.
Patrice était un ami de longue date et jamais nous n’avions baisé ensemble. Lorsqu’il m’embrassa, je demeurai perplexe, mais ça ne dura pas longtemps. Nous étions là, alors pourquoi ne pas en profiter ? Je m’abaissai et pris sa queue dans ma bouche. Elle était bonne et je m’en régalais. Et ce fut là qu’Alex me regarda, un petit sourire aux lèvres. Il était beau, très sexy, sa barbe de quelques jours le rendait masculin au max et je l’embrassai, goûtant sa langue avec passion. Je ne ressentais plus de scrupule du fait qu’il était mon neveu. Au moment présent, il était un jeune mec excité par des hommes et ça m’allait parfaitement.
— Alex, as-tu déjà été fourré par une belle grosse queue ? demanda Steven.— Je n’avais jamais encore baisé avec un mec, répondit-il.— Un petit puceau, rit Steven en se levant. Parfait. Mon doigt me dit que tu es prêt à te faire embrocher et c’est ton oncle qui aura l’honneur de te perforer le troufignon.
Je regardai Steven, Alex, Steven, Alex et ainsi de suite jusqu’à ce dernier se lève pour s’agenouiller sur le canapé, m’offrant son petit cul vierge en cadeau. Je m’approchai, me penchai et plaçai ma bite bien dure entre ses fesses. J’avais juste l’envie de le fourrer d’un grand coup, mais je me souvenais de ma première fois alors j’enfonçai mon pinceau lentement, perçant son boc pour me retrouver à l’intérieur de lui, sentant toute sa chaleur. Il laissa entendre un petit cri, un tout petit cri pour ensuite gémir à chaque coup que je lui portais. Steven se plaça devant lui, lui offrant sa queue à bouffer. Pendant ce temps, Tygo avait recommencé à dauffer Patrice que j’entendais bêler et toutes ses lamentations de plaisir rendaient mon excitation à l’extase. Je posai mes pieds sur le canapé de sorte à ce qu’Alex sente profondément mon gourdin, offrant de même mon cul à qui le désirait, ce dont Steven ne se priva pas.
Il m’enfila sa perche d’un seul coup, me cartonnant le cul férocement pendant qu’Alex balançait le sien à une vitesse telle que je compris que se faire visiter le derrière lui était quelque chose de super agréable. Lorsque j’entendis Steven crier ses tripes, je sentis la chaleur de sa béchamel en moi. Je savais que j’étais sur le point de jouir, mais je ne voulais plus me retirer de mon neveu donc je ralentis la cadence, Steven ayant déclaré forfait en se retirant de moi pour se placer de l’autre côté du canapé, offrait sa queue gluante aux papilles gustatives d’Alex qui lécha tout, sans rien laisser. Et je sentis à nouveau mon cul se faire remplir par Patrice qui me sourit lorsque je me retournai. Alex persistait dans ses mouvements. Il en demandait toujours plus et je décidai de lui faire goûter une autre asperge. Je me retirai et invitai Tygo à le percer de son énorme bite foncée, incitant Patrice à retrouver place en moi.
J’aimais cette sensation de me faire fourrer par un ami et Patrice y prenais grand plaisir, tout comme Alex qui recevait le calibre de Tygo qui y allait de bon train. Steven avait pris place sur le fauteuil et regardait la scène avec délectation. Je compris qu’il était voyeur et surtout contrôlant. Je me demandais si tout cela avait été prévu, mais peu importait, la soirée était un succès.
Tygo laissa entendre plusieurs gémissements entrecoupés. Il déchargeait sa camelote dans le cul d’Alex pendant que Patrice me beurrait le tunnel, nous laissant tous les deux avec notre envie de se faire toujours défoncer.
— Je crois que c’est le temps pour Alex de savoir ce que c’est que de fourrer un beau cul comme celui de son oncle, laissa entendre Steven.
Alex me regarda, comme pour me demander la permission. Et pourquoi pas ? Je lui avais bien cassé le pot. Et je trouvais excitant de me faire prendre le cul par mon neveu. Je pris donc sa place sur le canapé, écartai les jambes pour lui ouvrir mon cul au maximum et me retournai le visage pour le regarder, en lui souriant. Je sentis sa queue presser ma rondelle, comme s’il n’était pas trop certain.
— Vas-y, je suis un habitué, lui dis-je.
Il ne se fit pas prier et m’enfonça sa pine, bien profondément, accélérant immédiatement ses mouvements de hanches. Petit salaud, il savait comment y faire. J’aurais bien pris une photo de famille pour la faire parvenir à ma sœur. Steven se leva et s’approcha, juste assez prêt pour que je puisse le prendre en bouche. Sa queue ramollie prit de l’ampleur au contact de ma langue. J’étais aux oiseaux comme on dit. La bouche pleine de l’énorme queue de Steven et le cul rempli par la bite de mon neveu qui y allait à cœur joie. Et il vint, me crachant son yaourt au plus profond de mon cul en criant sa jouissance de mec dans la trentaine. Il se retira lentement et aussitôt, Patrice lécha le foutre qui coulait entre mes fesses.
— C’est bien beau tout cela, dit Steven, mais Etienne a le droit aussi de décharger dans le cul de l’un de nous. OK, OK, je vais me porter volontaire, dit-il en se tournant face au mur, les mains appuyées contre le grand miroir. Jambes écartées, il m’offrait ce qu’il y avait de plus beau en cette pièce. Ce mec avait un cul du tonnerre ; bombé, muscle, épilé. Je pris ma queue en main et la dirigeai là où il fallait et ne me gênai pas pour lui défoncer la chevalière d’un seul grand coup, ce qui le fit réagir par un petit sursaut. Y allant de coups saccadés, augmentant la cadence, la diminuant lorsque j’étais sur le point de jouir, je prenais un plaisir fou à fourrer le cul du mec que j’avais si longtemps lorgné en étant certain que jamais je ne pourrais même le toucher. Et là, j’étais en train de lui cartonner le cul et ses gémissements me laissant entendre qu’il appréciait cela. Trop excité, je ne pus me retenir bien longtemps et lui dégorger ma sangsue, lui remplissant le cul de ma chaleur. Je me retirai, m’agenouillai et léchai mon foutre qui dégoulinait entre ses fesses. Quel festin !
Après tout cela, il était temps de dormir et nous nous couchâmes, tous les cinq, dans mon lit king, bien entendu, nus comme des vers. Et Alex s’endormit, la tête sur ma poitrine.
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