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Au nom de la véracité (saison 1)

Chapitre 1

Hétéro
Au nom de la véracité
(Saison 1)


François et Madeleine vivent une grande histoire d’amour, ils sont mariés depuis six ans. François est commercial tandis que sa femme travaille dans une petite agence d’assurance. L’harmonie était parfaite dans le ménage, jusqu’à ce que Robert, le patron de Madeleine divorce, se plongeant dès lors dans le travail et entraînant sa collaboratrice dans un projet d’envergure. La trentenaire passe de plus en plus de temps à l’agence avec Robert, et passe de moins en moins de temps avec son époux. La situation commence à inquiéter François, qui commence à avoir des doutes sur l’attitude de l’employeur de sa femme et petit à petit il commence à imaginer le pire... Cette situation va-t-elle remettre en cause leur mariage ? Comment François va-t-il gérer cette situation ? Quelles sont les vraies intentions de Robert ?

Nous sommes en régions Parisienne, chez François et Madeleine, entre eux c’est le grand amour et ils vont bientôt fêter leur anniversaire de mariage. D’humeur romantique, François prépare un repas en amoureux pour sa belle, sentant bien que le couple a besoin de se retrouver. Alors qu’il finit d’allumer les bougies, il reçoit un appel qui va contrarier ses plans. Sa femme lui indiquant qu’elle va finir tard et rentrer un peu plus tard que prévu.
Quelques heures plus tard, François s’est assoupi dans le fauteuil en attendant sa femme. Quand soudain, il est réveillé par les phares d’une berline. La nuit était déjà bien avancée et en regardant par la fenêtre il aperçut sa femme au bras d’un vieux/beau qui n’était autre que Robert le patron de sa femme. Alors que l’homme déposait Madeleine sur le porche, François constata avec effroi que l’homme s’attardait un peu trop sur les joues de sa femme et que sa main frôlait un peu trop les fesses de Madeleine, qui ne sembla pas réagir.
— Tu étais où ? Ça fait des heures que je t’attends ? — Doucement mon cœur, j’ai eu une longue journée...— Une longue journée ? C’est comme ça que tu appelles le fait de flirter avec ton boss ? — Tu es ridicule ! Robert a juste eu la gentillesse de me ramener après une réunion qui s’est éternisée, et m’éviter de prendre les transports. Tu devrais le remercier. — Le remercier ? Le remercier de quoi ? De faire découcher ma femme et de la draguer juste devant notre maison ? — Tu es ridicule ! Je suis trop fatiguée pour entendre tes élucubrations douteuses. Je monte me coucher. Rejoins-moi quand tu te seras remis les idées à l’endroit.

Conscient que sa jalousie l’avait emmené trop loin, François s’était excusé et la vie avait repris son cours. Mais rapidement, la situation a commencé à empirer et les doutes de François sont revenus. Doutes confirmés en faisant les comptes, lorsque François a trouvé de nombreuses factures dans des restaurants...
— Tu manges avec Robert maintenant ? — C’est normal, nous travaillons beaucoup, mais je t’assure que tout est professionnel entre nous. — Pourtant quand il était marié, il ne mangeait jamais avec ses collaboratrices...
— Tu es ridicule ! Tu ne me fais donc pas confiance ? Qu’ai-je fait pour mériter un mari qui doute de moi ? Où est l’homme que j’ai épousé et avec qui je formais une équipe ? Je t’aime tu comprends ? Je t’aime toi et personne d’autre !— Pardon, je t’aime aussi... Tu es la femme de ma vie.
Pourtant, malgré les beaux discours de sa femme, François était loin d’être rassuré. Il décida d’espionner sa femme et de fouiller son historique internet. Il constata alors avec stupeur que Madeleine avait commandé de la lingerie sexy, fait des devis pour un achat immobilier et visité des agences de voyages. François était au fond du trou, il devinait que sa femme voulait le quitter... Il attendit son retour avec impatience. Il attendit de longues heures, sa femme fut de nouveau déposée par Robert, qui comme la dernière fois s’attarda un peu trop sur sa jupe. Dès que Madeleine passa le pas de sa porte, il explosa.
— Devant moi ! Tu me trompes devant moi ! Tu n’as donc aucune honte ? — Ne me dis pas que tu es encore sur cette lubie paranoïaque ? Tu me fais peur François...— Lubie paranoïaque ? Mais j’ai des preuves très chères, tu achètes de la lingerie fine pour Robert sur le Net et tout ça dans mon dos ? — Tu as fouillé mon historique ? Tu m’espionnes ! Tu me fais honte François. Cette lingerie était pour notre anniversaire de mariages, et non pour Robert ! Je nous avais même commandé des vacances en Martinique. Je voulais te faire la surprise... Mais vu ton attitude personne n’en profitera, tu as brisé ma confiance, je vais dormir chez ma mère !
François n’a pas dormi de la nuit, il comprenait qu’il avait été ridicule et qu’il avait gâché son mariage tout seul, en doutant de la femme qu’il aimait. Le lendemain matin, il décida de rattraper les choses. Armée d’un bouquet de roses, il décida de rejoindre Madeleine sur son lieu de travail pour lui faire une surprise, en espérant qu’elle lui pardonna. Arrivé devant l’agence, un éclat lumineux attira son attention. Poussé par la curiosité, il regarda par la fenêtre.
— Oh ! La salope !
Le cri était sorti du cœur. Sous ses yeux, Robert était comme un pacha, dans son fauteuil de bureau, il avait les bras derrière la nuque et fumait tranquillement un cigare. À ses pieds, Madeleine était à genoux sur la moquette décolorée, le chibre de son employeur dans la bouche.
— Je le savais, je le savais, ne pus s’empêcher de répéter le mari trahi en observant la scène et réalisant petit à petit qu’il était cocu comme jamais.
Le moins que l’on pouvait dire c’était que Madeleine mettait de l’application, elle suçait Robert comme elle n’avait jamais sucé François. Elle qui aimait dire que la fellation était dégradante pour la femme pour éviter de lui faire trop de gâteries... Alors que là, elle bavait allégrement sur le sexe, passait des petits coups de langue sur la verge, le prenait entier dans sa bouche. Une vraie pro. François ne reconnaissait pas sa femme tant elle semblait douée, elle ressemblait plus à une actrice porno, habituée à avaler des kilomètres de bites, jouant un rôle de secrétaire.
Alors qu’il hésitait entre rentrer dans l’agence casser la figure de Robert ou rentrer pleurer en PLS dans le lit conjugal (en espérant qu’il soit toujours inviolé). Le patron décida de passer à l’action. Il écrasa le cigare dans le cendrier. Attrapa Madeleine par les hanches pour la relever et la plaquer sur son bureau. Il souleva la jupe, et baissa un magnifique string en dentelle rouge le long des jambes galbées de l’épouse infidèle.
— Mais quelle pute ! De la lingerie pour notre anniversaire de mariage, tu parles...
Madeleine avait maintenant la verge de son patron dans son intimité, elle est rentrée toute seule, tant elle semblait la désirer et en avoir l’habitude. La salariée avait le visage heureux, en sueur, une image de plaisir qui risquait de rester à jamais graver dans la mémoire de son mari, alors que Robert la prenait en levrette. Il la tenait par les cheveux, l’obligeant à se cambrer au maximum. Il la défonçait littéralement. Depuis la rue, le mari outragé entendait leurs corps claquer l’un contre l’autre, les cris de son épouse, et les râles de Robert la saillissant.Elle aimait ça... Robert aimait ça, et le caleçon de François aimait ça au vu de la bosse qui se dessinait. Inconsciemment, il attrapa son sexe pour se masturber devant sa femme se faisant tirer comme une vulgaire secrétaire. Rapidement, son foutre alla se coller sur la vitre de l’agence, ce qui le ramena à la réalité. Honteux, choqué, François fuit pour aller se réfugier dans son lit...
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