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Non?….

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Cintia. Comment me décrire ? Si je le faisais objectivement, je dirais que je suis une belle blonde, au ventre parfaitement plat, à la silhouette fine et sportive. Malgré ma fine taille, mes seins sont assez gros, voire même bien gros, avec un 90D, bien ronds et fermes ; impossible de passer inaperçue dans la rue. Mon visage est fin, et mes yeux pétillants. Ah oui, un détail qui a son importance : je suis totalement épilée de la tête aux pieds. À part mes sourcils et mes cheveux bien entendu. Si par contre on demandait à mes derniers ex, ils auraient une toute autre description de moi. Certes, ils me trouvent sexy, mais il paraît surtout que je « transpire le cul » comme ils disent… Il y a apparemment quelque chose en moi qui génère en eux des envies bestiales.
Cela vient peut-être de mon rapport avec le sexe au fonds… Cependant, les gens ne m’ont pas toujours comprise…. Voire même rarement je dirais. Comment expliquer clairement à quelqu’un que le fait de dire non à un homme ne veut pas toujours dire non. Dans mon cas, ça a toujours été un moyen d’amener du piment dans mes relations. Je me refusais à mes copains, feignant une attitude « prude », alors qu’ils sentaient bien que je ne l’étais pas. Le « non » engendre la frustration. La frustration l’envie. L’envie la domination. La domination la soumission. La soumission, l’orgasme. C’est si simple de se laisser aller dans une relation quand on est soumise. Quoi qu’il se passe, quoi qu’il arrive, on n’est pas tenue responsable. J’ai joui ? Oui, mais je n’étais pas moi-même, on m’y obligeait…
Cet état d’esprit, je le dois à ma mère Estelle. Je l’ai toujours vue courber l’échine devant mon père, que ce soit psychologiquement ou physiquement. D’ailleurs il ne s’est jamais gêné pour passer une main sur ses fesses, ses seins tendus, ou même entre ses cuisses. Et c’est là que j’ai compris : ma mère, dès qu’il y avait quelqu’un qui pouvait la voir se faire tripoter par mon père, jouait timidement les prudes : « Non Adrien arrête, il y a du monde », disait-elle en feignant de repousser sa main du bas de son bikini. En réalité, elle retenait la main de mon père contre le tissu chaud, et se le frottait lentement contre son clito… Ces scènes rendaient fous les hommes qui avaient la chance d’y assister. Imaginez, une belle blonde, mince, sportive, aux seins refaits, totalement lisse, qui fait semblant de repousser son homme… Quoi de plus excitant. Lorsque j’étais moi-même témoin de ces scènes, aussi discrètes soient-elles, je désirais au fond de moi l’envie de vivre les mêmes sensations que ma mère.
A 20 ans, je n’avais jusque-là eu que des relations « classiques ». Assez frustrant je dois dire, quand à chaque fois que je repoussais la main de mon copain qui s’aventurait sur mes seins, il l’enlevait et s’excusait timidement, alors que la seule chose que je souhaitais était qu’il me tienne les mains dans le dos et me pelote fort, à m’en faire mal…
C’est le lendemain de mes 20 ans que cette personnalité de soumise s’affirma. J’étais sortie fêter mon anniversaire dans un bar avec deux de mes copines : nous étions les 3 en petites jupes, top bien moulant et talons. 3 vraies petites bombes il faut bien l’avouer. Et pour couronner le tout j’avais décidé de ne pas porter de soutien-gorge. Mon top soutenait mes seins qui se tenaient fièrement et fermement aux yeux de tous. Je vis rapidement l’effet de ma tenue sur les mâles aux alentours. Tous les hommes nous dévisageaient, je sentais même leur regard traverser mes habits. C’était jouissif. Il était à peu près 22 heures quand le DJ commença à mettre de la musique et augmenter le son. Nous avions déjà bu quelques shots de vodka, nous nous mîmes alors dans un coin tranquille et commençâmes à danser les 3 en cercle. Le DJ nous souriait et n’arrêtait pas de me faire des clins d’œil à chaque début de nouvelle chanson. Après quelques chansons je partis au bar pour commander 3 autres shots de Vodka. Accoudée au bar et attendant ma commande, je tournai la tête sur la droite et croisai le regard d’un magnifique jeune homme. Il devait avoir la trentaine, il était métis aux yeux verts, mince, bien sculpté, et son sourire éclatant rayonnait au milieu de son visage. Il me salua avec son sourire dévastateur, et je ne pus répondre autre chose qu’un timide « bonjour », complètement sous le charme de ce bel inconnu. Je retournai auprès de mes copines avec les 3 verres remplis, sentant bien que ce beau gosse ne devait pas se gêner pour me mater le cul.
Nous recommençâmes vite à danser toutes les trois. Soudain je sentis une chaleur derrière moi. En me retournant je vis cet inconnu, à quelques centimètres de moi. Il avait le même sourire, il était vraiment beau comme un dieu. Il ne dégageait aucune animosité ou mal-être de cet homme, il était juste collé à moi le plus simplement du monde et cela ne me gênait absolument pas. C’était comme naturel. Après avoir danser quelques minutes derrière moi il se décala de mon dos et vint se coller à Céline qui était à ma gauche, et attrapa ses hanches tout en dansant. J’en étais presque jalouse, et il le savait. Céline commença à dandiner ses fesses contre le jeans de cet inconnu, lentement et sensuellement. Après quelques minutes il se décala à nouveau et vint se coller à Claire, qui se laissa également faire. Elle pencha même sa tête en arrière et passa ses bras autour de sa nuque, se cambrant et mettant bien en valeur ses seins. Sans pudeur ni gêne, il passa ses mains sur les bras de Claire et les descendit lentement jusqu’à ses seins, puis commença à les malaxer sensuellement sous nos yeux. Tout en dansant collée à lui, Claire se laissait faire et gardait sa tête en arrière contre la nuque de l’inconnu qui ne se gênait plus pour lui peloter allègrement les seins. Après quelques va et vient sur ses seins, il remit ses mains sur les hanches de Claire en nous souriant. Je n’osai rien dire, voir ma copine se faire peloter les seins devant nous m’avait tellement excitée que je lui rendis bêtement son sourire. Il lâcha alors Claire, puis se plaça à nouveau derrière moi, et plongea sa tête dans mon cou en chuchotant « Je suis certain que les tiens sont plus fermes... » Je ne répondis rien, complètement tétanisée par mon excitation. Il prit alors mes mains dans les siennes et les remonta sur mes seins, puis commença à les caresser. Mes mains étaient posées sur mon top, emprisonnées dans les siennes, et je sentais mes tétons durcir. Tout ça sous le regard de Claire et Céline, et sous le rythme de la musique. Il me chuchota alors « Continue toute seule » d’un air autoritaire, puis descendit ses mains sur mes hanches. Sans oser le contredire je continuai à me caresser les seins, en sentant ses mains qui massaient mes hanches. Il passa alors sa main sur mon ventre et descendit sous ma jupe, puis commença à faire des va et vient sur mon string avec son majeur. Je respirai fort, je commençais à sentir l’humiliation monter en moi aussi vite que l’excitation. En ouvrant à peine les yeux je vis mes deux copines qui ne disaient plus rien et qui admiraient la scène. Céline ne dansait presque plus et regardait avec attention la main de cet inconnu bouger sous ma jupe. Claire, elle, avait commencé à passer lentement une main sur son ventre en nous regardant. Quant à moi, je continuais à me caresser les seins tendus et laissait cet inconnu caresser mon entrejambe de plus en plus fort. Je me sentais complètement dégoulinante.
Soudain, sans doute content de son effet, il enleva sa main, et nous tendit un billet en disant « finissez vos verres et appelez-moi quand vous serez dehors. » il prit sa veste et s’éloigna vers la sortie.Je lus le billet, sur lequel était écrit son numéro de téléphone, signé Axel. Nous mîmes quelques secondes à reprendre nos esprits, nous nous regardâmes sans savoir trop quoi faire. Puis je leur dis « allez, on finit notre verre et on sort ».
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