Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 210 J'aime
  • 3 Commentaires

Nos amies les humaines

Chapitre 1

Hétéro
Ça faisait trois ans que j’étais dans cette cage.Je ne veux pas dire que j’étais en prison. J’étais littéralement dans une cage. Comme un hamster. C’était ça que j’étais, de toute façon. L’animal de compagnie d’une famille d’aliens géants.Le père, je l’avais baptisé Gérard. La mère, c’était Gisèle. Le fils ainé, celui dont je devais être l’animal, vu que c’était lui qui s’occupait le plus de moi, c’était Mathéo. Sa petite sœur, je l’appelais Lise-Pauline, et le petit dernier, Enzo. Bon, en fait, je n’avais aucune idée desquels étaient des mâles ou des femelles, mais je m’en fichais.
J’avais été enlevé un soir alors que je revenais d’une soirée. Sauf que moi je n’en avais pas profité, puisque j’avais dû aller récupérer deux de mes amis, trop bourrés pour rentrer chez eux. Une lumière verte m’avait chopé alors que j’étais presque rentré, après m’être débarrassé des deux abrutis.
Depuis, je vivais dans une cage géante. À poil, car on m’avait retiré mes fringues. Le sol était recouvert de paille. J’avais un petit lit, enfin un matelas fait d’une sorte de mousse. Dans un coin, j’avais une gamelle dans laquelle on me mettait deux fois par jour des fruits ou des bouts de viande dont je préfère ignorer la véritable origine. À côté, il y avait un réservoir d’eau avec une espèce de paille. On m’avait mis une sorte de ballon, ce qui me permettait de passer le temps en donnant quelques coups de pieds, et il m’arrivait de faire du sport comme d’escalader la cage, même si je n’aurais pas été contre une console de jeux (la PS5 était annoncée quand on m’a pris, elle est finalement sortie ?). J’avais même un petit miroir à côté duquel était disposée une paire de ciseaux, me permettant de me couper plus ou moins adroitement les cheveux et la barbe.
Tout cela me faisait dire que je n’avais pas été enlevé au pif. Les aliens avaient manifestement étudié les humains et leurs besoins.Ah ! À propos de besoin, j’avais aussi un coin « coin litière », où je pissais, chiais, et... me soulageais de temps en temps... Assez souvent...Bref !Personnellement, je m’étais fait à cette situation. Sur terre, j’étais au chômage et j’étais à deux doigts de me faire virer de l’appartement que je louais. Désormais, je mangeais tous les jours et j’avais un toit duquel je ne pouvais pas me faire expulser. J’avais probablement gagné au change.
Ça faisait trois ans, disais-je. Un jour, ma cage s’ouvrit. J’étais surpris, car j’avais déjà eu à manger, et ma cage avait été nettoyée la veille. Je vis alors la main de Mathéo descendre dans la cage. J’entendais comme des hurlements au niveau de sa main. Comme une fille qui hurlait. Et en effet, il déposa aussi délicatement que possible une jeune femme, blonde, aussi nue que moi.Elle hurlait, paniquée, incapable de quitter des yeux la main extraterrestre.Je ne pouvais m’empêcher de la reluquer. Elle avait de longs cheveux dorés. Ses seins étaient magnifiques. En poire. Elle avait une petite toison au niveau de l’entrejambe. Elle était très belle, malgré la peur qui déformait ses traits.
— Bonjour ?
Prenant conscience de ma présence, elle hurla de plus belle. Et je ne pouvais pas lui en vouloir. Elle venait de se faire enlever, dépouiller de ses vêtements, et d’être mise par des aliens géants dans une cage en compagnie d’un parfait inconnu à poil. Et en érection, car je réalisais que j’étais en train de bander devant elle.Elle finit par se calmer.
— Vous parlez français ?
Oui. Heureusement pour nous, elle avait étudié dans le lycée français de Moscou, et donc maîtrisait notre langue. Tant mieux, parce qu’à part « oui », « non », et « vodka », je ne savais pas dire grand-chose en russe.
Elle s’appelait Iulia et elle avait été enlevée alors que son copain et elle rentraient d’une séance de cinéma. Elle ne savait pas ce qu’il lui était arrivé.
Quatre jours s’étaient écoulés. À ma grande surprise, Iulia s’était bien adaptée à sa nouvelle vie. Sans vouloir m’accorder trop de mérite, je pense que le fait que j’ai été là a aidé. J’avais mis beaucoup plus de temps à me faire à la situation et mon nouvel environnement, et j’aurais beaucoup apprécié à l’époque que quelqu’un soit là pour m’expliquer ce qui m’arrivait.Je lui avais ainsi présenté Mathéo et sa famille. Je lui avais expliqué comment on nous nourrissait. Mathéo lui avait d’ailleurs déposé un autre petit lit. Elle avait fini par arrêter d’être pudique et accepter de se montrer nue. Le seul truc sur lequel on bloquait encore, c’était de devoir faire nos besoins dans un coin de la cage, alors que l’autre pouvait voir, entendre, et sentir.Ce soir-là, les aliens étaient partis. Je pense qu’ils étaient à une sortie quelconque. J’étais installé dos à la cage, en train de manger un fruit à la chair rose fluo. Iulia était à genoux dans la paille, à manger un autre morceau.
— Il y a un truc qui m’interroge, me lança-t-elle.— Quoi donc ?— Je pense que je te plais.— C’est normal, non ? Tu es russe. Tu es blonde. Tu es belle. Tu as des formes de rêves. Et pour ne rien enlever, tu es drôle, intelligente et intéressante.
Elle gloussa, et je réalisai que je venais plus ou moins de lui faire une déclaration.
— Merci. Mais je pensais surtout à...
Elle tendit son index vers mon sexe. J’avais fini par ne plus bander en sa présence, mais je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir souvent des demi-molles.
— Je... Oui... Et ?— Tu aurais pu me sortir quelque chose du genre « Allez. De toute façon on va finir nos vies dans cette cage. Pourquoi on se poserait des questions ? Autant en profiter et baiser. »— Heu... Oui, j’aurais pu. Tu me reproches d’avoir été gentleman ?
Elle gloussa de nouveau.Puis elle se leva, et vint s’accroupir à côté de moi. Son visage n’était qu’à quelques centimètres du mien.
— De toute façon, dit-elle, on va finir nos vies dans cette cage. Alors, pourquoi se poser des questions ? Autant en profiter et baiser.
Elle m’adressa un sourire ravageur. Avant que je ne réalise ce qui arrivait, elle posa les lèvres sur les miennes et sa main sur ma queue.
— Et ton copain ?
Elle me gifla.
— On ne se pose pas de question, on a dit.
Puis elle m’embrassa de nouveau. Sa main commença à faire de légers va-et-vient. Il fallait que je l’arrête ! Je pris sa main et l’écartai.
— Attends. Ça fait trois ans que je n’ai rien fait. Je vais arriver trop vite.
Elle prononça une phrase en russe. Devant mon air interrogateur, elle me fit un sourire étrange.
— Ça veut dire « C’est moi qui commande ! ».
En disant ça, elle m’embrassa de nouveau, et recommença à me branler. Je n’eus même pas le temps de comprendre que j’atteignais l’orgasme. Mon sperme se déversa sur mon ventre, mes jambes, et sa main. Elle lécha sa main, avalant tout mon jus.
— Hummmmmmm. Pas mal en plus.
J’aurais dû débander. Ou au moins me ramollir. C’était une obligation biologique. Et pourtant, non. Je venais de jouir, et je restais dur et droit. Et c’était douloureux.Iulia attrapa de nouveau mon sexe. Je ne devais pas la laisser faire. Ça faisait mal.Alors je l’ai fait chavirer sur la paille, et je l’ai embrassée. Mes lèvres ont parcouru son visage. Son cou. Ses seins. Oh ! Ses seins. Ils étaient incroyablement délicieux. Ils avaient la texture d’une pêche et, je vous assure, en avaient presque le parfum et le goût.
Elle posa ses mains sur ma tête et me poussa lentement. J’avais la même envie qu’elle. Je voulais faire durer l’attente. Pas elle. Elle appuyait de plus en plus fort. Alors je suis descendu, et je me suis arrêté au niveau de sa chatte. Je commençais à la lécher. Doucement. Je passais ma langue sur ses lèvres. J’entrais à l’intérieur. Je m’occupais de son clitoris. Je me félicitais de ne pas avoir trop perdu la main.
Iulia avait placé ses jambes autour de mon cou, m’empêchant de changer de position. Elle voulait que je la fasse jouir, et je n’étais pas spécialement contre l’idée.Alors je m’affairais à la lécher de plus en plus. Les doigts se mêlèrent à la fête, et je commençais à la pénétrer avec un doigt. Puis un deuxième.
— TRI ! TRI ! TRI !
Je compris ce qu’elle voulait et la pénétrait avec un troisième doigt.Elle cria alors que je continuais de la lécher et de la doigter. Je la sentis frissonner. J’entendais son souffle qui échappait à son contrôle.Elle hurla son plaisir, inondant ma bouche de sa mouille.Iulia desserra les jambes pour me libérer. Elle était en sueur. Essoufflée. Des mèches de cheveux étaient collées à son visage. Elle souriait. Elle était encore plus belle.Elle m’adressa un sourire.Je m’allongeais à côté d’elle, posant ma main sur son sein gauche.
— Quoi ? Tu crois qu’on a fini ?
Elle prit ma main et me fit chavirer. J’étais maintenant allongé sur elle. Elle attrapa mes cheveux et me tira vers elle, afin que nous puissions échanger un nouveau baiser.Je sentis qu’elle écartait ses jambes. Elle se contorsionna de manière à permettre la pénétration.
— Tu essaies encore de me faire languir, je t’arrache les dents.
Je ne sais pas si elle l’avait fait exprès, mais elle avait laissé son accent russe se marquer plus que d’habitude.De toute façon, j’étais désormais trop excité moi aussi pour la laisser languir.Alors, j’ai positionné ma queue de manière à entrer en elle. Et c’est ce que j’ai fait.Elle cria. Ou plutôt, c’était un rugissement bestial.Elle était déchaînée.Et moi aussi, je me laissais entraîné par l’excitation et l’envie.Alors je commençais à aller et venir en elle. Je sentais ses lèvres inondées de mouille glisser le long de ma hampe.Elle me fit de nouveau tomber au sol. Pour le coup, je me retrouvais hors d’elle.Pas longtemps cependant. Elle me chevaucha, et vint s’empaler sur moi.Elle se mit à bouger. À remuer. À danser sur moi. Ses seins bondissaient à chacun de ses mouvements. Ooooh ! Ses seins ! Je me soulevai pour pouvoir les embrasser et les sucer.
— Trop bien ! Trop bien !
Elle cria. Cette fois, ce n’était pas un rugissement, mais un vrai cri. Elle venait de jouir une nouvelle fois. Ce qui me fit réaliser que j’étais moi aussi à deux doigts de l’orgasme.
— Je... vais...— Dans moi ! Dans moi !
Pourquoi lui aurais-je désobéi ? Je laissai libre cours à mon plaisir, et criai à mon tour ma jouissance. Je sentais ma semence s’expulser par trois grands jets, suivis de deux ou trois plus petits. Je crois que jamais avant – et jamais depuis – je n’avais éjaculé en aussi grande quantité.Épuisée, autant que moi en fait, Iulia se posa à côté de moi.Nous étions essoufflés.Elle m’adressa un regard qu’aujourd’hui encore je suis incapable de déchiffrer. Était-ce de l’excitation ? De la gratitude ? Ou de l’amour ?
*******
Trâak venait de rentrer. Il passa dans la pièce principale et, par habitude, regarda la cage des petits humains de Jôlomo.Que faisaient donc ces drôles de bestioles ? Glii, la femelle, était à quatre pattes. Yoô, le mâle, était derrière elle, et semblait la frapper avec son bassin ?Intrigué, Trâak regarda les deux animaux. Étaient-ils en train de se battre ? Glii poussait des couinements, mais n’avait pas l’air de chercher à se défendre ni à s’enfuir.
— Oh ! Je comprends. C’est comme ça que vous vous reproduisez.
Trâak soupira.
— Ces petites bêtes ont une vie sexuelle plus intense que moi... Profitez en petits humains.
Les deux petites créatures n’avaient même pas remarqué sa présence. Mais une chose était sûre. Ils allaient suivre son conseil et bien en profiter.
Diffuse en direct !
Regarder son live