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Au nom de la science

Chapitre 2

Hétéro
J’avais fait la renommée du labo où je bossais grâce à une nouvelle gamme de produits. J’avais déposé le brevet et maintenant je me faisais des couilles en or. Seul problème malgré tout ça, j’étais quand même obligé de payer pour me les faire vider. Je ne plaisais pas ou alors c’était mon portefeuille qui plaisait. Je commençais à sentir ma solitude me peser. Du coup, je me suis mis sur un projet plus personnel que j’avais nommé « le filtre d’Aphrodite ». Il s’agissait d’un aphrodisiaque en solution buvable qui allait peut-être m’aider. Je visais une femme avec des gamins. J’avais la pâte, il me manquait plus qu’à trouver le four pour faire le gâteau.
J’avais avec moi des graines d’une plante qu’une tribu amérindienne utilisait et que je m’étais procurées. Je les avais cultivées en serre et je comptais bien trouver ce que je cherchais. Cette plante était utilisée lors d’un rituel. D’après ce que j’en savais, les membres de cette tribu avaient l’habitude de mettre tous les jeunes en âge de se marier ensemble dans une hutte, de leur faire boire une décoction de cette plante, de les laisser toute la nuit enfermés et de ne les libérer que le lendemain pour voir si des couples s’étaient formés. Ceux qui ont décrit ce qu’il se passait durant cette soirée n’ont fait que décrire une partouze. C’était l’occasion pour ceux qui ne l’avaient jamais fait de se faire déniaiser. Cette plante avait visiblement des propriétés désinhibantes et facilitait franchement les rapprochements humains.
Tous ceux qui avait bu cette mixture (dont je m’étais procuré la recette) avaient reporté avoir l’esprit embrumé, comme après avoir trop bu, comme s’ils étaient en était d’ivresse ou de transe.
Après des mois de recherche et de test sur des rongeurs, j’ai fini par trouver et isoler le principe actif. Pour faire simple, ce composé provoque chez celui qui l’absorbe une montée du rythme cardiaque, ainsi qu’une sensibilité tactile accrue et en particulier au niveau des parties intimes. Il provoque également une forte poussée de production de phéromone sexuelle rendant temporairement l’utilisateur irrésistible, ou en tout cas plus attirant pour son ou sa partenaire. D’après les tests, j’ai pu observer que les effets de cette molécule s’annulaient en présence d’endorphine lors de l’orgasme sexuel. Quand j’ai découvert ça, je me suis dit « C’est parfait si ça disparaît une fois s’être vidé les balloches ». Petit revers de médaille à ça, il ne faut pas surdoser, la molécule doit être diluée sinon risque d’accident cardiaque. J’ai perdu des rongeurs comme ça. J’ai donc pu définir un dosage en fonction du poids et de la corpulence et, avec ça, j’avais déjà tout pour devenir un tombeur.
Tout aurait pu bien se passer si un évènement n’était pas survenu. Un soir en rentrant chez moi après une grosse journée, j’ai vu que plusieurs voitures s’étaient garées devant chez moi. Ces voitures, je les connaissais. Elles appartenaient à l’agence. Ils m’ont appris que le système de sécurité avait détecté une intrusion. Visiblement rien n’avait été volé. Par contre des traces de tentative d’effraction sur mon labo au sous-sol avaient été trouvées. C’est là qu’on m’a appris qu’en tant qu’ancien de l’agence j’avais été pris pour cible à cause de mes travaux et de mes recherches. Mon travail n’ayant qu’un intérêt limité, je ne risquais pas grand-chose, mais j’allais rester sous surveillance.
Au labo, on est comme une famille, une bande de potes. On se rend service et on s’invite les uns chez les autres. Cette année-là c’était chez moi qu’on organisait notre repas annuel. De temps en temps, on accueille des stagiaires au labo. Dans mon équipe, on en avait deux à ce moment-là. C’était des étudiants en biochimie qui faisaient leur stage pratique, un homme et une femme. La jeune femme, qui se prénommait Jennifer, était particulièrement jolie. Elle me plaisait, je rêvais de me retrouver seul avec elle pour tester ma nouvelle trouvaille et pouvoir me la faire.
Au départ j’ai fait chou blanc. Toutefois, elle s’est mise à être plus « accessible » au bout d’un moment. Pour déconner, je lui en ai touché deux mots en plaisantant sur le fait qu’elle voulait une meilleure appréciation pour son stage. On a commencé à se « rapprocher amicalement » appelons ça comme ça (même si moi j’espérais plus). C’est comme ça qu’elle s’est retrouvée parmi nous lors du repas chez moi. Je me souviens qu’elle était arrivée en avance. Elle m’avait demandé une petite visite guidée de chez moi. Elle a remarqué mon sous-sol, m’a demandé ce qu’il y avait en bas. On y est allé et elle semblait intriguée par la lourde porte de mon labo. En voulant faire de l’humour, elle m’a dit que c’était là que j’enfermais des « vilaines fifilles » pour mes expériences. J’ai moyennement apprécié cette réflexion. J’ai juste dit que c’était une installation personnelle et on est sorti, car d’autres venaient d’arriver.
Je me suis souvenu qu’elle était restée quelques secondes à observer la porte avant de partir.
Le repas s’est super bien passé et, à un moment un peu avant le dessert, Jennifer a voulu aller aux toilettes. Elle y est allée et c’est quelques minutes plus tard qu’une alerte est arrivée sur mon téléphone. La porte de mon labo venait d’être ouverte. J’ai prétexté aller chercher une autre bouteille à la cave et je me suis rendu au sous-sol. A mon retour, j’ai dit à mes convives que Jennifer avait dû partir d’urgence pour une affaire de famille. On a continué, on a dansé dans le jardin et un peu après minuit, tout le monde est parti. Moi j’ai tout rangé et je suis retourné à mon labo au sous-sol. C’est là que les choses sérieuses ont commencé.
J’ai pris un seau que j’ai rempli d’eau. J’ai déverrouillé une porte qui me servait au stockage dans mon labo et j’ai balancé la flotte sur le corps endormi de Jennifer que j’avais attaché sur une chaise, l’ayant surprise dans mon labo en train d’essayer de s’enfuir après avoir tenté de me dérober quelque chose. Quand l’alarme avait retenti sur mon téléphone, j’ai vite constaté que mon labo avait été ouvert, un appareil électronique branché sur la serrure à combinaison. Cette fille était venue faire de l’espionnage sur mes travaux. Je l’ai assommée et attachée en prévision de pouvoir l’interroger moi-même. L’eau reçue sur elle l’a réveillée d’un coup. Elle s’est demandé ce qu’elle faisait là, ligotée qu’elle était. J’étais devant elle et elle a vite compris qu’elle était dans la merde en déclarant un « Oh merde ». C’est là que l’interrogatoire a commencé.
— Alors ? T’es qui ?— ...— Tu bosses pour qui ? — ...— Tu ne veux rien dire ? OK. De toute façon personne ne viendra t’aider ici. Cette maison est truffée de système de sécurité, insonorisée et bardée de brouilleurs de signaux. Un geste de ma part et mes amis spéciaux arrivent. Tu finiras interrogée dans un centre, genre Guantanamo Local. Tu finiras par disparaître de la circulation et tout le monde t’aura oubliée d’ici quelques mois alors tu ferais mieux de parler.
— ...— Tu restes muette ? OK, mais je connais un moyen de te faire parler.— Vous allez me torturer ?— Ah ! Enfin elle parle ! Non je ne vais pas te torturer. Sans le savoir, tu t’en es déjà chargé toute seule. — Comment ça ? — Tu vois ça ? Ce flacon que j’ai retrouvé vide. — Oui.— C’est la marque de tes lèvres que je vois sur le bord ? — ...— Non parce que si t’as bu le flacon pour pouvoir sortir le contenu sans que ça ne se voie, c’était vraiment la pire connerie à faire. Tu comptais faire quoi ? Récupérer le contenu en filtrant tes urines ou ton sang ? Ça ne te suffisait pas la fiole que j’ai retrouvée sur toi ?— ...— Il va falloir que tu parles si tu ne veux pas crever.— Je me défendrai.— Mais je n’ai pas l’intention de te faire du mal. C’est ce que tu as bu qui va te tuer.— Quoi ? Mais on m’avait dit que c’était sans danger.— On ? Qui ça on ?— C’est un type, il m’a donné deux mille euros et m’en a promis davantage à mon retour si je lui ramenai un échantillon. Il m’a fourni l’appareil sur la serrure et la fiole. Au départ, je ne devais que remplir la fiole, pensant que ça suffirait, mais quand j’ai entendu du bruit j’ai paniqué, alors j’ai tout bu pour faire vite. Il m’a dit que si je me faisais choper, boire le flacon me permettrait de le sortir discrètement sans être vu même si je me faisais prendre la fiole. Il pourrait ensuite récupérer un échantillon avec une prise de sang à mon retour... J’avais besoin d’argent et ...— ... Et tu t’es dit que ça allait suffire ? Tu t’es fait avoir purement et simplement. Ce type il n’avait pas un accent par hasard ?— Si léger, américain ou anglais.— Américain sûrement. Ça leur arrive d’employer de la main-d’œuvre locale plutôt que de faire le sale boulot eux même.— Mais dites-moi. Que va-t-il m’arriver ?— Si personne ne fait rien, tu vas crever. Vois-tu, ce produit est inoffensif, mais dans sa version diluée. Ce que tu as bu c’est une version hyper-concentrée que je destinais au stockage. Ton cœur va s’emballer, tu vas te retrouver essoufflée tu vas perdre l’esprit, avoir des hallucinations et ton organisme va se retrouver complètement saturé d’hormones.— Mais vous pouvez me sauver ? Hein ? S’il vous plaît je ferais ce que vous voulez, mais sauvez-moi.— Ça ce n’est pas aussi simple. Compte tenu de la forte concentration et du volume ingurgité, il ne suffit pas d’un simple calmant. Il te faudrait une dose massive de tranquillisant à chaque crise d’autant qu’un sevrage brutal te tuerait sûrement si on en croit les tests sur des souris. — Qu’est-ce que j’ai fait ?...— Une connerie ! Voilà ce que t’as fait. Heureusement, comme je connais ce produit, je sais comment il fonctionne.— Vous allez faire quelque chose ?— Oui, mais ça dépend de toi. Vois-tu chaque crise peut s’annuler avec une poussée d’endorphine. Tu vois ce que ça veut dire ?— L’endorphine c’est l’hormone qui est secrétée par l’organisme lors de rapports sexuels et ... Oh non pas ça. Vous voulez me violer ?— Si tu commences à m’insulter, ça va mal se passer. Je n’ai jamais violé qui que ce soit et je ne compte pas commencer. Non je ne ferai rien contre ta volonté. Malheureusement, c’est aussi la seule option qui s’offre à toi.— Et un tranquillisant ? De la morphine ? Je suis sûr que vous en avez.— Oui j’en ai, mais très peu et probablement pas assez. Vu la dose qu’il te faudrait pour chaque crise et surtout le nombre de fois, tu finirais droguée et dépendante au bout d’une semaine si ce n’est pas moins. Ce serait encore pire. Mieux vaut garder la seringue comme une solution d’urgence.— Non ce n’est pas possible ...— Si. Et compte tenu de tes compétences au labo, je sais que tu as compris que je ne mens pas. Tu sais que j’ai raison.— Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Pourquoi je me suis embarqué là-dedans ?— Je vais te donner le choix. Je vais te détacher, mais la fuite n’est pas une option raisonnable. D’ici, même si tu chopes un bus et compte tenu de l’heure à laquelle tu as bu le flacon, tu n’arriveras pas à temps à l’hôpital le plus proche. Et même si dans l’option forte improbable où tu y arriverais, le temps qu’ils comprennent ce qu’il se passe, tu auras passé l’arme à gauche.— Je leur dirais qu’il faut vous appeler. — Tu te seras évanouie avant ... Voilà je t’ai détachée. Tu es libre de partir. Que choisis-tu ?

Je me suis assis sur une chaise juste en face d’elle. Je sentais que les phéromones qu’elle produisait commençaient à m’attaquer le ciboulot. Cet effet de transe commençait à m’embrumer l’esprit. Il était difficile de garder l’esprit clair, mais il fallait que je me force. J’essayais de me retenir de lui sauter dessus, mais c’était difficile. Je faisais moi-même l’expérience des effets de ce produit. C’était fort, très fort. Elle était vraiment en surdose. J’avais une furieuse envie de me jeter sur elle, de lui arracher ses fringues et de laisser libre cours à mes envies, mais je résistais. J’étais pris d’une forte érection qui me déformait mon pantalon à cause de son chemisier mouillé qui laissait entrevoir ses jolies formes. J’écartais et je resserrais mes jambes machinalement pour tenter de baisser la tension sur mon entrejambe en faisant circuler le sang. Pendant ce temps. Je voyais Jennifer se tenir la poitrine, elle commençait visiblement à s’essouffler.
J’ai bien vu qu’elle avait remarqué la grosse bosse sur ma braguette. Je la voyais de plus en plus hésiter. Moi je restais malgré tout prêt à dégainer le peu de morphine que j’avais au cas où elle s’évanouirait. Mais si je le faisais, je serais obligé d’alerter l’agence de ma situation. Ce n’était pas envisageable ni pour elle et ni pour moi. Ce n’est qu’après quelques minutes qu’elle me fixa.
— Je vous en prie. Faites quelque chose.— Oui, mais quoi ?— Je ferais ce que vous voulez ... sauvez moi.— D’accord, mais comment veux-tu que je te sauve ?— ... Baisez-moi, prenez-moi, mais faites que ça s’arrête. Par pitié.— Bon ... Ecoute, si c’est demandé si gentiment ... ai-je dit avant de me lever de ma chaise.

J’étais devant elle à déboutonner ma chemise en prenant mon temps quand elle s’est jetée sur mon pantalon en disant « C’est trop long ». Elle m’a retiré mon froc et mon slip en un temps record. Puis elle a empoigné ma queue avant de commencer à la sucer. Elle s’est arrêtée, s’est allongée et a écarté les cuisses. Je pouvais voir son entrejambe et ça ruisselait tellement elle était mouillée, comme en sortant de la douche. Je me suis allongé et fais vagabonder mon gland sur l’entrée de la fente. C’est là qu’elle m’a dit « ça prend trop de temps, mets-la-moi qu’on en finisse ». Alors, j’ai fait ce qu’elle m’a demandé.
Ses lèvres étaient vraiment hyper-sensibles. J’étais à peine entré qu’elle criait déjà. Elle était tellement mouillée que ça glissait tout seul. Je me suis enfoncé jusqu’au bout et là, elle m’a bloqué avec ses jambes en me disant « maintenant t’as intérêt à me faire jouir sinon je te hanterai pour toujours ». J’ai commencé à limer et, à chaque coup de reins, elle se mordait les lèvres. Elle tentait de ne pas me montrer le plaisir qu’elle avait, mais ça se voyait. Moi j’étais content, car ce produit fonctionnait. J’y allais doucement, déjà fallait que ça dure suffisamment longtemps, et puis si elle avait déjà autant de sensation, si j’y allais plus fort je ne savais pas quelles pourraient être les conséquences. Je lui ai demandé à plusieurs reprises si elle se sentait mieux, mais elle me répondait sèchement « Ta gueule, concentre-toi sur ce que tu as à faire ». J’ai continué jusqu’à l’entendre jouir. Quand ce fut fait, elle m’a dit « bon allez maintenant retire-toi de là ».
J’ai insisté pour moi aussi finir en lui disant « tu peux au moins accorder ça au mec qui vient de te sauver la vie ». Visiblement elle avait retrouvé son souffle et ne se tenait plus la poitrine. Quand j’ai joui à mon tour, c’est limite si elle ne m’a pas engueulé. Je rêvais de me la faire depuis qu’elle avait intégré notre équipe. Je n’allais pas me retirer, merde !
C’est en voulant se rhabiller qu’elle a voulu me fausser compagnie, mais j’avais discrètement verrouillé la porte. Elle croyait naïvement être tirée d’affaire, mais il n’en était rien, car sinon elle allait devoir subir les effets d’un sevrage brutal sans compter les nouvelles crises futures. Je lui ai décrit que si elle allait chez les flics, moi je leur sortirais ma vidéo surveillance où on la voit pénétrer dans mon labo sans autorisation. En plus j’avais mes ex-collègues de l’agence qui pouvaient torpiller l’intervention des flics. En plus je lui ai décrit le fait qu’elle puisse être séquestrée dans une cave du commissariat, réclamant de se faire baiser à chaque crise. Je lui ai décrit les flics faisant la queue chacun leur tour le froc baissé devant sa porte pour lui mettre une cartouche. Le tout sans compter sur le fait que le sevrage risquait de la tuer. Elle comprit alors que sa seule chance était de rester avec moi pour que je tente de la soigner au mieux.
Pour la soigner, pour le sevrage, il allait falloir lui faire boire une version de ce produit régulièrement, diluée de plus en plus en fonction du temps qui passe. La dilution allait progressivement espacer les crises jusqu’à un niveau normal. Et, bien sûr, pour chaque crise, j’allais devoir la baiser. Pas la partie la plus désagréable à faire.
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