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La nonne

Chapitre 1

Hétéro
Eté mille neuf cent soixante-seize, j’ai dix-huit ans et lors d’une randonnée cycliste, j’ai fait une chute malencontreuse au cours de laquelle je me suis ouvert le bas-ventre entre le nombril et le sexe, sur une vingtaine de centimètres, vivant à la campagne loin de tout hôpital, c’est le médecin du village qui ma recousu et c’est la mère supérieure du couvent voisin et qui fait office d’infirmière qui vient me renouveler mes pansements quotidiennement, maman ayant repris le travail, elle a laissé une clé a mère Gisèle afin qu’elle puisse venir lorsqu’elle le souhaite et je prends un malin plaisir à l’attendre à poil dans mon lit, espérant secrètement qu’un incident fasse découvrir mon sexe à cette bonne sœur, mais la mère Danièle a dû deviner mes intentions, car elle arrête de baisser le drap, juste avant que mon sexe en érection n’apparaisse.

Aujourd’hui, la mère supérieure est en retard, je m’impatiente, faisant le cent pas dans ma chambre, tout en maintenant un début d’érection, lorsque soudain, j’entends la clé tourner dans la serrure, je file dans ma chambre, on toque à la porte, je lance un entrez et le visage d’une jeune fille d’environ vingt-cinq ans apparaît.
— Bonjour, je m’appelle sœur Julie, la mère supérieure est retenue au diocèse et je suis ici pour les pansements.
Ma queue frétille sous le drap.
— Entrez donc, ma sœur, et faites ce que vous avez à faire.

Sœur Julie pose sa sacoche sur le bureau, elle prépare dans un plateau, les compresses, le désinfectant et de pinces, elle s’approche de mon lit et tire sur mon drap. Sœur Julie pousse un cri de surprise en découvrant mon sexe et le recouvre aussitôt avec le drap.
— Je suis désolée, je ne m’attendais pas à ça ! Balbutie-t-elle,.
Je la regarde, son visage est rouge cramoisi, je commence à avoir honte du mauvais tour que je viens de lui jouer et je lui réponds :
— Non c’est moi qui m’excuse, je voulais embêter la mère supérieure.

Un sourire angélique illumine le visage de Julie.
— Oh vous savez, il en faudrait plus que ça pour impressionner la mère supérieure, c’est elle qui s’occupe des saillies de notre étalon, attention ça va être froid, dit-elle en tamponnant à l’aide d’une compresse la cicatrice. Je sursaute et ce faisant, ma bite sors de sa cache, sœur Julie continue sa besogne, elle prend ma bite en main afin de taponner correctement la cicatrice, je gémis.— Je vous fais mal ? Demande Julie.
— Non du tout, simplement c’est la première fois qu’une main étrangère me touche le sexe.— Et bien comme cela on est deux ! Répond la bonne sœur en riant.
Je sens ses doigts se refermer sur la colonne de chair et commencer à faire des allers-retours, je vais pour protester, mais sœur Julie pose un doigt sur ma bouche et me fait chut. C’est sublime, mon regard se porte sur la main qui me branle puis sur le visage de Julie, celle-ci a la bouche entrouverte, les yeux rivés sur ma bite, je vais jouir.
— Ah oui ! C‘est trop bon ! Je sens que ça vient ! Attention, je vais juter !
Et j’explose, la première giclée s’écrase sur mon torse, Julie qui a redressé ma queue reçoit la deuxième giclée sur la joue et les suivantes moins puissantes retombent sur sa ma main et ses doigts.
— C’est génial ! Encore ! s’exclame-t-elle avec enthousiasme, mais la source est tarie, elle a beau essorer ma bite, plus rien ne sort.— Il faut attendre un peu que je me refasse, en attendant, tu ne veux pas me dévoiler charmes ?— Tu veux me déshabiller ?

Sans un mot, je me lève, je prends les mains de Julie et la fais se mettre debout, je remonte et ôte sa robe de bure, je découvre des dessous sans fioriture, je la laisse tomber, la robe sur le sol, je fais se retourner Julie, je dégrafe son soutien-gorge et le laisse choir, je m’agenouille derrière Lucie et descends sa culotte de coton, je me relève, je prends Lucie par les épaules et je la fais se retourner puis la pousse sur le lit, je l’admire un instant avant de me jeter sur sa toison brune, ma bouche dévore sa chatte déjà trempée, malgré mon inexpérience, je trouve facilement son clitoris qui darde déjà, je lui broute avidement son minou, tandis que les mains posées sur ma tête, elle guide mon léchage, ma bouche est rapidement pleine de cyprine que je bois avec avidité, je bande de nouveau. C’est l’occasion pour moi d’avoir ma première baise, je me redresse et place mon dard au bord du vagin de Lucie qui s’exclame aussitôt :
— Non pas par là, je dois rester intacte, mère Danièle vérifie régulièrement que nous soyons toujours vierge ! Cela me coupe immédiatement toute envie de copuler et je m’affale sur le lit.— Ben qu’est-ce que tu fais ? Tu n’as plus envie ?— Si bien sûr que j’ai encore envie de jouir, mais moi qui pensais pouvoir le faire pour la première fois, c’est raté !— Je vais te dire un secret, bien que nous devons rester vierges, certaines de celles qui ont déjà prononcé leurs vœux ne le sont plus et pour les novices, il y a toujours le deuxième trou, si tu veux tu peux passer par là.— Vrai ? Tu veux que je passe par là ?

Sans un mot, sœur Lucie se met à quatre pattes, les fesses écartées.
— Vas-y doucement, c’est plus gros que les concombres du couvent.
Je n’en crois pas les oreilles, je place mon gland au bord de son petit trou, j’hésite un court moment puis je commence à enfoncer ma bite dans petit trou du cul, tant pis pour moi si je vais en enfer, mais je vais enculer cette bonne sœur !

Je m’enfonce lentement dans ses entrailles, sœur Lucie geint à plusieurs reprises avant que mon ventre touche ses fesses, cette salope vient de prendre mes vingt-trois centimètres sans broncher pratiquement !
— Oh ! Oui, c’est trop bon ! Défonce-moi ! Mets-la à fond ! La nonne commence à remuer ses fesses. Plus fort, oh oui, c’est bon, ah je jouis.
Elle empoigne mes bourses et les tire vers elle, je rugis de plaisir en me vidant les couilles dans ses entrailles. Je m’écroule sur le lit, à bout de souffle, sœur Lucie me regarde, un sourire aux lèvres, et je peux lire dans ses yeux tout le plaisir qu’elle vient d’avoir, elle se penche sur moi et colle ses lèvres contre les miennes et m’embrasse goulûment.
— Il faut que j’y aille, murmure-t-elle. Lucie se rhabille, me donne un nouveau baiser et quitte ma chambre en murmurant : à demain.

Mais le lendemain, c’est la déconvenue, c’est la mère supérieure qui se présente et après avoir changé le pansement, elle déclare que les soins sont terminés.
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