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Nos aventures, moi et ma femme dans le dispensaire du docteur Bahi :

Chapitre 1

Ma jeune femme me trompe avec un collègue de travail

Erotique
Je m’appelle Issa, 30 ans, marié à Mouna, 22 ans depuis 2 ans ! Nous avons décidé de ne pas avoir d’enfants pendant au moins 3 ans pour vivre à deux au maximum dans la joie et les voyages, alors nous prenons ce qu’il faut pour cela.Nous sommes tous les deux diplômés et travaillons dans une Entreprise d’État, depuis un an, moi comme Ingénieur électricien et elle, assistante psychologique aux côtés du médecin de travail, le Dr Bahi, 35 ans. Pour ma femme c’était son premier travail, mais moi, avant, je travaillais dans une autre Société d’État et je n’ai changé qu’à mon mariage pour être ensemble. Ma femme est très jolie et surtout très femme, avec des seins bien développés et pointant nettement son corsage et une croupe assez ronde et agile forçant ses pantalons toujours assez serrés. Nous avons eu quelques disputes au début, mais je n’ai pas réussi à lui faire changer de vêtements. C’est d’ailleurs pour ça que j’avais changé de société.
De plus, elle s’occupe du social, ce qui fait qu’elle fréquente beaucoup les travailleurs, mais avec le Dr Bahi, je pensais être tranquille. J’ai essayé de la surveiller vis-à-vis du jeune Dr et de certains cadres qui sont souvent en contact avec elle. Et au bout de cette année de travail, je n’ai rien trouvé ou remarqué d’étrange. Elle paraît même être assez autoritaire, d’après les dires de certains et même du Dr Bahi, ce qui éloigne d’elle ceux qui veulent la draguer.
J’étais donc satisfait d’elle et ma surveillance s’est beaucoup relâchée, jusqu’au jour où une de mes collègue et voisine, Zina, pharmacienne de 30 ans et mariée à Ahmed, technicien sanitaire de 45 ans, m’a parlé des relations de son mari avec ma femme. Elle m’a expliqué, selon les informations d’une autre amie infirmière, que le Dr Bahi avait l’habitude, chaque jour, de quitter son travail, une heure avant la fin, c’est accepté par la Direction. C’est alors que ma femme et Mr Ahmed, son amant, se rencontraient dans un coin du magasin, derrière la salle des soins durant la dernière heure de travail. J’ai décidé de vérifier et je me suis pointé, avec l’aide de l’infirmière, dans un cagibi à côté, mais donnant une bonne vue sur l’intérieur du magasin. Et quelques instants avant l’heure prévue, ma femme est entrée au magasin et trois minutes après, Si Ahmed l’a rejointe. Immédiatement, ils s’enlacèrent et s’embrassèrent avec fougue.
Les mains d’Ahmed massaient le derrière gonflé de ma femme puis il lui glissa un peu par derrière, son pantalon et son slip, découvrant ainsi les fesses nues de ma femme. Il les caressa et les flatta amplement et même introduit sa main et ses doigts entre les fesses et par-dessous vers la chatte de ma femme qui écarta ses cuisses à ses attouchements. Puis, il enleva rapidement son pantalon et son slip, découvrant ainsi son zeb déjà bandé et assez gonflé, pointant à l’horizontale. Ma femme s’agenouilla et l’empoigna pour le sucer et le branler. L’homme lui caressait les cheveux, puis il l’aida à se redresser. C’est alors qu’elle se débarrassa prestement de son pantalon et de son slip qui allèrent rejoindre ceux de l’homme, par terre. Puis, appuyant son dos au mur d’en face, elle releva sa jambe droite et écarta ses cuisses, donnant ainsi une vue directe de sa chatte gonflée et bien rasée.
Elle entoura le cou de l’homme de ses bras et lui se colla à elle. Puis, se baissant légèrement, tenant son zeb d’une main, il pénétra la chatte de ma femme, d’un coup de reins appuyé. Puis il s’enfonça dans ma femme avec un « Ahhh » de désir prolongé. Ma femme hurla presque de cette pénétration brutale qui la cloua au mur. Puis je voyais les reins de l’homme qui appuyaient les va-et-vient de son zeb dans la chatte de l’infidèle qui gémissait en continu. Ses reins reculaient puis d’un coup vigoureux et d’un « han » bruyant enfonçaient son zeb qui faisait le bonheur de ma femme. Elle gémissait et même lançait parfois un rire étouffé. Elle jouissait avec le zeb d’un autre homme que le sien, ma femme que je croyais sérieuse et fidèle. Elle s’accrochait au cou de son amant et essayait même de lever son autre jambe pour les enrouler toutes deux, autour des reins de l’homme qui s’est arc-bouté un peu pour mieux faire accéder la chatte à son zeb debout et bien gonflé.
Il soutenait aussi ma femme par ses hanches et sous ses fesses, tout en continuant ses vigoureux va-et-vient dans sa chatte. La baise était bruyante, par les halètements et le souffle rauque de l’homme ponctués de « Ahhh » excités mais aussi par les chocs et claquements de son ventre sur les cuisses et fesses de ma femme qui, maintenant hurlait sans se soucier d’être entendue par autrui. Il avait démarré lentement puis il avait accéléré sa cadence. La scène était torride pour moi dans l’obscurité et étroit cagibi. Tous les deux soufflaient et haletaient fort et même le zeb et la chatte ajoutaient leurs clapotis mouillés par leurs glissements et frottements l’un dans l’autre. C’était un bruit érotique qui a réveillé et gonflé mon propre zeb que j’ai dû empoigner pour le branler avec empressement.
Je me masturbais avec force sans tenir compte du petit bruit que je provoquais, mais ne pensant qu’au fait que c’était la chatte humide, chaude profonde de ma tendre épouse qui se faisait lustrer la chatte avec vigueur par le zeb gonflé et dur d’un étranger. Ma femme que je n’avais jamais négligée me trompait et offrait son meilleur bijou sexuel à la queue affamée d’un autre homme. Et j’ai éjaculé sur le mur et dans ma main, avant lui, tant j’étais excité. Et leur baise et mon malheur ont duré plus d’un quart d’heure durant lequel ma femme a eu deux grands hurlements, deux orgasmes bruyants et bien mouillés. Mais l’homme a continué sa saillie et sa cavalcade dans la chatte de ma femme et enfin il se bloqua, et se détacha rapidement de ma femme.
Se mettant sur le côté, j’ai vu son zeb, toujours gonflé et brillant et qu’il empoignait et se branlait avec rapidité. Cinq ou six va-et-vient suffirent et soudain son sperme a jailli, la première rafale, très puissante contre le mur, puis deux autres moins fortes qui tombèrent plus loin sur le sol devant ma femme. Elle avait baissé les jambes et restait collée au mur, mais les cuisses toujours écartées et le sexe drillait de ses mouilles et de l’humidité du zeb. Elle se courba un peu, plongea sa main dans sa chatte et se branla devant son amant, sans gêne. Elle restait ainsi debout, la main dans sa chatte, devant les éjaculations de son amant et souriait. Elle doit être contente d’avoir réussi à faire éjaculer l’homme, le mâle viril qui l’a baisée debout contre un mur, comme une putain de rue. L’homme lui dit quelque chose et se baissa et empoigna le zeb pratiquement toujours horizontal.
Elle le suça, le nettoya avec plaisir, semble-t-il, et, se relevant, elle se colla encore contre l’homme, ventre contre zeb. Il lui flatta les fesses, la colla un peu plus contre lui puis il la repoussa. Rapidement, il se rhabilla et elle en fit autant avec son slip noir qu’on avait choisi ensemble avec soin, car il avait une cage par-devant permettant de voir son pubis, ses poils et sa chatte, puis son pantalon collant ses fesses. Ils s’embrassèrent encore en s’enlaçant très étroitement. A leur étreinte très serrée, les ventres collés l’un à l’autre, on devinait qu’ils avaient encore envie de baiser, mais l’heure de sortie approche. Ensuite, c’est lui qui partit le premier, suivi une minute après par ma femme. Moi, je suis resté presque étourdi, à tenir encore mon zeb endormi, amolli par son éjaculation, la main polluée. Heureusement que j’avais un mouchoir en poche avec lequel je me suis nettoyé la main et le zeb.
Puis je me suis retourné pour sortir, car la porte du cagibi était derrière moi. Quelle ne fut ma surprise de constater que je n’étais pas seul. C’était l’infirmière qui était juste derrière moi. J’étais totalement omnibulé par les frasques de mon épouse que je n’avais pas ressenti la présence de cette femme qui a dû certainement assister derrière mon épaule à tous les ébats et même à mon branle. Dans la semi-obscurité du cagibi, elle me regardait et je sentais maintenant sa chaleur et odeur féminine tellement on était collés dans l’étroitesse du lieu. Elle abaissa son regard et comme je n’avais encore réintégré mon zeb dans sa cage, elle le prit dans sa main. Il était flasque, mais dès qu’il a senti la chaleur de la main féminine, je ressentais son réveil. Nous sommes restés ainsi en silence et après une ou deux minutes, mon zeb s’était bandé et gonflé et mon excitation progressait rapidement. Presque automatiquement, mes mains sont allées se plaquer sur ses fesses. Elles étaient rondes, chaudes et excitantes amenant mes caresses affamées. Elle soufflait fort et colla sa poitrine contre moi et m’embrassa sur la bouche.
J’ai accentué mes caresses à son derrière et une de mes mains est allée vers le bas pour remonter la jupe de la femme. Rapidement j’ai constaté qu’elle est nue par-dessous. Et c’est elle qui a écarté ses cuisses et guidant mon zeb avec sa main, elle arriva à le pointer sur sa chatte. La suite, ce fut moi qui poussais mon zeb dans sa chatte et démarrais, dans l’étroitesse du cagibi, une série affamée et affolée de va-et-vient. Elle soufflait fort et gémissait et ses bras entouraient maintenant mon cou. Mes mains sur ses fesses et mon corps en mouvements, je donnais mes coups de reins presque avec précipitation, de peur de perdre cette occasion. Et la femme hurla son premier orgasme mouillé. J’ai continué et juste au moment où commençait son second orgasme bruyant, j’ai ressenti l’arrivée de mon sperme. J’ai essayé de reculer en l’avertissant que j’allais éjaculer, mais elle me serra contre elle et me fit signe de continuer. J’ai accéléré mes va-et-vient et soudain l’orage a éclaté.
Ce n’était pas comme tout à l’heure quand j’ai éjaculé dans ma main et le mur. Maintenant, c’est dans la chatte, la caverne chaude, douce et profonde de la femme que mon zeb s’épancha par trois jets puissants, chacun appuyé par un coup de reins vigoureux et un cri de délivrance « Ahhh » de ma part. Puis je me suis retiré, tenant mon mouchoir pour m’essuyer. Mais elle réussit à se pencher avec difficultés dans le cagibi étroit et empoigna mon zeb pour le gober dans sa bouche. Puis elle me suça et lécha complètement et me branla un peu. Puis elle se redressa et remonta sa jupe et sortit par-derrière.
J’ai remis mon zeb dans mon slip et, bizarrement, il restait encore assez bandé, contrairement à tout à l’heure. En effet, un zeb a vraiment besoin d’une chatte pour rester debout et gonflé et en pensant à ma femme, une chatte a aussi besoin d’un zeb gonflé et viril pour rester douce, profonde et donner du plaisir et des jouissances. C’est peut-être ce qui lui manquait avec moi et cet homme a su lui donner ce plus qui l’a fait tomber dans l’infidélité. Sur la route, en retournant chez moi, j’ai aussi pensé à la femme de Si Ahmed et qui m’a informé de l’infidélité de son mari. Je pense que je vais la recontacter pour lui proposer de la baiser et de punir ainsi son mari, j’étais presque sûr qu’elle allait accepter. Et cette infirmière que je ne connaissais même pas et qui s’est offerte à moi, excitée par ce qu’elle avait vu et qui a même accepté mon sperme dans sa chatte. Je vais essayer de continuer et d’appuyer nos relations sexuelles.
De belles perspectives d’avenir même si je dois ainsi accepter et pardonner les infidélités de ma femme.
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